Allez, c’est reparti…
Elise arrive en pleurant…elle se blottit contre moi, ses larmes coulent sur ma chemise…je la serre doucement dans mes bras…entre deux sanglots, elle m’apprend que son mec vient de la plaquer pour « une salope qui baise mieux… » et qu’elle est à la rue. Je la rassure en lui proposant de l’héberger le temps qu’elle trouve un appartement. Cela fait au moins 25 ans qu’on se connait, elle sait que je suis toujours là…je lui sers un café. Par chance le modulaire qui héberge nos bureaux est éloigné de tout et rares sont les personnes à y venir…on y est un peu chez nous. Elle boit son café en reniflant et me détaille l’affaire…j’ai l’habitude, en 25ans elle a du se faire lourder au moins 40 fois, le plus « endurant » ayant dû rester avec elle 18 mois et étant parti après lui avoir vidé le compte en banque…donc j’ai droit aux éternelles même questions :
-qu’est- ce qu’ils ont tous ?
-tous des salauds, je dis pas ça pour toi, toi tu es bien, tu es resté fidèle à Marie…
Marie c’était mon épouse, 20 ans d’une vie merveilleuse à ses côtés jusqu’à ce qu’un chauffard la fauche sur un passage clouté…c’était il y a 3 ans et depuis aucune femme n’a partagé mon lit…
Seulement, aujourd’hui, je ne suis pas d’humeur :
-et si pour une fois tu te posais les bonnes questions ?
Elle a beau être ma supérieure hiérarchique, j’ai décidé de ne pas la ménager.
-les bonnes questions ?
-tu ne te remets jamais en cause ? c’est toujours les hommes qui ne vont pas, mais regardes Elise, combien d’hommes ont couchés avec toi qui ont fini par partir ? regardes moi et Marie nous serions toujours ensemble si….
– oui excuses moi, je me lamente alors que toi tu as perdu ta femme…
– Là n’est pas le problème : comment crois-tu que Marie ait fait pour me garder ? Beaucoup de femmes ont essayées de m’attirer dans leurs lits, mais je suis toujours resté fidèle à Marie…sais-tu pourquoi ?
-euh non…
– Marie savait ce qu’il faut faire pour retenir un homme dans son lit, visiblement malgré tous tes diplômes, tu n’as pas appris cela…
Elle me regarda d’un air surpris et regagna son bureau
Nous n’avons parlé que boulot durant tout le reste de la journée
Elle restait dans son coin, l’air dubitatif.
– Ma proposition tient toujours !
– Pardon ?
– Il est 18h00 je rentre à la maison…que veux-tu manger ce soir ?
– Oh merci David, je n’ai pas très faim tu sais…mes affaires les plus indispensables sont dans ma voiture le reste ce salaud les a mis dans un garde-meuble…
– Ok tu me suis ?
J’ai concocté un risotto et le temps qu’il se fasse elle est passée dans la salle de bain.
Comme chez un vieil ami, ce que je suis d’ailleurs, elle est revenue en nuisette et peignoir, les cheveux enveloppés dans une serviette.
J’avais servi l’apéro, le risotto mijotait, nous parlions de tout et de rien. Nous attaquions le 4ème apéro quand la conversation du matin reprit :
– David, c’est indiscret ce que je vais te demander…comment Marie a-t-elle fait pour te garder ? tu as toujours été bel homme, toutes les femmes se retournent sur ton passage et toi je ne t’ai jamais vu faire le moindre écart…
– Marie et moi nous sommes connus jeunes…j’étais son premier…moi j’avais déjà couché avec d’autres femmes…dont une amie de ma mère qui m’a appris comment satisfaire les femmes et qui surtout savait comment satisfaire les hommes…
– Une femme plus agée ?
– Surtout plus expérimentée…quand j’ai rencontré Marie, j’ai tout de suite su qu’elle était la femme de ma vie. J’ai quitté cette femme plus agée car je voulais me consacrer exclusivement à Marie, tu comprends ?
– Oui, j’ai toujours su que tu étais un mec bien…
– Peut-être pas si bien que cela…j’ai « façonné » Marie…elle a tout appris avec moi, mais surtout elle a épousé mes fantasmes…elle s’est soumise à tous mes désirs …bien sûr je crois qu’elle y prenait du plaisir, elle n’était pas une esclave sexuelle, souvent c’était même elle qui prenait l’initiative…
– elle a eu bien de la chance…
– non elle a fait ce qu’il fallait !
– mais enfin y’en a marre ! c’est quoi faire ce qu’il faut ?
elle était toute rouge de s’être ainsi énervée…
– tu veux vraiment le savoir ? quand tu suces ton mec, tu fais comment ?
elle me regardait avec des yeux ronds d’étonnement :
-ben je…euh…c’est pas facile, je…
Etait-ce l’alcool, le fait de la voir ainsi désemparée, mon abstinence forcée, je ne sais pas mais je lui dis :
-montres moi comment tu fais et je vais te dire ce qui cloche !
Je m’attendais à une gifle, un verre au visage, mais au lieu de cela, elle s’agenouilla devant moi et entreprit d’ouvrir la braguette de mon pantalon…je l’aidais….elle était maladroite tellement elle était nerveuse…je me mis debout…
– mets tes mains derrière ton dos, je veux que tu me suces pas que tu me branles…
elle obtempéra…du coup, l’ivresse n’aidant pas, se mouvements étaient accentués et ma verge bien bandée lui tapait au fond de la gorge provoquant chez elle des hauts le cœur …
-joues avec ta langue sur le méat
-Lèches le long de la hampe
Docilement, elle s’exécutait…son peignoir s’était ouvert et j’avais retiré la serviette de ses cheveux.
C’est une belle femme, les seins sont petits mais fermes, elle a un beau visage et son corps est harmonieux…
-je vais te prendre…
Je lui maintiens les mains derrière le dos en la forçant à s’incliner…son front touche le tapis. Je me poste derrière elle en faisant remonter sa nuisette jusqu’aux épaules…je verrai ses seins balloter sous mes coups de boutoir…elle ne dit rien…je passe un doigt sur sa chatte touffue…elle mouille abondamment…je glisse un doigt dans son vagin, elle se contracte un peu mais laisse faire…je glisse un deuxième doigt, son cul part légèrement à la rencontre des doigts inquisiteurs…je joue un peu à l’intérieur de sa chatte…elle commence à soupirer d’aise. Des gargouillis se font entendre. Je place mon sexe à l’entrée de son puit et pousse doucement. Ma bite se fraye un passage facilement. Je lui agrippe les hanches et entreprends mon va et vient…elle mouille vraiment beaucoup…je la lime pourtant en douceur mais elle inonde le tapis…j’adore…soudain dans un spasme qui manque m’expulser de sa chatte elle s’effondre sur le tapis ne poussant un long cri de jouissance…
Je la remonte en glissant mes bras sous son ventre et profitant de sa passivité, je pose ma bite sur son œillet et pousse…elle étouffe un cri. Je force un peu, son cul est à moi…j’enfonce progressivement ma queue dans son rectum…elle gémit…je ne l’écoute pas, je commence à la limer, j’accentue l’amplitude de mon mouvement…ses gémissements se sont tus. Je la lime de plus en plus fort. Elle pousse de petits cris de plaisir quand dans un râle je jouis en elle…je fais encore quelque va et vient dans son fondement avant de ressortir.
-mets-toi à quatre pattes
Elle obéit
-suces moi !
Elle obéit…
– voilà tu as quelques bases maintenant pour garder un homme dans ton lit
Elle couvres mon sexe de petits baisers
– merci, merci…dis demain tu m’apprendras d’autres « bases »…
le risotto est cramé, mais c’est égal : je crois qu’Elise est une bonne « recrue »
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