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SON CUL À DÉFAUT DU RESTE !

SON CUL À DÉFAUT DU RESTE !



Durant mes études d’infirmier, il y a de cela quelques années, j’ai effectué un stage dans un hôpital de Nantes. Sara, l’infirmière qui s’occupait de me coacher était à peine plus âgée que moi et, lorsque je l’ai rencontrée pour la première fois, elle a dû me prendre pour un poisson rouge.

Aucun mot n’est sorti de ma bouche et je l’ai regardée, hébété, tant elle était canon ! Les premiers jours en sa compagnie ont été assez compliqués, surtout lorsqu’elle montait l’escalier devant moi, m’offrant son délicieux petit cul à reluquer. Les soins n’étaient pas vraiment plus faciles à gérer lorsqu’elle collait sa poitrine contre moi pour me montrer comme faire un pansement ou des points de suture.

Un matin, en plein été, alors que nous sortions d’une nuit de garde, Sara m’a demandé si je voulais bien la déposer chez elle en moto. Son mec possédant une bécane, elle conservait toujours un casque dans son casier à l’hôpital. Nous étions crevés tous les deux après ces 24 heures non-stop à gérer les urgences. Sur le chemin vers chez elle, Sara s’accrochait à ma taille fermement, ce qui a rapidement fait naître une belle grosse bosse sous mon pantalon. Je sentais ses seins sous son T-shirt appuyer contre mon dos, et le supplice était très délicat à gérer. Ma queue sous le jean commençait à me faire mal tant elle était dure. Sara a descendu une de ses mains de ma taille pour toucher le relief sous mon pantalon, et là, j’ai bien cru que j’allais lâcher le guidon de mon bolide.

À peine devant sa petite maison, elle m’a demandé de me garer à l’arrière du jardin. Là, alors que j’ôtais péniblement mon casque, ma sublime infirmière s’est jetée sur moi pour m’embrasser. Mon stage à l’hôpital se terminant à la fin de la semaine, j’ai cru qu’elle me faisait un bizutage à sa façon pour me laisser en plan quelques instants plus tard.

Mais non, sa main descendait bien vers ma tige qui allait bientôt exploser mon jean. Elle s’est retournée et s’est cambrée sur la moto en me disant : « Encule-moi, ma chatte est réservée à mon mec !” J’ai failli regarder autour de moi afin de vérifier qu’il n’y avait pas de caméra, tant la situation semblait surréaliste. Mais non ! Je ne devais pas aller assez vite à son goût car elle s’est retournée, a baissé mon jean, sorti ma queue dure avant de la frotter contre son petit trou visiblement dilaté par l’envie d’être visité. Sara a poussé un coup sec pour faire disparaître mon zob entre ses fesses.

Tout cela allait vite, trop vite même. J’avais rêvé de coucher avec cette bombe, je m’étais souvent caressé en pensant à elle et là, je réalisais à peine ce qu’il se passait ! Les mains appuyées sur la selle de ma moto, Sara gémissait alors que je regardais ma grosse bite s’enfoncer en elle. Cette fille était un mirage. Son corps comme son visage n’étaient que perfection. Autant vous dire que, lorsqu’elle m’a fait asseoir par terre pour venir s’empaler sur ma bite tendue et la glisser dans son petit trou, je n’ai hélas pas résisté longtemps. En quelques minutes, je me suis vidé abondamment dans ce cul si beau, si bon. Sara s’est relevée, me laissant à peine reprendre mes esprits, m’a collé un bisou sonore et m’a lancé un « Salut, à demain au taf !” Je suis rentré chez moi sans trop comprendre ce qu’il venait d’arriver.

Le lendemain, j’ai tenté de recommencer avec Sara, mais non, elle n’a pas voulu remettre le couvert. Si elle me lit aujourd’hui, je veux qu’elle sache qu’elle reste l’un de mes plus beaux souvenirs.

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