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Ma compagne flashe sur mon ami d’enfance

Ma compagne flashe sur mon ami d’enfance



Auteur : Patrik

Acte Un

Que je vous explique la situation en quelques mots : depuis quelque temps, Vanessa, ma compagne flashe sur mon ami d’enfance. Je m’en suis vite rendu compte, et j’ai réussi à lui tirer les vers du nez, comme on dit. Faut dire que Francis n’est pas moche de sa personne, et qu’il joue les aventuriers, chevauchant sa grosse moto pour aller se perdre dans des contrées improbables dont les noms sont souvent imprononçables. Bref, le look du baroudeur sans l’odeur.

— Ce… ça ne te gêne pas que je… enfin, sur Francis ?
— Je comprends très bien pourquoi, et je préfère que ce soit avec lui qu’avec un illustre inconnu.
— T’es vraiment bizarre, toi…
— Tu préfères que je sois bizarre ou que je t’explique à l’ancienne qu’une femme ne doit même pas songer à un autre homme que le sien ?
— Vu comme ça…

Comme souvent, nous l’avons invité pour samedi soir. La veille de l’invitation, donc le vendredi soir, alors que nous sommes au lit, ma femme me demande carrément :

— Au fait, Alex, est-ce que… le dîner de demain soir pourrait être un peu plus… coquin que d’habitude ?

Il arrive parfois que ma femme mette de jolis décolletés ou des jupes un peu courtes, mais là, plus coquin que d’habitude, ça signifie quoi ? Un peu surpris, levant le nez de mon livre, je réponds :

— Oui, pourquoi pas… Mais coquin comment ? Et pourquoi ?
— Ben, comme tu sais, j’ai un peu craqué sur Francis et j’aimerais me faire sexy pour lui !
— Ah oui ? Pour lui, mais pas pour moi ? Et sexy comment ?
— Euh, tu verras… À vrai dire, je n’ai pas encore choisi ma tenue… Si j’ose le faire…

J’ai des doutes sur sa dernière phrase. Je parie qu’elle a déjà soupesé trente-six fois la chose, et que ça va faire quelques jours que son plan d’attaque est finalisé, ainsi que le choix de sa tenue. Mais je préfère ne rien dire, je suis curieux de savoir jusqu’où tout ça ira. De plus, je ne suis pas jaloux, et je ne déteste pas partager. Ma précédente compagne en a su quelque chose, c’est même à cause de ça que je l’ai perdue. Mais ce malheur fut bon, puisque j’ai ensuite rencontré Vanessa.

— Eh bien, si tu oses, je n’aurais rien contre…
— Vraiment certain ? Tu ne me le reprocheras pas ensuite ?
— Tu me connais assez pour savoir que je n’ai qu’une parole, contrairement à certaines personnes qui sont de véritables girouettes.

Elle voit à qui je fais allusion, elle sourit :

— Je dois t’accorder cette qualité… Merci d’avance, mon chéri…
— Pas de quoi, ma chérie…

Le lendemain matin, nous faisons des courses dans une grande surface. Pendant que nous déambulons dans les allées, elle me parle de faire une petite réception bien soignée. L’après-midi, elle s’active, elle se prépare comme si nous allions en soirée dans un club, c’est-à-dire qu’elle monopolise la salle de bain. Mais avec interdiction pour moi de venir la déranger durant ses préparatifs.

Ma femme aime bien être à son avantage comme la plupart des femmes. Elle aime bien donner envie, elle adore souvent flirtouiller, mais sans franchir le Rubicon. On va dire qu’elle joue souvent les gentilles allumeuses, et moi, ça m’amuse qu’elle soit ainsi et que beaucoup d’hommes envient ma place. Nous sommes déjà allés dans de clubs libertins, mais surtout pour nous imprégner de l’ambiance, jamais pour coucher avec d’autres personnes. Elle mate, elle commente abondamment, ça l’émoustille, et j’en profite. La dernière fois, elle a accepté que le rideau ne soit pas tiré, à condition de ne pas être en pleine lumière.

Vers dix-huit heures, ma compagne daigne enfin montre le bout de son nez. J’entends le cliquetis de ses talons aiguilles venir à moi. En la voyant se présenter à moi dans sa tenue du soir, je m’exclame aussitôt :

— Waouh, pour être sexy, c’est sexy ! Francis va se régaler ! Et tu crois que tu seras sage comme une image ?
— Euh… je ne sais pas…
— Ah oui ? Tu ne sais vraiment pas ? Ou tu n’oses pas me l’avouer ?
— Je… je ne pense pas, mon amour…
— Tu ne penses pas quoi ? Tu ne penses pas que tu seras sage ?
— Il… il y a de ça, oui…
— Je préfère quand tu es sincère, ma chérie…

Vanessa a décidé de sortir ses atouts, et c’est très réussi. Elle est habillée d’une robe noire très courte, en simili-latex, pas trop décolletée, mais très moulante, ce qui fait qu’on comprend parfaitement que ma compagne n’a pas mis de soutien-gorge pour contenir ses mignons petits seins, et ses tétons pointent délicieusement sous le tissu. L’arrière de la robe est lacé, ce qui permet de bien distinguer son dos ainsi que sa chute de reins.

Comme elle souhaite garder un minimum de décence, elle porte une petite culotte noire de la même matière que sa robe, tout aussi moulante, et quand on a le bon angle, on peut parfaitement distinguer les douces formes d’un bel abricot bien dessiné.

Plus bas, elle porte des bas noirs eux aussi, à larges bandes bien visibles, et des demi-cuissardes sombres dotées de hauts talons qui claquent sur le carrelage. Avouez que le tableau qu’elle offre n’est pas triste. Elle tapinerait habillée de la sorte, elle aurait un franc succès. Mais ce n’est pas là son métier, celui-ci est beaucoup plus sage, quoiqu’on ignore ce qui peut se passer dans l’atmosphère légère de certains bureaux…

Pour marquer le coup, je prends quelques photos avant que mon copain arrive, histoire d’avoir un souvenir de cette tenue particulièrement excitante. Au passage, je suis quand même un peu étonné que ma femme ait pu oser mettre cette tenue, même en club, elle n’a pas osé aller si loin, mais on n’att**** pas des mouches avec du vinaigre…

Quoiqu’elle aurait pu faire moins… torride… mais elle est très excitante ainsi !

Que je vous parle un peu plus de mon copain Francis. Je le connais depuis la maternelle, c’est dire. Nous avons fait les quatre cents coups, et pas des moindres. Quand plus tard, nous nous sommes intéressés aux filles, nous avons conclu un accord tacite : on peut mater, flatter, mais on ne touche pas à la copine de l’autre. Sauf, bien sûr, accord explicite, il va de soi.

— Ah, ma chérie, le voilà ! Je viens d’entendre le bruit caractéristique de sa moto !

Me levant, je me tourne ensuite vers ma compagne :

— Tu te sens prête ?
— Un peu nerveuse, mais prête, mon amour…

Lorsque Francis débarque chez nous, au moment où il franchit le seuil, à la vue de la tenue sexy de Vanessa, il est plutôt surpris, mais visiblement ravi. Et comme son degré de « cochonitude » est aussi élevé que le mien, il comprend très vite que la soirée sera peut-être plus torride que prévu, je le vois parfaitement dans son regard lubrique et très intéressé. Il a même un peu de mal à ôter ses bottes, tellement il la reluque éhontément !

Virevoltant sur ses talons aiguilles, ma compagne est très sensuelle dans tous ses déplacements, y compris quand elle propose des apéritifs accompagnés des biscuits salés. Je trouve qu’elle ne fait pas dans la dentelle, mais la situation m’excite. Elle est souvent de nature allumeuse, mais ce soir, elle met le paquet ! Durant ce temps, Francis n’en perd pas une miette ; il finit par lui demander :

— Euh… Vanessa, ta tenue n’était pas un peu trop… osée ?
— Non, pas du tout ! C’est juste sexy comme Alex et moi aimons. Et toi, tu aimes ?
— À ton avis ?

Comme Francis est en pantalon en cuir, car il est venu à moto, ma compagne n’est pas sans savoir qu’il y a comme une belle bosse qui trône entre ses jambes. Je suis amusé par la situation, et Vanessa aussi, si j’en crois le petit sourire qu’elle m’adresse. Comme je sais que ma femme ne fera pas le premier pas, je décide de faire avancer un peu les choses :

— Mets-toi à l’aise, Francis. Ma chérie, peux-tu nous apporter les petits fours, stp…

Alors qu’elle vient de quitter le salon, fébrile, Francis me questionne :

— Je me mets à l’aise… très à l’aise ?
— Tu peux te mettre très à l’aise, mais pas trop quand même… pas comme au sauna, par exemple…

Il rigole, puis il se retrouve bien vite T-shirt et caleçon, sa bite déjà dure et plutôt voyante sous le tissu. Ma compagne revient avec le plateau qu’elle pose sur la table basse. Je constate qu’elle n’a pas quitté du regard notre invité. Puis elle s’assied posément à côté de lui. Elle lui montre les petits fours en lui disant :

— Sers-toi, Francis. Fais comme chez toi…
— Hmm, vraiment comme chez moi ?

Vanessa rougit un peu. Francis ne sait pas trop quoi faire, je vois bien qu’il ne sait pas quoi faire de ses mains, que ça le tente. Afin d’éviter un enlisement, j’interviens :

— Francis, pour une fois et contrairement à mon habitude, je n’ai rien planifié. C’est Vanessa qui a voulu nous faire une petite surprise…
— Ah ça, pour une petite surprise, c’est une grosse surprise !
— Je ne te le fais pas dire. Maintenant, c’est à elle de continuer à nous impressionner.

Ma compagne ne répond rien, la balle est dans son camp. Après quelques parlottes, nous trinquons entre hommes, cognant nos verres. Francis lance joyeusement :

— Eh bien, buvons… buvons à quoi ou à qui ?
— Buvons aux femmes qui font la joie de notre existence… à tous les plaisirs qu’elles nous offrent…
— Bonne initiative ! D’ailleurs, j’adore quand les femmes prennent des initiatives !

C’est à ce moment précis que Vanessa pose délibérément sa main sur la bosse du caleçon de notre invité, puis qu’elle commence à le caresser doucement. Bien entendu, Francis ne proteste pas et se laisse faire, écartant même un peu plus ses jambes pour faciliter l’accès.

Pour ma part, je pense que ma compagne vient de franchir une nouvelle étape, et que ça ouvre bien des perspectives. Il suffit que je ne refasse pas les mêmes bêtises qu’avec mon ex, et tout ira pour le mieux, aussi bien pour ma femme, pour mon copain et pour moi-même.

Acte Deux à trois

Pour faciliter la tâche, Francis vient d’abaisser son caleçon, révélant un beau morceau bien raide. Ma femme hésite un peu, elle me regarde et voit que je ne m’y oppose pas. Alors elle saisit pleinement cette verge qui la tente. Quelques instants plus tard, Vanessa est en train de branler fermement la queue de notre invité, et elle y va joyeusement, sans complexe.

Bien qu’il ait un sourire radieux sur le visage, Francis intervient :

— Vas-y mollo quand même ! Je ne tiens pas à ce que tu me vides trop vite !
— Mais moi, j’ai envie de te voir jaillir !
— Tu verras mes jets de foutre, je te le promets. Et si, en attendant, tu me suçais un peu ?

Indécise, ma compagne me regarde. Je lui accorde une fois de plus ma bénédiction. Alors, sans plus attendre, elle enfourne cette bite bien raide entre ses lèvres pour commencer une magnifique fellation durant laquelle elle déploie tout son savoir-faire qui n’est pas des moindres.

Francis est aux anges :

— Oh putain de putain ! Elle sait s’y faire, ta femme !
— Ravi de te l’entendre dire !
— Oui ! J’ai connu bien des pipeuses dans ma chienne de vie et dans divers endroits dans ce bas monde, mais ta gonzesse, elle est parmi les premières !

Je pense que notre invité en rajoute un peu, mais ça fait toujours plaisir à entendre. Comme pour le remercier de ce peu commun compliment, Vanessa commence à malaxer les boules poilues de notre invité. Celui-ci la regarde faire avec un évident plaisir. Je crois que Francis se souviendra longtemps de cette soirée, même s’il n’a pas dû aller à l’autre bout du monde !

Attisée, ma femme continue son petit manège, visiblement enchantée que ça plaise beaucoup à notre invité qui se laisse totalement faire, relaxé, décontracté. Puis soudain, il la repousse gentiment :

— Arrête là, s’il te plaît, sinon je balance la purée !
— Tu peux balancer la purée… surtout si tu as d’autres patates en réserve…
— Je… je peux vraiment ?

Sans lâcher le pieu de chair, Vanessa insiste :

— T’as de la réserve, oui ou non ?
— De la réserve, tu dis ? Oh-oh, ça devient de plus en plus intéressant !
— N’est-ce pas…
— Dans ce cas, je te signale que mon foutre est assez épais, c’est pas tellement liquide…
— Oh, tu sais, c’est comme mon homme…
— Dans ce cas… comme c’est toi l’hôtesse…

Vanessa reprend sa fellation. D’après ce qu’elle vient de dire, elle semble nettement être demandeuse d’une suite plus torride. Eh bien, je suis certain que Francis est partisan à cent pour cent, et moi aussi. Notre invité ferme les yeux, il se laisse à nouveau aller. Ma femme astique toujours, de ses lèvres, son bâton bien raide, tandis qu’elle continue de masser ses boules poilues. Le résultat ne se fait pas attendre, Francis pousse un premier cri, suivi d’un autre : il est en train d’éjaculer dans la bouche de ma femme qui est en train de le boire, le plus naturellement du monde !

Je réprime un sourire de satisfaction trop éclatant : enfin, ma femme s’est décidée ! Je pense que ça nous ouvre de nouvelles perspectives.

Francis est affalé dans le canapé, tandis que Vanessa s’est relevée. Un peu de sperme luit sur sa lèvre inférieure, ce qui donne à ma femme un air très vicieux. Comme si de rien n’était, elle me dit :

— Ben, finalement, ça a le même goût et la même consistance que le tien…
— J’ai cru comprendre. T’as même poussé la similitude à avaler…
— Bah, autant aller jusqu’au bout…

Je relève sa phrase et son sous-entendu :

— Autant aller jusqu’au bout ?
— Ben oui… si je dois franchir un certain cap, autant que ce soit dans les bonnes conditions, non ?
— Hmm-hmm, et je suppose que Francis fait partie de ces bonnes conditions ?
— Tu… tu supposes bien…

C’est alors que Francis se manifeste :

— Je suis très flatté d’être une bonne condition ! D’ailleurs, ça me met dans de bonnes conditions !
— C’est pas vrai, tu rebandes déjà ?

En effet, le sexe de notre invité commence à pointer à nouveau vers le plafond, signe de son évident intérêt pour l’hôtesse des lieux ! Quelque chose me dit que la soirée ne fait que commencer !

Acte Trois

Nous les hommes, nous sommes tous les deux debout, bite à l’air, nos mains souvent baladeuses. Quant à Vanessa, comme elle avait chaud (selon ses propres paroles), elle a ôté sa robe moulante, gardant quand même sa culotte noire ainsi que ses cuissardes, ce qui fait un certain effet sur nos libidos de mâle !

Depuis qu’elle a sucé notre invité, Vanessa fait le show et tombe dans l’indécence avec des poses ultra provoc’ et aussi en mots :

— Allez, branlez-vous et baisez-moi comme une salope !

C’est bien la première fois qu’elle parle de la sorte et avec ce genre de mots ! Visiblement, ma compagne a décidé d’y aller à fond, et je ne pense pas que je vais l’en empêcher de se laisser aller, car ça m’arrange. Même son de cloche chez mon ami qui est plutôt ravi de ce dévergondage en règle. Néanmoins, ma femme est quand même un tantinet manichéenne, valsant du noir au blanc, ou vis-versa.

SI je me laissais aller (moi aussi), j’irais bien faire goûter ma belle et bonne queue bien raide dans la belle fente juteuse de ma dévergondée de femme, mais j’ai envie de faire d’abord plaisir à mon ami et invité. Alors, me levant, j’ordonne à ma compagne :

— T’as gagné ! Va t’agenouiller sur le canapé, ton cul vers la table basse !
— Euh… OK…

Elle s’agenouille sur le canapé, posant son buste sur le dossier. J’en profite pour lui lécher la fente par-derrière, elle suinte de cyprine. Je bois à ses lèvres dégoulinantes, n’oubliant pas d’aller agacer son petit bouton rose de temps à autre. Après quelques léchouilles appuyées, je fais un discret signe à Francis. Celui-ci s’approche, devinant sans doute où je veux en venir. Je m’écarte un peu, mes doigts prennent le relais de ma langue. Vanessa gémit déjà.

Francis se penche vers moi, j’en profite pour lui faire comprendre par des signes muets :

— Baise-la sans qu’elle sache que c’est toi.

Il ne prononce pas un seul mot, mais toute son attitude démontre qu’il va suivre mon bon conseil. Alors qu’il est presque en position, j’arrête de masturber ma compagne. Je sais que mon copain est clean, et qu’il fait attention. D’ailleurs, pas plus tard qu’il y a trois jours, il m’a confié avoir eu les résultats de son dernier test : no problemo. Et puis, j’ai envie qu’il prenne ma compagne, qu’il la fasse jouir, qu’il l’inonde, qu’elle soit pleine de son sperme, qu’elle en déborde et qu’elle en dégouline. Je ne saurais dire pourquoi j’ai cette envie, je la constate, c’est tout. Mais ce n’est pas pour autant que je veuille lui donner ma Vanessa, je la prête. Elle est à moi, et elle restera à moi.

Bien dans l’axe de sa chatte détrempée, Francis la pénètre dans effort par derrière, et après quelques légers va-et-vient pour prendre ses marques, il commence à la pilonner. Puis il accélère comme un beau diable, les fesses de ma compagne vibrent, dansent sous cet assaut. Après quelques secondes de ce traitement, je contourne le canapé afin de présenter ma queue bien raide à cette grosse gourmande qui se laisse joyeusement entreprendre par cette queue étrangère. Me voyant, celle-ci me lance :

— T’es un petit salaud dans ton genre ! J’ai mis… outch… j’ai mis quelques secondes à réaliser… hôhâ, putain, il va de bon cœur… à réaliser que… ce n’était pas toi qui me… tronchais !
— Ah oui ? Et tu n’as pas protesté ?
— Il était trop tard ! J’avais… waow… pris goût à cette… nouvelle queue !
— En parlant de goûter…

Je pose ma bite sur ses lèvres, elle ouvre la bouche pour que je puisse pénétrer en elle. Je vais pouvoir offrir une double à ma compagne, devant et derrière, mais pas celle qu’on croit. Néanmoins, cette pratique a ses avantages. Je me laisse sucer par cette experte en pipes, tandis que mon ami est en train de sévèrement la bourrer, comme on dit. On dirait qu’il ratt**** le temps perdu, ce qui n’est peut-être pas faux. Je sais qu’il n’a pas eu le plaisir de s’envoyer en l’air depuis au moins deux semaines, car sa dernière conquête a compris qu’il était un célibataire endurci.

Vanessa pousse un petit gémissement étranglé, signe que sa jouissance est en train de monter en elle. Soudain, diverses vagues orgasmiques la terrassent, elle se laisse aller, de façon complètement indécente, à cette queue qui la farfouille, qui l’assaille depuis tout à l’heure. Devant tant de dépravations licencieuses, je sens que je vais craquer et que je vais inonder la bouche de cette infidèle :

— Je vais bientôt jouir, Francis ! Et toi ?
— J’arrive, mon pote, y en a plus pour longtemps !

Il s’interrompt, le temps de donner deux bons gros coups de piston, puis reprend :

— Et tu sais quoi ? Ta belle salope, elle est trempée ! La totale ! Elle en bave carrément sur mes couilles !

Il ne m’en faut pas plus pour que j’éjacule à fond dans la bouche de ma délurée compagne, tandis que Francis s’épanche bruyamment dans sa chatte. Sous ce double assaut liquide, elle gémit à nouveau de plaisir et de satisfaction. Si sa bouche n’était pas envahie par mon foutre qui s’y répand en cascades, elle se mettrait à hululer de contentement !

Après nous être bien vidés en elle, nous avons pris, tous les trois, une petite collation avant de recommencer, en inversant nos places, Francis dans sa bouche et moi dans sa chatte. Même résultat pour elle comme pour nous. Puis nous avons continué nos turpitudes, avec souvent des pauses pour reprendre des forces, car, hélas, nous ne sommes pas des dieux du sexe, ni même des demi-dieux capables de baiser durant des journées et nuits…

Inutile de préciser que nous avons abusé de sa bouche, de ses seins, de ses fesses, de sa chatte. Par contre, nous n’avons pas osé toucher à son petit trou, je sais qu’elle n’offre pas facilement ce type de plaisir, j’en sais quelque chose pour vivre avec elle depuis bien des années. Mais quand elle me l’offre, c’est vraiment la fiesta !

Pour vous donner une petite idée, les deux dernières fois que j’ai pu avoir le grand plaisir de passer par là, c’est quand nous lui avons acheté une voiture rien que pour elle, et c’est quand nous avons passé une quinzaine en Martinique. Sa façon à elle de dire merci…

Acte Trois – à deux puis à trois

Le lendemain, au petit matin, après une nuit de turpitude, étant réveillé le premier, je décide de laisser champ libre à mon ami. Je quitte la chambre en catimini, les abandonnant dans le lit conjugal afin d’aller chercher les croissants.

Quand je rentre, j’entends distinctement des gémissements et des râles. Comme je suis un peu voyeur, parfois, je jette un furtif coup d’œil. En attendant qu’ils finissent leurs joyeuses cochonneries, je prépare le petit déjeuner, puis je prends une BD pour passer le temps, avec toujours en fond sonore des bruits incongrus.

Un peu plus tard, ils arrivent, lui en caleçon, et elle, en fine nuisette sans rien d’autre. Avec amusement, je constate qu’un fin filet de sperme lui coule le long de la cuisse. Sur le coup, je suis étonné qu’elle ne l’ait pas essuyé, puis je réalise que c’est l’une des turpitudes qu’aime Francis. Une façon de marquer son territoire, je suppose.

Elle m’embrasse fougueusement :

— Merci, mon amour, de nous avoir laissés seuls un petit moment…
— Pas de quoi, le bonheur de ma petite femme fait aussi mon bonheur…

Alors j’ai caressé son entrejambe détrempé, elle s’est laissé faire. J’ai ensuite caressé ses lèvres de ma main chargée de sperme et de cyprine. Sans aucun problème, sa langue lèche ce mélange d’elle et de l’autre. Poussant mon avantage, j’entre deux doigts gluants dans sa bouche, elle les suce avec application et satisfaction…

À présent, nous prenons notre petit-déjeuner à trois. C’est Francis qui aborde en premier le sujet :

— Hier soir quand je suis venu, j’ai été étonné de ce charmant accueil. Maintenant, je regrette que ça ne se soit pas passé plus tôt !

C’est Vanessa qui répond :

— Ben… ce n’est pas toujours facile, tu sais… Il faut savoir franchir le pas, et c’est le plus difficile. Après, une fois que tu es lancé, ça file comme sur des roulettes.
— Oui, j’ai vu ça ! Et crois-moi, Vanessa, t’es une sacrée dans ta catégorie !
— Ah oui ? Mieux que ces fameuses donzelles de ce lointain machin-en-stan dont tu nous bassines depuis que tu es revenu ?
— Mieux que certaines, et à égalité avec les meilleures…

À cette réponse, ma compagne fait la moue :

— Mouais, je vais quand même le prendre pour un compliment…
— Faut que je te précise un truc : tu sais, elles étaient bi, et ça donnait fort quand nous étions à trois ou quatre dans le même lit. Ah que de souvenirs !
— Désolée, je ne suis pas bi…
— Non, ma poule, tu ne sais pas encore si tu es bi ou pas. T’as essayé ?

Songeuse, elle manque un petit temps de réflexion :

— Non, c’est vrai, je n’ai pas essayé. Mais une chatte, ça me tente moins qu’une bite.
— C’est clair que ce n’est pas la même chose… Néanmoins, si ça te dis, je peux t’arranger le coup… si Alex est d’accord, bien sûr.

Tout en reposant mon couteau sur la table, je réponds :

— Pour ma part, ça ne me dérange pas que Vanessa fasse un essai, histoire de voir si ça lui plaît ou non. Tu as une candidate sous la main ?
— Oui, j’ai ça sous la main, et en trois exemplaires !
— Dans ton pays lointain ?
— Non, non, des bonnes copines qui crèchent par ici. Elles aiment la nouveauté et elles seraient ravies de me rendre ce genre de service.

La principale concernée intervient dans notre échange :

— Et moi, on ne me demande pas mon avis ?
— Je te demande ton avis, ma poule : tu veux essayer ou pas ?
— Euh… qui sera là ? Une femme et toi ? Que elle ? Alex aussi ?
— Tu préfères quoi ?
— Ben…

Un peu gênée, elle me regarde, posant sa main sur mon avant-bras :

— Excuse-moi, mon amour, mais je suis moins permissive que toi…
— Dois-je comprendre que tu te montreras jalouse si je touche cette autre femme ?
— Oui… je sais que ce n’est pas bien, mais pour l’instant, je ne me sens pas d’attaque à te partager.
— Je comprends… Par contre, pas de problème de ton côté pour partager avec Francis ?

Je vois bien que ma question la chagrine un peu. Elle trouve une bonne réponse :

— Francis, il n’est pas à moi, si tu vois ce que je veux dire.
— Je vois… je vois… Bon, il n’y a pas le feu au lac pour que tu prennes une décision là-dessus. Quand tu seras prête, dis-le-moi et on verra comment organiser la chose.
— Merci, mon amour, je savais que je pouvais compter sur ta compréhension.

Je me contente de sourire. Je pense que Vanessa va devenir petit à petit une belle salope, ce qui m’arrange. Je ne sais pas combien de temps il faudra pour lui faire franchir les autres étapes que je lui envisage, mais hier soir, elle a déjà validé une sérieuse escale, et avec une facilité non négligeable.

Sans aucune transition, Francis avoue à ma femme :

— T’étais vachement bandante avec tes cuissardes noires ! Quel effet !
— Je suis bien contente ! Si tu reviens, ça veut dire que tu veux que je les remette ?
— Présenté comme ça, je dis oui tout de suite, et je reviens ce soir !
— Gros gourmand, va !

Il affiche un large sourire. Pour ma part, je comprends que ma femme souhaite recommencer. C’est à nouveau notre invité qui relance la conversation :

— Ah, Vanessa, je viens de songer à un truc qui me botterait bien…
— Ah oui ? Lequel ?
— Toi, toute nue, uniquement habillée de tes cuissardes, comme passagère sur ma moto, et on ferait un petit tour comme ça !
— C’est bien un fantasme de motard, ça !
— Alors ça te dit ?
— Faut voir…

Je constate qu’elle n’a pas dit non. Le déjeuner fini, nous sommes dans le salon, Vanessa à côté de Francis qui ne se prive pas pour la peloter et la caresser. Ma compagne se laisse faire, sa fine main sur sa large cuisse musclée et velue. Comme sa fine nuisette ne cache pas grand-chose, on distingue très bien ses tétons durs et érigés. Je connais suffisamment ma femme pour savoir que c’est un signal largement positif. Puis Francis vole un furtif bisou à ma femme qui lui répond aussitôt par un baiser appuyé !

Ces deux-là s’embrassent puis s’embrasent littéralement ! En un rien de temps, Francis se vautre sur ma compagne devenue sienne :

— Tu me rends fou ! J’ai trop envie de toi !
— Allez, viens ! Viens !

Il ne faut pas lui dire deux fois, il plonge en elle, déclenchant un pistonnage en règle. C’est franchement de la baise sauvage, sans doute à l’imitation de ce qui se passe dans les pays en « stan ». Quoique… j’ai des doutes. Je ne sais pas comment Francis s’y est pris, mais Vanessa est déchaînée, elle enserre de ses jambes les reins de son amant qui la lime profondément !

— Ah oui, baise-moi, baise-moi !
— Ah que j’te veux ! Tu m’rends fou !

Même si Francis est résistant de nature, la folie, dans laquelle il est plongé, limite son self-control. Il se tend comme un arc, ça dure quatre secondes, cinq, six peut-être. Puis il éjacule dans un grand cri, se libérant totalement. Je vois bien qu’il se vide en elle, tel un barrage qui cède. Pourtant, depuis hier, Francis a éjaculé une paire de fois, cinq fois, six fois, plus ? Je ne sais plus, je n’ai pas compté plus ! Ou bien, cet homme a de sacrées réserves, ou bien il a un pouvoir de régénération non négligeable !

— Ah que c’est bon ! Ah que c’est bon de bon !

Tandis qu’il se laisse aller, je constate que ma femme n’a pas eu son content. Elle fait même la moue quand il se retire d’elle, pour s’affaler sur le canapé, telle une grosse masse morte. Mon regard croise celui de ma femme, puis elle regarde plus bas. Il est vrai que j’ai une belle érection bien apparente, surtout due à son comportement déchaîné, là, juste à l’instant.

Alors je me décide, je me plante devant mon ami d’enfance :

— Francis, dégage de là, mets-toi dans un fauteuil.

Le prenant par le bras, je l’aide à se lever, puis toujours aussi vidé, Francis s’affaisse dans le fauteuil, dans un état assez somnolant. Étonnée, Vanessa me regarde, ne comprenant pas. Je lui fournis l’explication tout de suite :

— Je vais finir le travail !
— Tu vas quoi !?

Je me positionne entre ses jambes nues, je me penche sur elle, la regardant droit dans les yeux :

— Je sais que tu n’as pas eu ton comptant, et Francis est hors service.
— Je…
— Je veux te baiser, je veux que tu te comportes avec moi, comme tu viens de le faire.
— Mais… mais ça ne se commande pas !

Je me vautre sur elle, sans la pénétrer, mais faisant délibérément glisser ma tige le long du haut de sa fente et sur son pubis. Ma femme me regarde étrangement, mais se laisse faire, alors je continue mon petit manège qui semble lui procurer du plaisir. Du bout des doigts, je repositionne mon sexe, afin de mieux me frotter sur son clitoris. Je sens ma femme vibrer sous ma curieuse caresse. Étant mieux calé, en appui sur un seul bras, je profite de ma main libre pour masser un sein, le malaxer, titiller son téton bien dur.

J’accélère mon mouvement, ma femme ferme les yeux, laissant le plaisir monter en elle. Alors, j’approche mon visage du sien :

— Moi aussi, je te désire, je te veux, je veux t’entendre jouir !
— Moi aussi, j’ai envie de jouir…
— Pourquoi ne pas te laisser aller ?
— Je suis… enfin… un peu… gênée…

Je continue toujours de limer son petit bouton rose, je suis trop bien en elle :

— Ce n’était pas toi qui voulais être sexy pour Francis ?
— Euh… si…
— En réalité, tu voulais te le faire, je me trompe ?
— Euh… non…
— Nous dirons dans ce cas que tu as grimpé deux marches d’un seul coup…

Elle se pince les lèvres, son corps toujours secoué par mes coups de frottement :

— Et… et tu es fâché ?
— Tu crois que j’ai une tête à être fâché ?
— Pas trop… non…
— Si je ne voulais pas que tu te fasses Francis, je t’aurais dit non. Au contraire, je t’ai dit oui. On peut même dire que je t’ai donné un petit coup de pouce.

Avec un petit sourire en coin, elle me regarde droit dans les yeux :

— C’est bien la première fois que nous avons une telle conversation dans une telle… condition…
— Il faudra le faire plus souvent !

Elle se contente d’émettre un petit rire. Elle pose une jambe sur mes reins, puis l’autre ; j’aime son contact. Puis elle lance ses bras autour de mon cou :

— On parlera plus souvent comme ça. En attendant, fais-moi connaître le grand frisson ! Tant pis si je passe pour une salope, mais j’ai trop envie qu’on me désire !
— Hier soir, tu étais moins modérée ! Pas de problème pour te désirer ! Tu me donnes trop envie, petite allumeuse !

Je m’emploie à lui prouver concrètement que j’ai effectivement envie d’elle. Avec un grand sourire, elle enserre fortement mes reins de ses jambes, elle m’attire délibérément vers elle, murmurant :

— Viens en moi, Alex ! Je veux te sentir totalement en moi…

Je recule un peu pour mieux me positionner, puis je projette mon bassin en avant pour pénétrer sa fente bien juteuse. Elle pousse un long soupir :

— Ah, enfin !

Je commence à plonger en elle au plus profond pour mieux en ressortir ensuite. J’ai franchement envie d’elle, j’ai envie de la posséder, de l’avoir à moi. Je vis avec elle depuis des années, mais là, j’ai férocement envie d’elle, furieusement, possessivement ! Elle ouvre les yeux :

— T’es quand même fou, chéri !
— Fou de toi, c’est certain !

Elle se pince les lèvres pour juguler son désir qui est tout proche d’exploser en elle. Puis elle me lance en me regardant droit dans les yeux :

— Tu sais que, dans quelques secondes, tu vas mélanger ton sperme à celui de Francis ?
— Et alors ? Tu es notre Vanessa à tous les deux.
— Et pas rien qu’à toi ?
— Depuis hier soir, ce n’est plus le cas… Tu es mon adorable salope !

Je l’embrasse passionnément, continuant à la perforer de mon sexe en folie. Je ne comprends pas bien cette sorte de rage de la posséder qui s’empare de moi. Peut-être suis-je plus possessif que je ne le croyais. Oui, Vanessa est à moi, et en même temps, j’adore la partager. Elle répond à mon baiser avec la même fièvre. Je fais tout mon possible pour ne pas craquer, pour ne pas me vider en elle, alors que j’en ai une énorme envie !

Mais voilà, je veux l’entendre jouir sous moi, je veux l’entendre hurler son plaisir, celui que je lui donne. Je la mordille, je croque ses lèvres, son menton, son nez. Elle en fait de même. Elle plante ses ongles dans mon dos, chose qu’elle fait très rarement.

Et puis, survient le déclic commun.

Je ne saurais bien expliquer, mais c’est comme si nous étions synchronisés, comme si j’étais vraiment en elle, que je fusionnais en elle, comme si je voyais son corps de l’intérieur ainsi que son esprit. Pourtant, je n’ai pas pris de substance hallucinogène ou prohibée ! Nous décollons, nous nous envolons ! Nous regardons le monde nous ignorer, sans plus jamais redescendre, sans plus jamais poser nos pieds sur le sol.

Perdus dans l’infini, nous contemplons la lune, les étoiles, elles brillent de mille feux, de dix mille feux, de milliards de feux !

Nous fondons ensuite vers le soleil, cet astre brûlant, incandescent. Nos corps sont en transe, nos peaux s’enflamment, nos muscles se déchirent, nos os craquent. Avec ma puissante lance, je veux éteindre cette boule en fusion ! Un jet puissant en sort, ravageant tout sur son passage, je me vide, je m’assèche, la lutte est dantesque, titanesque ! Je joute, je lutte, je bataille, je combats, eau contre feu !

Et ensuite, le trou noir le plus absolu…

J’ai un mal de chien à émerger ! J’ai déjà fait eu des orgasmes pas tristes, mais celui-là, il est totalement inédit. J’en viens à me demander si mon baroudeur d’invité n’a pas mis quelque chose dans les boissons ou la nourriture ! J’arrive à me relever tant bien que mal, sous l’œil goguenard de Francis.

Je file à la cuisine, direction le réfrigérateur, pour avaler quelque chose, n’importe quoi, sauf de l’alcool, je ne pense pas que ce soit très indiqué dans mon état ! Je descends allègrement un demi-litre de Coca. Puis je reviens dans le salon, me sentant en meilleure forme.

— Eh bé, mon salaud, t’y as été de bon cœur avec ta femme !
— Ce n’est pas parce que je vis avec elle depuis des années que nous devons nous comporter comme un vieux couple blasé !
— Oui, j’ai vu ! La vie de couple à long terme, ça a quand même quelques avantages…

Petit à petit, Vanessa récupère de sa jouissance. Se rapprochant un peu plus d’où je suis affalé, Francis s’entretient à voix basse avec moi :

— Tu crois qu’elle accepterait un sandwich ?
— Bien qu’il soit presque midi, je suppose que tu ne parles pas de bouffe…

Mon copain rigole franchement :

— Toi et ton humour froid, je ne sais pas comment tu fais ! Perso, je suis excité comme une puce !
— Moi aussi, je suis excité, mais à ma façon.
— Ben, ta façon et la mienne, ça fait deux !
— Francis, c’est pour cela que nous sommes amis depuis la maternelle : nous sommes complémentaires.
— Oui, t’as raison, mon grand. Alors sandwich or not sandwich ?

Un peu perplexe, je me gratte la tête :

— On peut essayer le coup… mais je te préviens : elle n’offre pas très facilement sa rondelle, j’en sais quelque chose. Uniquement lors d’un gros événement…
— Qui ne risque rien n’a rien, et puis, un trio, c’est quand même un sacré événement, non ?
— Tu as parfaitement raison. Tu prends quel côté ?
— Son cul, bien entendu ! Mais si tu veux, on pourra échanger nos places ensuite.
— C’est gentil de me le proposer ! Enfin, si Vanessa veut bien…

Nous retournons auprès d’elle. Petit à petit, elle ré-émerge lentement de sa douce petite mort :

— Eh bé ! Y a pas à dire, mais deux hommes à la queue leu leu, c’est… c’est…
— C’est mieux qu’un seul ?
— Faut reconnaître… mais pas tous les jours, quand même !
— Hier soir, c’était deux hommes en même temps…
— Ben, pas tous les soirs non plus !

Francis se remue les méninges pour aborder le sujet qui lui tient à cœur. Mais rien ne vient. Je sens que ça va être à moi de me jeter à l’eau. Je reconnais que je n’ai pas à me forcer, car prendre en sandwich une femme, c’est quelque chose qui m’excite beaucoup ! De ce fait, prendre ma femme en sandwich, ça m’excite encore plus !

— Ma chérie, tu sais que deux hommes en même temps, ça peut être encore plus gratifiant ?
— Comment ça ? Encore plus gratifiant que nos cochonneries d’hier soir ou de ce matin ?
— Ce seront nos cochonneries du midi… un bon repas, avec deux tranches de pain bien fermes et un délicieux jambon rose au milieu.
— Tu sais, Alex, je n’ai pas très faim…

Puis elle se fige, me regardant fixement. Elle me dévisage, puis elle se tourne vers Francis dont un énorme sourire se dessine sur le visage. Elle hoche la tête :

— Ah d’accord…

Je m’assieds à ses côtés, la caressant par-dessus sa fine nuisette :

— C’est Francis qui en a eu l’idée… il adore explorer ton corps…
— Surtout les endroits escarpés, je suppose !
— Tu ne crois pas si bien dire… il raffole des puits sombres…

Puis sans lui laisser le temps de répondre, je l’embrasse voluptueusement tout en caressant son sein par-dessus le tissu. Aussitôt, comprenant le message, Francis en profite pour se glisser entre ses jambes pour lui procurer un cunni dont il a le secret. Ma femme se laisse faire. Depuis hier soir, elle adore qu’on s’occupe d’elle ainsi !

Je me bascule en arrière, entraînant ma femme avec moi. Ce qui permet de mieux dégager l’accès à sa fente, ce dont profite allègrement notre invité. Je regarde du coin de l’œil, Francis se fait un plaisir de farfouiller dans cet antre humide offert et ouvert. C’est alors que je réalise qu’il ne lèche pas que de la cyprine, mais aussi nos deux spermes mélangés ! Un sacré cochon dans son style, mais je n’en doutais point !

— Oooh !

Le corps de ma femme est parcouru d’un grand frisson. Du coup de l’œil, tandis que je l’embrasse toujours voluptueusement, je regarde ce que mon acolyte est en train de faire. Je comprends vite qu’il alterne, du bout de sa langue, chatte et petit trou, et que cette caresse anale semble beaucoup plaire à ma femme. D’habitude, elle n’aime pas que j’aille toucher par là, mais il est vrai que depuis hier, la donne a singulièrement changé.

Je laisse passer un peu de temps, tandis que Vanessa est toujours parcourue de petits frissons, puis quand j’estime que c’est le bon moment, je prends la parole en assenant d’une voix sourde et ferme :

— Il est l’heure de mettre un point d’orgue à cette belle séance de découverte…
— Tu veux dire que…
— Oui, je veux que tu sois doublement prise, que tu jouisses d’avoir deux hommes en toi !

Elle ne répond rien, mais son regard luit, je dirais même qu’il chatoie, tandis que nous nous relevons. Fébrile, Francis s’allonge à moitié sur le canapé, son sexe copieusement lubrifié et fermement dressé vers le plafond. Vanessa hésite un peu, se demandant si elle n’est pas en train de faire une bêtise ou pas. Puis elle se décide, faisant fléchir son bassin vers ce pal de chair. En dessous, Francis capture une fesse pour la soutenir et mieux diriger la petite cible vers le bon endroit. De son autre main, il maintient sa verge bien droite.

De côté, je tiens les deux mains de ma compagne, pour la rassurer.

Peu après, le gland luisant épouse l’arrondi de la petite cuvette de ma compagne qui est un peu inquiète. Quand il juge que c’est OK, Francis relâche un peu la pression sur la fesse. Un bref instant suspendu, puis le haut de la verge disparaît sans trop d’effort dans le rectum. Vanessa écarquille les yeux, sa bouche dessinant un « O » muet, mais elle ne tente pas de s’échapper, me regardant dans les yeux :

— Tu veux vraiment que je me fasse enculer par ton copain ?
— Tu as déjà été assez loin avec lui…
— Oui, c’est vrai, mais mon cul, c’est plus intime… je pensais ne le réserver qu’à toi…
— Merci, mon amour. La seule chose que je veux que tu me réserves vraiment, ce sont tes sentiments… Moi, je veux que tu puisses au moins connaître la jouissance d’être désirée et prise par nous deux !

Elle se contente de sourire, puis, lentement, elle se laisse coulisser le long de cette colonne lubrifiée qui s’enfonce résolument en elle.

— Ouf ! C’est quand même un beau morceau ! Et en plus, je t’aurais par-devant !
— Ainsi, tu seras totalement prise… doublement possédée…

Coquine, elle plisse délicatement des yeux :

— Ah oui ? Tu oublies qu’il restera une place dans ma bouche…
— Merci de me signaler cet oubli, mon amour…

Je me penche sur elle tandis qu’elle s’empale petit à petit sur une autre bite que la mienne. Je capture son menton entre mon pouce et mon index :

— Je veux que tu jouisses, peu importe la bouche, peu importe la langue, peu importe le doigt, peu importe la queue ! Je veux que tu sois un petit a****l d’amour qui vibre sous son plaisir !
— Hmm, c’est bien dit, mon chéri…

Puis, lascive, elle ajoute d’une petite voix :

— Puisque tu le veux, ça me va…

Elle ferme les yeux comme pour mieux apprécier toute cette longueur qui s’enfouit en elle. Puis quelques instants plus tard, la bite de Francis est totalement enfouie. Elle soupire :

— Oh putain ! Que je me sens remplie !

Je me positionne entre ses jambes, pour venir combler son entrée principale. Toujours empalée, elle écarte les cuisses pour me faciliter la tâche. Peu après, j’ai l’immense plaisir d’être complètement en elle, mon visage à deux doigts du sien. J’adore être dans sa grotte humide et chaude. Il est curieux de sentir en même temps une autre verge contre la sienne, séparée par une mince cloison. Je lui demande :

— Ça va ?
— Oui, ça peut aller… ce… c’est étrange d’avoir deux queues… je me sens envahie, et en même temps, je suis terriblement excitée !
— Et ça ne fait que commencer…

Nous commençons à la pistonner lentement, doucement. Elle gémit subtilement. Nous accélérons un peu plus, nos pieux coulissant en elle, de façon alternée, parfaitement synchrones. Nous montons petit à petit dans la cadence. Vanessa tressaille sous notre ardeur conjuguée. Soudain, elle soupire :

— Waw ! C’est donc ça que d’être une grosse salope ?

Sans s’arrêter d’aller et de venir dans le sombre tunnel dans lequel il est planté, Francis répond :

— Alors, ma grosse salope, t’aimes avoir deux hommes en toi ?
— Oui, j’aime ça, j’adore… je me sens… remplie, comblée, salope, c’est dingue !
— Alors, fais-toi plaisir, laisse-toi aller ! Nous les hommes, on s’occupe du reste !
— Je sais bien que vous n’êtes que des gros salauds !

Ce qui ne l’empêche absolument pas de se laisser complètement aller comme l’a suggéré notre invité, devenu en même temps son amant. Ses petits cris résonnent dans la pièce, tandis que nous la pistonnons comme des fous, trop heureux d’être ainsi en elle.

— Ah oui que c’est bon ! Oh que c’est génial !

Doublement enfichée sur nos deux queues qui la farfouillent en beauté et en profondeur, elle explose, son corps assailli de forts tremblements, la bouche largement ouverte, yeux fermés, tendue en arc vers le plafond. J’essaye de résister, ce qui n’est pas le cas de Francis, qui éjacule déjà dans son petit trou, dans un grand râle. J’imagine fugacement son sperme en train d’envahir le petit tunnel. Lui aussi se lâche :

— Ah bordel de merde ! Que c’est bon d’être dans ton cuuul !

Vanessa gémit logement, Francis pousse des tas de petits cris rauques. Je décide de me joindre à leurs concerts de râles. À mon tour, j’expulse mon foutre dans les profondeurs de cette belle dévergondée qui est sous moi. Je me vide, je m’assèche, tandis que mon cerveau se vide, tandis que je décolle, que je plane par-dessus les nuages.

Il me faut un certain temps pour ré-atterrir sur cette terre, épuisé, mais heureux.

Vanessa est passée à présent dans le camp des grandes dévergondées ; ce n’est pas anodin de faire l’amour avec deux hommes en même temps. Je contemple cette femme qui est à la fois pleine de mon sperme et de celui d’un autre. Je sens que ma vision des choses est en train de changer. Comment ? Je ne sais pas, mais je le sens au plus profond de moi. Pourtant, je ne suis pas novice en la matière…

Oui, il est certain que l’avenir s’engage vers de bons augures, bien que j’ignore jusqu’où Vanessa sera capable d’aller dans cette direction. En attendant, inutile de mettre la charrue avant les bœufs et de faire trop de plans sur la comète. Avec Francis comme partenaire de jeu, il y a déjà largement de quoi faire, et je lui fais confiance pour imaginer des choses auxquelles je n’aurais pas songé…

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