Histoires de sexe Histoires de sexe en français Histoires de tromper

Luce a ZombieLand – 5

Luce a ZombieLand – 5



L’égout

J’entendis rire les filles tandis que j’examinais ce nouveau décor. J’avais sous les yeux une véritable scène de carnage dans un entrepôt comme après une bataille rangée entre humains et zombies. Pas croyable ! Le sol était jonché de cadavres, des faux, aucun doute là-dessus cette fois car la plupart étaient mutilés, éventrés voir même décapiter ou carrément tout ça a la fois. Une vraie boucherie. Partout il y avait des tripes, de la cervelle ou des membres et des têtes qui traînaient dans de grosses flaques de sang presque noir qui miroitait sous le fable éclairage des quelques néons jaunâtre qui avait survécu. Plusieurs pendaient du plafond en se balançant lentement et crépitant d’étincelles, comme si tout cela venait juste de se produire. Il y avait même des impacts de balles sur les murs et les caisses de bois empiler un peu partout. Une scie à chaîne couverte de sang et de bout d’os reposait sur un baril rouiller près d’une tête aux dents noircie et décharner et ses yeux morts semblaient me fixer. Je frissonner malgré moi. Honnêtement, ça foutait un peu la trouille… Même pas mal.

Puis j’aperçus le gros monte-charge tout au fond de la pièce que 1 pointait du doigt, tout en grillage et tacher de sang comme tout ce qu’il y avait ici. Une véritable orgie d’éclaboussures de sang. Des têtes de zombies avaient été plantées sur des manches à balai de chaque côté de l’ascenseur comme pour signifier que celui-ci menait tout droit en enfer.

— Ces quoi encore ce délire ? Demandai-je me sentant reprendre des forces tandis que ma respiration revenait peut a peut a la normale.
— On descend au sous-sol Luce. Répondit 1.
— Je ne suis pas sûr les filles. Je ne pourrais pas appeler le bon vieux 911 pour qu’on vienne me sortir d’ici ?
— Dans cette tenue Madame ?
— Eh ! Fi-je en me regardant; nue, bras croiser sur mes gros seins qui débordait largement de mes petites mains et même de mon torse et j’étais couverte de boue liquide qui me chatouillait en s’écoulant lentement jusqu’a mes pieds empiler l’un sur l’autre.
— OK ! On oublie ça. Mais je veux un peignoir ou quelque chose au plus vite sinon… je vous étrangle toutes les deux.

Elles rirent évidemment tout aussi sales que moi.

— Bon, ben… allons s’y ! Fit 2 joyeuse comme tout en commençant a contourner les corps marchant carrément dans des flaques de faux sang pour ensuite laisser de jolies traces de pieds nus sur les rares espaces de ciment secs.

Je suivis les filles sans trop baisser les yeux, tout avait l’air si réaliste surtout les organes internes et pas moyens d’éviter les mares de faux sang gluant qui me chatouillait les pieds. Comme l’endroit était sombre, je m’attendais à tout moment a ce que quelque chose ne surgisses de derrière des caisses empilées ou d’un coin sombre, mais non. Tout ce qu’on entendait c’était le martèlement monotone des zombies contre la porte et de la pluie. Tout de même, encore un peut ébranler par ma lutte dans la boue et ma nudité, je restais sur le qui-vive, sursautant aux moindres bruits. Tout ce que je venais de traverser me semblait irréel maintenant, un peut comme un rêve, mais ma nudité me rappelait que tout ça était bien vrai.

On grimpa rapidement dans le monte-charge qui grinça en se balançant un peu, comme s’il avait envie de se décrocher. Tout était conçu pour faire peur ici. Je grimacer en marchant sur quelque chose de gluant comme de la gélatine, de faux yeux.

— Washhh ! Criai-je soulevant mon pied rouge de faux sang et le frottant sur le grillage. J’avais écraser un oeil, l’autre était coincé entres mes orteils par un faut nerf optique et semblait me regarder. Ça me chatouillait tandis que je secouais le pied pour m’en débarrasser, les filles riaient comme des folles. Il se décrocha et tomba par terre en s’effoirant comme un fruit mûr pour glisser à travers du grillage qui formait le plancher et qui me permettait de voir le vide en dessous de nous. En fait je ne voyais que du noir.

— C’est dégueulasse ! Lâchai-je en retenant un rire nerveux.

Je soupirer en me reculant au fond et ne put m’empêcher a nouveau de regarder les filles quand elles s’étirèrent toutes les deux sur la pointe des pieds pour descendre la lourde porte grillager du monte-charge en forçant. Leurs muscles de fille jaillirent aux cuisses et aux mollets et elles serrèrent les fesses. Je sentis une flambée de désir au creux de mon ventre. Leur corps jeune, si sensuel surtout recouvert de boue me faisait un tel effet que je dus déglutir en me forçant a pensé a autre chose que moi et elle dans le même lit une fois douché. Je me surpris même à l’espérer. « Ce combat dans la boue avait dû réveiller mes plus bas instincts, » me dis-je en profitant du spectacle qu’elles m’offraient. En fait, tout ce parcours de débile éveillant mes sens et le fait d’être nu et si vulnérable. « C’est fait pour ça idiote, » me dit une petite voix.

Elles refermèrent la porte-grillage en se penchant en plus, me montrant leurs vulves encore une fois, Seigneur ! Ce n’était rien pour calmer mes pulsions et soudain, les femmes zombies du quai ouvrirent la porte de l’usine, comme par hasard et comme par magie pour venir vers nous d’un pas traînant en enjambant les corps. La pluie les avaient quelque peut laver et pour la plupart elles étaient entièrement nues. Piercings et tatouages étaient à l’honneur chez les plus jeunes. C’était quand même un étrange spectacle que de les voir s’approcher sous le clignotement des néons.

« Elle on mériter leur salaire en tous cas celle-là ! » Me dis-je un peu nerveuse et heureuse que la porte de l’ascenseur soit fermée. Je ne me sentais plus la force de me battre avec elles, même pour jouer.

Tout à coup, une zombie s’empara de la tronçonneuse, la posa par terre et, un pied dessus, elle essaya de la démarrer. Celle-là, je ne l’avais jamais vue. Elle était très musclée, presque autant qu’un homme, couverte de tatouage en plus et elle avait le crane raser et ses seins parfaitement ronds et fermes aux pointes tendues ne semblait pas naturel, pas du tout. Le maquillage de son visage était particulièrement répugnant, bien réussi. Ces muscles saillants reluisaient comme si on venait de lui appliquer de l’huile sur le corps et elle n’était pas tachée de boue comme nous toutes. « Une petite nouvelle sans doute. »

— Aller les filles, filons ! Fis-je nerveuse sans quitter des yeux miss silicone. Elle s’acharnait à tirer sur le cordon de démarrage mais en vain. Dieux merci !

1 posa la main sur une grosse manette en laiton qui servait a faire fonctionné l’ascenseur, tira et rien ne se passa, évidemment. Je ne pensais qu’à déguerpir en fixant la zombie musclé qui ne se décourageait pas à essayer de faire démarrer son engin. Au même moment quelque chose tomba lourdement sur le toit juste au dessus de nos têtes me faisant sursauter violemment et même fléchir les genoux, mains sur la tête. Tout mon corps devint électrique. Je lever les yeux et vit un corps de femme, de jeune punk zombie au visage plein de piercings qui était tombé de là-haut ou il faisait un noir d’encre. À part des câbles en acier, il n’y avait rien de visible.

Ce n’était pas un vrai corps évidemment et du faux sang verdâtre, presque lumineux, se mit à tomber goutte à goutte dans le monte-charge de ses fausses blessures et de sa bouche grande ouverte. Ses yeux étaient tout blanc et semblaient vouloir éclater. Elle était juste en petit slip et soutien-gorge noir en dentelle comme si on venait de la massacrer dans un bordel. Je grimacer en me redressant et me reculer dans un coin pour éviter de recevoir sur moi de se liquide vert pas très ragoûtant qui traversait le grillage du plancher pour tomber dans le gouffre noir en dessous de nous. Les zombies étaient tous près et soudain, la scie à chaîne démarra dans un bruit d’enfer et de fumé bleu. Mon coeur bondit encore une fois et voulut me sortir de la poitrine. La zombie souleva son engin comme si de rien n’était et me regardait droit dans les yeux en appuyant à répétition sur la manette des gaz. Les muscles de ses bras semblaient durs comme des quilles. Je n’arrivais pas à croire qu’une femme pouvait se trouver belle avec une musculature pareil.

1 essaya de faire fonctionner le monte-charge encore une fois, toujours rien et miss tronçonneuse s’amenait maintenant. De loin elle avait l’air d’un homme mais de près je vit clairement sa vulve entièrement raser et couvert de piercings. De gros anneaux traversaient ses grandes lèvres, je grimacer de voir ça. Les autres s’écartaient pour la laisser venir vers nous tandis qu’elle brandissant la tronçonneuse au dessus de sa tête avec fierté comme si celle-ci pesait une plume. J’avais beau me dire que tout ça n’était que du théâtre, ça faisait tout de même son petit effet et je ne pus m’empêcher de hurler pour couvrir le bruit infernal :

— Allez les filles, foutons le camp.

1 réessaya la manette et cette fois un grondement électrique se fit entendre, des flammèches bleues crépitèrent sous nos pieds et le monte-charge grinça, sursauta méchamment et tomba de quelques pouces au point ou je du lâché mes seins pour m’agripper au grillage. Puis il se mit à descendre avec une lenteur exaspérante et toute calculer. La zombie avec la tronçonneuse s’était arrêté juste devant la porte grillager et la brandissait comme une enragée en me fixant toujours. Je me plaquer les mains sur les oreilles tandis qu’une forte odeur d’essence me montait au nez. Avec son visage mutiler et son corps quasi monstrueux elle m’aurait sans doute déshabillé en quelque seconde tout à l’heure dans la boue. En tout cas, celle-là, elle faisait peur. Elle nous gracia d’un doigt d’honneur avant de tourner les talons, sans doute pour aller découper ses petits amis. En tout cas, ça me fit du bien aux oreilles.

Je croiser encore les mains sur mes seins par réflexe et timidité, la punk sur le toit semblait me fixer elle aussi avec ses yeux morts. Cet endroit était dément et devait faire fureur auprès d’un public amateur de sensation forte. J’étais un fan de films d’horreur, mais il y avait une sacrée différence entre regarder ça sur grand écran et le vivre, surtout entièrement nue. Je n’en revenais toujours pas d’ailleurs d’être à poil.

— Au moins notre Luce, dit 1, ce n’est pas une crieuse, pas autant que les autres.
— Hum ! D’habitude les clientes nous écorchent les oreilles quand la scie à chaîne démarre ! Répondit 2.
— Elle avait quant même un peut hâte que le monte-charge se décide a descendre. Rajouta 1 en me souriant.
— OK ! OK ! Grognai-je regardant vers le bas au travers du grillage. Je crus apercevoir de l’eau, encore de l’eau, mais il faisait si sombre en dessous que je n’en étais pas certaine.
— On ne va pas te les voler Luce. Dit 2.
— Hum ! Quoi ? Fi-je en relevant la tête.
— Tes gros seins ! Tu les tiens comme si tu avais peur qu’on parte avec.

Je leur tirer la langue ce qui provoqua encore des rires, au moins elle s’amusait au boulot ces deux la. Tandis que l’on descendait a la vitesse d’un escargot malade j’en profiter pour leur demander :

— Ça ne vous fait pas bizarre de travailler nu et dans un endroit pareil ?
— Non ! Fit 1 en me souriant. Pourquoi ? C’est cool ! Et puis c’est juste deux fois par semaine.
— WAIS, ça pour être cool, c’est cool. Et, les clients, toutes des femmes ou… ?
— Juste des femmes.
— OK ! Ça ne vous dérange pas trop on dirais.
— Pas du tout, fit 2 en fixant ma poitrine les yeux tout petits et rieurs, puis mon entrejambe, se qui me fit serrer les cuisses et soupirer longuement… je me demandais si j’aurais eu le courage de faire ce travail a leur âge. Une chose est sure, cela m’aurait aidé à surmonter ma timidité maladive, surtout quand j’étais ado.

Je soupirer longuement en me disant que j’avais de plus en plus hâte de me laver et d’avoir quelque chose a me mettre sur le dos. Le nudisme ce n’est pas ma tasse de thé, surtout avec la paire de seins que j’ai. Mais elle m’avait dit que le jeu n’était pas terminé, alors je n’y comptais pas trop, pas tout de suite, malheureusement. Dès que le monte-charge stoppa en sursautant méchamment deux étage plus bas, de l’eau brune et tiède envahit le plancher. Ça me monta aux mollets et il y avait plein de débris qui y flottait comme dans un égout et de faux rats morts comme dans le marais. Elles ouvrirent les grilles, je ne vis qu’une pièce en ciment remplie d’eau avec les inévitables graffitis érotiques et des éclaboussures de sang couvrant les murs.

— Attention à la marche, dit 1 qui descendit se retrouvant dans l’eau jusqu’aux genoux. Elle me tendit la main, je me résigner a lâcher mes boules pour lui prendre et je la rejoins suivit par 2. Je sentis aussitôt un léger courant provenant de la gauche me chatouiller les jambes. L’endroit où l’on se trouvait ressemblait à un immense collecteur d’égout rectangulaire. Une lumière diffuse provenait de lampes au plafond relier entre elles par des tuyaux comme on en voit dans les bunkers Nazy au cinéma ou dans les vieux paquebots et ces lumières continuaient dans un tunnel sur notre gauche d’où l’eau provenait. À droite j’entendis des grognements. Je vis un autre tunnel par ou l’eau s’écoulait mais il était fermé par d’immenses barreaux noirs qui retenait un paquet de détritus amener la par le courant et derrière d‘autres femmes zombie toujours nus ou en partis tendait les mains vers nous dans la pénombre. J’étais certaine maintenant que ce n’était pas terminer et, si j’avais eu des vêtements, j’en aurais été ravi. Mais la… Je leur tourner le dos en me reprenant les seins.

Je vis 1 qui commençait à remonter le courant dans le tuyau d’où provenait l’eau. Je suivis docilement tandis que 2 fermait la marche comme d’habitude. J’aurais préféré être derrière ! À son âge on trouve que les femmes dans la quarantaine ont des fesses molles ! Merde ! Au plafond, de rares ampoules nous éclairaient par moment, mais la plupart du temps on restait dans le noir et tant mieux.

— Pas de danger de marcher sur une seringue ou autre chose ? Demandai-je en souriant.
— Non dit 2. Mais attention aux crocodiles !

Je me contenter de soupirer.

Le tunnel montait légèrement en tournant et le courant était suffisamment fort maintenant pour que je me sente obliger de me pencher un peu vers l’avant pour pouvoir avancer et l’eau sombre refluait jusqu’à mes cuisses en me chatouillant. Des déchets flottants heurtaient mes jambes régulièrement même parfois de faux corps de zombie. Ont devaient se tasser pour laisser passer les dépouilles horrifiantes à souhait. Je résister a l’envie de m’accroupir pour me laver car j’avais peur que le courant m’emporte. Au moins l’eau était chaude et l’atmosphère dans cet endroit presque aussi humide que dans un sauna.

Soudain quelque chose effleura ma jambe gauche mais sous l’eau, j’avais tellement les nerfs à fleur de peau que je lâcher un petit… HIP ! J’ai une peur bleue des rats et on était dans un semblant d’égout. Alors ! Elles rirent évidemment.

— Ça marche tout le temps ça, lâcha 2.

« Ça quoi ? » Je n’en avais aucune idée. Mais je grimacer amuser ! Je n’en revenais toujours pas d’être la, a me balader nue dans un semblant égout en me tenant toujours les seins. Ça me procurait de drôle de sensations. Je sentais trop mes fesses a l’air et mon sexe, même couverte de boue comme je l’étais et dans le noir la plupart du temps. C’était une trop mince protection contre des regards indiscrets. J’étais toujours certaine qu’il y avait des caméras dissimulé, mais au point où j’en étais, je n’y pouvais rien. Je décider d’oublier qu’on me regardait sûrement ne serait-ce que par sécurité. Quand tout ça sera fini, j’aviserai.

Le tunnel était droit maintenant et cessa de grimper et il y avait comme un bruit de cascade au loin qui nous précédait. J’imaginais déjà plein de scénarios pas très rassurants; glissade d’eau, chute, ou tourbillon s’enfonçant dans le sol. Puis, un peut plus loin, sur la droite au mur, je vis comme un gros hublot incurver vers le bas d’ou provenait une lumière douce d’une orange brûlée apaisant.1 s’arrêta juste a côté et me dit de regarder. Je serrer les jambes par pudeur avant de me pencher pour coller mon font a la vitre un peut embuer trop consciente de bomber le cul et dut baissé les yeux.

Je vis une pièce ronde avec les murs en ciment et le plancher qui semblait recouvert de caoutchouc noir. La salle se trouvait quelques mètres plus bas, baignant dans la pénombre, éclairer juste au centre par un projecteur orange et invisible d’où j’étais. Une dizaine de femmes nues, toujours maquiller en zombie étaient agenouillées autour d’une femme, nue elle aussi, étendu sur le dos dans un petit bassin au centre de la pièce et remplie d’eau peu profonde et tourbillonnante qui avait presque la même teinte que du jus d’orange et luminescente. Ma vision s’ajustant aux ténèbres, je vis que cette eau provenait des murs et giclait par ce qui me sembla êtres des imitations de pénis noir recourber vers le bas, pour s’écouler dans des rigoles sur le plancher jusqu’au bassin éclairer de l’intérieur par de petites lampes immerger. La teinte orange de cette eau se démarquait nettement du plancher noir, c’était magnifique. Le corps de la femme paraissait reposer sur quelque chose de moue sous l’eau pour son confort sans doute. Elle était pas mal ronde, plus que moi et visiblement plus âgée aussi, ses cheveux grisonnaient, sa toison en triangle également. Ses seins généreux, larges et un peu plats pendaient sur ces côtes. Je me sentais un peu voyeuse de regarder cette scène étrange et je l’étais d’ailleurs, voyeuse, et ça, peu de gens le savaient sauf mon copain. Mais on l’est tous un peu non !

La femme portait un masque de geisha tout blanc aux lèvres rouges et charnues pour cacher son visage. Des zombies lui tenaient les jambes et les bras relever et semblait la dévorer toute crue pencher sur elle comme elles l’étaient, mais ce n’était qu’une illusion du a la noirceur et a l’éclairage. En réalité elle lui suçait les doigts, les orteils et les mamelons tout en la caressant sur tout le corps et dans les moindres recoins. Un petit courant électrique me traversa le bas ventre de voir ça. Le vide sembla se faire autour de moi en regardant ce spectacle. Leurs doigts pétrissant la chair molle, et des doigts mouillés et luisants (sans doute recouvert de salive,) pénétraient sa vulve, même son anus. Pour un massage érotique, c’en était tout un. Ça me rappela le doigt de 2 qui avait visité le mien tout à l’heure et j’aurais bien aimé qu’elle le refasse maintenant. Ça devenait vraiment cochon cette petite randonnée. Je rougis en me sentant mouiller. Un peu embarrasser, je faillis me redresser pour continuer mais je ne pouvais détacher les yeux de cette scène étrange si différente des pornos habituels que les hommes aiment tant.

Ça me fit frémir de voir ça et déglutir, ça m’excita et comme j’avais toujours les mains sur mes seins, je sentis durcir a nouveau contre mes paumes moites mes mamelons qui avaient fini par ramollir un peut. Heureusement, je le cachais aux filles.

La femme se tortillait et devait gémir et il y avait de quoi, mais aucun son ne me parvenait. Son masque laissait voir ses yeux sur lesquelles se reflétait la lumière orange, ce qui lui faisait des yeux de démon superbe. Ils étaient à demi fermés et elle me regarda un instant. Je sursauter le feu aux joues me sentant prise en défaut, mais elle me fit un clin d’oeil avant de fermer les paupières pour s’abandonner au plaisir. Je due déglutir a nouveau m’imaginant trop bien a ça place; ses bouches douces et mouillées me suçant les doigts, les orteils et les mamelons, toutes ses mains me palpant dans les moindres recoins coucher dans de l’eau tourbillonnante. Tout ça en même temps ! Ouf… Elle devait flipper ! Mais ce n’était pas tout.

Un autre zombie apparu sortant de la pénombre comme par magie, s’approchant lentement du groupe. Elle était nue également avec des seins généreux qui se balançaient très bas et elle portait une ceinture soutenant deux godes. Des pénis noirs, un gros en haut et un plus petit juste en dessous. Le plus gros des deux se balançait à chacun de ses pas tout comme ses seins lourds. Je me mis à saliver comme à chaque fois que je voyais un membre en érection tandis que mon coeur accélérait un peut. Je dus déglutir une nouvelle fois et ça me sembla faire un bruit d’enfer et me gêna à cause de 1 et de 2 qui restait là à attendre sagement, me regardant regarder. Décidément tout ça devenait de plus en plus cochon, même pervers. J’avais l’impression d’épier une cérémonie secrète et j’avais une peur idiote d’être surprise et… j’aimais ça ! J’ai toujours aimé regarder, c’est d’ailleurs pour ça que j’avais fini par accepter que mon copain nous filme en baisant. Ce que j’aimais ce n’était pas de me voir grimacer, mais de le voir lui.

Mais, ma position me donnait mal au rein, je commencer a me redresser et 1 me dit :

— Non Luce regarde, on a besoin de reprendre notre souffle toutes les trois. Encore quelques minutes.

Et c’était exactement ce que j’avais envie d’entendre. Je dus lâcher ma poitrine pour poser les mains sur la vitre en me penchant à nouveau y écrasant mes gros seins qui débordait de mon torse. Si ces femmes levaient les yeux elle aurait droit à un drôle de spectacle. Le contact du verre épais et résistant sur mes mamelons durcis me donna de petits frissons délicieux. Je pouvais mieux me concentrer dans cette position plus confortable pour regarder la scène sous moi.

Les deux zombies qui l’enculaient et la pénétraient avec leurs doigts se redressèrent pour laisser la place à la nouvelle venue qui s’agenouilla entre les jambes écarter et relever de la femme toujours caresser par les autres. Du liquide blanchâtre s’écoula du vagin ouvert jusque sur l’anus dilater. Ses grandes lèvres étaient gonflés et son gros clitoris bien visible même de loin. Les deux zombies qui l’avait préparé avec leurs doigts prirent chacune un de ses godes pour placer le gros a l’entrer du vagin et le petit sur l’anus. Je regardais ça fasciner maintenant sans me préoccuper de 1 et de 2 qui attendait toujours avec une vue imprenable sur mon derrière et même mon sexe humide. J’étais trop voyeuse pour ne pas être intéressé et exciter par ce spectacle. Tant qu’a être la, autant en profité et ça permettait de me reposer un peut et puis c’était fait pour ça, m’exciter et ça marchait drôlement.

La zombie s’étendit sur la femme lentement en la pénétrant doublement par a coup. Elle avait un joli papillon noir tatouer au bas du dos. Je voyais clairement ses fesses se contracter tandis qu’elle forçait en douceur et le papillon semblait battre des ailes. Elle finit par se retrouver coucher sur sa partenaire. Elle étaient joues contre joues, seins contre seins et je dus ravaler ma salive encore une fois a la vue de ce spectacle hallucinant en sentant mon vagin s’humidifier. Les autres zombies caressaient les deux amantes maintenant. Puis la zombie commença à onduler des hanches en serrant les fesses de plus belle et à baiser la femme par l’anus et le vagin en même temps. Étant au dessus d’elle je ne pouvais voir les godes aller et venir, mais je l’imaginais très bien. Je frissonner terriblement en résistant a une forte envie d’écarter les cuisses pour me masturber violemment. Mais pas question, pas devant les jeunes. Je ne pouvais qu’imaginer également ce que la dame aux cheveux grisonnants devait ressentir. Jamais je n’avais pratiqué la double pénétration mais on m’avait déjà enculé tandis que je me passais un ou deux doigts dans le vagin. Je sentais mon sexe pulser et même mon anus moite et il me démangeait.

La dame se faisait baiser par une autre femme avec des godes et en même temps les autres la caressaient elle et son amante, lentement avec sensualité en plus de lui sucer tout ce qu’elles pouvaient. Je fixais toutes ses mains baladeuses, ses bouches et ses langues humides avec envie ! Je les sentais presque glisser sur ma peau. Elle devait gémir drôlement la chanceuse. Mes paumes étaient recouverte de sueur contre la vitre et mes petits mamelons trop sensibles me chatouillaient. Les yeux tout petits, presque fermer, je me remplissais la tête de nouveau fantasmes délirants.

Et soudain, je frémis en plissant les yeux car une idée démente venait de me traverser l’esprit.

« Seigneur ! Ça doit être une cliente, comme moi ! »

Je suis dans un bordel pour lesbienne, maintenant c’est sur ! Ce n’est pas juste un jeu de combat dans la boue comme dans les bars ou un simple parcours de combattant entre filles nues. Cette pensé m’étourdit, je me voyais trop la, en bas, a gémir comme une folle avec une femme étendue sur moi, prise par l’anus et le vagin a me faire caresser partout. Moi ! Oh non, jamais !

Mon dos fut tout de même parcouru de longs et délicieux frissons à cette idée tandis que mes orteils se repliaient sous l’eau qui me caressait les mollets en dévalant le tuyau. Qu’est-ce qui m’attendait maintenant ? Ça en bas ! À froid ! Sans au moins un verre de vin ! Seigneur !

La zombie aux papillons baisait la femme avec la régularité d’un métronome. Les petits orteils de celle-ci s’agitaient ou se retroussaient contre des langues ou dans des bouches en plus de ses doigts toujours sucer comme si c’était des bites et son corps semblait parcourue de spasme. Elle tournait la tête de gauche à droite comme si on lui faisait mal, comme moi quand on me baisait et que j’étais tout près de l’orgasme ou en pleine jouissance. J’avais l’impression qu’un feu couvrait dans mon bas ventre et qu’il fallait l’éteindre a tout pris. Mais j’y résister, trop timide pour me branler en public.

Soudain, une autre femme zombie apparue dans la pièce sortante de je ne sais ou. Petite, mince et nue, aux petits seins parfaitement ronds aux mamelons presque sans auréole et dur avec de longs cheveux noir et raide que je croyais reconnaître. Ceux de l’asiatique don j’avais arracher la camisole dans le marais, mais la, elle portait un masque, un visage grimaçant de divinités orientales, comme un démon. C’était elle pas de doute. Je ne pus m’empêcher d’admirer encore une fois son corps de fillette, ses belles cuisses musclées, ses petits pieds menus, sa démarche féline. Le corps que je rêvais d’avoir a son âge comme toutes les ados boulottent. Avec ce masque on aurait juré une enfant mais son épaisse toison sur le pubis bombé contredisait cette impression. De longs poils noirs corbeau, droit et raide. Elle portait dans les mains comme une anguille molle, mais je m’aperçus que c’était un autre gode très long et flexible avec un gland à chaque extrémité et noir également. J’avais déjà vu des femmes se servir de ça dans des pornos pour les inévitables scènes de fausses lesbiennes et ça me laissait complètement indifférente. Mais là, en vrai, c’était une autre histoire.

La zombie aux godes en ceinture cessa de pénétrer la dame âgée et resta sans bouger, bien enfoncer en elle tout en écartant ses longues jambes pour permettre à la nouvelle venue de s’agenouiller entre ces cuisses fermes et d’attendre quelque chose. Je plisser les yeux de curiosité sentant mon coeur palpiter sous ma poitrine écraser sur le hublot géant. J’imaginais déjà un tas de choses. Il y avait bien une dizaine de femmes là en bas dans la pénombre, toute nue et apparemment vicieuse. Tout était possible.

Deux zombies écartèrent les fesses de miss papillon pour ensuite se pencher au dessus et elles laissèrent s’échapper de leur bouche de long filament de salive sur l’anus brun pâle. Puis avec leur majeur elles la poussèrent à tour de rôle à l’intérieur du petit trou avec leurs doigts pour le rendre bien glissant. Les doigts s’y enfonçaient jusqu’à la jointure en tournant, d’abord l’un après l’autre, puis les deux en même temps tandis que d’autres zombies crachaient a leur tour sur l’anus de plus en plus dilater. Je regardais ça avec envie le souffle court, j’adorais comme me passe un doigt par la, comme 2 me l’avait fait dans le marais. C’était très cochon ce qui se passait en bas, presque trop ! Je résister cette fois a l’envie de me frotter le pubis contre le rebord de la fenêtre. De quoi j’aurais l’air. Mais la tentation était forte. Et mes guides, pourquoi elle ne me touchait pas comme tout à l’heure ? Je leur offrais mon cul et mon sexe en plus pencher comme je l’étais et j’étais si mouillé qu’elle devait le voir. Je faillis leur demander de me lécher avec leurs petites langues mais je n’y arrivais pas. Regarder en bas me donnait la fièvre mais pas suffisamment pour passer par dessus 50 ans de timidité.

Tandis que mon esprit divaguait je m’aperçus qu’une des zombies suçait l’un des gland du gode que lui présentait celle au visage de Démon. Une longue fellation baveuse, langue sortie pour bien le lubrifier, l’enduire de salive en avançant et reculant la tête, seins ballotants. Puis, elle le sortit de sa bouche, agrippa le gode a double gland avec la zombie en face d’elle a deux mains chacune le tenant bien droit comme un pieu au dessus des fesses puis elles placèrent le gland qu’elle venait de sucer sur l’anus et elles le poussèrent lentement dans le cul en le tournant. Je regarder l’anus se dilater terriblement tandis que le gode s’y enfonçait profondément. Celle qui se faisait enculer frémit et replia les orteils sur le sol. Là, mon petit trou se resserra tout seul. Doux Jésus, J’imaginais trop bien ce qu’elle devait ressentir. On ne m’avait pas sodomisé souvent mais c’est le genre de chose qui ne s’oublie pas, surtout quand c’est fait trop vite. Mais quand c’est bien fait comme maintenant, tout en douceur… la, c’est très agaçant, très excitant même. Je déglutis encore, mais plus difficilement. Je mouillais de plus en plus et j’avais des bouffés de chaleur épouvantable. Le fait que ce ne soit pas un film rendait la chose encore plus troublante, plus excitante. Une fois le gode enfoncer entre les fesses d’un bon 6 pouces elles sucèrent l’autre gland pour le lubrifier à son tour. Il passait d’une bouche a l’autre tandis que leurs langues se touchait, s’entortillait autour sous la supervision de celle au masque de démon qui les regardait faire impassible puis, soudain, elle se leva.

Elle enjamba le gode planté dans l’anus, jambes écarter, genoux fléchis, les zombies cessèrent leur fellation en tenant fermement le membre à deux têtes. Elles placèrent le gland luisant de salive sur la vulve ouverte et gonflée qui se frottait déjà dessus. Elle tenait le jouet sexuel solidement pour ne pas qu’il fléchisse pendant que le visage de démon s’assoyait lentement dessus en pliant plus les genoux, pieds écarter, se l’enfonçant dans le vagin jusqu’à toucher la main au dessus des autres. Tout ça me semblait irréel. Puis, les zombies qui tenaient le gode le firent aller et venir lentement comme un gros piston, leurs mains heurtant les fesses de l’une puis le vagin de l’autre. Les autres zombies caressaient toujours la dame âgée qui se tortillait a nouveau de plaisir car son amante c’était remise a la pénétrer avec plus de vigueur tout en se faisant sodomiser. Pas croyable, quel tableau et tout ça juste pour moi ? J’en doutais, c’était pour la femme en bas, la cliente tandis qu’une autre cliente se rinçait l’oeil. Moi !

Ça me donna le tournis de voir tous ces corps nus en bas qui s’agitait et je sursauter en me redressant car une main venait de se poser sur mon épaule. Revenant à la réalité je me sentis rougir. Mon sexe dégoûtait littéralement et mes mamelons était trop dur.

— C’est l’une des salles de relaxation, dit 1, dernière étape avant le souper intime avec votre amie Luce ! Enfin si vous traversez les autres épreuves.

Je me rendis compte un peut honteuse que ma cyprine me coulât a l’intérieur des cuisses et que j’aimais le contact de sa main sur ma peau nue et que je devais me retenir pour ne pas lui donner un baiser avant de lui sauter dessus. Comme tout à l’heure dans le marais. Ce qui se passait, en bas, dans cette pièce, m’avait allumé comme un sapin de Noël. Je me contenter de serrer les cuisses et de me reprendre les seins pour cacher mon trouble.

— J’y suis passé, continua-t-elle, croyez moi quand on sort de la, on flotte.

La tête me tournait, j’allais subir ça ! Mais seulement si je passais d’autres épreuves, ça me donna le tournis. Et l’idée d’une double pénétration devant public ne m’enchantait guère surtout avec des godes. Et tout ça, suivi d’un souper ! Et qui serait à ma place pour me regarder ? Une autre cliente ? Peut-être déjà derrière nous, dans le marais en train de se faire déshabiller par les zombies dans la boue.

— Souper intime avec mon copain hein ! Dis-je ironique. Sa tombe bien j’ai a lui parler dans le blanc des yeux a celui-là ! Pour les godes on passera les filles c’est pas mon genre.
— Pauvre elle, fit 1 feignant d’être malheureuse en regardant 2, elle est trop coincer notre belle Luce, elle va manquer le meilleur si on ne remplit pas notre mission ! De toute façon, elle va finir probablement aux..
— Au cachot, termina 2 moqueuse en soupirant. Dommage !
— Mission ! Quelle mission les files ? Demandai-je un peu brusquement en me rendant compte que je leur en voulais de ne pas m’avoir touché pendant que je jouais à la voyeuse. Et pas de réponse évidemment. Que des sourires moqueurs.

Je les regarder agacer en me mâchouillant les lèvres car, en même temps, elle m’attirait tellement sexuellement que j’en avais presque une crampe vaginale et je dis pour me changer les idées.

— Et ce fameux bain les filles ? La coincer aimerait bien se laver et s’habiller.
— En fait Luce, ont va se doucher ! Répondit 1 toute joyeuse.

Elle avait bien dit ont, ensemble ou séparément ? Ensemble j’espère, je n’en peux plus de me sentir constamment agacer sans que rien ne se passe, enfin, presque rien.

— Parfait. Vous avez sûrement des prénoms ? 1 et 2, ces agaçants.
— Non !

Je soupirer de découragement.

— Bon, c’est un bordel finalement ici, c’est ça ?
— Genre ! Fit 2 rieuse.
— Genre, c’est une réponse j’imagine ?
— Genre ! Allons s’y miss prude !

Je ne pus m’empêcher de soupirer à nouveau et de jeter un dernier coup d’oeil en bas avant de les suivre. Mes seins tacher de boue avaient laissé deux ronds parfaits sur la vitre. Je souris et soupirer en me disant que ça devait soupirer joyeusement dans cette salle. Ça me donna tout de même un doute sérieux sur le fait de pouvoir résister à la tentation quand je serai rendu là, si jamais j’y arrivais…

La douche

En marchant a nouveau dans ce tunnel avec de l’eau aux cuisses en luttant toujours contre le courant je me revoyais tout à l’heure dans ma voiture a rouler lentement devant cette maison hantée ! Qui se douterait qu’il se passait des choses comme ça ici ! Toutes ses installations dignes d’un parc d’attractions, un parc d’attractions oui mais… pour adulte avertit et sous terre apparemment. Comment mon copain avait-il appris l’existence de cet endroit ! Je ne lui connaissais même pas d’amis à celui-là. M’avait-il trompé avec quelqu’un qui lui en avait parlé ? Ont-ils un site sur le net ? Sûrement. Ils ne peuvent tout de même pas annoncer leur bordel pour femme à la télé ou dans le journal. Ce n’était pas légal à ce que je sache ce qui se passait ici. Et s’il y avait une descente de police. Seigneur ! Je mourrais de honte de me voir aux infos sortir d’ici nue ou avec juste une couverte sur le dos devant des journalistes, filmer et photographier de toute part tandis qu’on m’embarquait dans un panier a salade avec d’autres filles. Avec les seins que j’ai, c’est moi qui ferai la première page des journaux en tant que cliente débaucher ramasser dans un bordel pour femmes, en plus. Seigneur !

— Avez-vous un site internet pour cet endroit ?
— Non ! Dit 2 toujours derrière moi.
— Mais comment trouvez-vous vos clientes ?
— Bouche a oreille d’habitude, et ça suffit !
— Et ça coûte combien ?
— On demande jamais le prix d’un cadeau Luce !
— Si je dois vous faire de la pub, faudra bien que je le sache non ! Et si les flics débarquent ?

Un silence qui fut troublé seulement par le son de l’eau qui s’écoulait et un contenant de plastique vide qui fit « toc » en me heurtant le genou. Outch !

— En tout cas, rajoutai-je fièrement en me frottant le genou, celle qui finissent au cahot doivent vous faire une bonne publicité les filles. Je parle du vrai cachot évidemment.

Silence.

— Et c’est vraiment juste pour les femmes ici où mon copain en a profité ? J’espère que oui en tout cas, avant que je le transforme en zombie pour de vrai celui-là. Et si on parlait de cette mission…

— Si on lui coupait la langue 2 ? Dit 1.
— Ce serait dommage, Luce a une si jolie petite langue et qui doit si bien s’agiter a certains endroits.

« Pas comme les vôtres tout à l’heure » Me dis-je frustrer.

— WAIS ! T’as raison. On pourrait juste la bâillonner.

2 rit avant de rajouter.

— En tout cas, elle bas tous les records de… je me tien les seins.

Elles rirent de plus bel et je dis grognon :

— Ça va, ça va ! Soyez jolie et taisez-vous. Esclave mon oeil, vous n’êtes même pas capable de…

Je faillis dire, « de me lécher le vagin pendant que je joue a la voyeuse. »

— De ? Demanda 2.
— De rien… Wash c’est dégueu !

Des dizaines de faut rats morts dégoûtant dévalait le courant pour heurter mes cuisses me faisant grimacer de plus belle tout en essayant de les éviter en écartant les jambes, ce qui les fit rire évidemment.

Je soupirer d’exaspération a nouveau avant d’éclater de rire avec elles finalement en avançant en me frottant le genou car le contenant de plastique m’avait fait un bleu. J’allais sûrement en avoir partout d’ailleurs en sortant d’ici. Je décider de renoncer a les questionner et a prendre mon mal en patience et en plus, la scène de toute a l’heure m’était rester imprimer dans la cervelle. Mon côté voyeur adorait cet endroit mais mon côté pudique lui réclamait un peignoir… De plus mon estomac commençait à gargouiller et je retenais depuis un bon moment une envie d’uriner. Je n’avais rien mangé avant de partir pour ne pas me couper l’appétit en pensant me retrouver autour d’une bonne table pour un souper en couple. Avoir su…

Je soupirer encore en évitant un cadavre cette fois qui filait dans le courant sur le ventre fesses a l’air en décidant d’élucider le mystère de ce club privé quand je verrais mon grand nono de dévergonder. Comment avait-il pu m’embarquer là-dedans ? Il me connaît bien pourtant après 5 ans de vie commune. Justement, il me connaît peut-être un peu trop bien et il connaît mon petit côté voyeuse et savait que j’avais eu des aventures avec d’autres femmes dans le temps et que cela me manquait parfois. Le vin me fait trop parler. On avait dû lui faire remplir une petite fiche sur mes préférences sexuelles. Je me sentais trahi, je tiens trop à ma vie privée et c’est mon droit. Je mis à rire toute seul comme si je perdais l’esprit. Il fallait vraiment que j’arrête de réfléchir et que je me laisser aller un peu. De toute façon j’étais coincer ici, et nu. Seigneur ! Mais cette histoire de mission m’intriguait. Au moins, j’oubliais l’idée qu’il y avait probablement des caméras quelques part. Et merde !

On continua un moment en évitant des déchets puis le tunnel tourna a nouveau, le bruit d’eau courante devint plus fort. J’entrevis au loin dans les ténèbres comme des bâtons ou plutôt de longues épines qui tapissait les murs de l’égout sur tout le pourtour sauf au sol. C’était comme la bouche d’un de ses vers des sables géants dans le film Dune. Ma peau se couvrit de chair de poule en me demandant ce que c’était encore que ce nouveau délire. Il semblait y avoir aussi comme de grandes marches sous l’eau qui formait des petites chutes en palier chacune éclairer par un lampadaire. Une fois tout près je vis que de l’eau giclait de ses espèces de pic incurver et que la puissance des jets les faisaient remuer lentement comme s’ils étaient vivants. Je souris décourager car je compris tout de suite que c’était les douches en questions. Décidément il n’y avait rien de conventionnel ici.

Une fois tout près, je ris comme une folle en m’apercevant que les pics étaient en réalité de long pénis qui pissait tout de fins jets d’eau, presque de la vapeur et que plus ça avançait dans le tunnel plus les verges s’allongeaient, jusqu’a se toucher comme pour boucher complètement l’égout en haut des marches. Tout ça devenait de plus en plus étrange, quasi surréaliste.

Ceux où celle qui avait imaginé cet endroit semblait avoir une fascination pour les bites noire. « Ce club a dû être fondé par des lesbiennes pures et dures, maniaque des godes, » me dis-je en riant.

Il y avait bien de grandes marches sous l’eau et 1 grimpa pour s’installer sur troisième palier arroser de toute part comme dans un mini lave-auto, elle tourna sur elle-même se laissant asperger les yeux clos. Sa peau blanche réapparus lentement; plus de trace de peinture, ni de boue qui semblait fondre sur sa peau. Ça s’écoulait lentement le long de ses jambes fines un peu comme du chocolat. J’apercevais peut a peut son beau corps de fille mince, sexy et… blonde, une vraie blonde d’après sa toison en ovale. Et même le petit lapin rose tatouer sur sa fesse réapparut. Ces filles-là ne semblaient n’avoir aucune pudeur. L’habitude sans doute, elle dansait peut être nue en plus de travaillé ici ou s’exhibaient sur le web. Qui sait ? La, tandis que 2 me rattrapait, j’hésitai un instant, la boue me cachait, mon dernier rempart contre la nudité totale, si je me douchais, j’allais vraiment être nue cette fois et j’avais le pressentiment que j’en avais encore pour un moment a me balader a poil. A 20 ans ses moins gênants, mais a 50… Tout de même, me sentir propre me ferait drôlement du bien, je ne pus résister plus longtemps et avancer sous les jets d’eau en lâchant mes seins, on était entre filles après tout, du moins jusqu’à maintenant.

Des que je grimper sur le premier palier je fus arroser de toute part, d’en haut, d’en bas, sur les côtés et c’était fantastique. J’aurais bien aimé quelle fut chaude mais non, elle était tiède comme celle dans laquelle ont pataugeaient, mais c’était mieux que rien. Je stopper sur le deuxième palier, derrière 1 qui se frottait tout partout et fit comme elle en fermant les yeux. La vapeur d’eau tiède ma chatouillait la peau, ce n’était pas comme une douche normale mais beaucoup plus doux, plus sensuelle, presque un massage. Je me retourner en ouvrant les yeux et regarder 2 justes devant moi sur le premier palier qui levait les bras en tournant sur elle même a son tour. Je ne pus m’empêcher de la trouver belle en regardant l’eau débarrasser son corps rondelet de la crasse, sa peau blanche apparaissant peut a peut tout comme la mienne. Elle me faisait pensé à moi à son âge, boulotte mais jolie. Une belle petite brunette. Mais le bruit que faisaient ses cascades d’eau fit redoubler mon envie d’uriner. Je n’en pouvais plus.

— Ou sont les toilettes les filles ?
— Ici, fit 2 tout sourire, on fait comme a la piscine. Mais derrière moi.
— Ce n’est pas vrai.

Je soupirer exaspérer mais je n’en pouvais vraiment plus. Je redescendis dans la rivière et m’accroupit dans une zone sombre jambe écarter, dos a elles et vider ma vessie. Une vraie délivrance et je retourner a mon palier plus embarrasser que jamais.

1 me tapa sur l’épaule, je tourner la tête, elle avait agrippé un pénis noir mat qui semblait jaillir du mur comme les autres, mais celui-là ne laissait pas échapper d’eau et son gland était orange. Je vis qu’il y en avait d’autre comme lui éparpiller sur les paliers de la cascade et d’autre avait le gland bleu et pendait du plafond. 1 pompait le sien comme si elle le masturbait, en me souriant en plus, l’autre main en coupe juste sous le gland comme pour recueillir le sperme qui allait en jaillir. C’était quelque peu lubrique ! Du liquide blanc et épais en sortit, j’arrondis les yeux de surprise et, avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle m’avait mit ça sur la tête pour me shampouiner avec. Je grimacer en n’en prenant du bout des doigts sur mon front pour le sentir prudemment. Une bonne odeur de vrai shampoing et non de sperme ! Fallait être vraiment tordu pour imaginer ça.

— Les gland bleus, c’est du savon Luce. T’en as un à porter de main.

Je le vis pendant du plafond et soupirer décourager en l’agrippant et le pompant comme si c’était une pie de vache une main en dessous. Du liquide épais me remplit la main.

— Ce n’est pas vrai ! Dis-je en me savonnant.

Mais quel bonheur de se décrasser, enfin, et de sentir des doigts me masser le cuir chevelu. De me sentir propre surtout après avoir rampé dans un couloir rempli de cadavre, d’avoir traversé un marais, de m’être battu dans de la boue et d’avoir marché dans un égout.

Laissant 1 me laver les cheveux avec bonheur je me retourner et vit 2 pomper une verge elle aussi et se remplir les mains de savon. Puis, toujours un palier en dessous elle s’approcha et posa ses mains sur mes seins quelle avait sous le nez, mes les savonnant, me les pressant, me les soulevant en me regardant droit dans les yeux tout sourire. « Doux Jésus, » me dis-je, plissant les yeux et sentant mon coeur s’affoler, « je suis au paradis ! » J’en frémissais qu’elles me touchent enfin. Les cheveux, les seins en plus de l’eau douce qui coulait partout sur mon corps, c’était merveilleux, si relaxant, si érotique ! Mes mamelons gonfler à bloc étaient si sensibles que cela me fit grimacer de plaisir quand elle me les caressa. Je ne pus m’empêcher de joindre mes mains savonneuses aux siennes. Nos petits doigts pétrissant mes gros seins délicieusement, je finis par fermer les yeux pour mieux ressentir toutes ses agréables sensations.

Puis, ses mains si douces glissèrent sur mon ventre et mon pubis s’attardant dans ma toison pour bien la nettoyer, m’arrachant des soupirs et se rapprochèrent dangereusement de mon sexe gonfler et mouillé depuis mon épisode de voyeuse. Mes orteils se replièrent sous l’eau tandis que j’écartais les pieds. Je laisser mes mains rejoindre les siennes et, n’en pouvant plus je lui pris un poignet et lui poser la main carrément sur ma fourche. Elle me la frotta un moment, un doigt en avant jusqu’entre les fesses, mes pieds en tournèrent par en dedans tellement c’était bon. 1 commença à me laver le dos, les épaules, les reins, les fesses. Leurs mains m’électrisaient, elle se rejoignait sur mon entre jambes, frottait, palpait, savonnais. Leurs caresses plus les jets d’eau, c’était délirant, fantastique. Si ça continuait j’allais jouir, ça calmerait le feu qui couvait en moi depuis un moment. Je me lécher les lèvres et me les mordiller tandis qu’elles m’écrasaient le clitoris, touchait mon anus… Ouf ! Mes genoux fléchissaient et je gémissais faiblement en serrant les cuisses sur leurs mains, mes petits doigts enfoncer dans la chair molle de ma grosse poitrine ou me pinçant les mamelons délicatement. Je repenser a cette femme toute a l’heure dans cette pièce et a tous ces zombies qui s’occupait d’elle, ça me fit frémir. Tout ça c’était… étourdissant ! Leurs mains délicates me caressaient si tendrement comparer a celle d’un homme. Je planais plus proche de l’orgasme que jamais en me tortillant le souffle court.

Je faillis jouir, mais… l’orgasme m’échappa. Je grimacer et gémit de frustration et comme si elle l’avait deviné elles délaissèrent mon sexe pour me laver simplement, 2 s’occupant de mes cuisses et de mes mollets et 1 de mes épaules et de mes bras, au lieu de continuer a me donner du plaisir. Cette fois, n’en pouvant plus, je placer ma main droite aux sommets de mon pubis pour me masturber violemment les yeux clos, agaçants mon clitoris bander et sortit. Ça me gênait un peu de le faire devant elle mais en même temps ça m’excitait et de toute façon je ne pouvais m’en empêcher. Je me sentais comme une pile surcharger prête à exploser. Malheureusement, j’eus beau m’acharner a faire des pressions et des cercles, ce maudit orgasme m’échappa une nouvelle fois et je renoncer. Faut dire que sans vibrateur j’y arrivais rarement et il fallait que je sois vraiment détendu et seul et la… Mais c’était venu si près que mes jambes en tremblait. Merde ! Quant aux filles, leur but premier n’était apparemment pas de me faire jouir, pas cette fois la, mais juste de me laver. Elle ma lâchèrent finalement et en ouvrant les paupières je remarquer quelles avaient les yeux aussi petits et brumeux que les miens. « Au moins, me dis-je, ça ne semblait pas trop les dégoûter de caresser leur vieille cliente ou de la voir se branler. »

Je soupirer frustrer en me lissant les cheveux avant de reprendre du savon en riant tellement cela me semblait ridicule de pomper ces phallus.

2 grimpa et me dépassa comme si j’étais invisible pour rejoindre 1 sur le troisième palier et se laver ensembles après avoir pomper des membres pour se savonner généreusement. Bien enlacer toutes les deux sous les jets d’eau comme si je n’existais plus, elle me faisait un spectacle des plus érotique et tout sourire en plus ! Un peut malheureuse et me sentant abandonnée je me rincer les cheveux et le corps puis pomper un autre pénis. Je sentais un mécanisme fonctionner à l’intérieur de la fausse verge noire. Pourquoi on n’avait pas ça à la maison ? Parce qu’une fois vide il servirait a autre chose pour bien des femmes. Et quelle étrange sensation que de voir gicler de l’urètre du savon tout blanc dans ma main. Puis je m’approcher de 2 en restant sur mon palier, j’avais trop envie de les toucher les petites agaces !

Je commencer a lui laver le dos avec de l’eau me cascadant sur les genoux, en laissant ma poitrine, juste a la bonne hauteur, s’écraser contre son beau derrière rebondit. Mes gros seins écraser recouvraient son cul entièrement, je vis que son tatouage au creux des reins avait réapparu, deux ailes noires déployer. Dans l’était d’excitation extrême ou je me trouvais, je me rendais à peine compte que je réalisais le fantasme a le quelle je pensais depuis mon arriver ici. Moi et elles sous la douche, enfin ! Le contact si doux de ses fesses mouiller d’eau savonneuse sur mes seins me tournait la tête et elle devait bien sentir mes mamelons. C’est ce que j’aimais le plus à l’époque où j’avais des aventures avec d’autres femmes, sentir leur poitrine glisser sur mon dos jusqu’à mes fesses ou s’écraser contre la mienne. Se coller, se frotter, se caresser longuement, bien serrer l’une contre l’autre, c’est ce que je préférais avec une femme presque autant que d’atteindre l’orgasme, si non plus.

— Vous n’êtes pas supposé vous occuper de moi vous deux ? Demanda-je feignant d’être irriter en reprenant du savon a un gland. Je m’y habituais déjà.
— C’est ce qu’on fait Luce, dit 1 les yeux brumeux en me fixant par dessus l’épaule de 2 qui visiblement lui caressait le sexe. Paraît que tu aimes regarder ! T’ont copain a choisi le ouuufff…. forfait zombie et… hummm…. et voyeuse.

Une autre bouffée de chaleur m’envahit de les voir faire oui, mais surtout parce que mon copain aie osé leur dire ça.«Il leur avait dit ça ! Le salaud.» Toute a l’heure je le bénissais et la, je voulais le décapiter. Ma vie, c’est ma vie et c’est priver. Mes petites déviances, c’est mon secret à moi et là, tout le monde semblait au courant. Je ravaler ma salive avant de répliquer :

— WAIS ! Mais y as pas que ça dans la vie ce rincer l’oeil les filles. Et puis vous êtes mes esclaves alors… sauter moi dessus et puis il aurait pu me demander mon avis l’imbécile.
— Hummm… ! Cesses de parler et de poser des questions sinon je demande à Salie de venir s’occuper de toi. On se lave moi et 2 c’est tout.

On fait juste se laver mon oeil. Elle ne cessait de grimacer et de se mordiller les lèvres comme si elle jouissait vraiment. Elles se collaient et se frottaient sans vergogne pubis contre pubis tout en se caressant avec force. Les mains savonneuses de 1 se joignaient parfois aux miennes sur le dos de 2 avant de repartir sur ses seins. Elles le faisaient exprès et faisaient probablement semblant d’y prendre autant de plaisir. Un petit numéro sans doute qu’elle devait faire au même endroit a chaque fois qu’elles arrivaient ici avec une cliente. Tu me parles d’un boulot.

Mais leur numéro faisait son effet.

— C’est qui cette Salie ? Demandai-je en voyant 2 écarter les jambes pour qu’une des mains maigres de 1 s’y faufile par devant, pressant sa vulve jusqu’a me toucher le ventre ce qui me chatouilla.
— La belle dame de toute a l’heure, celle à la tronçonneuse.

Je lui fis mes petits yeux méchants.

— OK ! Je la ferme ! Mais, elle n’a vraiment pas un corps de Salie, plutôt un corps de George.

Elle rit avant de rajouter :

— Je vais lui répéter ça toute a l’heure quand tu.. Ouffff… tu la reverras.

Seigneur ! Cette fois je frissonner de peur pour de vrai.

— Et haute tes grosses boules du cul de mon amie. Dit-elle en riant les yeux quasi fermer.

Pour toute réponse je les écraser plus en bougeant les épaules pour que mes seins couverts de savon glissent sur les fesses tout en lui faisant une grimace.

— Appel ta miss tronçonneuse la petite blonde, je vais la tripoter tant que je veux. Et c’est moi la cliente, je fais ce qu’il me plaît, surtout à vous deux.

2 ne parlait pas, elle planait à son tour j’imagine. Mais ce petit jeu me plaisait et je rêvais toujours d’un orgasme puissant et dévastateur.

— Elle parle et parle…. Tu regardes ses touts Luce, sinon, tu vas être punis. Tant pis pour toi.
— On verra !

Tout en riant je me reculer, j’aimais tellement sentir mes mains glisser sur la peau douce et glissante de 2; sur ses fesses un peut molle si bomber, sa craque de fesses bien serrée, sentir son anus dur sous mon majeur en avant et son sexe aux grandes lèvres ouvertes que je le frotter lentement la sentant frémir tout comme elle m’avait fait frémir. Sa vulve qui était comme la mienne, gonfler, mouillée. Ma main droite joignait celle de 1 entre les cuisses légèrement écarter. Je résister a l’envie de glisser un doigt dans son vagin car elle ne me l’avait pas fait et 1 ne lui faisait pas non plus. Ma main gauche remonta donc sur son flanc vers l’avant sur ses seins lourd, plus dur évidemment que les miens. Je touchai au passage ceux de 1 plus menue et plus ferme, juste à porter car leur poitrine était écrasée ensemble. Sentir les mamelons dresser de l’une et de l’autre et les miens frotter contre les reins de 2 me procurait des sensations indescriptibles, plus cette eau vaporeuse qui tombait sur nous. Je coller ma joue sur la colonne vertébrale de 2, étrangement silencieuse depuis un moment, et j’entendis battre son coeur. Tout ça était enivrant, tendre, érotique au possible. Je ne pus m’empêcher de grimper sur le même palier qu’elles et de me plaquer contre le dos de 2 et de m’y frotter. Je n’allais pas me contenter de regarder cette fois. Pas question !

Je réalisais maintenant à quel point cela m’avait manqué de caresser une autre fille. Je n’en avais pas eu l’occasion depuis tant d’années. 2 se retourna pour frotter sa poitrine contre la mienne de gauche à droite, laissant ses mamelons durs agacer les miens en me souriant tandis que 1 nous palpait les seins avant de se faufiler à côté de nous. Elle était si maigre cella la, un vrai paquet d’os mais d’une telle beauté avec ses yeux d’un bleu presque lumineux et ses petits seins ronds que je caresser longuement de la main droite. Nos mamelons étaient si tendus et si sensibles que le moindre attouchement nous faisait gémir. Le temps me sembla s’étirer tandis que l’on se frottait, se caressait sans pudeur, lentement avec passion sous les jets d’eau à peine éclairer par le plafonnier au dessus de nous. Puis elles se frenchèrent langues sortit juste sous mon nez, je joignis ma langue aux siennes tandis qu’on se pressait les fesses toutes les trois ou le sexe. Ont se frencha avec avidité explorant une bouche puis l’autre, c’était délirant. Trois petites langues pointues qui jouaient ensemble, trois poitrines qui se frottaient et nos mains baladeuses… c’était le pied. Je mouillais comme une folle tandis que je bénissais mon petit ami à nouveau. Avec l’eau qui s’écoulait sur nos corps, c’était vraiment le paradis. Mais toute bonne chose a une fin, malheureusement.

Cela ne dura que quelques délicieuses minutes puis elles me tournèrent le dos en riant pour recommencer a pomper des verges pour se savonner. Mais juste de les avoir touché, palper sous toutes les coutures et frencher avait calmé quelque peut mes ardeurs pour le moment. Je les regardais depuis si longtemps c’est deux la m’aguicher en se baladant nue devant moi. Depuis combien de temps en fait. Une heure, 2 heures ? J’avais perdu la notion du temps. Est-ce que j’avais 50 ans ? Aucune n’idée, mais jamais je ne pourrais oublier cet anniversaire.

On se lava chacune de notre côté en s’observant tout en souriant. Je me sentis a nouveau un peut embarrassée en ramenant mes cheveux en arrière par leurs regards qui en disait long sur le fait que je les excitais vraiment. Je n’en doutais pas un seul instant même si elle était payée pour faire ce que l’on venait de faire et pour tout le reste. J’avais presque 50 ans oui mais, je n’avais pas encore trop de rides, j’étais joli, avec de gros seins, la taille plutôt fine, pas trop de ventre, de belles petites fesses pas trop molles et encore de jolies jambes avec des cuisses fermes. Cela me rassura et me détendit de savoir que ça ne les dégoûtait pas de me toucher. Ça ne devait pas être le cas avec toutes leurs clientes. Mais, après tout, elles étaient peut-être simplement de bonne comédienne et sûrement bien payer pour s’occuper des clientes justement. Même très bien rémunérer, le sexe c’est payant. La tête me désenfla un petit peu mais j’étais encore trop émoustillé pour me sentir déprimer.

« Arrête de réfléchir idiote et éclate toi »

Mon sexe sembla palpiter quand je le laver, mes seins avaient même gonflé et mes mamelons trop durs me faisait presque mal surtout toucher par les jets d’eau, mais je me sentais drôlement bien tout à coup, légère. Je flottais comme si je venais de prendre une décision capitale. On se rinça sans dire un mot sur le même palier en s’effleurant, elle semblait être dans le même était d’excitation que moi, ou elles jouaient bien la comédie. Puis 1 me prit par la main en me tirant en avant.

— Viens, dit-elle s’enfonçant plus loin dans le tunnel de plus en plus hérisser de verges noires, longues et molles qui nous effleuraient tout partout. Pas moyen de les éviter.

Elle était de différente taille mais ni plus ni moins que la plupart des bites que j’avais vue dans ma vie. J’étais une femme alors… c’était quelque peut troublant d’imaginer tout ce que l’on pourrait faire moi et les filles avec cette orgie de phallus, mais seulement après avoir bue une bonne bouteille de vin, ou deux. Peut a peut elles cessèrent de pisser de l’eau, mais on pataugeait toujours dans cette rivière souterraine jusqu’au genou. Je suivais 1 docilement sans lui lâcher la main, en souriant, 2 derrière nous comme toujours. On passait sans arrêt d’une zone sombre à un espace faiblement éclairer. Et dans le noir, ces bites me semblaient être des serpents. Ma peau se couvrait alors de grosse chair de poule causer aussi par l’eau qui coulait de mes cheveux sur mon corps.

Au moins, je ne sentais plus l’obligation de cacher ma poitrine devant les filles et ça me faisait du bien. J’en avais plein le dos de toute façon de me les tenir, mais maintenant je les sentais se balancer constamment. Une si grosse poitrine sans soutien, ça se sent. Je m’habituais tout de même à me balader nu, je me sentais si légère. Dire que tout à l’heure je paniquais à l’idée que ma blouse ne devienne transparente et que je m’étais même battu pour pouvoir garder mes vêtements. Et la je me baladais a poli avec deux filles nues dans un couloir remplies de bite d’une longueur démesurée qui pendait tout partout. Je devais rêver, j’avais dû m’endormir chez moi après la douche. En tout cas, pour un rêve, c’était drôlement réel. Je me remis à rire tout seul en serrant la petite main de 1 tout en fixant son petit lapin rose.

Les verges qu’on devait tassé sans arrêt me faisaient pensé de plus en plus a de longue liane qui effleurait mon corps car elle pendait maintenant du plafond comme pour former une espèce de forêt dans ce tunnel. Des bites d’une longueur impressionnante qui traînaient parfois jusqu’a l’eau, d’autre plus courte me chatouillait la hanche et les cuisses, ça me donnait le frisson. 1 s’amusait a les faire tanguer et il rebondissait mollement contre moi, c’était fou ! Délirant et amusant ! Et je dis en rigolant :

— Il nous manque juste une bonne machette les filles !
— Ce serait dommage de couper toutes ses belle bite Luce, fit 2, imagine ce que l’on pourrait faire avec. Elles sont juste de la bonne taille pour se faufiler où on veut, t’a remarqué ?

Ça, pour l’avoir remarqué, je l’avais remarqué. Même que mon imagination s’emballait. Je les imaginais prendre vie, s’enrouler autour de moi pour m’emprisonner et me pénétrer par tout mes petits trous. Comme dans un film d’horreur érotique japonais à petits budgets. Il ne manquait qu’un pot de lubrifiant pour faire tout ce qui me traversait l’esprit présentement.

J’ouvris la bouche pour répliquer quelque chose mais 1 stoppa brusquement en me lâchant la main et je lui rentrer dedans. Elle se retourna tout sourire avec son visage angélique, ses yeux d’un bleu ciel déroutant river aux miens. Elle agrippa l’une des verges longues comme un serpent qui lui pendait le

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire