Le cirque des monstres 2
Marchant dans une brume opaque en suivant l’ombre de la femme a deux têtes, je me sentais fébrile, exciter par ce cirque de monstre, mais en même temps je ressentais une certaine crainte à l’idée de rencontrer d’autres gens difforme. On a trop tendance à les prendre en pitié même s’ils nous intriguent et qu’on ne peut s’empêcher de les regarder avec fascination. D’un autre côté, je me disais que pour le sexe, un homme ne devait pas s’ennuyer avec notre guide à deux têtes, surtout lorsqu’elle devait leur pratiquer une double fellation. Le sourire aux lèvres, je me demandai si elles avaient chacune un amant ou un amoureux. Si oui, cela aussi devait être extrêmement excitant pour les gars de baiser une sœur avec l’autre qui devait regarder et gémir autant que sa sœur vue qu’elles avaient le même sexe. Je me demandais ou Marie avait bien pu dénicher ces gens-là. Jamais je n’avais entendu parler d’un cirque de monstres.
On ne pouvait pas marché a l’aveugle comme ça bien longtemps dans ma salle de bal sans rencontrer un mur, ce fut plutôt une roulotte de gitan très colorer qui apparue, mais difficile a distingué dans ce brouillard verdâtre. J’aperçus des fenêtres éclairées de l’intérieur et fermées par des rideaux derrière lesquelles passaient des ombres inquiétantes. Interloquer, je me demandais bien comment ils s’y étaient pris pour faire entrer ça ici ou si c’était simplement un décor de théâtre. Ma salle de bal était plutôt vaste, mais tout de même. Sacré Marie va, elle m’étonnera toujours.
Soudain, on entendit des rires et les applaudissements d’une foule, sur notre gauche. Les inviter a la fête de Jeanne sans aucun doute et la fête doit commencer. Moi et ma sœur on se regarda genre : « ouf, on est pas seul ce soir avec ces monstres. » Tout ça était très déstabilisant, surtout notre guide.
Le monstre à deux têtes au corps de déesses tira sur nos laisses de collier de chien pour nous amener à l’arrière de la roulotte. On grimpa quelques marches à sa suite, l’une derrière l’autre, éclairer par une pâle lanterne et elle nous fit entrer par une porte étroite. On se retrouva effectivement à l’intérieur d’une roulotte de gitan, comme on les imagine, remplie de babioles et de costumes de scène et… de monstre et tous nus, évidemment. Encore une fois, je rester statufier par les étranges personnages que je de découvrit, Jeanne aussi d’ailleurs. D’abord, je vis un géant avec un barbe en trident, terriblement musclé qui était en train de se faire faire une pipe assit dans un grand fauteuil au fond de la roulotte devant une autre porte. Une fille à poil aux longs cheveux roux très épais et à genoux, nous tournant le dos, lui pratiquait cette fellation. Elle avait un cul sublime, mais entre ses cuisses écarter je vis stupéfaite qu’elle avait une grosse paire de couilles pendante sans poil et un pénis au repos avec un long prépuce, qui se balançait chaque fois qu’elle donnait de la tête. Un vrai la sienne, contrairement au gode en ceinture que je portais. Le géant au gros sourcil broussailleux nous regarda avec envie comme tout les hommes le font, on en avait l’habitude Jeanne et moi. Je ne pouvais voir son membre, mais il devait être drôlement imposant, car l’homme était un vrai colosse, le plus solidement charpenté que j’eusse jamais vu. L’hercule du cirque sans aucun doute.
Sur un sofa, deux sœurs siamoises dans la vingtaine étaient assises nues également. Jeune et jolie, une brune et une noire au cheveu mis long. Elle était reliée par les hanches et un nain à longue barbe baisait celle de droite, debout entre ses cuisses, tandis que celle de gauche se masturbait. Le nain nous regarda avec envie lui aussi. Ses jolies petites fesses se resserraient chaque fois qu’il poussait sa bite dans le con et ses grosses couilles poilues se balançaient joliment. Il caressait les seins de l’une ou de l’autre avec ses petits doigts potelés. Celle qui se masturbait nous envoya la main en disant :
-Salut les jumelle. Je suis Lorna et ça, c’est ma sœur Nadia. Wow ! Ça, c’est des gros seins les filles.
On lui envoya la main machinalement arborant toutes les deux un sourire idiot tandis que je me demandais quel genre de vie pouvait bien avoir ses filles sans jamais connaître l’intimité, le simple plaisir de pouvoir se retrouver seul parfois, surtout avec un amant, même un nabot. Puis, assis à une table de maquillage sur notre gauche, j’aperçus ce qui me parut être un loup-garou comme on les décrit dans les contes. Mes bras se couvrirent de chair de poule. Le fameux homme-loup, artiste peintre, occuper a se brossé le torse en nous reluquant les yeux vicieux. Son corps au complet était recouvert de poil court, comme une fourrure d’un noir luisant et ce n’était pas un costume. Je dois avouer que celui-là faisait vraiment peur surtout quand il se lécha les lèvres en nous faisant un clin d’œil. Je frémis a l’idée qu’il me prenne ce soir, en arborant toujours mon sourire niais. Mais, il avait tout de même de beaux yeux turquoise.
« Seigneur, Marie ! Me dis-je, je crois que ça ne va pas bien dans ta tête de bonne. »
Soudain, Jeanne lâcha un crie sur ma droite ce qui me fit sursauter et crier aussi tellement j’avais les nerfs a vif. Je tourner la tête pour voir qu’un homme, nu aussi et maigre comme un clou, un vrai squelette vivant, venait d’entré et de lui toucher l’épaule en souriant tandis qu’on entendait la foule qui visiblement s’amusait beaucoup.
-Bienvenu les nouvelles, je suis Carlos l’homme élastique ou l’homme a deux queues, annonça t-il fièrement en se tirant la peau des joues d’une manière impossible, ainsi que du torse et des bras.
Moi et Jeanne on ne put s’empêcher de baisser les yeux pour voir qu’il n’avait qu’une bite. Je me sentis étrangement déçu en entendant rire les monstres.
€,Mais non les filles, elle n’est pas la ma deuxième queue, et il se retourna pour nous montrer ses fesses.
Je déglutis les yeux tout ronds en apercevant qu’au bas de sa colonne, bien visible, il y avait une petite queue rose, mignonne comme tout et qui remuait comme celle d’un petit chien. Seigneur ! Puis il nous fit face à nouveau et je ne pus m’empêcher de regarder encore son pénis mou et pendant. Était-il élastique également ?
-Vous êtes vraiment bandante les filles, rajouta-il les yeux luisants de concupiscence et tout sourire. C’est quoi votre numéro ?
-Oui au fait, fit l’une des deux têtes toujours aussi peut avenante, vous faites quoi comme spectacle les grosses boules ? Pas seulement vous faire baiser, j’espère ? Ici tout le monde doit faire un numéro si non, on vous place dans une cage comme les animaux exotiques et on vous expose tout simplement. Vous allez trouver le temps long.
Moi et Jeanne on se regarda pitoyablement. Je déglutis en me creusant la tête pour trouver quelque chose en voyant bien que tous attendaient une réponse judicieuse, et Jeanne dit, tout sourire :
-Bien, on suce comme des démones, hein, ma sœur ?
J’ouvris la bouche pour répondre quelque chose, mais rien ne vint à l’esprit et tout le monde partit à rire, y compris les deux têtes et moi. Jeanne souleva les yeux exaspérés. Au bout d’un moment la tête de droite dit :
-Toutes les femmes suce, la drôle, c’est tout ce que tu sais faire ? Pas de jonglerie, de tirage de carte, quelque chose pour le spectacle, n’importe quoi ; vous passé des aiguilles dans les joues ou la langue, marcher sur de la braise ou un fil de fer, du trapèze, un numéro d’acrobatie a dos de cheval, au pire faire des pitreries costumer entre nos numéros ?
Un silence pesant s’installa.
-Rien de tout ça, dis-je un peut décourager, mais surtout nerveuse en me demandant si elle était sérieuse pour la cage. Et je rajouter ; eh, en fait, on nous a vendu comme esclave tout simplement.
-Femme de ménage et amusement au lit, fit l’homme-loup avec une voix grave en se brossant les cuisses, ça me plaît ça.
-A moi aussi, rugit le géant derrière nous.
-Moi également, fit le squelette de chaire en nous tripotant les seins, mais la femme a deux têtes lui tapa les mains méchamment. Il lui jeta un regard noir, mais après s’être assuré qu’elle ne le regardait pas. Apparemment, miss deux têtes étaient la patronne et pas commode.
Tous ses gens me troublaient vraiment trop autant de corps que d’esprit pour que je trouve une bonne idée, avec en plus la siamoise qui criait son plaisir derrière nous et la rousse avec une bite toujours en train de pomper le géant. Cette plongée dans un autre monde me déstabilisait. Mais surtout, je n’avais pas envie de regarder les gens s’amuser coincer dans une cage, assise sur de la paille entre un lion et une panthère qui nous fixerait en se léchant les babines. Oh que non ! Mais j’avais beau me creuser la cervelle, je ne trouvais rien.
-Seigneur qu’est ce qu’on va faire de vous. Dis finalement la tête gauche visiblement décourager en soupirant très fort.
-La cage, dit la droite.
-Hum, la cage ! fit la gauche.
Et soudain j’eus une illumination.
-Bien, répliquai-je, nos grosses mamelles pisse le lait à volonté, on pourrait faire un numéro ou l’on éteindrait des bougies, des lampions, en servir des verres au spectateur ou arroser la foule, hein Jeanne.
Elle me regarda à son tour décourager. Je soulever les épaules, genre ; quoi ?
-Je veux voir ça, fit Carlos très joyeux tout à coup en s’emparant rapidement de deux lampions sur une étagère pour les tenir devant nous en souriant comme un dément, fixant nos poitrines. J’eus l’impression qu’il lui manquait une case à celui-là. Peut-être parce qu’il avait un cerveau élastique aussi.
V’là ma sœur qui se pompe les seins et sa pisse drue et elle éteint les lampions en un tour ne main avant que j’aie eu le temps de l’aider. Même moi ça m’épata. Les siamoises l’applaudirent pendant que Carlos ouvrait la bouche. Jeanne l’arrose alors de lait en riant et il en boit comme un glouton et ça fait rire les autres.
-Bon, bon, ça va, fit la tête droite, c’est mieux que rien.
-Toi Carlos, ordonna la tête gauche, va leurs préparer ce dont elles auront besoin et toi le loup, dégage, faut qu’elles se maquillent et ramasse tes poils.
-Un peu de rouge aux lèvres et aux joues suffira les jumelles. Dis celle de droite. N’oubliez pas de sourire pendant votre numéro.
Quand le loup-garous se leva pour nettoyer la place rapidement au balai, moi et Jeanne on ne put s’empêcher de regarder son sexe pointu d’un beau rose avec des taches blanches, comme un sexe de chien. Seigneur ! Au même moment le nain changea de partenaire et le géant jouit dans la bouche de la rousse en lui tenant la tête solidement pour la forcer à tout avaler. Il rugit comme un lion des montagnes, mes os en vibrèrent. Jeanne en trembla en se lâchant les seins, le pauvre Carlos en fut déçu, mais il commença à se branler en nous regardant. Eh oui, son sexe aussi s’étirait, encore mou en tout cas.
-Je croîs que Marie a fait trop fort cette année, fit Jeanne platement a mon oreille les seins couverts de lait qu’elle s’essuyait avec les mains avant de se les lécher tandis qu’on entendait la foule applaudir.
-Je pense aussi. Dis-je en regardant la rousse qui se levait en se retournant pour nous regarder tout en finissant d’avaler.
Ses lèvres et son menton étaient couverts de sperme et son sexe d’homme avait durci et pointait fièrement en palpitant au rythme de son cœur. Le mien s’emballa, car jamais je n’avais vu quelque chose d’aussi érotique que cette femme magnifique avec une bite. Le loup lui tendit un torchon pour qu’elle s’essuie. Elle était d’une beauté stupéfiante, même avec un sexe d’homme ; grande, élancer, dans la quarantaine, des seins lourds, une bouche aux lèvres pulpeuse, des joues creuses aux pommettes saillantes et des yeux de chatte, gris pâles qui me fixèrent comme si je n’étais qu’une proie. Je ressentis aussitôt un désir violent pour elle ce qui provoqua en moi les chatouillements habituels dans mon bas ventre. Elle se contenta de sourire avant de sortir par une autre porte au fond de la roulotte avec le géant, qui secouait une bite énorme et bien droite qui dégoûtait encore. Un membre digne de l’homme montagne. Ils furent suivis par l’homme-loup aux fesses aussi poilues que le reste et de Carlos qui nous sourit au passage en agitant sa deuxième queue comme un petit chien. Wow ! Au même moment on entendit par la porte ouverte un concert d’applaudissement et de rires. J’aime bien m’exhiber, mais jamais je ne l’avais fait entourer de monstres et en faisant un numéro, surtout aussi idiot que d’éteindre des bougies avec mon lait.
Mais avec ce qu’on venait de voir dans cette roulotte, j’avais quelques appréhensions cette année à découvrir ce qu’il pourrait bien ce passé dans cette salle. Me faire baiser par la belle rousse, ça, pas de problème, je ne demandais pas mieux, mais par l’homme-loup, ou les autres, ouf… .Justement, les autres. Y avait -til d’autres monstres que l’on avait pas encore rencontrés ? L’homme a trois jambes, la sirène, et quoi d’autre ? Je frémis en secouant les épaules.
La femme a deux têtes tira soudainement sur nos laisses me sortant de ma rêverie et je du m’asseoir la première a la table de maquillage devant un grand miroir ovale éclairer par une petite lampe tempête. Je brosser rapidement mes cheveux épais et légèrement bouclé, puis je pris un flacon de rouge liquide y tremper le petit doigt et m’en appliquer sur les lèvres en écoutant les gémissements de plus en plus stridents des siamoises qui semblait jouir a répétition. Le nain grogna tout à coup, par le miroir je le vis éjaculer sur l’une des sœurs, lui arrosant les seins et le ventre tandis qu’elle se masturbait violemment tout comme l’autre, puis il l’essuya et ils sortirent. Un bien étrange spectacle ça aussi que de voir marché des siamoises qui se tenait par la taille. Une fois mes lèvres bien rouges et avoir appliquer de la poudre sur mes joues, Jeanne prit ma place, ensuite ce fut la femme a deux têtes. Je compris tout de suite à la voir faire que le bras de gauche obéissait à la tête de droite et vit et versa. Elles se maquillèrent en même temps, juste du rouge comme nous aux lèvres et aux joues. Elle avait un corps magnifique qui me faisait tout de même envie. Jamais je n’avais léché la chatte d’une femme qui se rasait le pubis avec de si longues jambes.
-Bon, fit la tête droite en se tournant vers nous pendant que la gauche se coiffait, comme vous ne savez pas faire grand-chose, on va vous faire faire le coup des chandelles et plus tard baiser ensemble, ensuite vous laisserez qui le veut vous baiser quand tout le monde aura terminé et qu’il y aura l’inévitable orgie quand on donne des spectacles de sexe comme ce soir. Soyez aimable, docile et obéissante. Compris les jumelles ?
-Compris !
-Compris !
€,Mais en attendant que ce soit a votre tour, on va vous mettre dans une cage au cas ou il vous prendrait l’envie de fuir.
Elle tira nos laisses en se levant pour nous entraîner vers cette autre porte qui devait donner sur la grande salle, les têtes touchaient presque le plafond. J’en profiter pour admirer ses fesses sublimes en la suivant, mais elle stoppa tout à coup. Mes gros seins heurtèrent son dos et ceux de Jeanne le mien. Je me reculer un peut en heurtant ma sœur tandis qu’elle se retournait pour fixer Jeanne.
-A quoi tu penses, fit l’une des têtes ?
-Tu sais Annie, cette reine ferait un chaperon rouge parfait avec ses cheveux tressés comme ça. Moi j’en ai plein le cul de me faire baiser par Armand.
-Tu as raison Annette, moi aussi, sa fourrure nous chatouille trop les fesses. Et puis, notre garou en salivait de la voir tout à l’heure celle-la. Mais un chaperon rouge dans la cinquantaine.
-C’est pas grave, avec le costume et plus de maquillage, ça ira. Alors c’est décidé, dit elle a Jeanne, tu n’auras qu’a faire semblant de cueillir des baies dans les bois et te laisser prendre par Armand en faisait semblent que cela t’excite au plus haut point, mais que ça t’effraie aussi un peut. Et croix moi, tu n’auras pas a faire semblant d’être excité trop longtemps, il baise comme une bête.
Les v’là à rire toutes les deux le visage en l’air. Ça, c’était vraiment un drôle de spectacle. Je fus contente tout à coup que Jeanne est prise mon rôle. Mais Jeanne, elle, en était rester bouche ouverte.
-Ferme la bouche, lui dis-je amuser en lui donnant un coup de coude dans les côtes tandis que la femme nous tirait a nouveau. Tu te souviens de nos cours de théâtre ?
Je n’eut droit qu’a une jolie grimace.
Une fois sorti de la roulotte, je ne reconnus pas la grande salle de bal, car elle avait été transformée en immense chapiteau de cirque. C’était à peine croyable. Une grande toile multicolore cachait les murs et le plafond, retenu par quatre immenses poteaux. Une piste circulaire était aménagée au centre et des gradins devant ou s’entassait une cinquantaine d’invités, tout nu ou presque, évidemment. Je connaissais la plupart d’entre eux, enfin je crois, car ils étaient dans la pénombre comme nous, seule la piste était éclairée par des flambeaux. Il y avait des zones d’ombre tout partout où pouvait se cacher n’importe quoi. Mais déjà, dans les estrades plusieurs hommes se branlaient ou se faisaient branler par des femmes, car il y avait un drôle de spectacle, un spectacle incroyable que tous regardaient, fasciner ; le fameux homme a trois jambe et nu, debout en train de jongler avec des anneaux colorer pendant que la rousse l’enculait en le tenant par les hanches et que les siamoises à genoux devant lui suçaient ses deux pénis bander dur. La femme à deux têtes stoppa pour nous laisser regarder ça un moment en souriant mystérieusement et la tête de droite dit :
-C’est mon mari, Alban. Il est beau non ?
Un bref instant, j’eus une étrange vision en entendant ça, celle de leur nuit de noce avec deux têtes, deux bites et trois jambes. Étrangement, ces gens-là semblaient très heureux, entre eux en tout cas. Et la tête de gauche, avait-elle un mari aussi ?
J’avais déjà vu des tas de chose délirante dans ma vie de débauché, mais ça… ce gars a trois jambes et son numéro, ça coupait le souffle. Jeanne regardait comme moi ; les yeux ronds et la bouche ouverte comme la plupart des spectateurs. On allait en entendre parler longtemps de cette soirée, même que tout le pays allait en entendre parler, donc, les chrétiens aussi. Ça leur donnerait une raison de plus pour envahir mon royaume, sans doute en nous traitant de sorcière qui copule avec des monstres. Fallait vraiment que je parle à Marie. Je soupirer en chassant ces idées noires pour regarder le spectacle. Pas question d’ordonner qu’on arrête tout ça, c’était délirant et, en quelque par, très excitant.
Les trois jambes légèrement fléchies de l’homme lui donnaient un bon équilibre et il en avait sûrement besoin. Comme il nous tournait presque le dos, j’avais une bonne vue sur les fesses magnifique de la rousse. Celle-ci se resserrait quand elle le pénétrait, et ses grosses couilles pendantes valsait lentement me faisant mouillé. Je ne pus m’empêcher de m’imaginer a quatre pattes, avec elle me besognant, ou étendues sur moi, poitrine contre poitrine et du déglutir tellement je salivais, tellement je voulais que cela arrive.
Soudain, notre ami le nain qui était à l’accueil tout à l’heure et qui était apparemment le maître de cérémonie ne portant qu’un chapeau ridicule vint tapoter les couilles de la rousse faisant rire les gens. Comme il était bandé, il fit mine de vouloir l’enculer, mais elle le chassa en le repoussant et il roula dans la paille pour se relever aussitôt très adroitement. Il ramassa alors des balles et en se baladant il jongla d’une seule main en se masturbant de l’autre tout en haranguant la foule qui semblait bien s’amuser. Les deux têtes nous tira sans ménagement vers une grande cage presque dans le noir le plus complet, comme une cage a loup, mais vide heureusement au plancher recouvert de paille et nous força a se pencher pour y entré l’une après l’autre, moi la première à genoux, offrant une belle vue de mon sexe a ma sœur. On dut se tortiller toutes les deux pour se retourner et s’y asseoir. Puis, notre étrange geôlière en referma la porte et la barra. On se retrouva assise tous les deux dans de la paille, si a l’étroit, que je dus m’adossai au grillage, jambe écarter pour qu’elle puisse s’asseoir contre moi écrasant mon gode contre mon ventre avec ses fesses. Je croiser les bras sous ses gros seins en posant le menton sur son épaule en sentant ma tête toucher le plafond de la cage. Jeanne ne pouvait même pas étendre ses jambes, mais croisa ses bras sur les miens.
-On va venir vous chercher quand ce sera votre tour les jumelles. Nous annonça l’une des têtes. Et elle disparut dans le noir.
-C’est dément, fit Jeanne. Nous imagines-tu avec le même corps ?
-J’aime mieux ne pas y pensé, j’aurais du me taper ton idiot de marie pendant 20 ans et accoucher de ma nièce.
Elle me donna un coup de coude en riant.
€,Mais, c’est vrai que c’est complètement dément ma petite sœur, continuai-je, mais en même temps excitant, non ? Peut-être qu’on c’est endormi, cher chaperon rouge.
Je lui donnai un baisé sur la joue, j’aimais tellement la tenir contre moi comme ça.
-Et que l’on fait le même rêve Margo. Ça m’étonnerait. Ce gars à trois jambes ressemble à une araignée.
-Oui, mais quelles performances, réussir a jonglé en se faisait sucer les deux bite et enculer par une belle grande rousse avec un bite, une vraie celle-la.
-Drôlement Jolie l’enculeuse. Je n’ai jamais vu une fille avec une vrai bite et de si belles grosses couilles sans aucun poil et toi Margo ?
-Non, tu le saurais. Mais j’aimerais bien me la taper tout à l’heure pendant l’orgie.
-Hum, moi aussi, plus que le gars a fourrure, quoi qu’il doit être très doux a caressé.
On rit un moment sans cesser d’admirer le spectacle.
-Imagine tu leur entraînement Jeanne ? Le gars doit bien se pratiquer pour réussir à jongler dans une telle situation.
Jeanne rit très fort avant de rajouter.
-Au moins, nous on c’est pratiquer pendant presque 40 ans pour notre numéro de baise, ça devrait aller et pour le numéro du lait aussi, hum ? Et si jamais tu m’encules encore avec ton gros machin, crache bien sur mon petit trou la jumelle, comme tout à l’heure avec le nain. Je le sens plutôt gros contre mes fesses présentement.
-On peut s’entraîner si tu veux ?
-Non merci !
-Tu imagines l’orgie de cette année avec tous ses gens difforme, ça va être dément.
-Ça tu peux le dire Margo. Quant à l’homme-loup, je ne sais vraiment pas si je vais aimer ou trouver le temps long. Mais, j’ai hâte maintenant.
-Ça fourrure soit être très douce comme tu le dis, mais son sexe a vraiment l’air étrange, comme celui d’un chien.
-Hummmm… en tout cas, tu sais comment on aime se faire baiser en public, alors cette année, Marie a tapé dans le mille avec ce spectacle.
Je pensé au chrétien, mais inutile d’en parler a Jeanne, je ne voulais pas gâcher sa soirée.
-Oui, mais, c’est ta fille qui va être déçut. Avec cette toile qui couvre les murs, elle ne pourra pas nous reluquer depuis les passages secrets.
-Parfais, elle va donc se coucher tôt et être de meilleure humeur demain matin. J’espère juste qu’elle ne viendra pas nous réveiller trop tôt. Mais puise que je suis la reine encore jusqu’à minuit, je vais ordonner a un garde d’empêcher qu’on nous dérange demain, au moins jusqu’au dîner. Tu garderas ta belle queue dont je puisse en profiter demain.
-Je la porterai une heure, ensuite ce sera a ton tour.
-Dieu que la vie est injuste parfois.
Je ne pus m’empêcher de rire en la serrant plus fort, ce qu’elle apprécia et elle me donnant un long baiser sur la bouche avant de regarder le spectacle à nouveau tandis que moi je me demandais ou étais les autres. Mais nous étions dans la partie la plus sombre de la salle, je n’apercevais que les fenêtres éclairer de la roulotte et la piste et heureusement pas de lion ou de panthère à côté de nous. On resta silencieuse un long moment en jouant les voyeuses comme tout le monde. Puis, la femme a deux têtes apparues sur la piste sortant de l’ombre comme une déesse, accompagner par deux nains, elle étonna grandement le public et avec raison. Elle prit les anneaux du jongleur pour lui donner des torches enflammées qu’avait apportées un des nains. Tout le monde retint son souffle quand il commença à jongler avec, car les siamoises le suçaient toujours. Elle se trouvait donc juste sous les torches. Pendant ce temps, les deux nains se baladaient agitant leurs beaux sexes devant les dames assises au premier rang en faisant des pitreries. Elles leur touchaient la bite en riant ou leur tapaient le cul qu’ils agitaient devant elles.
Mais soudain, la foule lâcha, un aaahhhh… de frayeur, car l’homme-araignée chambranla et faillit échapper une torche, la rattrapant de justesse. En baissant les yeux je compris pourquoi, l’une des siamoises était en train de le faire éjaculer sur son visage en masturbant le pénis du haut et ça dégoûtait sur la tête de sa sœur juste en dessous qui suçait toujours l’autre bite. Puis, elle aussi sortit le pénis de sa bouche pour se faire arroser le visage. Au moins, le gars ne jonglait plus… trop concentré sur son double plaisir, sans parler de la rousse qui n’avait pas cessé de l’enculer. J’avais les yeux tout ronds de voir ça. En tout cas, miss deux têtes avec son sale caractère ne semblaient pas trop jalouse.
-Il décharge des deux bite, dis Jeanne comme pour elle même, tout aussi fasciner que moi, c’est pas croyable Margo. Tu l’imagines te prendre par le con et le cul. Seigneur, je suis toute mouillé, pas toi ?
-WAIS, moi aussi. Ouf… Ils savent s’amuser ces gens-là. J’ai trop hâte de sortir de cette satanée cage.
Les siamoises le sucèrent encore un peu avant de se relever et de se lécher le visage à grand coup de langue sous les applaudissements de la foule. La rousse sortit sa queue du cul et se branla pour arroser les fesses du gars. Dieu que je la trouvais belle et désirable celle-là. Elle finit d’éjaculer et ils saluèrent la foule qui applaudissait à qui mieux mieux.
Tandis qu’un autre spectacle se préparait et que d’autres nains vinrent faire des pitreries, Jeanne se mit à dodeliner du cul.
-Quoi, t’es excité a ce point ? Tu veux t’asseoir sur ma bite. C’est possible si tu te contorsionnes un peu en te penchant vers l’avant.
-Non, j’ai juste envie de pipi.
Elle se pencha soudainement sur moi m’écrasant les seins puis le dos contre le grillage me faisant grimacer tout en écartant les genoux et les pieds. Elle ouvrit son sexe et un petit jet de pisse jaillit à travers les barreaux, puis un autre plus puissant et elle se mit à pisser drue. C’était un spectacle que j’avais vu si souvent depuis notre jeunesse que je regarder ailleurs sans lâcher ça poitrine et je vis du mouvement sur notre gauche et distingué un corps de femme dans l’hombre se rapprochant de nous, mais comme avec des cheveux faits de serpent. Seigneur ! Me dis-je en frissonnant, ils on tout de même pas la vraie Méduse dans leur cirque de monstre.
-Jeanne ! Dis-je en lui tapant sur l’épaule.
-Je sais, j’ai une grosse envie… Ce ne sera pas long.
-Non, regarde, la Méduse en personne vient nous voir.
-Quoi ? Fit-elle en tournant la tête vers l’endroit que j’indiquais du menton.
Quand la forme s’arrêta près de la cage, je compris que ce n’était qu’une jeune fille au sein naissant, sans poil au sexe, enfin, très peut, portant un masque de Méduse colorer et très réaliste. Une belle grande fille mince a la peau si blanche que je reconnus.
Elle se pencha, mains sur les genoux pour nous regarder les yeux luisants sous le masque et dit :
-Et bien, ça, c’est une grosse envie, M’man.
Jeanne pissait toujours en s’écriant :
-Maria, je t’avais interdit de venir.
-Je sais, je voulais juste espionner, mais je ne peux rien voir avec toutes ses toiles, expliqua t-elle sur un ton plaignard, je voulais voir les monstres moi aussi. Marie m’a passé ce masque, il est beau non ? Ils sont incroyables ces gens de cirque? Alors je vais aller m’asseoir dans les gradins pour juste regarder, ne t’inquiète pas pour moi M’man. A plus tard, les vieilles.
-Maria, Maria vient ici… Cria Jeanne en finissant de pisser, mais sa fille continua en se contentant de lui envoyer la main.
Je regarder ma nièce s’éloigner en lorgnant ses jolies petites fesses serrer et ses longues cuisses. Plusieurs hommes déjà l’avaient remarqué, et certains se branlaient en admirant son corps magnifique.
-Redresse toi Jeanne, tu m’écrases. Dis-je en la repoussant.
-La petite maudite, fit-elle. A son âge, elle va se faire tripoter et baiser C’est sûr et certain. Regarde les gars Margo. Maudite bonne, celle-là, elle va m’entendre.
-Bof, tant qu’elle ne fait que regarder et ils ne vont pas la violer ici, ne t’inquiète pas. J’ai vu mon capitaine de la garde dans les gradins, il est toujours la pour avoir du plaisir lui aussi, mais surtout assurer la sécurité, tu le sais bien Jeanne.
-Vous inquiétez pas les jumelles, dit Marie soudainement apparue à côté de nous.
Tout son corps avait été peint de motif floral colorer. Je la trouver magnifique, surtout que plier en deux comme elle était, ses seins très lourds et colorer pendait joliment. De belles fleurs rouges étaient peintes sur ses mamelons. Je me mis à saliver comme un chien devant un os.
-Ah bon, fit Jeanne sur un ton sévère en la poignardant des yeux. Et quand ça va tourner a l’orgie, tu croix que ma fille ne va pas en profiter, et les hommes non plus, la gueuse.
-Bien, fit Marie, ça ne pourra pas se faire et…. et attend, tu es Jeanne, tu n’es pas Margo ?
-Oui, je suis sa mère et reine d’un jour. Je t’ordonne de la sortir d’ici.
-Ça, c’est pas correct les filles. Moi qui ai préparer cette fête pour Jeanne et v’là qu’on allait fêter la mauvaise sœur. C’est pas drôle votre petit jeu les jumelles.
-Bon, bon, fit Jeanne impatiente, ramène Maria au lit et place un garde devant sa porte sinon, je t’arrache tes jolis petits yeux de bonne.
-Ouuuu… elle est méchante la Jeanne.
Jeanne allait encore pester, mais je lui mis les deux mains sur la bouche en disant à Marie :
-Alors, tu disais ? Ça ne pourra pas se faire, quoi ?
-Ce faire baiser. Regardez !
Elle pointa Maria du doigt, je tourner la tête tout comme Jeanne sans avoir lâché sa bouche et avant que ma nièce ne puisse grimper dans les gradins, quatre nains nus coururent vers elle pour l’agripper et la soulever. Elle se débattit en criant, ce qui fit rire la foule. La grande rousse s’approcha avec une ceinture à la main que je reconnus aussitôt, une ceinture de chasteté, qu’elle lui enfila pour la barrer sur le pubis avec un gros cadenas. Ils la relâchèrent et, en riant, je la vie nous regarder en pestant tout en essayant vainement de se débarrasser de la ceinture. Elle finit par se résigner pour aller s’asseoir tout en haut des gradins sous les quolibets de la foule. Je vis également mon capitaine, qui s’était levé, se rasseoir. J’enlevai mes mains de la bouche de Jeanne.
-Bien jouer Marie, lui dit-elle, et la clef ?
-Sur votre lit. Alors. Ça vous plaît les jumelles ?
-Un peut trop je dirais, lui répondis-je. Ou as-tu trouvé touts ces… ces gens ?
-C’est un vrai cirque, mais généralement, évidemment, ils donnent des numéros plus conventionnels et habiller. Mais, pour la reine Margo et moyennant une forte somme, j’ai réussit a les faire venir pour faire des numéros plus… excitants disons. Faut dire, que dans la vie de tous les jours ils sont pas mal délurés et qu’ils connaissaient votre réputation de libertine et juste a l’ide de pouvoir vous baiser, les hommes de la troupe et pas juste les hommes, n’ont pas hésiter a dire oui. Je sortais avec l’homme reptile dans ma jeunesse. J’en ai connu des orgies délirantes le soir au coin du feu avec eux. Malheureusement il n’est plus la celui-la, rajouta-elle rêveuse. Il avait même de petites écailles sur la queue, ça chatouillait drôlement quand il me pénétrait ou m’enculait.
Et elle soupira très fort. Étrangement je me sentis un peu jalouse du gars reptile.
-Tu nous étonneras toujours Marie.
-Je sais Margo, fit-elle tout sourire.
-Et il va falloir que je te parle en privé et très sérieusement.
-Oups ! Ah ! Au fait, j’ai su pour vos numéros et j’y ai apporté quelques modifications. Ça va vous plaire.
-Comme quoi ? Lui demandai-je nerveuse tout à coup.
-Ah ! Fit-elle coquine. C’est une surprise. Bon, c’est à mon tour, souhaitez-moi bonne chance les jumelles.
Elle partit vers la piste en se déhanchant joliment. On fixa toutes les deux le balancement hypnotique de ses belles fesses colorées et de ses gros seins.
-Margo, t’as Marie, c’est quelque chose, autant de corps que d’esprit.
-Elle ne cesse de m’étonner.
€,Mais, je la trouve un peut jeune pour toi.
-Tient, la Méduse vient de faire la grimace à Marie. Dis-je en riant pour changer de sujets. Au même moment deux genoux gigantesques apparurent devant la cage. En levant les yeux tous les deux, on aperçut l’homme le plus gros que l’on avait jamais vu de notre vie avec une tête chauve ,un peu petite pour sa taille et difforme. Sous son énorme ventre, son pénis aussi me semblait tout petit.
Il se pencha en disant avec une énorme voix gutturale :
-Qui est la reine ? Mais pourquoi c’est tout mouillé par terre ?
Là, il regardait ses pieds immenses.
-C’est moi la reine, dit Jeanne, et j’ai pissé.
-De la pisse de reine, fit-il en ouvrant la porte, ça va peut-être me porter chance. Vient ma belle, c’est à ton tour après ce numéro.
Jeanne sortit sans rechigner et il referma la cage, prit sa laisse et fila avec elle vers la roulotte. Je pus étirer mes courtes jambes engourdies, enfin, un peut plus. Ça me fit drôlement du bien.
-Bonne chance le chaperon rouge. Lui criai-je en riant avant de me concentrer sur la piste ou Marie semblait attendre quelque chose en saluant la foule. Mon cœur bondit en la regardant. WAIS ! Pas de doute, j’en étais follement amoureuse et je décider qu’il était temps de le lui dire, demain. Elle en rirait sans doute une fois seule, mais bon… Qui sait !
Soudain, un faux cheval blanc apparut avec une tête de carton-pâte et un corps en tissus avec un trou entre les jambes de derrière où pendait un pénis d’homme long et mou et de belles couilles. Il fit le tour de la piste sous les applaudissements puis se rapprocha de Marie. Je ris comme tout le monde quand le cheval se mit a sentir son con et son cul tandis qu’elle lui tapait sur la tête mimant la fille étonner et offusquer, surtout de voir cette belle queue. Le faux cheval s’approcha doucement pour la laisser lui flatter l’encolure puis elle regarda partout comme si elle était seule dans un champ. Elle le flatta encore, lui donna un baiser et mine de rien passa la main en dessous de son ventre pour empoigner la queue et le branler comme pour traire une vache.
La foule regardait fasciner a présent.
Le cheval sembla se transformer en statue tandis que la belle queue durcissait dans sa main délicate, enflant rapidement, pour rallonger jusqu’à une complète érection. Visiblement, ce n’était pas des nains qui se trouvaient sous le costume, l’un pour la tête et l’autre pour le derrière. La queue était vraiment trop grosse, longue et courber avec un long prépuce. Marie regarda encore tout au tour et tomba à genoux pour frotter le sexe sur sa joue, le bécoter, le lécher ainsi que les couilles lourdes et très basses qu’elle palpa. Puis, elle amena la bite a ça bouche, le cheval fit oui de la tête pour signifier qu’il appréciait, ce qui provoqua un rire général, mais en même temps c’était très excitant.
Quelle image, une belle fille sucrant un cheval ! Je me demandais si des femmes dans les estrades avaient déjà essayé ça. Moi non. Un sexe de cheval, ce n’est pas très ragoutant. Moi et Jeanne on en avait masturbé un une fois a la ferme pour voire si on pouvait le faire venir et on avait réussi en riant étonner par le flot de sperme qui était sorti de cette queue tout de même si agréable a touché.
Après quelques minutes de pipe, le cheval se recula pour qu’elle le lâche et passa derrière elle pour poser ses pattes de devant sur ces épaules. Marie, jouant la fille surprise tomba a quatre pattes, agrippa le sexe entre ses cuisses et le plaça a l’entré de son vagin et le cheval la pénétra par a coup jusqu’aux couilles avant de se mettre a la baiser. Les rires s’atténuèrent peut a peut tandis que Marie commençait a vraiment apprécié et a gémir en se caressant les seins ou se masturbant. Voir un cheval, même un faux, baiser ma belle Marie était tout de même troublant, excitant et je me masturber en profitant du spectacle. Des couples baisaient déjà dans les estrades. Au bout d’un moment, le cheval la frappa avec beaucoup plus de force, faisant revoler ses gros seins, au point où le sexe sortit du vagin. Marie se retourna rapidement pour le reprendre en bouche et le pomper très fort, puis le laissa décharger sur son visage et ses seins. Quand il eu terminer, le cheval la salua et repartit en trottinant toujours bander. Marie salua la foule, le visage dégoulinant de sperme et fila pour disparaître tandis que déjà de nombreux nains apportaient un décor de forêt aussi en carton-pâte, quelques arbres et des broussailles. Je jouis au même moment, un orgasme puissant qui me fit gémir et me plier en deux, les orteils accrocher au grillage.
-Alors Margo, tu as apprécié le spectacle on dirait.
En plein orgasme, les yeux larmoyant, je vis Marie, à genoux à côté de la cage, me regardant. Elle était en train de s’essuyer le visage et les seins avec un linge effaçant en partie la peinture sur sa peau en même temps et je ne pus m’empêcher de dire :
-Je t’aime Marie. Désoler, je… je n’y peux rien.
Ses beaux yeux s’arrondirent de surprise et je rajouter en finissante de jouir :
-Rit de moi si tu veux, moque-toi, je sais que je suis vielle, mais… reste au château encore un moment veut tu ? Et pas juste pour le sexe. Quand je suis avec toi, jamais je ne m’ennuie, je me sens rajeunir. Et quand je ne te vois pas, je ne pense qu’à toi.
Elle prit un air triste, compatissant et dit :
-T’es tellement belle Margo et si bonne au lit que je ne te quitterai pas de si tôt. Je resterai auprès de toi aussi longtemps que tu en auras envie. Je crois que je ressens la même chose pour toi. En fait, j’en suis sur maintenant. Moi aussi je pense a toi constamment, même que je suis un peut jalouse de Jeanne. Tu sais ce que j’aimerais ?
-Me baiser, pas de problème.
-Oui, mais, j’aimerais qu’on scelle notre union en forêt, seuls et toi et moi en faisant des veux et que cela reste notre secret. Sauf pour Jeanne et sa fille si tu le souhaites.
Mon cœur déjà affolé bondit de plus belle.
-Échanger des veux ? Oh oui, mais pas de fidélité, hum ?
On rit un moment avant de se donner un baiser à travers le grillage et elle fila, me laissant seul et rêveur. Surtout en pensant au Pèlerin. Peut-on aimer deux personnes en même temps ?
Perdu dans mes pensées, je ne vis pas tout de suite que le petit chaperon rouge était apparu, un chaperon rouge avec des seins énormes. Jeanne portait une courte cape rouge tout ouverte par devant et qui ne cachait même pas ses jolies fesses et elle le faisait exprès pour se pencher très bas en mimant de ramasser des baies ou des champignons donnant a tous une belle vue sur son sexe en agitant le derrière. Je me mis a rire de son maquillage et de ses grands gestes exagérer, si heureuse tout à coup que j’en pleurer. J’avais peine croire que Marie voulait qu’on échange des vœux. Et je ris tout en coup en me disant que cet hiver, je n’aurais pas froid avec Jeanne et Marie dans mon lit, et quelques bonnes ou de vigoureux amants en plus. Comme la vie peut être douce parfois.
Un nain s’approche et annonce en se branlant devant la foule : cher public, voici la seule et unique reine Margo, interprétant le rôle du petit chaperon rouge.
Il file sous les applaudissements du public. Mais celle-ci cesse d’applaudir tout à coup et murmure très fort à la vue du loup qui vient d’apparaître, surtout en s’apercevant que c’était un homme, et qu”il ne portait pas de costume et que son corps en entier était recouvert d’une vraie fourrure. Ma nièce semble ébahie sous son masque de méduse. Même d’ici, je vois qu’elle a les yeux tout ronds. Voilà un loup épeurant à souhait, marchant comme un homme avec son sexe étrange et mou, s’approchant discrètement du pauvre chaperon rouge, le regard vicieux, comme s’il s’apprêtait à la dévorer tout cru, la pauvre Jeanne. Et me v’là à pleurer de joie encore et à rire tout seul dans ma cage. Seigneur ! Je me remets à me masturber en me pinçant les mamelons, histoire de calmer mon trop-plein d’émotion féminine.
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