Ma femme Sophie se libère
Une petite présentation s’impose. Je m’appelle Patrick, trente-cinq ans, et je suis marié avec Sophie, trente-trois ans, depuis maintenant sept ans. Nous filons le parfait amour comme au premier jour. Pour me décrire, je suis de taille moyenne, brun, un physique plutôt commun. Sophie, elle, est une belle femme aux longs cheveux bruns et aux formes harmonieuses. Ses seins et ses fesses ne sont ni trop gros ni trop petits, j’en suis fou. Sur le plan sexuel, tout s’est toujours bien passé entre nous, même si Sophie a toujours été bien plus timorée que bien de mes ex. Mais cela n’est pas le plus important pour moi, je l’aime comme un fou. Notre union a été bénie il y a deux ans avec la naissance de notre fils, Théo.
Comme pour certaines femmes, la grossesse de Sophie a été accompagnée par une légère prise de poids, mais rien d’impressionnant, contrairement à l’image qu’elle s’est mise en tête. Elle qui était si fière de sa taille fine s’est imposé de nombreux régimes pour la retrouver une fois l’accouchement passé. Depuis ce moment, Sophie s’est montrée encore plus réservée en public, comme si elle avait honte d’elle. Un état que je combats depuis le début en lui répétant sans cesse qu’elle était toujours belle et qu’elle l’était même durant sa grossesse. Mon insistance a fini par porter ses fruits, car ce soir, Sophie a accepté de sortir avec moi au restaurant. Elle a même accepté de laisser Théo pour le week-end chez ses parents.
Pour l’occasion, j’ai invité Sophie dans un restaurant plutôt chic. Nous nous mettons donc sur notre trente-et-un. Alors que je passe la veste de mon costume gris, je vois Sophie sortir de la salle de bain. Elle est absolument magnifique ce soir. Elle est vêtue d’une robe noire avec de fines bretelles qui dessine bien sa poitrine et qui lui descend jusqu’au milieu des cuisses. Elle a attaché ses cheveux en chignons à l’arrière du crâne. Son maquillage est léger, mais le rouge à lèvres qu’elle porte est un appel aux baisers. Je me rapproche d’elle et l’embrasse tendrement. Elle répond à mon baiser avant de se dégager en sentant mon empressement et mes doigts qui se font baladeurs.
— Soit sérieux. Nous allons être en retard. Si tu veux faire des folies, il faudra attendre que nous soyons rentrés du restaurant.
Une réflexion que je retiens et que je compte bien lui rappeler le moment venu. Je l’aide à remonter la fermeture dans le dos de sa robe. Nous sommes prêts, il est temps d’aller au restaurant.
Après une demi-heure de voiture, nous arrivons enfin en ville. Nous roulons encore quelques minutes avant d’arriver au parking.
— Pourquoi te gardes-tu ici ? Il y a un parking bien plus proche du restaurant.
— Je sais, mais il est en travaux.
— Mince, j’avais oublié. Je n’aurais pas dû mettre de tels talons.
— Et me priver de la délicieuse courbure de tes fesses ?
— Patrick !
Elle me sourit et je me penche vers elle pour l’embrasser. Elle reste au début timide, elle n’a jamais apprécié m’embrasser en public, puis je la sens se relâcher et y mettre beaucoup de fougue. Elle est encore dans la voiture, elle se sent à l’abri des regards. Je regrette de devoir quitter ses lèvres, mais notre table nous attend. Nous sortons de la voiture et je passe un bras autour de sa taille pour l’aider à marcher.
Avec un temps aussi chaud, les rues sont toujours bien remplies. Nous croisons beaucoup de monde et j’ai le plaisir de constater ce que je n’arrête pas de répéter à Sophie, elle est belle. Bien des hommes se retournent à notre passage et pas seulement des hommes seuls ce qui vaut à certains des réflexions de leur partenaire.
Je me décide à faire remarquer à Sophie que beaucoup la trouvent désirable.
— Idiot, ne dis pas de telles choses.
Sophie fait celle qui s’en moque, mais je vois bien qu’elle se met à guetter du coin de l’œil les réactions qu’elle inspire aux hommes. Elle ne peut retenir un léger sourire devant tous ces yeux qui se posent sur elles.
Une envie subite de jouer de cette situation me prend. La main que je gardais contre la taille de Sophie glisse jusqu’à ses fesses. Je la sens se crisper devant mon audace. Elle qui n’aime pas s’afficher en m’embrassant, vous pouvez imaginer sa réaction face à un tel geste.
— Tu es fou ? souffle-t-elle. Retire ta main, murmure-t-elle en me fixant du regard.
Je soutiens son regard, puis je lui souris au moment où ma main se fait encore plus audacieuse et serre fermement sa fesse. Le rouge lui monte aux joues, mais elle ne réagit pas de peur d’attirer l’attention sur elle.
— Arrête ça.
— Tu n’aimes pas ?
Elle hésite un instant.
— Si, mais pas ici.
J’aurais voulu continuer ce petit jeu, mais nous arrivons enfin devant le restaurant et je dégage enfin ma main.
Un serveur nous guide vers notre table. Sophie est visiblement heureuse de ce qu’elle découvre. Nous sommes installés dans un petit recoin calme du restaurant et comme je l’avais demandé, la table a été décorée avec des bougies et une rose.
La soirée se passe merveilleusement bien. Chacun des plats que l’on nous sert est un délice tout comme les bouteilles de vin. Devant conduire pour revenir chez nous, je mesure ma consommation, mais je ne me prive pas de resservir Sophie qui boit chacun des verres que je lui verse. Tout cet alcool a pour effet d’achever de la détendre. Elle rit sans retenue, me regarde de temps à autre avec un regard que je ne lui connais que dans notre intimité. Son audace va même jusqu’à jouer avec ses pieds qu’elle a libérés de ses talons pour caresser ma jambe. Je savoure avec délice ce moment en espérant que cette ambiance se poursuivra quand nous serons de retour chez nous.
Il doit être près de vingt-trois heures quand nous quittons enfin le restaurant. Je sens que j’ai une tout autre femme entre mes bras alors que nous marchons vers la voiture. Bien que les rues ne soient pas encore vides, Sophie se fait câline. Elle se frotte contre moi, me souffle des mots doux à l’oreille. Agréablement surpris par son comportement, je cherche à éprouver à quel point elle se relâche en remettant une main sur ses fesses. Cette fois-ci, sa réaction est opposée à tout à l’heure, elle me lance un grand sourire. Je profite de ce moment pour la caresser comme je l’entends. Ma main se fait baladeuse et glisse de ses fesses à ses seins sans aucun refus de sa part.
Alors que je m’égare une nouvelle fois sur son sein, je remarque une sensation différente. Je baisse les yeux vers sa poitrine et constate avec plaisir que ses tétons pointent. La fin de soirée s’annonce décidément sous les meilleurs auspices.
Tout en marchant, je réalise que le parking où nous sommes garés se trouve à côté d’un petit parc. Une image me vient aussitôt à l’esprit, une image délicieuse perverse, et je décide de tenter ma chance. Arrivé devant l’entrée du parc, je dirige Sophie à l’intérieur. Un changement d’itinéraire qui malgré son relâchement la surprend.
— Pourquoi passes-tu par là ?
— Parce que c’est plus agréable que de rester sur le trottoir.
Le parc est assez sombre. Quelques lampadaires diffusent une maigre lumière alors que nous marchons. Une fois atteint le cœur du parc, je m’arrête soudain. Sophie n’a pas le temps de comprendre ce qui se passe, je la serre contre moi avant de me mettre à l’embrasser comme un fou. Une fois de plus, j’ai la délicieuse surprise de la découvrir très réceptive. Nous nous embrassons ainsi comme des fous pendant près d’une minute. Quand mes lèvres quittent les siennes, c’est pour venir s’écraser contre son cou. C’est l’un de ses points sensibles et je la sens un peu plus fondre sous mes baisers et mes coups de langue.
— Hum oui, ne t’arrête surtout pas.
Encouragées par Sophie, mes lèvres se font plus aventureuses et descendent jusqu’à ses seins. Elle continue d’accepter ce que je lui fais. Elle se met même à pousser des petits soupirs de plaisirs. Ses petits gémissements et son souffle chaud à mon oreille me poussent à aller encore plus loin. Je fais glisser la fermeture éclair dans son dos afin de pouvoir dégager l’un de ses seins de sa robe. Comme je le pensais, ses tétons pointent. Je me jette dessus et me mets à le lécher et l’aspirer. La réaction de Sophie est immédiate. Ses gémissements s’accentuent. Trop, car soudain elle semble se rappeler que nous sommes exposés à la vue de qui traverserait le parc.
— Non. Arrête, on ne peut pas faire ça là. On pourrait nous surprendre.
Je ne l’écoute pas et m’attaque à son autre sein.
— Hum, non… pas ici. À la maison.
Je suis trop excité pour attendre jusque là. Je quitte enfin ses seins pour emmener Sophie vers un coin plus calme du parc. Sophie essaie encore de me convaincre d’arrêter, mais sa voix est faible et elle y met peu de conviction.
À l’abri du premier badaud venu, je me jette de nouveau sur ses seins que je caresse et je lèche comme si je les découvrais pour la première fois. Sophie se remet à gémir de plus belle.
Emportée par l’excitation, je sens soudain la main de Sophie venir se poser sur ma braguette qu’elle ouvre sans attendre pour se saisir de mon pénis. Je me redresse et nous nous embrassons.
Mes lèvres prennent possession de son cou et remonte pour lui murmurer à l’oreille.
— Branle-moi.
Sa réaction est immédiate et je sens les doigts de Sophie se resserrer sur ma bite avant de se mettre à la caresser. Mes mains ne sont pas inactives elles non plus. Après avoir relevé la jupe de Sophie, mes doigts parcourent ses fesses et s’insinuent sous sa culotte.
— Hum !
Je pousse un petit gémissement quand je sens Sophie sortir mon pénis de son boxer et se mettre à le branler énergiquement. J’espérais bien passer une bonne soirée avec ma femme en l’emmenant au restaurant, mais pas à ce point-là. Je n’aurais jamais cru me retrouver dans un parc avec Sophie à moitié nue s’agenouillant devant moi. Sophie lève des yeux pleins de désir. Elle joue avec sa langue sur ses lèvres avant de se rapprocher de mon gland dressé. Je sens son souffle contre mon pénis.
— Vous reprendrez bien un peu de dessert ? dis-je.
Sophie me sourit et aussitôt elle pose sa langue sur mon gland. Elle se met à jouer avec, à le lécher avec envie.
— Hum, je vais me régaler.
Sophie enfonce lentement ma bite au fond de sa bouche en me fixant dans les yeux. Elle est vraiment déchaînée ce soir, elle me gratifie d’un plaisir trop rare, une gorge profonde. Elle reste de longues secondes ses lèvres appuyées contre mon pubis avant de recracher lentement ma queue pour mieux la ravaler.
— Hum ! Oui, c’est bon ! Continue.
Sophie poursuit ses va-et-vient. Par moment, elle garde mon gland au bord de ses lèvres pour jouer avec sa langue dessus.
Elle finit par recracher mon pénis et se met à le branler énergiquement en me fixant avec ses yeux de chatte en chaleur.
— T’aimes ça mon salaud. T’en as toujours rêvé de me voir te sucer ainsi ?
— Oh ! oui, putain, t’arrêtes pas.
Sophie joue avec moi. Elle refuse de reprendre sa fellation et fait glisser sa langue le long de ma bite. Cette sensation est aussi délicieuse que difficile à supporter. Au moment où elle se remet à jouer avec mon gland, je pose une main autour de son chignon pour la forcer à reprendre ma queue en bouche. Mon geste surprend Sophie qui tente de se dégager, mais je ne la lâche pas et me mets à baiser sa bouche. Elle pousse des bruits de succion absolument délicieux qui me poussent à maintenir ma prise et mon rythme. Sophie commence à avoir des larmes au bord des yeux, mais elle me regarde avec toujours le même désir. Je m’amuse à limer le fond de sa gorge avant d’enfin la relâcher. Sophie se met à tousser et à cracher, elle semble avoir du mal à reprendre son souffle. J’ai peur d’y être allé trop loin, mais je me trompe totalement.
— Encore.
— À tes ordres, ma belle salope.
Je repose mes mains dans ses cheveux et recommence à baiser sa bouche et cette fois-ci je ne me retiens absolument plus. Je m’enfonce entièrement dans des va-et-vient puissants et rapides. Jamais je ne l’ai encore prise ainsi, avec une telle intensité. J’adore.
Alors que j’abuse sans modération de la bouche de Sophie, je remarque soudain une ombre étrange au milieu des arbres. J’essaie de ne pas y penser, de profiter du moment présent, mais mon attention est de nouveau attirée vers les arbres. Cette fois-ci, il n’y a pas de doute, je remarque distinctement la silhouette d’un homme. Je ne sais pas comment réagir. Dois-je tout arrêter et dire à Sophie que nous finirons à la maison ? Dois-je lui dire de partir ? Dois-je continuer ?
Sophie remarque qu’il se passe quelque chose à mon rythme qui ralentit. Elle se dégage de mon étreinte.
— Continue, ne ralentit pas. J’en veux plus. Baise-moi, baise ma bouche. Vide-toi au fond de ma gorge mon salaud. Fais-moi avaler ton jus.
Ces quelques mots sont comme une décharge électrique. Elle veut boire mon sperme alors qu’elle me l’a jusqu’ici toujours refusé et que je peux me sentir heureux quand elle accepte que je jouisse seulement dans sa bouche. Je n’ai plus aucune hésitation, je vais aller jusqu’au bout, même si l’on nous observe. À vrai dire, alors que je me remets à la limer en profondeur, l’idée d’être vue commence à m’exciter. Une excitation que Sophie ressent dans mes coups de bites au fond de sa gorge. Elle a de plus en plus de mal à supporter mes va-et-vient, mais je maintiens ma prise pour qu’elle ne puisse pas se dégager.
Pendant de longues minutes, j’éprouve les limites de la bouche de Sophie. Ma femme se laisse totalement faire, elle est soumise à mes assauts. Je vois des larmes couler sur son visage, emportant avec elle son maquillage. Elle salive abondamment, ma bite est inondée et je constate que ces seins sont eux aussi brillants de bave. Malgré tout le plaisir que je prend, que je voudrais éprouver des heures durant, j’arrive bientôt à ma limite, je le sens.
— Prépare-toi, salope. Je vais gicler, je vais remplir ta bouche de sperme et tu vas tout avaler.
Sur ces mots, je me lance dans un dernier pilonnage intensif avant de me figer au fond de sa gorge.
— Oui, putain, je jouis ! Rahhh !
J’explose littéralement. Je déverse une quantité de foutre impressionnant, la plus grosse depuis bien longtemps. Il y en a trop pour Sophie qui n’a pas l’habitude et elle essaie de se dégager. Je resserre aussitôt mes mains dans ses cheveux.
— Avale !
Lentement, je sens les mouvements de succion de Sophie, elle avale consciencieusement tout le sperme que je lui envoie. Je jette un rapide coup d’œil vers notre voyeur et je jurerais que le salaud est en train de jouir lui aussi. Ma source de sperme se tarit enfin et je relâche Sophie. Elle reste un moment immobile, comme dans un état second. Je m’approche d’elle et frotte ma bite contre sa joue.
— Alors, tu aimes le goût de mon sperme.
— Hum, oui.
— Ne t’inquiète pas, tu en auras encore. La nuit ne fait que commencer.
…
(une suite ?)
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