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Le voyeur profite de moi

Le voyeur profite de moi



Après avoir de nouveau subi ces humiliations durant la fameuse soirée de la panne et ensuite dans le parking, comme l’on décidé ces racailles, je passe ma journée sans culotte. C’est vrai que chez moi je reste souvent nue et que je suis adepte du naturisme avec mon mari mais là c’est différent. J’obéis à des voyous et en faisant mes courses, j’ai l’impression que tout les gens que je croise savent que je n’ai pas de culotte. Oui je sais je suis ridicule et je dois reconnaître que d’avoir les fesses à l’air sous mes vêtements me procure d’étranges sensations. Après avoir fait mes courses, les bras chargés de sacs, je me dirige vers ma voiture garée dans le sous-sol du parking. Maladroite comme je suis, les clefs m’échappent des mains. Je les ramasse sans penser que je n’ai plus de culotte.
Je sursaute quand retentit une voix derrière moi.
« Alors on a perdu quelque chose ? Salope  ! »
Je me retourne et me trouve nez à nez avec le voyeur de tout à l’heure accompagné d’un autre mec. Le type s’approche de moi et en me plaquant contre ma voiture, il me dit :
« On va aller chez toi et tu va nous servir l’apéro salope ! »
Je proteste énergiquement :
« Lachez-moi enfoiré ! En plus mon mari va rentrer du travail ! »
Il m’empoigne un sein et me dit :
« On en a rien à foutre de ton mec ! On va s’occuper de toi avant qu’il rentre !»
Je blêmis rien qu’à l’idée qu’il vont rentrer dans ma maison. Je ne vais pas emmener ces satires chez moi.C’est impensable. Le type me voyant comme prostrée commence à ouvrir mon haut et à montrer mes seins à son ami. Tout en continuant à les triturer, les malaxant sans douceur. Je suis affolée à l’idée que des inconnus me traitent ainsi. Je les supplie mais rien y fait.
Comme je ne bouge pas et que je suis pétrifiée, le type ramasse les clés de ma voiture et s’installe au volant pendant que l’autre m’oblige à l’arrière avec lui.
« Ton adresse salope ! »
Comme je ne réponds pas, il fouille dans mon sac et la trouve facilement. Pendant le trajet, il me pelote et fouille ma chatte. Le voyeur dit à son pote :
« Tu vois ! Je t’avais dit que c’était une salope ! Toute à l’heure je l’ai vu se faire mettre par deux p’tites frappe du coin ! »
J’ose protester en me justifiant :
« C’est faux ! C’est eux qui m’ont agressé et vous en avez profité ! »
Il rigole et me lance :
« Ha oui ? Et c’est pour ça que tu couinais comme une chienne en chaleur ? »
Le mec à l’arrière se met alors à me fister et me branler très vite. Même si je m’y refuse, mon corps réagit rapidement. Une déferlante de plaisir monte en moi et je me met à gémir sas retenue. Je suis au bord de l’orgasme et je me mords les lèvres.

Arrivés devant mon pavillon, je suis trop consciente qu’à ce moment là, je fais entrer les loups dans la bergerie. Les mecs ne perdent pas de temps et m’ordonne :
« Fout toi à poil et donnes-nous à boire femelle ! »
Sous leurs jougs, je me déshabille et déambule nue devant eux pour servir leur whisky. Chaque fois que je m’approche un peu trop près de chacun de ces  invités, une main baladeuse me palpe le cul ou s’introduit dans mon vagin. Inutile de vous dire que dans ces conditions, le service est pénible et humiliant. Celui que j’appelle le voyeur découvre alors sur le guéridon du salon, la laisse de mon chien. Il l’appelle et lui ôte son collier pour me le mettre en disant :
« Une chienne comme toi se doit d’avoir un collier et une laisse ! »
Puis il prenant la laisse, il s’amuse à me promener dans le salon sous les rires de l’autre connard.
« Bon ! Assez rigolé ! » Dit le voyeur.
S’adressant à moi, il me demande :
« La chienne, il est où ton PC ? »
Toujours tenue en laisse, je les emmène au bureau. Il se connecte et ouvre un site où, horrifiée, je vois les photos du routier quand je m’étais faite prendre à la chaîne. Heureusement, mon visage est floutée. Mais les commentaires qui accompagnent les photos me font défaillir de honte.
Une bourge du coin se fait défoncer par tout les trous dans une routier.
Ces salauds ont mis les photos sur le Net. Je suis mortifiée en sachant que des milliers de pervers vont se branler sur ces photos et même des voisins vont pouvoir mater ça. Son copain qui est derrière moi me triture les seins en me disant à l’oreille :
« Ca t’excite de savoir que pleins de mecs vont se branler sur toi ? »
Il s’empare de mes tétons et commencent à les faire rouler entre ses doigts. Puis les deux mâles m’obligent à les sucer. Je passe d’une queue à l’autre tenue en laisse par le voyeur.
« Pompe bien la Bourge ! T’es une bonne suceuse toi ! T’as du en avaler des kilométre avec une bouche pareil ! »
Je ne réponds pas car j’ai la bouche pleine. Je me prends au jeu et les suce comme une folle.
« J’suis sûr qu’avec une gueule comme la sienne, elle peut en prendre deux à la foi cette pute ! »
Ni une ni deux, les voilà entrain de me forcer la bouche avec leurs engins.

Il me relève soudain par la laisse, me penche sur le bureau et je sens des doigts qui élargisse mes orifices. Mon corps réagi malgré moi. Je suis trempée. Le voyeur me murmure dans l’oreille :
« On va te défoncer les trous salle pute ! »
Puis il enfonce d’un coup son pieux dans ma chatte gluante. Il me donne de grands coups de reins qui me font crier. Il me baise avec brutalité. Je couine de plaisir malgré moi et pour me faire taire, l’autre m’enfourne son engin dans la bouche. Le voyeur change de trou et en m’enculant, il me donne de violentes claques sur les fesses en me traitant de grosse chienne à dresser. Ils échangent leurs places mais le rythme de leurs baise est toujours aussi étrenné. Je suis secouée dans tout les sens et mon orgasme les surprend tellement qu’il se mettent à m’éjaculer dans la bouche et dans le cul.
Ils se sont vidé les couilles en m’humiliant et le pire c’est que j’ai aimé ça. Je me relève et mes jambes ont du mal à me tenir. Ils regardent l’heure et me demande :
« Il arrive quand ton mec ? »
Encore toute étourdie, je bafouille :
« Heu… dans une demie heure, je crois. »
Il rigole en me disant :
« Ben tu vois, t’as 30 minute pour te faire une beauté et redevenir la bourge BCBG pour ton mec ! Mais avant de te laisser, on va prendre quelques photos te toi en petgirl pour le site.»Pour moi c’est trop d’humiliation et je m’insurge violemment :
« Non ! Pas question ! On va reconnaître que c’est chez moi ! »
« On te demande pas ton avis salope ! Magnes-toi si tu veux pas que ton mec te voit comme ça ! »
Alors, convaincue, je me remet à quatre patte et le salopard pique mon rouge et m’écrit sur les fesses « Cul de salope. Se fait enculer pour 1€. »

Mon humiliation est totale. Mais jusqu’où iront-ils ?
Une foi repartis, je m’empresse d’effacer tout mes tourments avant que mon mari rentre.

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