Me voila en train de préparer ma valise. C’est mon premier voyage de femme « libre »…
Je plie soigneusement mes affaires, mes sous-vêtements en soie, mes jupes, mes chemisiers et mes bas.
Cela me fait tout drôle.
Paul un ami, m’attend déjà dans la voiture pour m’emmener à la gare.
J’ai décidé par provocation peut-être de m’affirmer en m’habillant d’une jupe courte dont il a tant rêvé et que je lui ai pourtant toujours refusée…
Peut-être pour me prouver quelque chose …
J’enfile mes dim-up et me voila prête pour prendre le TGV, direction Paris…
Paul descend pour m’ouvrir la porte et ranger la valise dans le coffre :
« tu es magnifique ! » me lance-t-il avec un clin d’œil;
Et nous voila partis pour la gare.
Paul conduit avec une main sur ma cuisse et me caresse en haut de mon bas…
Je me love contre lui. Cela fait 30 ans que nous nous sommes connus. Et jamais nous n’avons été ensembles.
Arrivés à la gare, Paul m’emmène à la voiture 2 où j’ai une place en 1° classe.
Me voilà assise très tendue et décidée à la fois.
C’est une des premières fois que je pars seule.
Et cette fois, c’est un départ très particulier. J’ai laissé à la maison tous mes principes, mes blocages, mes freins accumulés de par mon éducation pour tenter de vivre une vie de femme « libre » à Paris pendant une semaine.
J’ai peur, mais j’ai décidé de me lancer.
Je veux tenter cette expérience si souvent évoquée avec une amie.
Paul me dit souvent que je ne sais pas lâcher prise, que je me retiens trop.
Moi, je trouve que j’en fais déjà beaucoup, mais avec Paul, c’est toujours plus.
J’appelle mon ami : Monsieur PLUS.
D’un autre côté, il a peut-être raison. Il est possible que je passe à côté de plaisirs inconnus.
Lorsque nous faisons l’amour, il me parle de la participation d’un autre homme pour que j’atteigne des plaisirs insoupçonnés, ou d’une autre femme.
Des fois, Paul me caresse sur la plage et me donne du plaisir. Des voyeurs nous observent. Cela m’excite et me bloque à la fois.
Je pense que c’est la présence de Paul, son regard, qui me coincent, où qu’il soit marié.
J’ai peur qu’il m’aime plus que sa femme, et son brin de jalousie s’il me voit prendre du plaisir avec d’autres hommes.
Il m’assure que non, mais c’est plus fort que moi.
Aussi, Paul m’a proposée de partir seule et de tenter de vivre une vie différente afin de ne jamais avoir de regrets.
Une seule condition : lui raconter les rencontres s’il y en a.
À la fois pour des raisons de franchise, mais aussi de sécurité : on ne sait jamais.
Je pense que cela l’exciterait également, le coquin.
Paul me trouve magnifique, séduisante, sexy, « bandante » comme il dit.
Pour lui je suis une femme parfaite aux talents de « baiseuse » expérimentée …
Pour moi, je ne suis qu’une femme ordinaire, avec trop de kilos et qui ne peut rivaliser avec les filles de papier glacé.
Nous verrons bien…
Mes pensées sont soudainement interrompues par un homme qui tousse près de moi. Je le regarde surprises.
Il me fait comprendre que je suis assise à sa place…
Nous confrontons nos billets et effectivement, je suis assise côté fenêtre et lui, à mon côté, côté couloir.
Son sourire me déstabilise et son regard appuyé sur mes jambes me fait prendre conscience que ma jupe courte est remontée, mes cuisses sont découvertes et l’on aperçoit la lisière de mes bas.
Je me sens rougir en tentant de tirer ma jupe sans succès.
C’est vrai que j’avais oublié que j’avais voulu mettre cette satanée jupe trop courte.
Et voilà où cela m’amène !
Du coup, pour me protéger du regard de cet homme que je sens coquin, je glisse mon manteau sur mes jambes.
Ça y est, le train démarre… C’est le début de mon aventure.
Très rapidement, le bruit lancinant du train, associé au stress de ce voyage initiatique m’endort et me voilà à rêver.
Je repense encore une fois à tous ces purs instants de bonheur que j’ai passés avec Paul.
Toutes les jouissances, tous les plaisirs qu’il a su me donner…
Je m’abandonne pour revivre ces moments torrides.
Je sens mon sexe qui se contracte et mes mamelons qui durcissent…
Ma main, cachée par mon manteau se glisse sous ma jupe pour toucher mon sexe humide.
Inconsciemment, j’écarte l’élastique de mon string pour me caresser mon clitoris tout gonflé de désir. Je me laisse aller…
C’est à cet instant que je sens qu’une main effleure ma cuisse pour venir se nicher en haut de mes bas…
Je suis trop excitée pour m’arrêter et c’est à cet instant que je repense à tout ce qui a provoqué ma décision de vivre cette semaine, et je me dis, que c’est maintenant ou jamais et que je ne peux plus reculer…
Je ferme encore davantage les yeux pour voir où cela va m’entraîner…
Mon voisin commence à me caresser la cuisse.
Je suis tendue, j’ai les jambes qui tremblent.
Tout m’électrise. Je sens sa main qui s’arrête, j’ai envie de crier « encore, encore », plus haut.
Machinalement, j’appuie sur le bouton de mon siège pour le basculer en arrière au maximum.
Ce mouvement fait glisser la main de mon coquin qui remonte vers le haut de mes bas.
Je serre mes cuisses pour enserrer mon bourgeon que je sens gonflé de désir.
Jamais je n’aurais imaginé une telle situation, en plus avec un inconnu.
Me voilà toute à sa merci.
Comment est-ce possible ? Et cette envie de crier qui revient…
Je serre mes cuisses, j’écarte mes cuisses pour que cette main inquisitrice vienne prendre possession de mon antre de plaisir.
Et cet homme qui prend tout son temps, il va me rendre folle….
Ça y est, je sens sa main qui repart, qui redescend, mais que fait-il ?, c’est un supplice…
Je n’ose remettre ma main sur mon sexe, je la glisse vers mon téton que je sens tout durci à travers la soie.
Je pince fort celui-ci.
Je n’en peux plus.
Et puis, je sens cette main qui remonte, qui franchit enfin la limite du bas pour atteindre ma peau nue.
Elle s’arrête pour prendre possession de ma cuisse, je sens ses doigts qui glissent sous l’élastique de mon dim-up, et puis, enfin, cette main qui s’infiltre à l’intérieur de mes cuisses pour venir jouer avec l’élastique de mon string détrempé.
C’en est trop, je me sens me cambrer pour m’offrir à cette main libératrice …
Je sens enfin ses doigts venir effleurer mon bourgeon qui explose littéralement sous cette caresse.
Je mords mes lèvres pour ne pas crier.
Mes cuisses se referment.
Je veux garder cette main génératrice de ma jouissance car je sens qu’elle est encore là à fleur de peau et que je peux jouir encore, que je veux jouir encore…
La main et moi ne bougeons plus pendant quelques minutes. Le temps que je reprenne mes esprits.
Lorsque j’ouvre les yeux, je vois mon bienfaiteur de voisin qui me sourit.
Un sourire craquant. Un sourire que je ne peux m’empêcher de lui rendre, avec rapidement un geste de recul bien incontrôlé.
J’ai quasi simultanément découvert son sexe imposant qui sortait de son pantalon.
Il me regardait en se caressant…
Que devais-je faire ? Je me mis aussitôt à perdre les pédales.
Je ne m’étais jamais trouvé dans cette situation.
Je ne pouvais pas rester comme une bécasse, et puis, cette belle queue me donnait envie.
Et j’étais parti pour profiter de la vie, pas pour m’enfermer dans un couvent.
Je me penchais pour venir taquiner le gland de bonne taille avec ma langue.
Sa queue était douce et gonflée de désir.
Voilà une queue qui me désire, c’est plutôt flatteur, me dis-je.
Cet homme, si mignon. Il doit bien avoir 10/15 ans de moins que moi, et il me désire.
Et si sa bandaison est à la hauteur de son désir, je dois être très bien placée sur son échelle de tentation …
Je me mis à l’avaler, à la lécher, à la titiller; Qu’elle était bonne !
Je ne me préoccupais plus du lieu, ni de quoi que ce soit. Un seule chose m’importait. C’est cette queue que je voulais faire craquer, faire exploser dans ma bouche…
Je tentais de l’enfoncer loin dans ma gorge car je sais que les hommes sont friands des gorges profondes, mais j’étais limitée par ma bouche et par les proportions de l’engin. J’étais un peu frustrée de ne pas pouvoir lui lécher les bourses, mais son pantalon m’empêchait de descendre plus bas.
J’allais et venais avec ma langue.
Je venais taquiner la base du gland avec mes dents, j’embrassais ce méat qui allait me faire cadeau de sa délicieuse semence.
Ma main montait et descendait la hampe de chair.
De temps en temps, je levais la tête pour regarder mon amant du moment, il avait la tête en arrière, il souriait béatement.
Il se laissait faire. Je devais bien me débrouiller alors.
Et puis j’ai senti ses muscles se tendre, je me suis donc préparée à recevoir son délicieux nectar.
J’ai gobé son gland pour ne pas perdre une goutte de celui-ci et puis, c’est parti.
Un, deux, trois jets de son sperme épais et laiteux qui est venu tout au fond de ma gorge.
J’ai eu un haut de cœur.
Je me suis redressée quelques secondes pour avaler son foutre, légèrement salé, et puis, je suis revenue lécher, gober, sucer, tout le jus qui s’écoulait encore.
Je suis restée ainsi plusieurs minutes, tétant son sexe comme un biberon.
Mon amant me caressait la tête. J’étais bien, et apparemment lui aussi.
Et puis, je me suis redressée. Nous nous sommes souris sans dire un mot.
Nous souhaitions garder ce moment magique et nous sentions que tout cela aurait été brisé avec les mots.
Je me suis levée pour aller aux toilettes.
En passant devant lui, il m’a bloquée quelques secondes.
j’ai senti ses mains me remonter la jupe pour mettre mes fesses à l’air.
Il m’a caressé mon derrière. Je me suis laissée faire. Je me suis même cambrée en écartant les jambes, pour lui offrir mon postérieur.
Il a apprécié. Il m’a encore gardée en prenant un malin plaisir pour me fouiller entre les cuisses…
J’ai cru qu’il allait me baiser là.
Mes jambes commençaient à flageoler. Mais non. J’ai senti ses mains rabattre ma jupe, non sans m’avoir auparavant embrassé langoureusement les fesses.
Quand je suis revenue à ma place, mon prince charmant avait disparu !
Je me suis lovée dans mon fauteuil, j’ai fermé les yeux pour repenser à ma dernière folie et je me suis sentie m’endormir, un doux sourire aux lèvres.
Le retour de mon voisin m’a sortie de mon sommeil.
Il m’a demandée de l’excuser de m’avoir réveillé tout d’abord, ensuite de m’avoir abandonné quelques instants.
Pour reprendre des forces, il était parti prendre un café au bar et là, il avait rencontré un de ses amis, patron de garage comme lui.
Et ils avaient parlé affaires avant d’aller à la convention annuelle des concessionnaires BMW qui avait lieu le lendemain à Paris dans un contexte économique difficile.
C’est ainsi que j’appris que mon voisin était « garagiste »!!! Il possédait le garage BMW de Montpellier.
Nous avons profité de la fin du voyage pour mieux nous connaître.
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