J’ai commencé ma vie sexuelle de bonne heure avec des copines et en vacances avec un vieux tonton vicieux qui m’a appris pleins de choses et surtout à me libérer. A l’époque, je passais pour une Marie couche toi là. Je me suis rapidement aperçu qu’il fallait que je préserve une sorte de jardin secret, bourgeoise le jour et pute la nuit en quelque sorte.
Un matin, je viens de me lever et je suis nue chez moi quand on frappe à la porte. Je suis agacée, je ne suis pas encore bien réveillée et je n’ai pas envie d’être dérangée. J’enfile rapidement une sortie de bain que j’ai sous la main et vais ouvrir à cet importun. Il me déshabille de la tête au pied et se présente :
« Bonjour Madame, je me présente ; Guillaume. Je suis représentant en bijoux de bien être. C’est une amie à vous, Sofia, qui m’a dirigé vers vous. »
Je le fait entrer et mon déshabillé attire son regard qui est trop insistant. Sur le coup, je n’y prend pas vraiment garde. Il a beaucoup de charisme et la façon dont il a de présenter ses produits avec plein d’humour me plaît bien. Les bijoux fantaisies qu’il me présente sont assez sympa mais il en arrive à des bijoux plus intimes. Je rougie légèrement d’autant que ma tenue ne peut que l’inciter à aller plus loin dans sa présentation. Il devient plus tactile. C’est pas pour me déplaire d’autant que les produits qu’il me propose sont plus excitant les uns que les autres. Il sait dire les bons mots pour me flatter et quand il me présente des bijoux de seins, il me dit :
« Avec une aussi voluptueuse poitrine, ces bijoux mettraient vos seins en valeur ! »
Je sens que je suis entrain de me liquéfier. Il doit s’en rendre compte car il me propose :
« Voulez-vous les essayer ? »
« Oui avec plaisir ! »
Mais alors que j’allais me lever pour aller les essayer dans une autre pièce, il fait glisser les épaules de m peignoir et je me retrouve devant lui les seins à l’air. Je suis pétrifiée. Il me rassure en me disant :
« Ne vous inquiétez pas, j’ai l’habitude et en plus vous n’avez pas à avoir honte de montrer d’aussi beaux seins. »
Tout en me parlant, il prend un téton et enfile le premier bijoux. A ce moment, j’ai cru défaillir. Je me suis mordu les pour ne pas gémir de plaisir. Quand il installe le deuxième sur l’autre téton, il se penche et m’embrasse au creux du cou. Je me laisse faire. Voyant ma docilité, il commence à me malaxer les seins. Je cherche sa bouche et nos langues s’activent alors que ses caresses se font plus insistantes. Je mouille surexcitée dans un mélange de peur, de honte et d’envie. Je pose ma main et sens son sexe dur comme du bois. J’ouvre sa braguette et extirpe le beau diable de sa prison pour le masturber doucement. Sa main glisse vers mon coquillage trempé et de ses doigts agiles, il entreprend de fouiller ma grotte intime. Je n’en peux plus. J’ai la chatte en feu. Je m’offre totalement à cet inconnu. Assise sur une chaise, sa queue est à hauteur de mon visage et j’ouvre la bouche et le suce avec gourmandise.
Un quart d’heure avant je ne connaissais pas cet homme et maintenant j’avais sa verge en bouche. Je le suces et lui pelote les couilles.
En gémissant il me dit :
« Tu suces si bien. Sofia m’avait vanté tes talents. C’est bon. Elle est bonne ta bouche. »
Je suis comme de la braise et ce ne sont pas ses paroles qui vont me calmer. Il retire sa bite de ma bouche me retourne pour me prendre en levrette sur la table. Je me cambre en lui disant :
« Oui prenez moi ! Je veux sentir votre queue bien au fond ! Baisez moi fort ! »
D’un coup de rein il me pénètre jusqu’au couilles. Je ne peux retenir un cri de volupté. Aussitôt, me prenant par les hanches, il me besogne presque sauvagement. C’est tellement bon. Mes seins affublés des bijoux, brinquebalent dans tout les sens au rythme de ses assauts. Je sens la déferlante d’un orgasme puissant monter en moi. Il se bloque au fond de mon vagin et ressens les soubresauts annonciateur de sa jouissance. Quand ses jets gluants et chaud frappent les parois de mon vagin, j’explose dans un hurlement de plaisir. Il m’embrasse en me remerciant de cet instant fabuleux et ressort de mon vagin dégoulinant de mouille et de son sperme. Je me retourne, me met à genoux et termine mon travail en nettoyant son sexe ramollissant avec ma langue avant de le remettre dans son pantalon. . J’en ai plein les cuisses. Bon prince, il me dit :
« T’es trop bonne toi. Je te laisse les bijoux en cadeau. Si tu as aimé, voilà ma carte. Appelle quand tu veux. »
Encore sous le coup de cette baise rapide, il referme sa mallette et m’embrase sur la bouche avant de s’esquiver aussi rapidement qu’il était venu.
Aussitôt parti, je téléphone à Sofia pour lui parler de l’intervention de ce fameux Guillaume. Elle me demande alors :
« T’as apprécié sa visite ? »
Je lui confirme :
« Il m’a merveilleusement baisé et j’ai joui de façon fabuleuse. Il m’a laissé sa carte. On pourrait faire des emplettes avec lui ? »
Nous partons toutes les deux dans un fou rire et elle me confit :
« Tu sais que c’est un pote de Christian ? »
« Ha oui ? Je comprends mieux. Et bien j’espère qu’on le verrat plus souvent. »
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