Je suis aux anges… Mon mari a enfin tout compris. Il sait que je suis une jouisseuse, infatigable, une amoureuse des hommes, une passionnée. En arrêtant d’être hypocrites et de se voiler la face, nous nous faisons là le plus beau des cadeaux : vivre les choses ensemble.
Le voir prendre la queue dégoulinante de Loïc en bouche a été très excitant pour moi, j’ai toujours adoré les films gays, alors en profiter en live avec son chéri, quel bonheur…. Va t’il aller plus loin ? J’aimerais tellement lui faire partager mon amour pour la sodomie.
Tout ça est très prometteur pour la suite aussi. On va peut-être enfin pouvoir aller en club, en partouzes, peut-être même en glory hole…ensemble.
J’ai beaucoup de choses à lui avouer aussi sur mon passé sexuel. Ce n’est pas si facile que ça de les garder secrètes…
Je m’affale sur le canapé, ravie, le visage encore tout collant de leurs foutres. Je n’ai même pas envie de m’essuyer, je veux rester leur icône, leur modèle de salope préférée, qui attend la suite du menu.
Je me caresse doucement sur le sofa pendant que mes deux hommes nus se resservent un verre et rigolent ensemble. C’est beau des hommes sexuellement épanouis, le moment est juste parfait.
Je vois que Loïc rebande un peu déjà en me regardant me caresser, je ferme les yeux et repose ma tête en arrière, écartant bien les jambes, l’image de mon mari suceur, lécheur de sperme me traverse. Mon clitoris recommence à battre sa pulsation sanguine. Je veux le voir sucer encore.
Je sais que c’est un moment particulier pour lui. Quand il était jeune adolescent, son frère de 3 ans son ainé et lui ont vécu pendant de longs mois des séances de masturbation mutuelle, profitant qu’ils dormaient dans la même chambre après un déménagement. Il n’était pas rare qu’ils se fassent même des fellations, n’allant cependant jamais jusqu’à l’éjaculation.
D’abord un peu victime de ces jeux sexuels que son grand frère avait provoqués, Jean-Phi m’avoua qu’il y avait finalement pris beaucoup de plaisir, jusqu’à devenir très actif, notamment pour les pipes. Il avait même demandé à son frère de lui éjaculer dans la bouche pour gouter, mais celui-ci avait refusé.
Sans avoir de regrets sur cette période de sa jeunesse, il reste néanmoins partagé entre fantasme et i****te, entre plaisir et interdit et n’a jamais depuis ce temps eu de rapport avec un autre homme.
Par contre il est toujours d’accord pour m ’embrasser et avaler un peu de son sperme quand il a joui dans ma bouche, parfois même il éjacule sur ma chatte et me fait un cunnilingus en suivant, pratique dont je raffole !
Sauf que cet après-midi, pour la première fois, il s’agit du foutre d’un autre…
Mon petit doigt me dit qu’aujourd’hui est le jour parfait pour qu’il exprime sa bisexualité, c’est certainement pour ça aussi qu’il a initié ce plan à trois avec notre jeune voisin !
Il fait le tour du canapé et vient poser sa bouche sur la mienne. J’en profite pour lui murmurer à l’oreille
« j’ai envie que tu le suces encore, tu es tellement beau quand tu suces…s’il te plait… »
Loïc est assis dans le fauteuil près de la table basse, se branle doucement en nous regardant. J’aurais adoré avoir un fils comme lui…
« Ok chérie, si ça te fait plaisir… »
Mon mari s’approche de notre jeune invité, lui fait écarter les jambes sur son siège en caressant ses cuisses. Loïc avance un peu pour libérer son bassin. Je m’empresse d’attra per l’appareil photo. Il se met à genoux devant lui. Loïc bande bien dur maintenant, ça n’a pas l’air de lui déplaire de se faire sucer par un homme… Mon mari saisit son sexe, qui est plus gros que le sien. On dirait qu’il l’admire, comme on regarde quelques secondes avec envie un plat de choix avant d’y plonger sa fourchette, quand on a très faim.
Il le renifle. Son gland doit sentir un mélange de sperme, de salive et d’anus, ça n’a vraiment pas l’air de le déranger… Puis il ferme les yeux et plonge sa tête sur le gland bien rouge du jeune homme, le dévore sans préliminaire, bavant d’envie sur son chibre, l’astiquant sans relâche.
Cette vision de mon mari en train de faire une pipe à Loïc me remplit d’excitation. C’est qu’il a l’air d’être très doué en plus ! Loïc gémit déjà sous les caresses buccales de mon chéri qui lui bouffe la queue comme un mort de faim.
Je tourne autour d’eux sans les toucher, pour voir la scène sous tous les angles, je m’approche tout près pour faire des clichés bien zoomés, mon mari me sourit. J’aurais bien envie de partager cette bonne queue avec lui mais je veux lui laisser ce plaisir à lui seul, j’ai déjà fait des centaines de fellations dans ma vie, peut-être même des milliers….
Cela ouvre par contre de sacrées perspectives, de glory hole commun notamment.
Je pose une main sur ses cheveux pendant qu’il suce activement.
« C’est bon hein, mon chéri, régale-toi… »
J’appuie un peu sur sa tête, progressivement, pour faire entrer le gros sexe de Loïc jusqu’à sa gorge.
Mon mari ne bronche pas, le sexe disparaît dans sa bouche et il continue de le pomper avec gourmandise. Par contre notre jeune voisin semble beaucoup apprécier cette gorge profonde et se met à souffler de plus en plus fort, je vois ses abdos qui se tendent, son visage qui grimace. En spécialiste je dirai qu’il n’est pas loin d’envoyer la purée.
Il pose sa main sur la mienne pour enfoncer sans répit le crâne de mon mari sur sa queue, ondule le bassin pour lui baiser littéralement la bouche en petits va et vient nerveux. Mon mari se laisse faire, commence même à se masturber. Je baisse les yeux vers sa queue. Je n’avais pas remarqué qu’il bandait si fort.
Sans desserrer son étreinte, Loïc se crispe une dernière fois pour se soulager dans la gorge de mon mari dont la bouche est devenue un vide couilles. Mon mari gémit quand il reçoit les premières giclées, se branle frénétiquement et jouit sans prévenir sur le parquet, au pied du fauteuil, en continuant de gober le foutre jusqu’au bout.
Mon dieu…il aime autant ça que moi on dirait !
Je l’embrasse pour le féliciter, heureuse de partager cet amour de la bite avec lui, sa bouche est douce, parfumée, le peu de sperme qui y reste m’enivre. Notre baiser est divin, plein d’affection et de perversion assumée. Il dure si longtemps que Loïc s’est déjà endormi sur le fauteuil, assommé par la jouissance.
Mon mari m’avouera plus tard que se sont les « illustrations » que j’ai mis sur le site qui ont déclenché son envie. Il s’est masturbé plusieurs fois en admirant la belle bite de Loïc dans ma bouche et a jouit en imaginant la sucer.
Voilà qui est fait maintenant…
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