Comme elle me l’avait dit après notre première baise, on s’est revu à son initiative. Elle me donnait rendez-vous dans une pizzeria de Strasbourg seulement quelques jours après. Entre-temps, j’avais passé le weekend sur Lyon.
J’étais passé chez moi avant de la retrouver à l’endroit indiqué. J’en avais profité pour prendre une douche car il faisait beau et chaud ce jour-là.
Elle était habillée d’une robe rouge courte et je voyais déjà des regards masculins se posaient sur elle.
Je ne connaissais pas cette pizzeria située au centre de la ville, mais on y a bien mangé.
En sortant, elle me dit:
– J’aimerai aller au cinéma avec toi avant d’aller chez toi.
– Ah bon? Tu veux voir quoi comme film, lui ai-je répondu.
– On verra une fois sur place, me lança-t’elle avec un sourire.
On arrive au ciné-cité UGC de Strasbourg et elle a choisi un film dont je ne me rappelle plus du titre.
On s’installe et elle commence à me poser pleins de questions personnelles. Soudain, la salle est plongée dans le noir et le film commence.
Je regarde le film quand environ après cinq à dix minutes, je sens la main d’Emmanuelle qui me caresse le sexe à travers mon jean. Je suis gêné car je trouve que la salle est relativement pleine pour une séance du soir.
Mon sexe n’a aucun mal à grossir sous ces agréables caresses. Je me tourne vers elle et elle me sourit et me dit de la laisser faire pendant que je regarde le film.
Elle commence par me déboutonner mon jean et avec sa main, elle fait sortir ma bite de mon caleçon. Et là, elle commence à me branler. Je suis extrêmement car elle est visible pour qui regarderait en ma direction. Par contre, Emmanuelle n’est pas du tout gênée et me dit même au creux de l’oreille qu’elle aime quand les sexes grossissent sous son action tout en me masturbant avec délicatesse. Elle avait une façon bien à elle de passer sur mon gland. Autant dire que le film ne m’intéressait plus et je me demandais si elle allait passer à autre chose.
Cela avait l’air de lui plaire et de temps en temps, elle se tournait pour me regarder en souriant.
J’étais beaucoup plus à l’aise qu’au début que j’appréciais chaque mouvement de doigts sur ma verge. Je n’étais pas en reste, après avoir pris ma main et l’avoir mis dans sa culotte, je lui caressais son clitoris. Il était doux et humide et mes doigts n’avaient aucun mal à se frayer un chemin. Elle commençait à se mordiller les lèvres. J’appréciais vraiment ce que je faisais car j’avais réussi à faire abstraction des personnes présentes dans la salle et qui regardaient ce film.
Elle a sorti un mouchoir de sa poche et elle s’est mise à accélérer ses mouvements. De plus en plus vite, elle me masturbait que j’ai fini par jouir dans son mouchoir.
Elle me regarde et me lance:
– Ce n’est qu’un début, j’espère que tu seras en forme chez toi.
Elle m’essuie la bite pendant que je continue ce que je faisais. J’ai commencé à accélérer mes mouvements et j’ai senti sa main s’agripper à mon tee-shirt. Ses muscles se sont raidis, sa respiration s’est accélérée avant qu’elle ne m’att**** la main pour me faire comprendre qu’il fallait que j’arrête. Elle avait joui.
Elle me regarda avec ses joues encore toutes rougies mais elle semblait ailleurs. J’en ai profité pour refermer mon pantalon avant qu’elle ne s’approche de mon oreille pour me dire:
– Hum, tu sais y faire. Je suis encore grave excitée.
– Gardes-en pour tout à l’heure, lui ai-je dit avec un sourire.
Le film qui était le cadet de notre attention se termine environ un quart d’heure après.
Elle me regarde et me demande:
– Tu pourras me raconter le film?
– Pour cela, il aurait fallu que je le regarde, lui ai-je répondu en faisant allusion à ce qu’il s’était passé.
Elle me prend par la main et elle accélère le pas afin de sortir du cinéma. Par chance, à l’époque, je vivais dans un appartement à proximité. En cinq minutes, on était chez moi. A peine ai-je eu le temps de fermer la porte à clé, qu’elle m’attira vers elle, enleva le bouton de mon pantalon, sortit ma bite et se mit à genoux avant de la prendre en bouche.
J’étais debout et je voyais sa tête faire des aller-retours rapide sur mon sexe que j’appréciais. Sa bouche était chaude et humide. Elle donnait tout mais au bout de cinq minutes, elle s’arrêta pour me dire:
– J’en peux plus de te sucer, ta bite est trop grosse.
Elle se releva et elle va chercher une capote dans son sac à main qu’elle me tend avant d’ajouter:
– J’ai envie que tu me baises comme une chienne.
Elle s’est mise contre le mur avec son cul en arrière. Je me suis dépêché de mettre ce préservatif, d’enlever mes vêtements et je me suis mis derrière elle. J’ai commencé à lui mettre un doigt pour voir si elle était bien humide.
Elle se tourne vers moi et me dit:
– Je veux ta bite, c’est bien plus gros.
Mon sexe n’a eu aucun mal à se frayer un chemin en elle et à chaque coup de bite, elle criait que c’était bon. Ce qui m’excitait encore plus. A chaque coup, son cul rebondissait contre moi. Elle aimait ça et moi aussi. A un moment, mon voisin a donné un coup contre le mur mais j’étais trop occupé à baiser Emmanuelle. Que c’était bon! Son vagin devenait de plus en plus humide et de moins en moins étroit. Nos respirations s’accéléraient et ses cris se faisaient de plus en plus fort. Elle finit par jouir avant que je ne l’imite quelques secondes après.
Je me retire d’elle en faisant bien attention que la capote ne reste pas en elle et je la jette dans la poubelle.
En revenant dans le salon, elle me regarde et me dit:
– Putain, c’était meilleur que la première fois. Tu vas devenir mon sexfriend officiel.
– Moi aussi, j’ai kiffé, lui ai-je répondu. Avant d’ajouter, tu es prête pour la deuxième mi-temps?
– Ah non, tu m’as exténué. Je suis fatiguée mais demain matin si tu es chaud, m’a-t’elle répondu.
Elle enlève sa robe et m’att**** par le bras pour m’emmener dans le lit.
Je m’allonge et elle en profite pour poser sa tête contre mon épaule. Elle s’endort rapidement.
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