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fin de vacances

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Vacances touristiques
Une nuit de folie !

* * *

Cet été pendant nos vacances, nous allons visiter un joli bourg médiéval du Périgord et, après avoir consacré la journée à des jolies vues touristiques… mais parfois érotiques, le soir venu, nous allons au restau. Il faut dire que l’après-midi avait été l’occasion de quelques visions érotiques fugaces pour des yeux avertis de pseudo-touristes qui reluquèrent les cuisses, les fesses ou même la chatte de ma femme, tout au long de ces visites, que j’immortalisais en photos (je surpris des regards évocateurs et appuyés qui ne me laissèrent pas l’ombre d’un doute sur la vision érotique qu’ils avaient pu capter). Il y eut même quelques clichés d’enfer dans des escaliers, sur des bancs, au bord de l’eau!

Le soir donc, ma femme s’est muée de touriste basique en une jolie femelle aguichante d’été : jolie jupette marron fine, souple et douce (qui donne une irrésistible envie de lui bazarder une pogne appuyée), petit tee-shirt moulant sous lequel sa poitrine bien pigeonnante se dessine avec les contours de la dentelle du soutien-gorge balconnet, des bas dim-up beige ou plutôt « chair » pratiquement indécelables –sauf pour un œil averti- et des escarpins marrons d’été, avec des brides sexy… Ah ! j’oubliais, dessous, elle avait enfilé une culotte fine et transparente en tulle beige à fleurs imprimées en filigrane, assortie à son joli sous-tif… j’avais prévu, au minimum si aucune aventure ne se dessinait à l’horizon, de bien la bourrer en levrette dans notre chambre d’hôtel à la fin de la soirée, en lui soulevant la jupe.

En cette fin août, sur les coups de vingt heures, les ruelles de cette bourgade sont quasi désertes et nous nous promenons, admirant les vieilles pierres des maisons, nous avions largement le temps pour aller au restau à l’heure prévue. J’en profitais toujours pour faire quelques clichés, dont certains un peu érotiques de manière fugace, dans ces rues désertes… tout en espérant que quelque (a)mateur se rince l’œil avec les trésors de ma femme : il faut dire que j’avais deviné quelques présences mâles cachées à l’affût d’un peu de matage au détour des rues, les bas et les escarpins avaient donné l’alarme.

« Allez, ouvre un peu plus ta veste, qu’on en voie un peu plus ! montre-moi tes bas… allez ! un peu ta chatte aussi, il n’y a personne » et je photographiais ma femme dans ces ruelles. Elle faisait sa mijorée mais elle aimait bien finalement. Sur les marches d’un escalier, sur un banc, debout au coin de deux maisons, tous les sites propices m’incitaient à la flasher. Plus ça allait, plus elle en montrait et je me régalais.
C’est alors que dans une sorte d’aire de repos pour promeneurs, j’eus le choc et le plaisir immense de voir un mateur qui nous suivait et lorgnait sans vergogne les belles cuisses de ma femme. Je flairais l’occase. Alors que je la clichetais en dim-up, jupe troussée, le mec osa enfin s’approcher. Ma femme eut un petit haut-le-corps mais ayant rapidement jaugé que nous étions seuls, ne se déroba pas et recommença à s’exhiber pour le nouvel arrivant. Celui-ci, hésitant mais surexcité, osa enfin venir près d’elle et put la palucher un peu en plein air : J’étais aux anges. Mais ma femme écourta la scène et nous prîmes momentanément ( ?) congé de son visiteur de ses bas et de ses fesses.

Arrivés à quelques pas du restau, nous passons devant une maison apparemment banale et même quelque peu délabrée : ce devait être un très ancien commerce reconditionné en habitation car il y avait une ancienne vitrine en façade et par la porte ouverte, nous pouvons voir l’intérieur assez miteux, avec une table et quelques chaises, une télé tonitruante et un joli bazar de vaisselle et d’objets très divers. Un type entre deux âges, assez hirsute, était installé dans un fauteuil rapé et matait la télé, alors qu’un autre homme nettement plus vieux mais tout aussi mal fringué et sale–qui ressemblait d’ailleurs plutôt plus à un clodo qu’à autre chose- était assis sur une marche sur le pas de la porte, le regard un peu dans le vague, comme celui de quelqu’un qui a pas mal bu.

A notre passage, très lent (vu qu’on avait beaucoup d’avance pour le restau), le type assis presque au ras du sol sortit de ses pensées car il avait son visage à peu près à hauteur de nos ceintures, donc de nos fesses. Comme à ce moment-là, une des rares voitures passa, nous choisîmes de prendre le trottoir de son côté et, du coup, nous lui sommes passés tout près, très très près même. Et là, aussitôt, me doutant de quelque chose, je me retournais vers lui et je le vis mater avec une insistance lubrique et non dissimulée les fesses de ma femme qui se balançaient avec une lente harmonie, sous sa jupette ondulant au rythme chaloupé de ses escarpins. Je vis les yeux de ce manant s’illuminer d’un désir fou : je suis sûr qu’il eut des pensées très hard à la vue de ces belles fesses qui venaient de le provoquer à moins d’un mètre en ondulant sous la jupe. En étendant le bras, il aurait pu la toucher ! évidemment, il n’osa pas. Dommage ! J’aurais bien aimé qu’il s’y risque. Le mec me gratifia d’un regard plus qu’admiratif, les yeux écarquillés, en portant sa main à sa bite par-dessus son pantalon, qu’il massa vraiment ostensiblement! J’étais aux anges de ce plaisir fugace procuré à ce type. Ma femme se détourna un instant car j’étais resté un peu en arrière et, je suis sûr qu’elle devina ce qui venait de se passer car elle connaissait le pouvoir d’attractivité de ses fesses, surtout ondulant gracieusement sous sa jupe et accompagnées par l’érotique claquement des talons sur le sol.

Alors, un instant de folie me traversa : j’attrapais ma femme par le bras et, prétextant je ne sais plus trop quoi, la fis revenir un peu sur ses pas, presque jusqu’à la hauteur du vieux. Puis, alors qu’elle refaisait volte-face pour repartir, je soulevais prestement sa jupe jusqu’en haut et ainsi, la maintenant soulevée pendant une bonne trentaine de secondes, j’exhibais sa magnifique culotte, ses fesses et ses longues jambes gainées de ses bas fins transparents, à ce vieux manant qui en resta interloqué à la vue des magnifiques bandes élastiques des dim-up beiges.
« Tu es fou, ça va pas non, qu’est-ce qui te prend ? » me dit-elle, sur un ton à moitié courroucé, tout en rabattant sa jupe, une fois le moment de surprise passé. Peut-être que, elle aussi, elle eut un instant envie de faire plaisir à ce vieux salace en lui montrant ses trésors cachés ? Sa colère ne fut pas aussi tempétueuse que je ne l’aurais imaginé. En tout cas, le vieux eut les yeux qui lui sortirent des orbites et contempla les fesses de ma femme bouche bée. Je lui avais offert de quoi alimenter ses rêves nocturnes et faire fonctionner sa machine à fantasmes. J’étais sûr qu’il allait s’imaginer baiser ma femme pendant de nombreuses nuits à venir, la tête encore pleine de ces fabuleuses visions érotiques fugaces, qu’il allait se branler en repensant à ses jambes, ses bas, ses escarpins, sa jupette soulevée et cette magnifique culotte sexy en diable.

Pendant le repas d’ailleurs, nous en avons un peu reparlé avec ma femme et j’eus nettement l’impression que ça l’avait pas mal émoustillée. Je lui dis même que c’était une « bonne action » car ce genre de type ne devait pas avoir eu tel fabuleux spectacle –même bref- souvent.
« Tu exagères un peu, non ? » me dit-elle
« Non, non, le gars là, tu lui as fait un de ces plaisirs qu’il n’aura plus »
« Boh ! »
« Mais si, je te promets… enfin bon ! »
« Tu crois ? »
« Mais oui, mais oui, j’en suis sûr ! »
Elle eut l’air presque convaincue… En tout cas, j’étais sûr d’avoir touché un point sensible car elle croisa et décroisa ses jambes à de multiples reprises, offrant d’ailleurs au passage quelques angles de vues « sympa » à quelques voisins de table ou au serveur, qui avait l’air d’aimer reluquer tout ce qui bouge et ne se privait pas aussi de lorgner la vallée de l’entre-deux miches de ma femme. Je la surpris à jouer le jeu !
« Je suis sûr qu’il a vu ta culotte, l’autre à la table derrière ! »
« Bah ! qu’est-ce-que tu racontes ? »
« Ne dis pas, tu le sais bien… et le serveur j’ai bien vu qu’il matait tes seins… on voit les bouts d’en haut par-dessus ton soutien-gorge »
Prise en « défaut », ma femme n’avouait pas… cependant elle savait bien que c’était vrai, qu’elle avait largement écarté ses cuisses pour montrer ses bas, sa culotte, sa chatte à deux ou trois types de tables voisines ; elle avait bien vu le regard plongeant du serveur entre ses miches généreusement dévoilées. Elle savait tout ça ! Elle devait aussi se souvenir du type de tout à l’heure sur le banc, qui lui avait paluché les bas et les fesses et qu’elle avait excité à bloc !

* * *
Une fois le repas terminé, vu qu’il n’était pas tard du tout, la nuit n’étant pas encore tout à fait tombée, nous décidons une petite promenade digestive. Cependant, un petit vent frais nous fit renoncer à notre balade au bord de l’eau, au cours de laquelle j’aurais espéré rencontrer quelques mateurs : j’eus juste le temps de prendre trois ou quatre clichés évocateurs mais ce fut à peu près tout… car j’avais bien vu un vieux à moitié planqué derrière un arbre qui nous observait et reluquait ma femme.
« On va se promener dans les rues, on sera plus à l’abri, j’ai pas chaud là » me dit-elle, en enchaînant aussitôt « on a le temps ».
Hélas pour moi, à cette heure, nous ne fîmes aucune rencontre dans ces ruelles étroites et quasi désertes de cette bourgade.
« C’est le désert », dis-je
« Oui, on va repasser dans l’autre rue, il y avait deux ou trois vitrines »
Ce faisant, après avoir effectivement regardé ces quelques vitrines et admiré quelques maisons anciennes, avec un nombre limité de touristes croisés – en tout cas, aucun autochtone mateur de femelle érotique-, nous nous sommes retrouvés à la nuit tombante à repasser devant la « maison » du vieil ivrogne de tout à l’heure. Ma femme reconnut l’endroit et je la sentis aussitôt quelque peu fébrile, bredouillant des phrases sans queue ni tête, tout en ralentissant imperceptiblement le pas.
Evidemment son trouble ne m’échappa point et je me disais que j’avais envie d’aller plus loin. Mais comment ?
La chance me sourit. En effet, arrivés à dix mètres de la bicoque, le bruit tonitruant d’une télé allumée et des éclats de voix nous parvenaient par la porte restée ouverte, seule source de lumière privée de cette rue déserte. Mieux, au moment où nous arrivions à hauteur de la porte, un type assez jeune sortit juste devant nous en rigolant très fort (il avait probablement pas mal bu) et, surpris de voir quelqu’un tout en enchaînant une conversation avec les autres types à l’intérieur, lança en notre direction :
« les voilà, justement, ils arrivent pour boire le café ! »
Mon sang –et ma repartie aussi- ne fit qu’un tour et je lui répondis :
« On n’est pas en retard, j’espère que le café n’est pas froid, on est là… vous avez aussi du digestif à nous offrir ? »
« Ouais, ouais, on vient juste de faire le café et on a ce qu’il faut en digeo ! t’en fais pas ! allez entrez ! »
Prise de court, ma femme fut obligée de me suivre quand j’emboîtai le pas du gars et entrai dans cette « turne », dans laquelle régnait un bazar incommensurable. Elle n’eut même pas le temps de protester, qu’elle était déjà dans la place, campée sur ses escarpins, la jupette provocante et… le regard mitigé et scrutateur !
Notre entrée, enfin plutôt ‘son’ entrée, fit l’effet d’une bombe sur les cinq ou six types qui braillaient dans cette « salle de séjour » ! Un silence relatif se fit, des « bonsoir, bonsoir, entrez-donc » ponctuèrent notre intrusion pour eux tout aussi inattendue que rêvée… surtout pour le vieux de tout à l’heure, qui, brutalement redevenu lucide malgré une démarche quelque peu titubante, nous fit quelque chose qui se voulait ressembler aux honneurs des lieux : il n’avait certainement pas dû oublier sa fantastique vision du cul sous la jupe, des jambes gainées de bas et de la culotte de ma femme, à l’heure de l’apéro ! Des amuse-gueules pareils, ils ne devaient pas en avoir tous les jours cette bande de vicelards !
Aidé par ses potes, il tenta tant bien que mal de ranger un peu et nous fit une place de choix au centre du cercle sur ce qu’on pourrait appeler un canapé mais qui ressemblait bien plutôt à un lit recouvert de quelques couvertures et d’un traversin faisant office de dossier.

Devant un tel affairement, ma femme se sentait presque gênée car elle percevait bien qu’elle était la cause de tout ce remue-ménage. Du coup, elle se trouva malgré elle (encore que) en situation d’infériorité et osa :
« ne vous dérangez pas… » d’une voix timide.
Evidemment, les types saisirent la perche involontairement tendue :
« Mais non, mais non, vous ne nous dérangez pas (s’adressant à nous deux car ils ne savaient pas –sauf le vieux peut-être ?- ce dont j’étais capable, jusque sur quel plateau je pouvais leur offrir ma femme)… c’est avec plaisir… ça y est le café est fait…»
« Ouais, vous savez, ici, on ne voit pas grand monde… ça nous change »

Quelques banalités furent échangées (histoire d’entrer) sur le thème du :
« vous êtes d’où ? ici jusqu’à quand ? ah ! il vous plait notre bled »…
Et aussi sur le fait que pour eux voir du monde « neuf » était quelque chose d’assez extraordinaire… comme quoi, on allait les changer de l’ordinaire. Du coup, café et digeo n’étaient absolument pas un problème.

Il y avait un peu de tout dans cette pièce : des jeunes, des moins jeunes, des vieux, certains plus ou moins beurrés, plus ou moins gros et moches. De temps en temps, la porte donnant sur le couloir intérieur s’ouvrait, un type tirait la tête, entrait cinq minutes et repartait ; un autre s’installait, buvait un ou plusieurs coups, ressortait avec un « à plus »… cette masure devait contenir d’autres piaules et cet ‘appart’ du bas devait être le point de ralliement, de convergence de beuveries, de convivialité ‘grasse’ , à effectif variable… alors, ce soir –ce soir-là !- avec UNE femme au milieu de ces manants, forcément que cela allait être différent !

Evidemment, tous les mecs ne manquèrent pas de dévisager ma femme –enfin, quand je dis la dévisager, c’est plutôt ses jambes et ses bas fins, sa jupe, ses escarpins, sa poitrine qu’ils mataient !- et ceux qui repartaient devaient se dire probablement qu’ils reviendraient faire un tour plus tard. Elle était la cible de dizaines de paires d’yeux et le ‘noyau dur’ des locataires n’était pas peu fier de cette belle présence –moi, j’étais aux anges !- tout en se demandant comment ils allaient bien pouvoir passer à l’étape suivante, à la vitesse supérieure…
Vous l’aurez compris, comment ils allaient pouvoir sauter sur ma femme.
La banalité d’une discussion et de la situation ajoutée d’un zeste de coquinerie –voulue ?- de ma femme débloqua le ‘jeu’.
Profondément assise sur ce qui servait de canapé, ma femme décroisant ses jambes, offrit un angle nouveau de vision sur ses jambes et un des jeunes gars, pas mal atteint par la griserie de l’alcool, eut comme un haut-le-corps et gaillardement s’exclama :
« vous portez des bas ? vous avez peur d’avoir froid chez nous ? »
Surprise (encore que ?) et coquine, ma femme répondit en bredouillant :
« Ben oui, il fait un peu frais ici le soir, même en cette saison… »
Et un autre type plus âgé qui n’avait pas vu ses bas :
« Ah ??? vous avez mis des bas ?… »
(L’autre vieux qui l’avait vue tout à l’heure ne disait toujours rien… mais ses yeux excités brillaient de plus en plus).
Et là, je rajoute :
« Des bas beiges, ça ne se remarque pas en cette saison, mais c’est utile s’il fait un peu frais… et puis ça pimente un peu les vacances… »
Et, aussitôt, je soulève un peu sa jupe pour dévoiler le liseré élastique des dim-up beiges pour montrer à tous qu’elle portait des bas. Jouant le jeu, jouant un jeu, ma femme accompagne mon geste en bougeant ses jambes, tendant ses escarpins à bride et exhibant ses cuisses généreusement, dévoilant aussi un peu de chair plus blanche au-dessus des bas.
Le signal était donné ! Les gars s’enhardirent et se rapprochèrent du canapé. Les pognes commencèrent rapidement à rendre hommage au nylon tentateur en caressant doucement ses cuisses, certains soulevèrent ses escarpins, d’autres écartaient ses genoux, soulevèrent sa jupe fine et rapidement ma femme fut assaillie courtoisement. Elle se laissa faire pour mon plus grand plaisir car ces manants surent se retenir d’aller trop vite en besogne. En fait, je perçus qu’ils voulaient se délecter de ces prémisses délicieux et inhabituels pour eux et surtout ne pas gâcher une opportunité pareille. Cette douceur dans les premiers attouchements ciblés eut aussi pour effet de ne pas affoler ma femme, qui se sentait courtisée dignement. Il faut dire que l’alcool amenuisait ses capacités de réaction de convenance et favorisait son laisser-aller face à une bienséance, qui n’était absolument plus de mise dans un tel lieu ! Je sentis bien qu’elle était prête à tout, à aller très loin avec ce groupe de types qu’elle hypnotisait d’envie.

Ce fut comme une ruche autour d’elle et les gars venaient la butiner simultanément, à tour de rôle ciblant ses jambes, sa poitrine, sa culotte rapidement atteinte. Peu à peu, loin de rester inactive, ma femme bazarda ses mains alentour et commença à flatter les sexes des types qui grossissaient dans les pantalons. Elle se laissa embrasser goulûment par un gars, alors qu’un autre dégageait ses miches du soutien-gorge, commençant à titiller les bouts érigés et qu’un troisième suçait un téton exacerbé. Ses cuisses s’étaient généreusement ouvertes, rendant admirable la vision de ses bas et de sa culotte écartée dévoilant sa toison et même sa vulve aux yeux des gars. Un vieux plongea sur sa jolie chatte et se mit à la lécher avec application, arrachant quelques gémissements à ma femme totalement offerte maintenant, qui empoigna avec douceur son crâne à demi chauve pour mieux l’encourager à lui bouffer son minou.

Les mecs commencèrent à se débraguetter et ma femme put s’adonner à un de ses plus grands plaisirs : manier et flatter des bites dures. Ses douces mains allaient d’une queue tendue à l’autre et bientôt elle commença à en prendre une en bouche, puis deux, puis trois. Elle était encerclée de queues ! Les bites l’assaillaient. J’adorais voir ça ! Evidemment, le cercle des mecs s’était agrandi car les « passants » de tout à l’heure revenaient peu à peu et prenaient le ‘match’ en cours.
Je sus que la nuit allait être longue !
D’un côté sa bouche étaient cernée par les queues qui voulaient être sucées, sur les côtés ses menottes branlaient les tiges passant à portée, d’un autre côté, ses bas, ses cuisses, sa chatte et sa culotte subissaient le siège des autres gars affamés, qui se délectaient. On la tournait et retournait en tous sens, on la caressait, ses fesses étaient soigneusement cajolées ou écartées, sa chatte agacée et titillée, ses bas et ses escarpins complimentés. Les queues bandées se promenaient sur ses bas, contre ses escarpins, venaient tapoter ses seins ou s’approchaient de sa bouche pour se faire sucer un peu, de ses menottes pour se faire astiquer. Ce long prélude me rendait fou de plaisir et affolait les mecs de plus en plus nombreux à venir butiner ma femme.

Puis les repoussant un peu, elle les acheva en faisant un mini-spectacle d’exhibe, tantôt sur le canapé, tantôt sur une chaise et même sur la table. Tour à tour, elle montrait ses bas, ses fesses tendues, ses miches par-dessus le soutif. Les mecs commençaient à délirer, les pognes revenaient par intermittence, les bites bandées tapotaient les charmes offerts.

Alors, c’est moi qui me mis à disjoncter, sentant bien que ma femme prise par l’alcool était prête à beaucoup, pour ne pas dire tout :
« Allez, allez les gars, allez-y, elle est à vous… baisez-la, fourrez-lui vos queues, traitez-la de salope, de pute, elle va aimer vos bites, elle va vous mettre le feu aux couilles »
« Allez, ouais, viens là que je t’enfile cochonne… » dit un des types en la saisissant par les cuisses, qu’il ouvrit bien largement, et l’embrocha de face sans coup férir de sa grosse queue puissante, qui s’enfonça sans la moule trempe au milieu de sa toison blonde.
« Hiiiiiiiiiii ! » ma femme poussa un cri de surprise et de plaisir mélangés quand la bite la pénétra brutalement et elle alla nouer ses chevilles et ses gambettes gainées de bas autour des reins de son baiseur brutal.
Aussitôt les autres se mirent à contempler la bourrée en astiquant leurs tiges pour être prêts quand leur tour allait venir, d’autres vinrent la palucher pour accompagner l’accouplement porno et deux autres amenèrent leurs glands près de sa bouche entrouverte bien disposée à les gober et à les pomper au rythme des coups de boutoir de la vaillante pine.
« Putain, quelle salope, allez, suce ma queue pute ! »
Les injures qui me remplissaient d’aise fusaient et semblaient décupler l’ardeur de ma femme qui avait même saisi deux autres pines qui battaient ses flancs.
« Mais qu’elle est bonne sa chatte ! Tu la sens hein ma queue, salope »
« Putain, pine-la cette chienne avec ses bas… fourre-la bien»
« Allez, passe-nous la un peu, on va tous se la faire »
« Ouais, ouais, on va tous te baiser salope, salooooope ! »
« Allez, à moi, viens là, tourne toi, montre ton cul »
Et l’autre gaillard l’enfila en levrette d’un seul coup puissant en écartant bien ses fesses qu’il écartelait avec ses doigts déployés en éventail, les pouces tirant son orifice trempe sur les côtés. C’était un vrai festival de queues qui commençait et ça puait la bite en rut !

« passe-moi la, passe-moi la » dit un autre impatient qui se mit aussi à la pilonner en levrette. Rapidement tous se succédèrent dans sa chatte offerte, cul tendu dans cette position d’offrande de chienne. Elle ne voyait pas qui la baisait mais moi oui. Et je me régalais de voir ce défilé de bites de tous calibres dans la chatte de ma femme. Mon plus grand plaisir fut de contempler le vieux –l’initiateur de mes envies de tout à l’heure- se planter en elle, tout en m’adressant un sourire béat de remerciement : sa queue était d’une taille surprenante, un espèce de gros chibre épais et oblong surmonté d’un énorme gland rougeaud, qui se fraya un passage dans la chatte de ma femme sous les applaudissements de ses vieux potes. Manifestement, il n’en revenait pas de ce qui lui arrivait ; il avait saisi ma femme aux hanches, les doigts enfilés sous sa culotte douce et fine, et la vissait sur sa grosse pine qu’il enfonçait vigoureusement sur toute sa longueur, arrachant des gémissements de plaisir à ma femme. Il se contemplait entrain de la baiser, apparemment satisfait de son œuvre et de l’effet qu’il produisait dans les entrailles de ma femme, qui se tortillait sous ses coups de boutoir, envoyant vigoureusement son beau cul à la rencontre de la tige qui la ramonait, relâchant même un peu son attention sur les autres queues à sucer ou à branler. Le vieux était le maître des lieux et devenait le maître-queue de ma femme.

Tellement d’ailleurs qu’il se dégagea d’elle –probablement pour ne pas jouir si vite- et qu’il l’offrit aux autres en la retournant :
« allez, à vous les gars, bourrez-la par tous les trous ! »

Exposée aux yeux hagards et aux envies, culotte torsadée, jupe troussée, jambes écartées, impudique, ma femme était prête à recevoir les assauts des autres. Rapidement, un gars s’allongea sur le pseudo-canapé, l’attira sur lui et la fit venir s’empaler sur sa tige dure et verticale. Telle une amazone, elle enjamba le mec et vint se planter sur le gars pour faire s’enfoncer la bite en elle en rugissant. Le mec la saisit aux fesses, qu’il écartela et, sur un signe du vieux, un jeune gaillard vint présenter son gland à l’orée du trou du cul de ma femme dilaté. Coincée –deux autres bites étaient venues sur les côtés pour se faire branler et une troisième s’étant présentée au-dessus de la tête de son baiseur pour se faire sucer- ma femme subit en grognant un peu certes l’intromission de cette deuxième queue en elle.
Le spectacle était génial : une bite dans la chatte enfoncée jusqu’aux couilles, une autre qui pourfendait son cul, des pognes grasses sur ses bas et ses seins, une troisième queue sucée en cadence et deux autres branlées par ses menottes loin d’être inactives. Pendant plus d’une demi-heure ce fut un ballet de queues qui se succédèrent en elle.
Les injures les plus salaces commencèrent à pleuvoir venant de ces mecs, un peu éméchés pour certains, rustres pour la plupart, des vieux vicelards qui n’avaient guère l’occasion de se farcir une si belle femme.
« Putain quel cul ! qu’elle est bonne »
« T’en as une dans chaque trou salope, suce-moi chiennasse ! »
« Allez, passe-moi la que je l’encule cette salope »
« Pute va, tu les aimes les bites hein ? »
De temps en temps ma femme gémissait et tentait des fugitifs « doucement, pas si fort, vous me faites un peu mal »…
Je laissais les types y aller de bon cœur tout en leur faisant de petits gestes de modération tout de même : je ne voulais pas qu’ils me la cassent.
Un vieux goguenard et ventru l’attrapa par les cheveux et l’attirant vers sa queue : « ferme-la, pompe-moi le dard »
« On va tous te prendre par tous les trous, tu va aimer ça oui »
« Allez ! à moi maintenant dit un autre en la chopant par les hanches et l’enfilant dans la chatte, alors que son cul était délaissé un court instant »
Un grand gaillard à la tige longue lui darda sa langue dans l’œillet déjà dilaté, inséra un doigt puis, plaquant sa pogne sur ses reins, l’encula sans coup férir. Les deux bites alternaient leur limage, ma femme gémissait un peu mais son sucé la faisait taire. Les bites tapotaient ses fesses en attendant leur tour. De temps en temps un autre lui agrippait la main pour se faire branler afin de maintenir sa bandaison prête. Toujours des pognes paluchaient ses seins et ses bas, son cul tendu.
Un mec qui la baisait se mit soudain à beugler : « putain, c’est trop bon, les gars, je vais lui remplir la chatte » et il se planta en elle la vissant sur sa tige « ah !!!!!!!!!!!!! ouais, je déchaaaaaaaaarge, je la remplis la pute ».

Le signal des décharges de foutre était donné. Un type qui l’enculait se dégagea et astiquant trois secondes sa bite se mit à arroser son cul :
« regardez les mecs, je l’asperge de foutre ce beau cul, régardez elle déborde sa chatte du sperme de l’autre salaud »
Un vieux la retourna, l’enfila de face, jambes écartées avec ses dim-up exposés et ses escarpins qui battait l’air : « ahhhhh ! je jouis en toi ma belle, je te remplis la chatte de foutre, ah oui, j’avais envie t’es belle, tiens prends tout mon sperme chérie » et il se pencha pour l’embrasser tout en se vidant les couilles en elle.

Les autres gars le laissèrent un petit moment pour qu’il profite bien de son plaisir puis vinrent former un cercle serré autour d’elle. Elle vit toutes les bites tournoyer en s’astiquant, elle en saisit une qui cracha aussitôt dans un petit désordre, aspergeant un peu tout. Les mecs s’approchèrent encore, certains se firent dégorger la queue sur ses seins offerts, d’autres éclaboussaient sa figure, le foutre lui dégoulinait le long des joues et sur le menton, formant comme des colliers de perles blanches. Un gars força ses lèvres à s’ouvrir, enfonça sa queue dans sa bouche et lui déchargea dedans : elle régurgitait un peu de sperme mais elle dut en avaler. Tous se vidèrent complètement, certains y allant même de plusieurs bordées, elle en avait partout, jusque dans les cheveux. Les mecs essuyèrent leurs glands dégoulinant sur ses bas ou sur son ventre. Elle fit même quelques lichettes aux dernières gouttes de dards épuisés.

Alors tous se mirent à applaudir et vinrent l’embrasser à tour de rôle comme pour la remercier de cette partie impromptue. J’étais aux anges.

C’est ainsi que prirent fin nos vacances.

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