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VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP12

VU SUR LE NET: L’asservissement De Laure EP12



L’asservissement de Laure

Episode 12: La surprise du week-end

par masterplayer

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Il y a déjà de nombreuses années, un texte était publié par Masterfreeze, sous le titre de « L’asservissement de Laure ». Ce texte me plaisait beaucoup, mais malheureusement la suite n’a jamais été écrite (en tous cas jamais publiée).
Après beaucoup d’hésitations, j’ai imaginé une suite et me suis décidé à l’écrire. J’espère qu’elle vous plaira. C’est une première pour moi ! Je compte sur votre indulgence.

J’ai repris le récit exactement là où Masterfreeze l’avait arrêté. Il convient donc de lire (ou de relire) le texte initial pour situer les personnages dans le contexte.

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Laure aurait été bien incapable de dire depuis combien de temps elle était dans cette position. Penchée en avant, entravée, la poitrine lestée, sur la terrasse de la maison familiale ! Elle avait réussi à soulager un peu sa poitrine. En se hissant sur la pointe des pieds, autant que la cordelette le lui permettait, elle avait laissé ses seins et leurs ornements reposer sur la balustrade. Ainsi seule pendant près de deux heures, elle n’avait cessé de gamberger. Que lui arrivait’ il ? Comment en était-elle arrivée là ? A accepter de se laisser ainsi avilir, humilier… Et, pire que tout, comment se faisait-il qu’elle y prenne autant de plaisir ? Plus Orane la tourmentait, l’humiliait, la martyrisait et plus elle y prenait plaisir.
Elle en était là de ses réflexions quand le bruite du portillon qui s’ouvrait la fit sursauter. Sa maitresse était de retour et Laure se surprit à en être presque contente. Elle savait pourtant qu’Orane avait prévu une suite aux festivités et qu’elle lui avait promis un moment inoubliable… Elle du attendre encore de longues minutes. Elle entendait sa maitresse s’activer dans le salon sans pouvoir déterminer ce qu’elle faisait. Son angoisse mais aussi son impatience grandissaient. La porte coulissante finit par s’ouvrir et Orane apparut enfin, resplendissante dans une élégante robe blanche. Que le contraste était saisissant avec elle !
— -Alors ma pute tu as été sage ?
— Bonjour Mademoiselle Orane… oui
Orane s’approcha et détacha la cordelette, Laure put enfin se redresser en soufflant.
— Merci Mademoiselle de libérer votre pute.
— Hummm c’est bien me belle ca commence à rentrer ! Je t’ai promis une fin de week-end mémorable, alors prépare toi à une sacrée surprise !!!
Orane éclata d’un rire qui ne dît rien de bon à sa soumise. Elle raffermît la cordelette dans sa main, adressa un grand sourire à Laure et se dirigea d’un pas décidé vers le salon entraînant sa soumise à sa suite. Il fallut à Laure plusieurs secondes pour réaliser. Assis dans le grand canapé en cuir du salon, Richard Thomas la regardait aussi surpris qu’elle ! Laure cru défaillir et poussa un cri, tenta de se soustraire au regard de Richard. Mais sa maitresse tenait fermement la cordelette ! Orane avait osé amener Richard Thomas ici ! Chez elle et lui révéler sa condition !! Laure restait bouche bée, au bord des larmes. Orane jubilait. Elle savait où trouver Richard le dimanche matin, et il ne lui avait pas fallu longtemps pour le persuader de l’écouter. SI elle n’avait bien sur jamais été amie avec lui, Orane ne s’était jamais associée aux moqueries et brimades que tout le monde avait fait endurer à ce pauvre garçon. De cette indifférence et de cette distance, lui qui avait tout subit au lycée, il lui gardait une certaine reconnaissance. Alors lorsque ce matin, quand il avait vu arriver Orane au bord du terrain de foot près duquel il trainait, et qu’elle était venu lui proposer de se venger d’une des quatre filles qui l’avait fait marcher à 4 pattes en grognant, il n’avait pas hésité une seconde ! Jamais pourtant il n’aurait imaginé, avant de la voir devant lui comme ça, qu’il pouvait s’agir de la plus populaire de toutes, la superbe Laure Clermont !!
— Tu vois, Richard, je ne t’avais pas menti.
Richard ne trouva rien à répondre, il était complètement stupéfait ce qu’il voyait ! Laure, une des plus jolies filles du lycée, des plus enviées était debout devant lui. A peine vêtue et maquillée comme une pute et tenue en laisse par sa grande rivale Orane de Bréot ! Jamais bien sur il n aurait pu imaginer cela.
— Comment elle en est arrivée là, ne te regarde pas Richard, mais j’ai pensé qu’il te serait agréable de lui rendre la monnaie de sa pièce. Après tout la roue peut tourner pour tout le monde non ? Qu’en penses-tu ?
— Ca alors…. Je n’y crois pas… C’est… c’est pas possible !!!!
Son regard courrait sur le corps de Laure sans aucune retenue, pour un peu il en aurait bavé !
— Elle est belle non ? Lui dit Orane -Tiens prends sa laisse promène là un peu si tu veux.
C’est presqu’en tremblant que Richard se leva et pris la cordelette. Il avait du mal à détacher ses yeux des seins de Laure et de son sexe aussi !!
— Je…je vous en supplie Mademoiselle Orane je… oooohh s’il vous plait arrêtez !! Ne le laissez pas faire ça !!!!
Pour toute réponse, et sans se départir de son sourire, Orane troussa lentement sa robe et sous les yeux ébahis de Richard et ceux humides de sa soumise, elle retira délicatement sa culotte, en fit un boule qu’elle fourra dans la bouche da soumise !
— Elle adore que je la bâillonne comme ca dit elle à Richard -Et elle en a l’habitude. Maintenant tu peux la promener où tu veux, elle ne dira plus rien !
Hésitant au début, Richard finît par s’enhardir et s’amusa beaucoup à humilier Laure comme ca, à l a faire trotter pour faire tinter les clochettes de ses seins.
— Allez reviens Richard dit Orane en riant, on va passer à la suite des réjouissances, rends moi la cordelette et retourne t’assoir. Alors tu es prêt ?
Richard hésitait à répondre.
— La… la suite ? Je… mais je ou… oui pourquoi pas.
Orane faisait pivoter Laure sur elle-même.
— Elle adore se déguiser en pute, mais reconnait qu’elle est belle non ? Et tu sais quoi ? Comme toutes les belles marchandises, elle est livrée avec le mode d’emploi ! dit Orane en lui montrant une clef USB.
Richard se demandait de quoi il s’agissait, mais Laure, elle, avait tout de suite comprit que c’était le film qu’Orane lui avait fait tourner avec le gode. Elle était effondrée, anéantie. La jeune asiatique se dirigea vers l’écran, positionna la clef et revins s’assoir à côté de Richard.
— Toi tu viens te mettre à genoux face à nous ! Tiens-toi bien droite ! Là voilà, tu n’as pas besoin de voir le film toi ! Tu le connais déjà !!
Orane avait tiré sur la cordelette en disant cela, Laure en grimaçant avait faillit tomber, mais elle était maintenant à genoux entre Richard et sa maitresse.
— Humm Richard quelque chose me dit que tu vas trouver la suite va devenir passionnante ! Dit Orane en actionnant la télécommande pour lancer le film.
Laure reconnut, bien sûr, tout de suite qui s’élevait lentement dans la pièce. Elle se tenait droite mais ses yeux regardaient le sol. Elle savait trop bien ce qui allait suivre. Quand sa voix se fit entendre à l’écran, elle sut qu’elle ne pourrait plus retenir ses larmes encore très longtemps.
— Regarde bien et écoute aussi Richard ! Orane jubilait. Cette matinée allait être une étape supplémentaire décisive dans l’emprise qu’elle avait désormais sur son ex rivale.
— Bonjour je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo…
Le reste du texte suivait, au fur et à mesure les yeux des Richard s’écarquillaient de plus en plus, il en avait presque le souffle coupé !! Mais le spectacle que Laure donnait à l’écran était loin de le laisser indifférent, et la proéminence de plus en plus visible de son pantalon n’échappait à aucune des deux jeunes filles. Le film se terminait au bout de 10 minutes. Pour la scène finale Orane s’amusa à pousser le volume au maximum. Les cris de l’orgasme de Laure envahissaient toute la pièce ! A l’écran s’affichait en grand son cul magnifique cul d’où dépassait le gode. Des larmes coulaient, silencieuses, sur ses joues, ruinant son maquillage. Orane triomphait, resplendissante.
— Laure le cours théorique était très bien… maintenant il te faut passer aux travaux pratiques !
— Richard voilà le cadeau que je t’avais promis : sa bouche et son cul !
Le bâillon eut du mal à étouffer le cri d’effroi de laure ! Ce n’était pas possible !! Sa maitresse ne pouvait pas faire ça !!!
— Tu lui dois bien ça !! Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix, tu le sais… pour le moment il n’y a que nous 3 qui connaissons tes talents d’actrice…
Les râles de désespoir et de protestation continuaient de sortir, étouffés par le bâillon, de la bouche de Laure. Ce dont bien sur, la jeune asiatique, n’avait cure, mais dont elle se délectait. Tout en regardant sa soumise dans les yeux elle passait sa main sur la bosse du pantalon de Richard. Celui-ci croyait rêver, il ne comprenant pas grand-chose à la situation sauf que s’il ne voulait qu’elle lui échappe, il fallait laisser Orane mener la danse ! Celle-ci continuait de lui masser l’entrejambe avec une lenteur calculée.
— Oooh ooh j’ai la très nette impression que tu vas vite te rendre compte à quel point j’avais raison quand je te disais que tu aurais du acheter un gode plus gros, Pétasse !
— Richard, passe ta main entre ses cuisses et dis nous… Oui, oui vas y n’hésites pas !
Sans être le garçon le plus éveillé de la terre, Richard avait maintenant compris qu’il n’avait plus à se poser de questions. C’était son jour de chance, il n’allait pas chercher à comprendre le pourquoi du comment, il allait juste en profiter ! Aussi d’un geste précis, il avança sa main entre les cuisses Laure, remonta et fit la glisser sur toute la fente de son ancienne déléguée de classe qui laissa échapper un râle de honte et de stupeur mélangés. Incrédule, il la releva au milieu d’eux trois.
— Mais c’est dingue ! Elle est toute mouillée !!
Orane éclata d’un rire moqueur.
— Ne sois pas surpris, Richard, notre petite Laure est une véritable salope ! Une chaudasse ! Alors tu vois, si tu avais encore un doute, il ne faut pas te priver !
Pour Laure l’humiliation était à son comble, du moins le croyait elle…
– Bon, ma petite pute, ce n’est pas tout ça, mais notre invité attend. Alors commence par arrêter de pleurer et puisque nous savons tous maintenant à quel point la situation t’excite, je vais détacher tes mains, retirer ton bâillon et tu vas faire ce que tu sais faire le mieux et que tu adores faire… Te conduire comme une trainée pour le plus grand plaisir de Richard et du mien !! D’accord ma chérie ?
Sans même attendre une quelconque réponse de sa soumise, Orane lui détacha les poignets et retira sa culotte de sa bouche.
— A toi de jouer ma chérie !! Et comme dans le film tu parles bien fort et tu expliques clairement ce que tu fais !!!!
Laure resta immobile, quelques instants, regarda sa maitresse espérant trouver une échappatoire, mais Orane semblait bien trop heureuse pour envisager de se priver d’une telle suite. Et puis… et puis il y avait cette boule de chaleur qui lui tordait le ventre… Elle allait encore une fois céder, elle le savait. Elle se pencha en avant et entreprit de déchausser Richard. Le trajet pour venir jusque chez elle, mais surtout l’excitation que lui procurait cette situation faisaient qu’il transpirait déjà ! L’odeur forte qui vient heurter les narines de Laure accentua encore sa honte. Elle s’attaqua ensuite à la boucle de la ceinture
— Dans… dans cette deuxième partie, je… je vais vous faire la…la démonstration sur…. Sur une vraie b… une vraie bite. Comme toutes les salopes en chaleur, je préfère toujours une bonne bite à un gode. Et aujourd’hui je vais… je enfin c’est Richard qui va en profiter. Je commence par le déshabiller pour qu’il soit bien à l’aise, et puis c’est… c’est le rôle de la salope en chaleur de prendre soin de celui qui va profiter d’elle….
Elle n’en revenait pas de prononcer de telles paroles de sa propre initiative. Jusqu’à présent c’était toujours mademoiselle Orane qui lui dictait les propos avilissant qu’elle tenait, mais aujourd’hui cela venait d’elle-même, elle en avait conscience, son humiliation et son plaisir en étaient décuplés. Le pantalon était maintenant bien ouvert, Richard tout sourire avait déjà retiré son tee-shirt et soulevait son bassin impatient. Laure le lui retira, il ne lui restait plus que son caleçon. Toujours dans la même position, le basin relevé, et arborant un sourire béat, Richard attendait. Lorsque Laure fit glisser le sous-vêtement, libérant ainsi le sexe de Richard, les deux filles ne purent retenir un cri !
Orane éclata de rire
— Je te l’avais bien dit !! Tu aurais du t’entrainer avec un gode plus gros ! Beaucoup plus gros même !!!
Richard Thomas n’était pas très grand, il était gros, boutonneux, portait d’horribles lunettes épaisses, ses cheveux étaient gras. Il n’était pas non plus très malin et pour couronner le tout, il ne prenait pas grand soin de sa personne, et de ce fait, il exhalait de sa personne un fumet des plus désagréables. Il était loin, très loin même de l’image de l’apollon ou du prince charmant dont rêvent toutes les jeunes filles !
Mais, comme pour vouloir rééquilibrer la balance, la nature l’avait plus que généreusement doté ! Devant les deux filles se présentait une bite splendide longue, épaisse, impressionnante et dont la rigidité encore incertaine semblait indiquer qu’elle n’avait pas encore atteint sa taille maximale !!!
Cela dépassait toutes les espérances d’Orane.
— Tu vois, j avais raison !!! Ca va vraiment être inoubliable ma chérie !!! Allez continues vite ! On est impatients !!!
Oranne se leva en souriant satisfaite de la soumission sans cesse grandissante de Laure.
— Je vais me coucher, suis moi, oui comme ça à 4 pattes bien sur !!! Je vais dormir dans ta chambre ce soir. Et comme il est acquis que tu es une chienne, et bien tu dormiras comme une chienne au pied du lit de ta maitresse.
— Merci Mademoiselle répondit Laure anéantie par cette nouvelle humiliation.
— Tu comprends bien qu’avec une chienne en cours de dressage comme toi, il me faut prendre quelques précautions…
En disant cela Oranne se servit de la laisse pour attacher les poignets de sa soumise au pied du lit
— Comme ca je suis sure que tu ne pourras pas céder à tes instincts de salope en chaleur !
Elle lui jeta une serviette de bain.
— Ca te suffira pour te couvrir, tu es tellement en chaleur que tu n’auras pas froid ! Peut-être qu’il faudrait que je prévois une niche pour te faire dormir dehors !!!!
Oranne éclata de rire
— Allez couchée salope !
Cette perspective effraya Laure, qui sait de quoi Oranne était encore capable…
— Merci de prendre soin de votre chienne Mademoiselle.
— Je te conseille de bien dormir, demain va être une journée très spéciale pour toi…
Malgré ce conseil Laure dormit très mal cette nuit là. A même le sol, à peine couverte, morte d’inquiétudes pour la journée du lendemain et la tête pleine de pensées sombres, elle ne réussit à s’endormir que très tard dans la nuit. Les premières lueurs du jour, la réveillèrent. Elle resta immobile pour ne pas réveiller Oranne, ses poignets la faisait souffrir, elle était courbatue de partout. Plus tard sa maitresse émergea et se pencha du lit pour détacher les poignets de sa captive.
— Lève toi et va me préparer mon petit déjeuner, et déches toi un peu pétasse !
— Bon…bonjour Mademoiselle, je…oui tout de suite. Laure sortit précipitamment de sa propre chambre pour filer à la cuisine. Un peu plus tard, elle remontait l’escalier vers sa chambre, un plateau chargé du petit déjeuner de sa maitresse. Lorsqu’elle pénétra aussi doucement que possible dans sa chambre, Oranne était alanguie à peine couverte d un drap. Laure ne put s’empêcher de rester quelques secondes immobile à regarder le corps parfait de celle qu’elle vénérait et qui tenait sa vie entre ses mains.
— Pose le plateau sur ton bureau et viens dire bonjour à ta maitresse comme une chienne doit le faire.
Alors Laure monta aussi délicatement que possible à 4 pattes sur le coin de son lit, passa la tête sous le drap et commença à lécher le plus délicatement possible les pieds d’Oranne, puis ses chevilles. La jeune asiatique ne tarda pas à réagir, à s’étirer puis à ouvrir les jambes.
— Huuummm ouiiii c’est très bon ça ma grosse chienne !! huummmouiii remonte encore tu en meurs d’envie grosse gouine !!!!
Elle riait, tellement heureuse de ce qu’elle obtenait de Laure. Sous le drap, Laure voyait maintenant distinctement le sexe magnifique de sa maitresse, elle en sentait aussi les effluves nocturnes. Bien sur elle en eut honte mais déjà le trouble s’emparait d’elle au fur et à mesure que son visage s’en approchait.
— Fais ça bien salope !! Où tu vas le regretter !!!! Et je ne veux pas sentir tes mains me toucher !!
La langue de laure se posa sur le sexe de sa maitresse et entama un lent va et vient. Oranne était aux anges, c’était divin. Elle laissa Laure continuer, lui imposait d’accélérer, de ralentir, de monter de descendre.
— Hummmmm je vais jouir ma chienne dit elle en retirant le drap.
La vue de son esclave à genoux, les mains dans le dos, entrain de la lécher déclencha son plaisir. Elle hurla en resserrant les cuisses emprisonnant ainsi la tête de la pauvre Laure. Celle-ci, le visage maculé du jus de sa maitresse avait du mal à respirer mais n’aurait voulu pour rien au monde être ailleurs !
— Nettoies moi bien ma chienne, après tu me feras le cul aussi ! dit elle en riant. Dépêche toi tu adores ça !!!
— Oui mademoiselle Oranne c’est vrai que je suis une grosse gouine qui adore boire votre jus…
— ET ??? Allez la suite ! Dis-le bien fort pétasse !!!
— Et…. Et qui adore vous lécher le cul aussi !!
— Et bien tu vois quand tu veux ma chienne…. répondit Oranne en se retournant pour présenter son adorable postérieur à sa chienne.
Quelques instants après le visage de Laure se collait à ses fesses et aussitôt Oranne sentit cette langue agile aller et venir dans sa raie.
-HUMMMM ouiii ma chienne tu es décidément très douée pour me lécher le cul !!! Je suis de bonne humeur ce matin ma salope alors je t’autorise à enfoncer ta langue bien profondément !!
En disant ça Oranne cambra un peu plus son bassin, et son esclave, effondrée d’être à nouveau humiliée comme ca dès le matin darda sa langue en pointe dans l’anus de sa maitresse.
— Ca suffit pétasse, tu aimes trop ça !!!
Oranne se redressa appuyée contre la tête du lit
— Mon petit déjeuner vite !! Viens te mettre à 4 pattes au dessus de mes jambes tu me serviras de table !!!!
Laure prit la pose ordonnée et Oranne pose le plateau sur son dos.
— Il v a s’en dire que si tu le renverse je te punirai grosse gourde !
— oui mademoiselle…
— Tu avais pourtant bien commencé la journée, et là tu gâches tout, tu es vraiment stupide !! Tu ne m’as pas remerciée de t’avoir autorisée à me lécher le cul et en plus ce café n’est plus assez chaud maintenant !!!
En disant cela Oranne s’était saisi du téton de Laure et le pinçait horriblement fort en tirant dessus.
— Ooouuucchhcaaiaiieeee Je… je vous prie de bien aaaiiiieee de bien vouloir excuser votre grosse chienne stupide mademoiselle …… aaiaiiiiieee
— Bon… et qu’est ce qu’on fait à une grosse chienne stupide et indisciplinée, salope ??
— On aaiaiaiee on la punie mademoiselle aaaiiiiieiee
Oranne était toujours en train de tirer de plus en plus fort sur sur son téton. Ce qui devait arriver, arriva. Sous la douleur Laura gigota tellement que le plateau se renversa. Quand elle sentit le café sur son dos, elle se dit que sa maitresse était quand bien injuste… Il était encore bien chaud ce café !
— Hors de ma vue !! Dégage et vite va faire la vaisselle et tu rappliques en courant dès que je te sonne !!!!!
Emportant le plateau Laure sortit de sa chambre la tête basse, le téton et le dos endoloris !! Encore alanguie dans le propre lit de son esclave Oranne était aux anges, la servilité de sa camarade de classe ne cessait de la surprendre. Décidément elle en faisait ce qu’elle voulait et elle adorait ça. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain se fit couler un bain et agita la cloche. Il fallut à peine quelques secondes à Laure pour remonter dans la salle de bain.
— Ce que tu peux être lente ma pauvre ! Bon viens là et savonne moi !
— Oui mademoiselle, votre chienne vous remercie de l’honneur que vous lui faites en la laissant vous savonner mademoiselle.
— Humm j’adore quand tu es comme ça ma grosse salope, servile et soumise. Je vais m’absenter une heure ou deux ce matin, ma chienne, pour finir de préparer ta surprise. Alors pour ta punition, tu vas à nouveau te maquiller comme une pute comme tu l’as fait hier soir en exagérant même encore un peu plus, et je vais t’attacher dehors sur la terrasse et tu m’attendras comme ca… tu ne vois ce n est pas si terrible ! conclut Oranne en riant.
— Bon sèche moi dit elle en se levant.
Laure aurait du être soulagée, mais elle connaissait maintenant la perversité de sa maitresse et elle s’attendait à bien pire.
— La salle de bain est à toi ! Et n’oublie pas hein bien bien vulgaire ! Très très pute !!!
En bonne esclave docile Laure entreprit de se maquiller. Cela lui prit plus de 20 minutes mais le résultat était stupéfiant. Elle eut elle-même un léger sursaut en voyant son reflet dans le miroir. Les yeux soulignés de noir, les paupières colorées de vert, les cils tirés, la bouche outrageusement dessinée en rouge vif, lui donnaient déjà un air de pute, mais Laure avait poussé l’obéissance jusqu’à farder ses aréoles et à passer au rouge les lèvres de son sexe épilé. Elle n’avait rien laissé au hasard. Elle avait rassemblé ses cheveux en un chignon et s’était même aspergée d’un parfum très fort qu’elle n’utilisait jamais. Mademoiselle avait dit très pute… Laure laissa alors sa tenue de soubrette, traversa nue l’étage vers la chambre de ses parents et alla fouiller dans les dessous de sa mère. Jamais elle n n’aurait osé faire ça avant mais cela ferait surement plaisir à Oranne. Elle trouva une paire de bas noirs très fin qui trancherait merveilleusement avec son porte-jarretelles rose. S’estimant prête, elle emprunta à sa mère une paire d’escarpins noirs à talons hauts avec une lanière de cheville. Ainsi accoutrée, elle descendit au salon où sa maitresse l’entendait.
— Votre pute est prête mademoiselle…
Oranne se retourna lentement, regarda de bas en haut le corps de Laure, pendant plusieurs secondes, puis lui dit avec un sourire de satisfaction :
— Tu es vraiment faite pour ça…
Ces quelques mots brulèrent Laure au plus profond de son être
— Approche ici que je finisse de te préparer.
Docile, Laure tendit son cou, vers sa maitresse qui y fixa à nouveau le collier.
— J’ai autre chose pour toi aussi, regardes…
Il s’agissait d une belle ceinture de cuir large de 5cm. Oranne lui passa autour de la taille et serra fort. Laure grimaça un peu mais ne dit rien, c’était supportable.
— Tu vois ses anneaux sur les cotés ? Je vais y fixer tes poignets comme ça je suis certaine que tu ne masturberas pas comme une chienne dès que j’aurais le dos tourné !!!
Ce fut fait en quelques minutes.
— J’ai encore autre chose pour toi. Tu ne t’imaginais quand même pas que la punition s’arrêtait là hein pauvre gourde !! Regarde !
Oranne agitait devant les yeux de sa soumise 2 clochettes accrochées chacune à une pince
— Allez dis moi où ca va être accroché ça ma pute… allez dis le !!!
Laure regardait les 2 grosses pinces avec effroi, elle se souvenait très bien de la douleur ressentie quand Melle Oranne lui avait mis de simples pinces à linges sur les tétons.
-Vous….vous allez les fixer a mes tétons Mademoiselle oooohhh je… je vous en priiie svp noon.
Le regard d’Oranne s’assombrit, elle n’eut rien besoin de dire de plus, déjà Laure se redressait et cambrait sa lourde poitrine vers sa maitresse.
–Et oui !!! ca va joliment décorer tes grosses mamelles de vache !!!!
A peine eut elle dit ça que la première pince se refermait arrachant à Laure une plainte de douleur. Le second téton subit le même sort. La douleur était horrible, les pinces étaient lourdes et puissantes. La pauvre se déhanchait dans tous les sens faisant tinter les clochettes mais sans pouvoir rien faire d’autre !
— Ne t’agite pas comme ça ma pute, tu ne fais qu’empirer les choses !! En tout cas tu me fais une jolie musique !!!
En riant elle fixa une longue cordelette au collier de sa victime et la sortit sur la terrasse
— Voilà, tu vas rester là jusqu’à ce que je revienne avec ta surprise !
La cordelette fut attachée à la balustrade de la terrasse obligeant la pauvre Laure à rester penchée en avant.
— A plus tard ma pute !!!
— Je vous remercie de vous occuper de moi comme je le mérite Mademoiselle, à tout à l’heure…. répondit Laure au bord des larmes.

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