Cette histoire s’est passée il y a une vingtaine d’années.
Je m’appelle Sébastien et j’avais 18 ans à l’époque, 1 sœur qui avait déjà quitté la maison familiale. Ma mère, Mathilde, 43 ans, est secrétaire de direction, jolie brune aux cheveux ondulées de 1,60m et 50 kg, jolies fesses rebondies et petits seins. Mon père, Louis, du même âge est ouvrier.
Ma mère s’habille assez classiquement pour le boulot, jupe ou robe arrivant en-dessous du genou, chemise et veste. Elle fait de bonnes journées, terminant souvent vers 19h.
Un soir de juin, elle nous annonça un déplacement de 3 jours en clientèle à Toulouse avec son patron, chose très rare mais pas illogique. Cette ville était à 100 km de chez nous. Elle devait partir un lundi matin pour rentrer le mercredi soir, soit 2 nuits sur place.
Son boss, Alain, était un homme pas mal, la cinquantaine, marié, 1m85, musclé, élégant, le teint un peu buriné car gros fumeur et assez sûr de lui mais pour moi pas mieux que mon père.
Le dimanche matin qui précédait, elle prépara donc son sac puis alla se laver. Mon père était absent pour un match de basket.
Persuadé qu’elle avait terminé de se préparer, je rentrais dans la salle de bain pour me laver également. Ma mère y était encore et elle était nue dans la baignoire. Elle essaya de cacher sa nudité mais maladroitement. Elle tenait un rasoir pour femme à la main. Elle était manifestement en train de s’épiler la foune et cela me troubla. Sa chatte était superbement taillée, formant un joli triangle mais avec peu de poils. Je ressortais un peu gêné mais pas autant qu’elle et elle termina vite sa besogne.
Vers 10h, elle m’appela pour m’annoncer qu’elle allait acheter le pain et serait absente une demi-heure.
Etant seul, je passais devant la chambre de mes parents quand mon regard fut attiré par les affaires que préparait maman. Du classique mais un joli tailleur rose avec jupe relativement courte par rapport à ce qu’elle porte habituellement.
Mais ce sont surtout les dessous qui ont capté mon attention. Et oui, à 18 ans, même si ce sont les slips de sa mère, ça travaille ! Quatre jolies culottes en dentelles blanches et roses plus que sexy, transparentes, étaient alignées sur le lit. Les soutiens-gorges étaient assortis et tout aussi sympas. Une nuisette noire satinée était également pliée.
J’étais surpris car je n’avais pas l’habitude de voir ces dessous dans le bac à linge sale et en déduisait qu’ils étaient récemment achetés.
Comme je les prenais en main, quelque chose qui était caché entre 2 culottes tomba par terre et me fit sursauter : une boite neuve de 6 préservatifs !
Alors là, j’étais stupéfait mais ça paraissait clair : ma mère trompait mon père avec son patron !
J’essayais de me raisonner, de trouver une autre explication. Ce qui me rassurait c’est que je reconnaissais la marque utilisée par mes parents (j’avais vu une même boîte un jour à un retour de courses), mais j’avais quand même de gros doutes.
Ma mère rentrant à la maison, je remettais tout en place rapidement.
J’étais perturbé mais j’essayais de ne pas le montrer.
Le reste du dimanche se passa normalement mais je la sentais un peu énervée. Elle finalisa son sac le soir.
Toujours intrigué par ce que j’avais vu le matin, je profitais d’un moment où chacun vaquait à ses occupations pour jeter un œil sur le contenu. Les jolis dessous étaient bien rangés, un préparé pour le lendemain (le plus joli, celui en dentelle blanche très transparente) avec le tailleur mais pas de traces des capotes. Je regardais sur la table de nuit, la boîte était posée dessus. Ouf !! Je m’étais fait des idées. Mais à y regarder de plus près, l’emballage de la boîte avait été enlevé et à l’intérieur de la boîte manquait 2 étuis…
J’aurais voulu savoir ce qui se passait à Toulouse. Je connaissais le nom de l’hôtel où ils devaient descendre même si je me doutais bien qu’il me serait impossible d’y accéder.
Le lundi matin, elle se prépara normalement, son patron devait venir la chercher vers 10h. Papa était déjà parti au boulot. Quant à moi, ma journée de fac devait débuter à 9h. Je prenais mon temps mais je voyais ma mère souvent regarder l’heure.
Je m’apprêtais à partir vers 8h30h, je lui fis une bise, elle sentait super bon, était bien maquillée (comme d’habitude d’ailleurs) et très élégante dans son tailleur.
J’étais dégoûté pour mon père et moi car j’étais persuadé qu’elle mentait et que je ne pourrai rien vérifier mais aussi excité de savoir qu’elle allait passer du bon temps en clientèle.
Arrivé à la fac, j’appris que la prof était malade. Je décidais donc de revenir à la maison. A mon retour, la voiture d’Alain était garée juste devant. Normal d’ailleurs puisqu’il l’horloge affichait 9h45.
Mais j’étais curieux de voir si un moment d’intimité amoureuse existait entre eux.
J’entrais donc très doucement dans la maison et je tendis l’oreille. Arrivé dans la cuisine, j’avais une vue sur le salon où ils prenaient un café l’un face à l’autre, tranquillement, en discutant apparemment de choses et d’autres mais j’entendais mal. Je m’étais fait des idées…
Ils ne pouvaient pas me voir et en cas de problème, je pouvais aussi me planquer sans trop de difficulté dans la pièce contigüe servant de réserve.
Alain alluma alors une cigarette et chose surprenante en offrit une à maman (nous étions tous non fumeur dans la famille, mon père étant exigent là-dessus), qui l’accepta et se la fit allumer.
A sa manière de tirer dessus (très sexy), je voyais bien qu’elle n’était pas une fumeuse occasionnelle et d’ailleurs 2 mégots étaient déjà dans le cendrier. Ses cheveux sentaient souvent le tabac mais elle disait que ses collègues fumaient dans son bureau (c’était autorisé dans les années 90).
Depuis 2 jours, j’allais de doute en surprise !!
Elle arriva vite à la fin de sa cigarette, avant Alain, tira une dernière bouffée, l’écrasa dans le cendrier et de manière surprenante mais terriblement excitante elle souffla la fumée vers son boss.
Elle se leva alors et alla l’embrasser sur la bouche. Ca y est, la preuve de l’adultère et de l’infidélité était devant mes yeux !!
Ils échangèrent un long baiser, tout en se pelotant. Je ne ratais rien mais comme il était 10h, je ma disais que cela n’irait pas plus loin pour ce matin et que la suite attendrait l’arrivée à Toulouse.
Mais non !! Se croyant seuls, ils prenaient leur temps et Alain avait commencé à remonter la jupe de Maman et passait la main à l’intérieur de la culotte pour caresser ses jolies fesses. Je devinais une belle bosse dans le pantalon du patron.
Au bout de 2 ou 3 minutes de ce traitement, ma mère ouvrit la braguette du pantalon d’Alain et fit jaillir un sexe de taille fort respectable (20 cm je dirais). Alain lui dit alors qu’il ne voulait pas tâcher son costume et maman souhaita en faire de même pour le tailleur.
En moins de deux, Alain fut nu et ma mère resta en slip mais enleva son soutien-gorge. Elle prit en bouche le sexe du boss et je voyais son fessier onduler au rythme de la pipe.
Alain avait les yeux fermés, elle faisait ça très joliment mais il monta vite en température. Il se dégagea, la retourna presque virilement et baissa sa culotte. Je voyais sa foufoune épilée de fraîche date déjà aperçue la veille.
Ma mère tira alors un sachet de la poche de son tailleur et sortit bien évidemment un préservatif (tout avait été prévu), qu’elle plaça sur le sexe d’Alain.
Il ne tarda pas à la pénétrer très facilement en levrette (je les voyais de profil) et on sentait que l’excitation était telle que l’acte ne durerait pas longtemps. Le sexe du boss allait à la rencontre des fesses de maman à vive allure. J’entendais de manière assez diffuse leurs petits cris de jouissance.
Effectivement, au bout de 10 minutes, je les entendis plus distinctement et Alain resta à l’intérieur de Mathilde quelques secondes sans bouger.
Il retira la capote souillée et embrassa ma mère. Il s’alluma une cigarette et là encore maman accepta sans remords le paquet tendu. Leur cigarette terminée, maman aéra pour éviter que l’air intérieur ne sente le tabac froid (ou autre chose…) et ils prirent ensemble la direction de la salle d’eau avec leurs vêtements pour aller se rafraîchir. Heureusement ils ne devaient pas passer devant la cuisine. Ils réapparurent au bout d’un quart d’heure, habillés de la même manière qu’avant.
Il était déjà 11h et je sentais que le temps leur était désormais compté.
Maman cacha le préservatif usagé dans un papier essuie-tout, vida les mégôts dans un sac, puis prit ses affaires. Elle passa devant Alain pour sortir de la maison, qui en profita pour lui peloter les fesses juste avant de passer le seuil. Elle jeta le sac dans la poubelle extérieure. J’avais eu de la chance, là aussi, la cuisine fut évitée.
Par la fenêtre, je les vis monter dans la voiture et s’éloigner vers un début de semaine excitant…
J’étais résolu à attendre son retour pour en savoir plus sur ces 3 jours…
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