A la demande de mon Homme, je reçois chez nous des connaissances d’Alain. Pour cette soirée particulière, il m’a demandé de m’habiller d’une longue robe fendue très haut et qui a la particularité de me laissé les seins nus. Bien entendu, je suis nue sous l’étoffe diaphane. Je dois porté des pinces aux tétons ornés de clochettes. Je porte aussi un collier où est inscrit slave en strass où est accroché une laisse assorti qu’Alain ne manque ra pas de tenir lors de la soirée. Perchée sur des talons très haut, j’ai plutôt fière allure. C’est un peu fébrile et très excitée que l’heure de la soirée approche. Lorsque les invités arrivent, Alain me masque les yeux avec un loup en dentelle du plus bel effet. Tenue en laisse, aveuglée, je me sent perdue. Mon homme ressentant ma fébrilité, me murmure à l’oreille des mots rassurants. Alain où peut-être un ou une invités s’approche et porte à mes lèvres une coupe de champagne et me la fait boire délicatement. Quelques gouttes s’échappent de mes lèvres et tombent sur mes seins. Aussitôt une langue lèche le nectar. De cette caresse, des frissons me parcours le dos et mon ventre papillonne. Des odeurs étrangères flottent autour de moi. Des souffles tièdes se font sentir sur ma nuque. Des mains caressent mes seins, soulèvent ma robe et flattent ma croupe. Mon homme me penche en avant sur une table et relève ma robe. Je sais que tous les regard sont posés sur mes fesses. Le temps semble s’être arrêté lorsqu’un coup de fouet m’arrache de ma torpeur. Le coup est sec, suivi de plusieurs autres qui me font gémir. Mais je serre les dents pour ne pas crier. Ce n’est pas Alain qui me rougi les fesses. J’en ai l’intime sentiment. D’ailleurs mon homme comme pour me consoler vient me caresser les cheveux et le visage pendant qu’e je suis fouettée. Pour honorer mon home je retient mes cris mais des larmes silencieuse coulent sur mes joues. Les coups s’arrêtent. Mon cul me brûle. On m’écarte les cuisses. Des mains fouillent sans ménagement ma vulve trempée. J’imagine que je vais être saillie par plusieurs queues mais rien ne se passe. Alain me relève délicatement et m’oblige à me mettre à genoux. Mon visage est à la hauteur de son sexe orgueilleux. Il proméne son gland humide sur mon nez, mes joues, mes lèvres. Je sais qu’on me regarde et j’en suis fière. J’ouvre ma bouche et accueille la bête. Je suis une très bonne suceuse et ma langue fait merveille sur la hampe de mon époux. Sa sève est prête à sortir. Alain s’enfonce au fond de ma gorge. Je suffoque. Puis il se retire lâchant un jet puissant et tiède qui macule mon visage. Des applaudissements retentissent. Alain me relève et me fait marcher tenue en laisse pour que tous les invités profite du spectacle de mon visage souillé de sperme. Je ne vois toujours pas ce qui se passe autour de moi. Des gémissements, des râles me font rapidement comprendre que l’orgie a commencé et que j’en étais l’amuse gueule si je puis dire. Je suis seule et ne sais plus où est Alain. Je l’imagine dans d’autres bras que les miens. Durant une heure ou deux de bacchanale où curieusement personne ne me touche, seuls le silence et la fraîcheur de cette nuit d’été m’entourent. Quelqu’un tire ma laisse. Es ce mon homme ou un invité ? Il me fait marcher et m’approche de la piscine dont je ressens l’humidité. Il me fait entrer dans l’eau. Je frissonne. Les fesses me pique encore meurtrie des coups de fouets. Puis, totalement trempée, il me fait ressortir. Il ôte les pinces sur mes tétons meurtris et me couche dans l’herbe. Il m’embrasse fougueusement et me fait l’amour si sauvagement que les invités repus applaudisse nos ébats. Je suis emportée par un orgasme fulgurant et m’endort épuisée de tant d’émotion.
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