Nous nous sommes donné rendez-vous devant le centre commercial. Comme toujours dans ces cas là, la première angoisse est de savoir si ça ne sera pas un lapin et si le contact viendra.
Je l’ai reconnu tout de suite, il était exactement comme décrit. Il m’a reconnu également.
On se sert la main. Je lui dis que j’ai envie d’aller au toilette pour pisser. Il m’accompagne.
Ce sont des toilettes secondaires, peu fréquentées dans ce centre commercial. comme prévu, c’est vide de ce coté là du centre commercial.
Je me mets en face d’un urinoir, je sors le matos et je pisse. Il se met à coté de moi, me regarde. Je me recule et lui montre mon sexe de manière plus visible.
Je fini, dernières gouttes, rangement du tube… Je lui dis « viens, suis moi »
J’entre dans une cabine de toilette, c’est propre. Je baisse le rebord de la tinette j’essui par acquit de conscience la lunette, je m’assoi. Il entre et referme la porte.
– « met toi à l’aise, pose ton blouson sur la clanche de la porte »
Il le fait, pivote le haut du corps pour accrocher le blouson, je me précipite sur la boucle de la ceinture. En deux temps trois mouvements, la ceinture et les 4 boutons du jean’s sont libérés, je tire sur le pantalon et le descent sur ses genoux.
Il a un slip taille basse vert pale. Je devine la forme du contenu. Je passe la main sur le tissus, je caresse, je malaxe doucement… Il se rapproche au plus près.
Mes mains s’écartent et att****nt l’élastique au niveau des hanches. D’un coup, je fais descendre la slip au niveau du jean’s ! Libéré, le sexe se découvre. Il est beau, encore mou et flasque, mais il est comme je les aime, peu poilu, propre, encapuchoné dans la peau.
Mes doigts soulèvent le sexe et me laissent découvrir une paire de couilles magnifiquement épilée. J’approche mon visage au contact, je les respire, ma langue sort, je les lèche doucement, entièrement, j’aspire la peau avec douceur. Mon visage pivote vers le haut, au premier plan son sexe, au second plan son visage qui me regarde. Je prolonge mon léchage le lonf de son sexe toujours mou. Mes doigts tirent sur la peau pour découvrir le gland. je le prends encore mou dans ma bouche. La peau est douce, veloutée, le gout agréable.
Main et bouche travaillent ensemble dans un mouvement d’aller et retour ou vient se meler la sucion de ma bouche devenue gourmande, ne résistant plus à l’envie de sentir cette queue devenue grosse et dure, veinée, marbrée… C’est ce qui ne tarde pas à arriver. Le gars souffle, râle, mets des coups de rein pour la faire entrer encore plus profondément dans ma bouche. De temps à autre, je stop le mouvement pour faire glisser ma langue baveuse sur son gland et son frein.
Le gars ne résistera pas plus de 5 minutes.
Je sents monter le désir, je le pompe alors avec toute l’envie que j’ai retenue depuis des mois. Je veux, j’en veux, je suce un mec et j’ai envie de son plaisir dans ma bouche.
Il jouit dans un râle de belles giclées, les première aspergent mo langue, les suivantes mon visage. Je prends du papier toilette et essuis son sexe, puis j’essuis mon visage et mes lunettes, enfin je jete les papiers dans les toilettes et je crache un mélange de salive et de sperme.
Nous ressortons, toujours personne. Je me rince la bouche et le visage à l’eau.
« Tu suces super bien » me dit-il.
J’ai hate de recommencer l’expèrience…
Alain95
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