Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe mobiles

Quelques jours de vacances.

Quelques jours de vacances.



Cette année encore, je vais passer quelques jours chez mon amie. Elle vit seule, dans un petit appartement au centre-ville. Comme elle travaille de 13 à 19 heures, nous passons nos matinées et soirées à papoter, sur des sujets des plus variés.

Les après-midi, je suis donc seule et ce n’est pas pour me déplaire. J’en profite pour me promener. Le golfe du Morbihan est très touristique, mais fin mi-juin, c’est encore assez calme et avec un peu de chance, il peut faire assez beau temps.

L’année dernière j’avais repéré quelques endroits, plutôt tranquilles, face à l’océan. J’y retourne donc cette année avec une idée précise en tête. J’ai tout préparé, crème solaire, livre de poche, chapeau et la robe que j’ai choisie car elle est parfaitement adaptée à l’activité que j’ai prévue. En coton léger, gris clair avec des imprimés plus foncés qui font penser à des fougères, serrée par une large bande élastique juste sous la poitrine elle m’arrive aux genoux. C’est à l’arrière du van aménagé que je vais me préparer.

J’ôte tous mes vêtements pour ne me vêtir que de cette unique robe, de mon chapeau et de mes lunettes de soleil. Mon sac de plage contenant une serviette et un livre en bandoulière me voilà partie pour rejoindre un petit paradis de quiétude.

Je ne peux accéder aux rochers qu’en passant par la plage que je longe les pieds dans l’eau fraiche mes chaussures à la main. Après un parcours de rochers en rochers, j’arrive à destination. De grands rochers de granit avancent dans l’océan en direction de Belle ile, la mer s’engouffre entre eux produisant des embruns iodés.

Je m’installe assise sur ma serviette, les pieds dans l’eau. Le soleil est à son zénith et s’il n’y avait cette brise marine, je pense que j’aurais très chaud.

Je reste un moment comme cela profitant du paysage et de l’ambiance du lieu. Un coup d’œil furtif à gauche puis à droite, personne en vue. Peut-être que du haut de la falaise l’on peut me voir mais de dos.

Je déboutonne donc ma robe de façon à me faire un profond décolleté, libérant légèrement mes seins de la contrainte sans qu’ils soient totalement libres. Après avoir enduit mon visage, mes épaules, mes seins et mes jambes de crème solaire, en appui les mains posées en arrière, je remonte mes jambes et les laissant serrées, je frotte mes cuisses l’une contre l’autre. De cette façon j’excite mon clitoris tout en douceur. Après ce long exercice d’échauffement, j’écarte en grand les jambes laissant ma chatte profiter pleinement des caresses du vent. Ces préliminaires, en quelque sorte, ont eu une efficacité certaine, car sans avoir à me toucher je sens que je suis humide. Je me redresse avance mes fesses sur le rebord du rocher et commence à me caresser tout en douceur, juste superficiellement d’abord, du plat de la main puis du bout de l’index. Je ne recherche pas l’orgasme, alors que je pourrais rapidement l’atteindre, je pense, vu mon état d’excitation.

C’est un doux plaisir que je ressens à flirter comme cela avec la limite. Lorsqu’il me semble l’atteindre je ralentis et même j’arrête le temps de laisser retombé juste ce qu’il faut l’excitation. On pourrait penser que c’est une forme de masochisme, mais ce n’est pas mon avis. A chaque reprise de ma masturbation j’ai la sensation qu’une batterie interne se charge et comme c’est la troisième après- midi que je joue à ce jeu sans orgasme, je peux vous dire que la batterie est chargée à bloc.

La marée est descendante, la mer c’est éloignée de quelques mètres. Je descends sur la minuscule plage qui s’est formée et vais me rafraîchir les pieds. L’eau est froide, mais je m’habitue progressivement et avance. J’ai remonté ma robe jusqu’au-dessous des fesses. Je scrute les environs, la seule âme qui vive est un goéland qui semble me regarder. Je remonte donc ma robe à la taille et avance jusqu’a avoir l’eau jusqu’en haut des cuisses. J’en profite pour rafraîchir ma chatte devenue un petit peu poisseuse. Lorsque j’entends un bruit, sens une présence, instinctivement je laisse tomber ma robe. Je me retourne brusquement, le goéland a disparu mais je suis seule.

Bon ! Ma robe est trempée, elle me colle à la peau. Rien de bien grave si ce n’est que comme cela un large triangle brun se dessine par transparence à mon entre jambe, nul doute que je n’ai pas de culotte, nul doute non plus sur l’entretien de mon intimité. Oui je garde mes poils.

Bon je reprends position sur ma serviette, ma robe va rapidement sécher je pense !

Cette petite frayeur m’a refroidi et il me faudra un certain temps pour retrouver du plaisir à mes caresses.

Je fais rouler mon clitoris du bout de mon majeur alors que de deux doigts de l’autre main je le maintien érigé hors de son capuchon. Je ne me pénètre que pour recueillir de mes secrétions intimes comme lubrifiant. Je retrouve l’état d’excitation d’avant ma baignade. Il me faut à nouveau arrêter pour reprendre. A chaque fois je m’approche de plus en plus « dangereusement de la limite, jusqu’a sentir que je l’ai dépassée. Je m’active frénétiquement sur mon clito, sens le feu envahir mon ventre et l’énergie accumulée par tant de retenue se libère violemment dans tout mon corps. Je joui !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire