Accompagnée de mon mari je pose ma valise pour deux semaines dans une ville située dans les pyrénées orientales.
Malheureusement au bout de quelques jours, chaussée de chaussures inadaptées, en visitant un vieux château, je trébuche et glisse en marchant sur des pierres instables.
J’ai du mal à marcher avec une douleur en haut de la cuisse près de l’aine.
En plus des analgésiques, pommade et anti-inflammatoires le médecin que je consulte le lendemain me donne aussi des séances de kiné.
Ca tombe bien car il y en a un au rez de chaussée d’un immeuble proche de celui ou nous avons loué un appartement et la saison touristique n’ayant pas encore débutée il peut rapidement me recevoir.
C’est le premier rendez-vous avec le kiné qui se prénomme Serge.
Je suis agréablement surprise quand je le vois. C’est un bel homme jeune, brun et musclé, très attirant.
Sans complexes, après avoir retroussée ma jupe, je lui montre l’endroit qu’il doit soigner en indiquant exactement au niveau de l’aine ou se situe le traumatisme.
Je m’allonge sur la table de massage.
Evidemment vu l’endroit ou la douleur se situe je dois écarter les jambes même si c’est un peu douloureux, pour qu’il aie accès à l’intérieur de la cuisse.
Je ne suis pas gênée qu’il voie mon string, après tout c’est son travail et il doit avoir l’habitude.
Il pose des électrodes puis met en marche l’appareil.
Dans une première phase je ressens des picotements et certaines sensations agréables quand le courant parcourt la partie de mon corps concernée.
Au bout d’un moment le kiné manipule les boutons et dans une deuxième phase ce sont les muscles qui travaillent.
J’aime les sensations que je ressens et qui durent tout le temps que l’appareil fonctionne mais qui ne m’impactent pas uniquement l’aine, mon sexe apprécie aussi.
Ensuite c’est un massage qu’il pratique après avoir étalé du produit sur la partie de mon corps à traiter.
Alors là les sensations se font plus intenses car ses mains s’activent très près de mon sexe, se faufilent même sous mon string.
Il ne faut pas longtemps pour que la main, qui même involontairement s’approche de mon intimité, me fasse de l’effet.
C’est peut être aussi à cause de la pommade dont il a enduit la partie de mon anatomie qu’il masse, mais cela échauffe jusqu’à ma chatte.
Les envies montent de plus en plus dans mon ventre, je commence à mouiller.
Son téléphone sonne, il s’excuse et va répondre après s’être essuyé les mains.
Prise d’une impulsion comme j’ai constaté que mon string le gêne je l’enlève, mon acte est irréfléchi.
Il revient vers moi et ouvre de grands yeux puis gêné balbutie quelques mots.
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Il discute encore avant de se résoudre à continuer le travail. Il essaie de détourner son regard mais souvent ses yeux se posent sur mon sexe.
J’ai l’impression que le massage dure une éternité et même en essayant de penser à autre chose je ne peux pas empêcher le plaisir que je ressens d’augmenter et certaines pensées lubriques envahissent mon cerveau.
Penché au dessus de moi, vu le comportement de mon corps.
Serge n’est pas sans s’apercevoir de ce qui m’arrive, surtout qu’avant qu’il n’aie terminé le massage le papier qui recouvre la table porte les traces du plaisir qu’il me donne.
A partir d’un moment j’ai fermé les yeux pendant le massage et quand je les ouvre je vois ou les siens sont fixés.
Nos regards se croisent, il me sourit.
Dans l’état ou il m’a mise, avec l’excitation de mes sens, j’ai du mal à me contenir.
<< vos mains m'ont fait de l'effet mais pas uniquement là ou j'ai mal comme vous pouvez le constater>>.
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Mon côté salope prend le dessus.
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Il reste bouche bée à me regarder pendant un moment puis me répond.
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Je continue à le baratiner et au bout d’un moment il commence à se laisser aller.
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Je l’ai bien allumé, nous parlons encore pendant un moment et mon harcelement n’est pas vain, il capitule et en me fixant le rendez-vous suivant il garde un créneau horaire libre.
Trois jours plus tard deuxième rendez-vous avec mon kiné.
J’ai eu peur qu’il ne veuille plus me soigner mais l’envie de passer un moment agréable est plus forte que la retenue qui devrait être sienne.
Nous parlons un peu mais uniquement de ma blessure puis place aux travaux pratiques.
Là je ne joue pas la timide ni la coincée et surtout je veux lui montrer que je n’ai pas changé d’idée.
Avant de m’allonger sur la table de massage je retire ma jupe et enlève ma culotte.
Une fois en place j’écarte bien les jambes évitant de penser à la petite douleur qui persiste à l’aine.
Médusé il me fixe la bouche ouverte, ses yeux donnent l’impression qu’il vont quitter leur orbite.
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Il pose les électrodes et c’est la séance du courant électrique qui amène des sensations même dans mon ventre pendant un temps qui me paraît interminable.
Vient le massage, Serge s’applique pendant que le plaisir monte en moi et que l’humidité gagne mon intimité.
Je me demande comment il fait pour ne pas craquer vu ce que je lui montre et comme il porte une blouse je ne peux pas voir l’état d’excitation de son sexe.
Tout le temps que dure la séance je lui parle surtout de ce que je ressens et sans en abuser de ce que j’attends.
A regarder son visage et en voyant sa fébrilité je sais que je l’ai bien allumé.
Enfin il en a terminé avec les soins.
Je le laisse se laver les mains et retirer sa blouse.
Pendant ce temps j’ai enlevé mon maillot ainsi que mon soutien-gorge.
Il se retourne vers moi et marque un temps d’arrêt.
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Son pantalon est bien déformé au niveau de son sexe, il me paraît bien monté.
Il s’approche de moi, je m’assois sur la table puis je passe mes bras autour de son cou.
Mes lèvres sont contre les siennes, ma langue est dans sa bouche et cherche la sienne.
Nous échangeons des baisers que je fais durer pendant qu’une de mes mains caresse son sexe par dessus son pantalon, le membre est bien gonflé.
Je déboutonne le pantalon qui tombe à ses pieds puis je baisse le caleçon.
Je vois un bel engin devant moi, il est fort bien monté le bougre.
Je descends de la table de massage et à genoux je caresse puis masturbe lentement le gros pénis pendant que Serge caresse mes cheveux et ma figure.
Ma langue entre en action n’oubliant pas un centimètre de peau, s’arrêtant sur les testicules poilus et surtout passant du temps sur le gland que je suçote ensuite.
Je remarque aux mouvements de son corps que cela l’énerve.
Ouvrant la bouche au maximum j’y fais pénétrer la verge imposante, il sursaute.
Je lui fais une fellation en essayant de faire entrer le maximum du membre dans ma bouche, le gland vient taper au fonds de ma gorge.
Les doigts de mon partenaire se crispent sur mes épaules.
J’accélère les va-et-vient de mes lèvres sur la queue.
Comme je le pressentais il ne résiste pas longtemps à la torture.
Son corps se tend et ses ongles, heureusement coupés courts,pénètrent dans la peau de mes épaules.
Le pénis gonfle encore et est agité de soubresauts pendant que des jets de sperme éclaboussent ma gorge, c’est une bonne quantité de semence que j’avale avant de continuer la fellation.
Serge me repousse.
Il me soulève et me dépose sur la table sur laquelle il m’allonge.
Il se penche sur moi, une main caresse mes seins puis agace et tord les tétons pendant que l’autre main, après avoir caressé mon ventre puis mes cuisses, s’égare sur mon sexe avant de le doigter.
Au bout d’un moment sa langue remplace sa main sur ma poitrine qu’elle lèche puis ses lèvres sucent mes tétons qu’ensuite ses dents mordillent, pendant ce temps une main masturbe mon clitoris d’abord doucement puis vigoureusement.
De temps en temps il regarde mon visage pour voir l’évolution de mon plaisir.
Quand mon corps commence à bouger et se cambrer il accélère encore la masturbation du clitoris.
Et ce qu’il cherchait arrive, mon bassin se soulève puis je suis secouée par des spasmes pendant que de la cyprine s’échappe de mon vagin.
Le sourire aux lèvres il attend que le calme revienne dans mon corps après l’orgasme.
Serge monte sur la table, écarte doucement mes jambes et s’allonge sur moi.
Je sens le gland de son pénis qui frotte contre mon sexe en cherchant l’ouverture, avec une main je l’aide et il pèse de tout son poids pour le faire pénétrer.
Le gros membre se fraye un chemin en repoussant les chairs de mon intimité dans laquelle il s’enfonce inéxorablement puis il vient buter au fond de mon vagin.
Il commence à remuer en donnant des coups de reins d’abord lents puis de plus en plus rapides quand la verge coulisse plus librement.
Je remue en même temps que lui en rythmant les mouvements de mon bassin avec ses coups de reins.
De temps en temps il m’embrasse sans cesser de me défoncer.
Le pénis cogne au fond de mon vagin et ses testicules claquent contre mes fesses.
Je mouille beaucoup pendant le bon moment ou notre étreinte dure ce qui donne un bruit de clapotis.
Son visage change d’expression et il se raidit pendant que je ressens les tremblements de sa queue pendant qu’elle déverse du sperme dans mon vagin.
Il récupère un peu avant de se retirer et descendre de la table.
Il s’essuye le pénis avec de l’essuie-tout et m’en tend, jen fais autant pour ma chatte.
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Il regarde l’horloge accochée sur un mur.
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Il prend un rouleau et étale sur le sol du papier dont il se sert pour protéger la table de massage.
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Il s’allonge sur le sol, je me mets à genoux à l’inverse de lui.
Je caresse puis masturbe son pénis pendant qu’il caresse mes fesses puis il masturbe mon clitoris.
<<ça t'ennuie si je m'occupe de ton cul>>.
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tout en continuant à s’occuper du clitoris un de ses doigts titille mon anus puis s’enfonce dedans.
Comme il commence à bander ma langue lèche sa queue avec ardeur puis je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides de mes lèvres, le gland bute dans ma gorge sans que je puisse faire pénétrer tout le membre dans ma bouche.
longtemps un puis deux doigts s’agitent dans mon anus qu’il cherche à élargir. Quand ses doigts en sortent c’est pour aller chercher du liquide (sperme et mouillure dans ma chatte) pour le lubrifier.
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Il prends un tube qu’il avait posé à côté de nous, dévisse le bouchon et met une bonne quantité de produit sur mon anus puis le répartit à l’intérieur avec ses doigts.
Je me positionne à genoux faisant bien ressortir mes fesses en creusant le dos.
Mon amant se met à genoux derrière moi.
Sa queue bute contre mon anus, les mains accrochées à mes hanches il pousse avec le poids de son corps.
Lentement la verge s’enfonce faisant sa place dans mon cul qui n’est pas encore dimensionné pour la recevoir.
Je ferme les yeux attentive à ce qui se passe dans mon corps.
Il prend son temps, s’arrêtant parfois pour éviter de me faire mal, la queue continue à pénétrer mon cul en repoussant les parois puis je sens les testicules contre mes fesses.
<<ça va tu ne souffres pas>>.
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La queue commence doucement à faire des va-et-vient dans mon fondement puis il accélère progressivement les coups de reins sentant moins de résistance à la pénétration.
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Tout en me défonçant le cul il martyrise mon clitoris.
Avec les va-et-vient de la verge en moi et la torture qu’il inflige à mon clitoris le plaisir remonte vite dans mon ventre et il arrive à ce qu’il voulait, je jouis arrosant sa main de ma cyprine.
Malgré qu’il cesse de remuer de temps en temps pour ne pas éjaculer trop vite du fait que sa queue est bien enserrée dans mon cul il jouit peu après moi déversant son sperme dans mes intestins.
Nous nous nettoyons un peu et remettons nos vêtements.
Nous parlons un peu de notre ressenti concernant nos ébats sexuels pendant qu’il me note la dâte et l’heure du prochain rendez-vous.
Il est content du bon moment passé, moi aussi.
Je sors du cabinet et lui dit « au revoir monsieur » pendant qu’il appelle le patient suivant qui a du patienter un moment et certainement s’impatienter.
Si la première semaine j’ai eu deux rendez-vous pour la deuxième Serge m’en a donné autant.
Il me restera des séances à faire, j’en parle à mon mari qui me dit que nous pouvons nous organiser pour les faire ici.
Finalement nous allons prolonger notre séjour dans la région afin que je puisse continuer et terminer les soins.
Evidemment pour moi le but est aussi de profiter de la belle et grosse verge de Serge le kiné, comme il est aussi intéressé c’est parfait.
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