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Maman tres chaude, enfants pervers. (26)

Maman tres chaude, enfants pervers. (26)



Chapitre 26 : Fin de partie pour Kate.

Je me sauve dans l’escalier et devant la porte de Gina j’écoute un moment, mais je n’entends que la musique douce venant de l’intérieur.
J’appuie mon dos au mur et je ferme un instant mes yeux. Suis-je prête à participer aux jeux érotiques de ces deux filles ? Et… avoir des rapports sexuels… avec mon fils ?
Face à la porte, indécise, mon cœur bat dans ma poitrine, ma bouche est sèche et j’ai le feu dans ma tête.
Je frappe…, pas de réponse. Peut-être que je devrais partir et retrouver mon mari un peu ivre… quand…
– Entrer.
C’est la voix de Gina. Je pousse un grand soupir et j’ouvre la porte.
Gina, Eric et Sylvie sont sur le canapé, Eric au milieu et les filles de chaque côté. Cette fois, ils ont une grande couverture qui couvre leurs corps ne sachant pas qui frappait.
– Oh, Kate, vient, et verrouilles la porte derrière toi. Déclare Gina avec enthousiasme.
Gina murmure quelque chose à Sylvie. Eric souri légèrement mais ne dit rien. Il transpire un peu et je peux imaginer ce qu’elles ont fait avec lui.
Soudain je vois du mouvement sous la couverture, dans l’entrecuisse d’Eric. Le mouvement est rythmique, de haut en bas. Je salive un peu en sachant fort qu’une des filles est entrain de branler la bite de mon fils sous la couverture.
– Heureuse que tu sois revenu Kate, veux-tu t’asseoir ici avec nous ?
Eric incline sa tête en arrière avec un gémissement de plaisir alors que le mouvement sous la couverture continue.
– Non, je suis bien là…
En raison du mouvement constant, la couverture glisse et dévoile des épaules nues. Sont-ils complètement nus sous la couverture ?
– Comment ça se passe en bas ?
Demande Gina.
Sylvie s’installe différemment et le coin de la couverture qui la couvre glisse exposant son petit cul tout nu. Mes yeux sont comme attirés par un aimant, et je contemple ses hanches et la douceur de sa peau. Gina le voit immédiatement et murmure quelque chose à Sylvie.
– Ça dé**** un peu car ils sont tous un peu bourrés. Dis-je en surveillant moi-même mon élocution.
Sylvie rigole et Gina me sourit. Je remarque que Sylvie a tiré la couverture plus loin et expose maintenant ses jambes blanches et laiteuses. J’avale ma salive car je vois que c’est les mains de Sylvie qui sont entrain de caresser la bite de mon fils.
– Je suis contente que tu te joignes à nous Kate. C’est sûrement beaucoup plus intéressant ici qu’en bas, déclare Gina.
La main sous la couverture se déplace rapidement pendant un moment et mon fils gémi. Sachant ce qu’elles font à la bite de mon fils et en regardant les belles fesses nues de Sylvie mon excitation sexuelle augmente. En serrant mes cuisses, je sens mon clito qui bande se frotter contre le tissu qui est enfoncé dans ma fente, et je laisse échapper un faible gémissement.
En même temps, Sylvie, qui était assise de coté se tourne et est maintenant face à moi, jambes légèrement écartées. La peau douce entre ses cuisses est sans aucun poil et au milieu brille sa fente humide. Elle voit mon regard et écarte un peu plus ses jambes.
– Sylvie, non….
Mais ce n’est qu’un murmure qui sort de mes lèvres.
Elle sourit et se lève. Elle est belle, extrêmement belle, avec des cheveux blonds coupés au carré, les traits du visage fins et délicats, des lèvres roses pleines et avec ses grands yeux aux longs cils, elle semble m’hypnotiser. Elle n’a pas de gros seins et ses tétons sont petits, mais elle est si sensuelle et si attirante. Elle s’approche de moi, tandis qu’Eric et Gina nous regardent et elle me prend par la main.
– Je te veux près de nous. Dit-elle tout doucement en me tirant derrière elle.
Je regarde son petit cul qui se balance alors qu’elle me tire vers le divan. Près du canapé, je regarde mon fils alors que Sylvie s’installe derrière moi. La main de Gina caresse la bite de mon fils et je ne peux pas détourner mes yeux.
Gina le voit bien et me dit.
– Il est en pleine forme. Bien dur.
Le corps de Sylvie se presse contre mon dos ce qui me fait frémir. Elle passe ses mains devant moi et tire lentement sur la fermeture à glissière en écartant ma robe. Mes seins sont libérés et Eric et Gina peuvent voir l’état de mes tétons.
Une fois que mes seins sont totalement découverts, Sylvie glisse ma robe sur mes épaules, au-delà de mes hanches et vers le bas de mes jambes jusqu’à ce que je me tienne en string devant eux. Je tremble mais j’essaye de ne pas le montrer.
Sylvie prend place à coté de mon fils et écartant largement ses cuisses elle me montre à quel point elle mouille. Gina sourit en regardant sa copine et me clignant de l’œil,
– Je pense que c’est une invitation.
Je lèche mes lèvres sèches, mes yeux sur la fente humide de Sylvie.

Mon fils m’a déjà vue bouffer la chatte d’une fille dans le magasin de chaussure, Suzie… mais j’hésite encore. Mon fils n’a pas besoin de savoir que j’aime autant les filles que les hommes.
Sylvie me sourit et glisse un doigt sur son clitoris tendu et le caresse doucement
– Huuuummmmmm, gémit-elle.
Elle sort son doigt mouillé et elle caresse ses lèvres sèches avec sa mouille. Ensuite, elle se lève en me prenant par mes hanches et elle pose ses lèvres humides sur les miennes. J’ouvre aussitôt ma bouche pour lui permettre de glisser sa langue dedans.
« Oh que sa chatte est bonne »
Elle m’embrasse devant Eric et Gina en tournant sa langue à l’intérieur de ma bouche et de ma langue je lèche la sienne au goût si délicat. Après quelques instants, elle s’assied à côté de mon fils en écartant de nouveau ses cuisses, me laissant à peine capable de reprendre mon souffle.
Eric et Gina me regarde dans l’attente de ce que je vais faire. Sylvie a rallumé le feu qui couve en moi depuis tout à l’heure, mais j’hésite encore devant mon fils.
Sylvie soupire et se relève.
Elle appuie son corps nu sur le mien en pressant ses seins contre les miens et prenant mes bras elle les passe derrière elle pour plaquer mes mains sur son cul. Mes doigts s’enfoncent rapidement dans ses fesses soyeuses dans une douce compression.
– Muuuummmm… ouais Kate, c’est boonnn, serre moi bien…
Et elle m’embrasse de nouveau.
Sa langue chaude a glissé dans ma bouche et je lui rends son baiser avec impatience et passion. Je l’embrasse fougueusement, nue devant mon fils, qui ne me quitte pas de yeux.
Sylvie arrête de m’embrasser et me tire vers le canapé à côté de mon fils. Aguicheuse, sourire coquin, elle me prend ma main pour la poser sur son sein. Je caresse instantanément sa peau douce et je trouve son petit téton bien ferme.
Mes doigts le presse et je tire dessus ce qui fait gémir Sylvie.
– AAAggggghhhhhhh…
Sylvie att**** mes deux mains et les maintient au dessus de ma tête. Elle m’embrasse encore avec passion puis manouvre pour placer ses jeunes seins devant ma bouche ouverte en appuyant son téton contre. Je referme mes lèvres affamées autour de ce petit bouton dur et je l’aspire ou je le mords de temps en temps.
Ensuite ma bouche glisse sur son jeune corps pour enfin sentir ce qui humidifie tellement sa fente de chatte.
Je réalise en même temps que les jambes écartées, elle chevauche mon visage, sa chatte humide se presse contre ma bouche affamée, et ma langue, qui baigne dans sa fente trempée devient complètement folle. Et je pense,
« Oh Dieu, que fais-tu. Ton fils te regarde… il me regarde bouffer une chatte ! »
Il sait que je suis sa salope quand il le désire mais là… il se rend compte que je suis une salope qui suce et mange une chatte de jeune fille. Que j’aime la bite et la chatte ! N’importe lesquelles !
Sylvie a placé sa jambe gauche par-dessus le dossier du divan tout en se soutenant avec son autre jambe et ses bras et son cul est au-dessus de ma tête, face à Eric et Gina. Avec précaution, je regarde entre les cuisses de Sylvie.
Gina me sourit. Sa joue est pressée contre celle d’Eric ils regardent tous les deux comment je mange la chatte de leur copine. Mon visage doit être cramoisi, mais je n’arrête pas de déguster à pleine bouche le jeune sexe si succulent de Sylvie. Mon besoin de sexe féminin (ou masculin) est plus fort que n’importe quel embarras dans lequel je pourrais me sentir.
Soudain je sens qu’on soulève ma jambe pour la placer en hauteur sur le canapé. Je tombe de coté sur le canapé et Sylvie suit le mouvement pour que sa chatte retrouve rapidement ma bouche. Je me retrouve donc mes jambes écartelées dans une position obscène devant Eric et Gina et une chatte humide plaquée contre ma bouche.
Je ne vois pas grand-chose avec le cul de Sylvie sur ma figure mais je sens bien qu’on glisse le tissu de mon string et que quelqu’un touche ma chatte et caresse mon clitoris. J’en gémis de plaisir dans la fente dégoulinante de Sylvie.
– AAAaaaaahhhhh….
– Kate ! Kate, t’es si humide et que ta chatte est belle. Murmure Gina en admirant mes parties plus qu’intimes.
Tout à coup, je sens la pression d’un doigt à l’intérieur de mon trou d’amour, puis un second. Je cambre mon dos en gémissant de plaisir quand les deux doigts commence à me baiser la chatte. Je ne peux pas dire à qui sont les doigts qui me baise, peut-être que c’est tous le deux, peut-être seulement mon fils, je ne sais pas. Tout ce que je sais c’est que j’ai la bouche pleine d’une chatte délicieuse et ma propre chatte est bien prise en charge.
Je bouffe Sylvie en mordant et en enfonçant ma langue dans sa chatte jusqu’à ce qu’elle gémisse au-dessus de moi, prête à jouir. Une quantité généreuse de son jus se déverse régulièrement dans ma bouche que j’ai à peine le temps d’avaler que ça continue. Elle est au bord de l’orgasme et moi aussi.
Tout à coup les doigts sortent de ma chatte et je sens quelque chose de plus épais, quelque chose de plus chaud presser sur mon trou, me faisant trembler.
– Non, s’il vous plaît ne…
Je pousse un peu Sylvie vers le haut pour voir ce qui ce passe.
Eric est prêt à prendre ma chatte avec sa grosse bite tandis que Gina la tient pour guider la queue épaisse dedans.
– Laisses-toi faire Kate… tu es brûlante de désir…Tu as besoin de ça, de la sentir…
Dit Gina sans lâcher la longue bite de mon fils.
Elle s’agenouille à côté pour masser mes tétons ultra-sensibles tout en frottant mon clitoris en doux cercles, me faisant gémir encore plus
Sylvie maintient toujours mes mains au-dessus de ma tête.
– Ahhh…Gina…JE…Je ne peux pas… c’est mon fils… ohhhhhhh, je t’en prie… AAaahhh… ahhhhhhhhh,
Je me tortille sous les massages savants de ses doigts.

Sylvie regarde sa chatte hors de portée de ma bouche. Eric n’a pas avancé bien que j’aurais aimé, et je regarde avidement la chatte de Sylvie.
– Tu la veux encore sa petite chatte ? Chuchote Gina caressant mon clitoris.
À ce moment-là, son doigt délicat joue sur moi, la merveilleuse partition du plaisir. Je sens aussi la bite de mon fils repousser lentement mes petites lèvres de ma chatte jusqu’à ce que son gros gland la maintienne ouverte. J’ai envie d’hurler !
– Non…ooooh, je veux dire oui… oh mon Dieu je ne sais plus !
– Alors pourquoi tu ne lui demande pas, Kate.
Sylvie frotte sa chatte sur mon visage et se recule, et Kate serre mes tétons.
– Ahhhhhhhhhhhhhh… criais-je de douleur et de plaisir.
Quoi ! La bite d’Eric glisse plus loin ? Je n’en suis pas sûre car il ne me semble pas avoir bougé, mais c’est comme si la tête de sa queue était maintenant fermement à l’intérieur de moi. Ou c’est moi qui deviens folle ?
– Supplie-la Kate, supplie Sylvie de s’asseoir sur ta bouche pour que tu puisses déguster son jus sucré qui dégouline de sa chatte.
– Huuummmm, oui… assieds-toi sur mon visage…putain ! Laisse-moi manger ta chatte !
J’ai crié ces mots et je sens vraiment le bout de la queue d’Eric avancer en moi.
Je baisse mes yeux et je réalise que mes hanches se déplacent et que c’est moi seule qui me baise sur la queue de mon fils ! Je ne peux plus attendre !
– OOooohh ! Eric… baises-moi !
Là, j’ai carrément hurlé.
C’est tout ce qu’il attendait ! D’une simple pression, il est en moi, tout au fond et il commence à me baiser. Il baise sa mère devant ses copines !
Dans le même temps Sylvie a abaissé sa chatte dégoulinante sur mon visage pour me laisser bouffer sa chair fraîche comme une salope lubrique. Je grogne, je couine comme une truie et je bouge mes hanches et mon cul pour répondre aux coups énergiques de mon fils. Gina ne peut s’empêcher de commenter.
– Oooh, putain ! Qu’est ce qu’il lui met ! Vas-y Eric ! Bourre-là ! Donne-lui de la bite ! Elle aime ça la garce ! Putain que c’est beau.
Elle se caresse sûrement en même temps qu’elle regarde ce qu’elle a voulut qu’il arrive. Elle a toujours été si fascinée par moi et Eric.

La chatte de Sylvie ne tarde pas à m’éclabousser de cyprine quand elle crie sous un violant orgasme Son jus coule à l’intérieur de ma bouche et j’avale ce jus collant en sentant mon propre orgasme approcher. Quand Sylvie a fini de jouir elle tombe sur le coté et je suis entièrement disponible pour mon fils.
– Baise-moi Eric… baise-moi mon bébé… baise-moi plus fort, baise maman.
Je chuchote pour lui mais c’est assez fort pour que les deux filles m’entendent.
Gina est sur le sol, cuisses écartées, sa main travaillant vite sur sa chatte lisse. Les yeux émerveillés elle regarde Eric baiser sa propre mère. Cette pensée me fait presque jouir.
Sylvie a rampé entre les cuisses de Gina, pour dévorer la chatte de son amie. Voir cette frêle jeune file grignoter Gina me rend folle d’autant que son cul bombé est tourné vers moi et sa chatte bien visible.
– Maman…maman, t’es chaude ! Tu me brûle ma bite.
Me dit mon fils, mon bébé…alors qu’il fait aller venir sa grosse bite dans ma chatte en feu.
Je l’attire vers moi pour l’embrasser sauvagement. J’en oublie que les filles nous regardent et j’écarte mes cuisses au maximum tout en tirant mon fils à moi comme un amant.
– Ahhh… ohhh… baise moi ! Baise-moi fort ! Ouiiiii…encore…. OOoooohhh, je te sens bien…aaahhh…J’adore ta bite… ohhh…
Je gémi au rythme de ses poussées et j’exprime mon plaisir.

Eric ne peut plus se retenir et dans une ultime poussée ou il percute mon utérus je sens des flots de sperme chaud à l’intérieur de moi. Sentant mon fils jouir à l’intérieur de ma chatte et me remplir de foutre, je le lâche et tombant en arrière, je cambre mon dos pour sentir sa bite le plus loin possible et dans une longue plainte, je jouis sous l’orgasme qui traverse mon corps de la tête au pieds.
Je sens et j’adore sentir chaque jet de sperme qui sort de la bite de mon fils et qui frappent le col de l’utérus. Chaque giclée de sa crème blanche, à l’intérieur de mon vagin fait trembler mon corps et réactive mon orgasme. Je crie et je geins très fort devant Gina et Sylvie qui n’en croient pas leurs yeux, mais je m’en fiche complètement. Tout ce que je veux en cet instant toujours magique pour moi, c’est continuer de sentir la puissante bite d’Eric, déversant son jus gluant au fond de mon vagin secoué par des spasmes répétitifs.
Quand finalement Eric s’effondre sur moi, écrasant son torse contre mes seins, son corps en sueur s’incruste dans le mien.

Rouvrant mes yeux, je vois que Gina ne nous regarde plus et qu’elle a glissé ses doigts dans les cheveux de Sylvie, tandis que la jeune fille lui dévore sa chatte.
– Ouiii, comme ça…t’es douée ma petite Sylvie …OOOoohhh, ouiiiii, là… t’es une bonne petite salope…AAaahhh…
Ces deux salopes n’en sont pas à leur premier cuni, ça se voit tout de suite. Et combien de fois l’ont-elles fait devant mon fils ?
Je les regarde avec envie alors que mon orgasme s’estompe et que Sylvie lèche maintenant Gina avec la tendresse que seule une femme peut donner dans ces moments là.
Quand je pense que je suis venu ici pour dire à ces jeunes filles que c’était une erreur d’avoir eu des relations sexuelles ensemble et on vient de recommencer ! Et en plus de cela, j’ai eu des rapports sexuels avec mon fils ! Il vient de me baiser, moi sa mère ! On a beau être des adultes consentant, voir plus, ce n’est quand même pas normal. Mais avec deux salopes comme ces filles il faudrait être plus que nonne ou bonne sœur pour leur résister.
Étonnamment, je me sens très bien après ce que je viens de faire. Habituellement je me fustige après avoir fait quelque chose qui pourrait dévoiler mon coté salope, ma relation i****tueuse avec mon fils et dévoiler nos secrets, mais maintenant… en quelque sorte, c’est différent. Je me sens comme si je faisais partie d’un cercle… de ce cercle et cet enchevêtrement de filles nues qui ont rejoint mon fils sur le canapé.

Je regarde l’horloge et je constate que ça fait presque une heure que je suis là et qu’il se fait tard. Je dois vite redescendre et retrouver mon mari. Je chuchote à mon fils.
– Je dois m’en aller.
– Maman… et il saisi ma main. Ca va maman ? Tu ne regrette rien ? Tu ne m’en veux pas ?
Je lui souris en enfilant ma robe mais je ne sais pas ou est mon string.
– Bien sûr que non, mon bébé d’amour. C’est un vrai plaisir d’être avec vous !
Je me penche, l’embrasse et murmure dans son oreille.
– Comme toujours chéri…
Ne retrouvant pas mon slip, j’abandonne et je sors de la chambre au son de faibles gémissements de plaisir de Gina et Sylvie.
Quand j’arrive dans la grande salle, tout le monde à l’air passablement ivre. Jeannine semble toujours être le centre de l’attention et tous rigolent parfois bêtement, grassement. Paul est assis en face de Jeannine et de son mari.
Je me rapproche de lui et je lui demande doucement
-Tu tiens encore debout, mon chéri ?
Il rit et tournant sa tête il me plante un profond baiser sur mes lèvres. Je suis étonné par la passion de son baiser et j’apprécie ses lèvres en espérant qu’il ne reconnaisse pas le parfum d’une autre femme dans mon haleine. Apparemment non, dans son état il n’a plus d’odorat ou de goût.
D’un coup d’œil circulaire je m’aperçois que tout le monde est dans le même état, ivre et hébété.
« Génial, je suis la seule à peu prés sobre » Soupirais-je.
A coté de Jeannine je vois le mec qui était dehors avec Sarah. Cheveux blonds en brosse, bronzé, épaules larges, avec une belle gueule.
« Beau et en forme » et je me demande depuis combien de temps, Sarah trompe son mari avec lui.
Je hausse les épaules. Apres tout c’est ce que je viens de faire avec mon propre fils et une fille adolescente il y a seulement quelques minutes à l’étage.
L’homme à côté de Jeannine a dit quelque chose de drôle et Jeannine rigole la tête inclinée en arrière contre le canapé du salon. Avec sa jupe courte et ses jambes écartées, Paul porte une attention particulière dans l’entre-jambe de Jeannine.
Malgré ce que je viens de faire, je suis choqué de voir sa chatte nichée entre ses cuisses et je regarde autour si quelqu’un d’autre le remarque. Mais apparemment vu leur état, personne. Je reporte mes yeux entre les cuisses de Jeannine.
Elle est presque complètement rasée mais est a conservé une minuscule bande de poils pubiens taillés directement au-dessus de son clitoris. Les lèvres de sa chatte sont gonflées et l’une d’elle est transpercée par un anneau doré et son clitoris est sorti de sa cachette.
Surprise et à nouveau excitée je regarde mieux et je vois l’anneau métallique rebondir à chaque mouvement de son corps sur le dessus de son clito et ses lèvres. Putain ! Avoir quelque chose qui frotte constamment contre mon clito me rendrait folle !
Tout à coup, je remarque que l’homme à côté d’elle me regarde et quand mes yeux arrivent à se détacher de la chatte de Jeannine, je le regarde. Il me fait un grand sourire. Je dois rougir car son sourire s’accentue à chaque seconde qui passe. Il sait exactement ce que je regardais.
Je détourne mon regard, embarrassée, et je vais dans la cuisine à la recherche d’une bouteille de vin pour me verser un grand verre.

– Après avoir vu ce que vous avez vu, je prendrais bien quelque chose aussi.
Surprise, je me retourne. C’est le gars assis à côté de Jeannine. Il entre dans la cuisine et a att**** un verre.
– Désolée, je ne comprends pas…
Il me souri et se verse un verre pendant que je bois le mien. Il dégage une sorte d’attraction et un sentiment de confiance, et il n’arrête pas de me regarder avec intérêt.
– Huuummm… notre amie Jeannine ne porte pas de slip…il me semble…
Il se retourne face à moi, ses yeux bleus dans les miens et encore une fois, je sens mes joues chauffer.
– Ah, ah que non ! Non, elle n’en a pas !
J’ai l’impression d’être une écolière prise en faute devant un film porno.
Il me regarde un instant, ses yeux glissent vers le bas de mon corps pour revenir vers le haut et se reposer sur mon visage Il est attirant, sûr de lui … et beau.
Il sourit et me tend sa main.
– Daniel… je ne crois pas que nous nous sommes déjà rencontrés.
– Bonjour, moi c’est Kate.
– Content de vous connaître, Kate. Vous êtes la femme de Paul ?
– Oui et vous ? Marié ou êtes-vous seul
Demandais-je avec intérêt.
Non, je suis avec quelqu’un, mais elle n’est pas là, elle a dû travailler ce soir.
Qui peut travailler si tard le samedi soir ? Même les commerces de détail sont fermés à cette heure.
– Oh, la pauvre, vous devez vous sentir seul sans elle.
Il me regarde toujours souriant. Il tient toujours ma main et sa peau m’est agréable. Mais la chose appropriée à faire c’est de le lâcher. Je desserre mes doigts et il retire sa main lentement… très lentement.
– Oui bien sûr, elle me manque, mais il y a des gens intéressants ici pour me distraire.
« Oui, comme cette salope de Sarah ! » Pensais-je
Il lève son verre et nous trinquons.
-Alors, qu’avez-vous pensé d’elle ? Demande-t-il soudainement.
– Penser à qui ?
– A la chatte de votre amie Jeannine…
Je m’étrangle presque avec mon vin à l’entendre me dire ça. Dans quel sens pose-t-il cette question ? Je devrais le planter là, mais je reste et je m’appuie sur l’évier.
– Et bien… intéressant et…agréable.
Murmurai-je enfin et sentant mes joues chauffer.
« J’ai vraiment un problème. Pourquoi j’entre dans le jeu de cet homme que je ne connais pas. Il m’attire c’est indéniable et je pense que mon coté salope refait surface. »
– Oui…et encore…Avez-vous aimé quoi que ce soit d’autre…comme son anneau doré par exemple ?
J’en ouvre ma bouche de surprise. Comment sait-il cela ? Il a… il a couché aussi avec Jeannine ?
– Comment savez-vous ça ?
Il se met à rire et devine exactement à quoi je pense.
– Non Kate, je ne suis pas amoureux de Jeannine et je n’ai pas couché avec elle. Elle est très négligente ce soir et vous et votre mari n’êtes pas les seuls à qui elle a réussi à montrer sa chatte rasée de près.
Pour une raison bien connue de moi-même, plus je l’entends dire des mots salaces, plus je fixe ses yeux comme hypnotisée.
– Oui, je ne peux pas croire qu’elle a fait ça. Marmonnais-je redescendant sur terre.
– J’ai particulièrement aimé comment ses lèvres se séparent pour libérer furtivement son clitoris humide de sa coquille.
Là, je commence à avoir du mal à respirer et je suis sauvée par Sarah qui vient d’entrer.
– Ah, Daniel, vous êtes là ! Tout le monde s’installe à l’extérieur et ils prévoient de jouer aux cartes. Vous vous joignez à nous ?
Sarah reste en attente mais visiblement curieuse de savoir je que je fais là avec Daniel et de quoi nous parlons.
Daniel me regarde et lentement, très lentement, quitte mes yeux pour regarder sa maîtresse.
– Non, je pense que je vais rester là, la conversation avec Kate est très intéressante.
– Ah, oui ! Et de quoi parlez-vous tous les deux ?
Demande-t-elle d’un air mécontent.
Elle pense probablement que j’empiète sur son territoire. Daniel lui fait un clin d’œil et avec un sourire coquin lui répond.
– Nous parlons de la chatte de Jeannine.
Les yeux de Sarah s’élargissent et il me semble qu’elle retient son souffle.
– Daniel…..
– Sarah, vous m’avez dit vous-même combien vous avez aimé regarder la douce chatte de Jeannine ce soir, j’ai essayé de savoir si Kate le voyais de la même manière.
Donc Sarah pense que la chatte de Jeannine est douce ? Et comment saurait-elle que la chatte de Jeannine est douce ? A combien de personnes Jeannine a-t-elle montré sa chatte ? Dieu, ça devient plus intéressant à chaque seconde.
– Vous voyez, comme vous et votre mari, Sarah et moi, avons flashé sur la jolie chatte humide de notre hôtesse quand elle divertit ses invités sur le canapé. Sarah pense d’ailleurs que sa chatte doit être particulièrement délicieuse, poursuit Daniel.
Le visage de Sarah tourne au cramoisi et elle me jette un regard gêné. J’ai peu de contact avec Sarah, c’est plus une amie de Jeannine, donc il est tout à fait possible qu’elle soit bisexuelle.
– Daniel, peut-être ne devrions nous pas parler de cela devant Kate…
– Pourquoi pas ! Sauf si vous avez honte de votre amour pour les belles chattes…
Daniel s’avance vers Sarah et se met derrière elle alors qu’elle me regarde. Je vois bien que les paroles de Daniel la mettent dans l’embarras, mais ça doit également l’exciter, car sous sa robe légère je vois que ses tétons se sont allongés et durcissent.
– Sarah, assieds-toi là. On dirait que tu as besoin de te reposer un peu, aller, assieds-toi !
La voix de Daniel a soudainement changé et est devenue plus exigeante.

Il y a quelque chose entre eux que je ne peux encore définir. Après un court instant d’hésitation elle prend docilement place sur une chaise en face de moi.
C’est bizarre, pourquoi l’écoute-t-elle comme çà ? Les yeux de Sarah sont baissés et son attitude a changée complètement. Son corps est droit et tendu.
– Kate, vous n’avez pas répondu à ma question. Vous avez aimé le piercing de Jeannine ?
Il insiste vraiment. Quelle réponse attend-il ?
– Eh bien, si vous aimez çà, c’est excitant je suppose…
Tout en répondant j’essaye de deviner pourquoi Sarah est si obéissante.
Elle est jolie, pas l’air d’une salope, dans la trentaine. Assez maquillée et un beau rouge sur les lèvres. Elle porte une robe du soir courte qui s’arrête bien au-dessus de ses genoux. En la regardant je ne peux pas m’empêcher de trouver quelque chose de Sarah qui me semble familier, comme si… comme si je la connaissais ou si je l’avis déjà vu quelque part.
Daniel, touche du dos de sa main la cuisse de Sarah et commence à glisser son doigt dessus vers l’ourlet de sa robe à mi cuisses. Sarah ne bronche pas, les yeux baissés, le dos droit et les mains sur ses côtés. Il glisse sa main le long de sa cuisse jusqu’à ce que son doigt passe sous le bord de la robe.
– Et vous, Kate, aimez-vous ce genre de choses ?
Son doigt continue de monter entraînant la robe et dévoilant ainsi le haut de ses cuisses. Pourquoi Sarah lui permet de le faire en face de moi ? Son mari est juste à coté !
– Quoi ! Ah, Daniel vous ne pensez quand même pas que je suis lesbienne ? Je suis marié et j’aime mon mari,
Répondis-je, gardant mes yeux sur lui pour éviter de regarder ce qu’il fait à Sarah.
Mais du coin de mes yeux, je vois sa main remonter plus loin et les cuisses et les hanches de Sarah sont maintenant révélées. J’essaye tant bien que mal de ne pas montrer mon excitation !
– Peut-être… mais voir la chatte humide de Jeannine ne vous excite pas du tout ?
Et en disant ça il a soulevé la robe de Sarah, jusqu’à ce qu’elle soit au niveau de ses hanches.
Son entrecuisse à peine couvert je ne peux dire si elle a un slip mais je ne vois rien de tel. Elle relève enfin ses yeux et je peux voir qu’elle est excitée autant que moi. Je commence à croire que Sarah est juste son jouet ou peut-être même une esclave devant son maître. J’ai entendu parler de ces femmes qui permettent à leurs partenaires de faire quelque chose qui leur plaît sexuellement… même leur faire du mal. Sarah est-elle l’une d’entre elle ?
– Je peux vous poser la même question,
Évitant ainsi de lui répondre.
Il sourit et tend la main pour saisir les pieds de Sarah.
– Je vais vous dire exactement ce que j’ai ressenti. Elle m’a fait immédiatement bander. J’avais envie de tendre la main, là, devant son mari et tout le monde présent, arracher sa robe et plonger ma bite toute dure dans sa chatte ainsi offerte. Elle m’allumait en me montrant sa chatte humide, Kate. Maintenant dites-moi ce que vous avez ressenti.
Dit-il d’un ton exigeant.
Sa confiance en lui me surprend, la tonalité de sa voix me confond tandis que ses paroles m’excitent. Ses yeux bleus perçants semblent traverser mon corps et je sais que si je mens il le verrait instantanément. Je ne peux pas soutenir son regard, alors je baisse mes yeux.
Sa main déplace le pied de Sarah sur le côté ce qui sépare ses genoux. Mes yeux se portent automatiquement entre ses jambes, par réflexe. C’est homme me domine. Nous domine…
– C’était agréable…
– Bien… elle était aussi belle que celle-ci ?
Me demande-t-il en levant la jambe de Sarah vers le haut et sur le coté.
Avec ses jambes écartées et sa robe complètement glissée vers le haut au-dessus de sa taille, instantanément sa chatte me saute aux yeux qui se verrouillent dessus et je salive un peu. La chatte de Sarah est humide, ses lèvres sont minces, aguichantes, rouges et brillantes avec l’humidité. Elle a des poils blonds très fin au-dessus de sa chatte rasée pour former un petit triangle.
Je regarde Sarah pour voir qu’elle me regarde, son visage congestionné et plein d’excitation. Dieu, c’est dingue ! Elle lui permet de faire ça, en face de moi ! Aussi fou que c’est, je me sens devenir très chaude.
Daniel sourit et lève sa jambe encore plus sur le coté dans une position franchement obscène. Je livre une bataille pour ne pas montrer que j’aime aussi les filles, mais je sais pertinemment que je ne vais pas gagner, car mon côté salope me crie de regarder entre cuisses complètement ouvertes. Lentement… très lentement, ma résistance diminue et je baisse mes yeux vers le bas de son corps, sur sa belle chatte et j’avale ma salive.
– Heuuu…
– Vous l’aimez plus que la chatte de Jeannine ?
– Ouiiiii… dis-je dans un souffle.
Je ne sais pas pourquoi je lui réponds mais au plus profond de mon âme de salope j’ai envie de la déguster.
– Je suis entièrement d’accord avec vous. La chatte de ma petite esclave sexuelle est beaucoup plus jolie que celle de Jeannine.
« Esclave ! C’est son esclave sexuelle ! »
– Elle est votre esclave ? Demandai-je surpris.
Il a un sourire carnassier et soulevant son pied il le pose sur le bord de la desserte.
– Sarah, ma douce, fais la même chose avec ton autre pied pour que Kate a une meilleure vue de ton adorable chatte.
Maintenant elle est dans une position encore plus obscène que précédemment, car elle maintient, avec ses mains dans le creux de ses genoux, ses cuisses écartelées. Daniel la regarde avec admiration.
– T’es une bonne fille chérie. Bien obéissante.
Soudain nous entendu des pas venant de la salle de séjour et Sarah rassemble rapidement ses jambes et saute de sa chaise en tirant sa robe vers le bas. Gina est entré dans la cuisine pour se diriger vers le réfrigérateur.
– Oh, pardon ! Je ne veux pas vous déranger
Elle me jette un regard et un clin d’œil souriant. Sylvie a l’air rassuré et moi je m’apprête à partir.
– Excusez-moi, mais je dois trouver mon mari,
Je vois que Daniel est déçu.

Je trouve Paul et après plusieurs tentatives, et je le persuade de rentrer. Sarah est sortie et a rejoint son mari.
Jeannine nous voyant partir me demande si on rentre.
– Il est tard et si Paul boit encore il va s’écrouler. Il est temps que je le ramène à la maison.
Jeannine se pince ses lèvres et met ses deux mains sur ses hanches en regardant mon mari ivre.
– Voila, ça boit et ça ne tient pas la distance ! Maintenant vous devez y aller alors que je voulais te présenter des gars intéressant. Nous referons une partie un de ses jours.
Il nous faut encore vingt minutes pour sortir de là.
– Chéri, tu connais celui qui s’appelle Daniel ? C’est la première fois que je le rencontre, je sais qu’il est marié, mais sa femme n’était pas ici ce soir.
– Huuummm ? Qui ? Oh lui. C’est un incorrigible dragueur. Il sait parler aux femmes et il doit sûrement tromper la sienne.
– Tu connais son épouse ?
J’ai besoin d’en savoir plus sur cet homme marié et qui a une autre femme comme esclave sexuelle.
– Je ne les connais pas beaucoup. Ce sont plus des amis de George et de Jeannine. Daniel semble être une sorte d’homme d’affaires, il est propriétaire d’un lieu… d’un club quelconque et sa femme y travaille. Son nom est…Rita si je ne me trompe pas.
Humm, ca ne me dit pas grand-chose. Je ferais mieux de demander à Jeannine. Je lui demande encore.
-Et qu’en est-il de Sarah et de son mari ?
Je n’aurais jamais la réponse. Mon mari commence à ronfler et n’émerge pas avant d’arriver à la maison. La liaison particulière de Daniel et Sarah reste dans mon esprit, et qui est l’épouse de Daniel ? Rita ? Si c’est son nom. Il faudra un jour que j’approfondisse çà !
A suivre
Phantome

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