Cara était une petite vendeuse que j’avais embauchée pour mon magasin de fringues. Après quelques mois je lui confiai la caisse quand je devais m’en absenter. C’était une jeune fille très dégourdie issue d’une citée d’un quartier populaire proche. Elle était brune, petite, mince et musclée avec une peau mate. Elle avait des cheveux courts, des yeux noirs, une peau mate et une allure de garçon manqué accentuée par ses tous petits seins. Elle avait 20 ans mais pouvait en paraître 14 quand elle s’habillait comme une ado. Elle était culottée dans son rapport aux autres et c’est cette débrouillardise qui m’avait incité à l’embaucher. J’avais aussi été séduit par son homosexualité qui me protégeait, moi un homme, d’une éventuelle embrouille sentimentale. Je savais aussi qu’elle n’avait pas de compagne stable et allait souvent draguer en boite spécialisée. Une de mes amies du même bord m’avait informé qu’elle était très séductrice avec les femmes. Elle était même soupçonnée de tirer quelques bénéfices de ses performances avec des femmes mûres.
Au bout de quelques mois je m’aperçus qu’il manquait régulièrement de l’argent en caisse et après plusieurs recoupements je déduisis que c’était toujours quand elle était de service. Le visionnage des enregistrements de la caméra de surveillance ne m’apprit rien. J’eu beau chercher, je ne pus établir de preuves. Je commençais à m’alerter car le trou se montait maintenant à l’équivalent d’un mois de son salaire. J’en parlais à un de mes amis juriste qui m’incita à la méfiance car si je la virais elle pourrait demander des indemnités voire me poursuivre pour diffamation si je motivais ma décision. Je ne pouvais pas non plus impliquer la police car toutes mes sources d’approvisionnement n’étaient pas déclarées.
Je me décidai à lui tendre un piège en lui demandant de faire un extra un samedi en soirée pour venir servir à une réception entre amis chez une connaissance. Je lui précisai qu’étant un des invités je viendrai la prendre au magasin et que nous irions ensemble en ajoutant « tenue sexi obligatoire ». Le plan consistait à aller chez un de mes amis qui était un colosse barbu assez impressionnant, ancien joueur de rugby, un ours à voix de stentor, meneur d’équipe à grande autorité qui mis au courant avait envie de s’amuser avec cette gamine pour lui donner une leçon.
Elle était venue en minijupe de cuir noir avec un petit haut décolleté en soie rouge et des escarpins à hauts talons du même rouge. Elle était bandande dans cette tenue. Je lui avais dit « il te fait venir pour faire le service, tu seras bien payée mais il faut faire tout ce qu’il te demande sans jamais lui répondre ».
Lorsque nous arrivâmes Max mon ami lui présenta les lieux, la domina de sa haute stature et lui dit « je vais diner avec mon ami ; tu es là pour nous servir et nous distraire comme soumise ; tu ne crains rien car on ne te touchera pas ; tu vas gagner un mois de ton salaire ; tu fais tout ce que je demande sans discuter ; on est bien d’accord, alors tu commences par préparer le dîner pour deux qui est écrit là et tu mets deux couverts.
Nous allâmes nous installer au salon dans des fauteuils et nous avons parlé de nos dernières vacances. Max leva la voix et commanda « Cara amène nous deux whiskys et les olives ».
Quand elle fut devant nous il la dénuda des yeux et dit « t’es bien roulé mais je veux que tu marches pieds nus, quitte tes chaussures tu seras plus à ta vraie taille ; reste debout ici, mets tes mains dans ton dos, écarte un peu les cuisses et regarde nous »
Nous continuâmes notre conversation en l’ignorant puis Max repris ses ordres : « vas nous chercher d’autres olives et sert nous un autre verre » et quand elle eut servi « viens plus près ; donne-moi ta culotte et remets toi en position ». Il respira le sous vêtement qui était un string du même rouge puis me le tendit « sens moi ça camarade ; tu sens ce fumet de salope et ce relent de petite voleuse en toile de fond ». Elle pâlit un peu mais se tint sans bouger comme il l’avait demandé. Il récupéra la culotte et la posa bien en vue sur l’accoudoir de son fauteuil. Nous avons parlé de notre prochain séjour au ski.
Il reprit en direction de Cara : « enlève le haut qu’on voit si t’as des seins et mets tes mains sur ta tête » ; au bout d’un moment il la regarda et dit « j’aime pas tes poils sous les bras ; ça fait négligé et ça sent la sueur ; va à la salle de bain ; rase moi ça et reviens prendre la position». Nous continuâmes à converser normalement.
Elle était revenue depuis un moment quand Max lui dit « ça sent encore je suis sure que t’as la chatte poilue ; enlèves ta jupe et laisse là au sol ». Quand elle fut nue « vas te raser le cul j’aime bien quand c’est propre les petites putes et reviens en position je t’inspecterai ».
Une demi-heure plus tard elle était de nouveau en position il lui dit « approche ; viens devant moi ; fais-moi sentir ton sexe ; tourne toi et écarte tes fesses ; bien c’est net, remets toi en position et croise tes bras dans ton dos ».
Nous passâmes à table et elle nous servit un bon repas traiteur qu’il fallait juste réchauffer. Pendant que nous mangions elle restait à proximité debout, nue, les bras croisés dans le dos et mon pote lui dit « tourne qu’on te voit bien ; fait nous le manège ; écarte tes fesses avec tes mains et cambre toi, creuse tes reins » ; Puis nous ne faisions plus attention à elle pendant qu’elle tournait inlassablement pour obéir.
A la fin du repas on se remit dans les fauteuils pendant qu’elle débarrassait et nettoyait en cuisine, toujours nue. Nous en étions de nouveau au whisky, un excellent Talisker qui avait l’âge de Cara et évoquions les futures vacances. Quand elle fut revenue en position il lui dit « débarrasse la table basse devant nous, tu vas en avoir besoin et rapporte la bouteille de coca vide qui est en cuisine ».
Il lui dit ensuite « mets-toi à quatre pattes sur la table le cul tourné vers nous en encule toi avec cette bouteille ». Elle s’exécuta lentement et juste avec le goulot. Max intervient « te fous pas de ma gueule Cara ; tu l’enfonces jusqu’à qu’elle tienne toute seule sinon je viens t’aider ». Elle mit du temps car son anus semblait très étroit et elle avait mal. Quand ce fut fini il lui dit « couche toi sur la table sur le dos ; écarte les jambes et masturbe toi ; je veux t’entendre couiner ». Nous avons fini notre digestif en la regardant jusqu’à ce qu’elle se gicle sur les doigts en haletant bruyamment sous l’orgasme qui agitait la bouteille toujours empalée dans son cul. Max lui dit « tu nettoies tout avec ta langue et tu vas prendre une douche ».
Quand elle fût revenue il lui dit « habille toi la soirée est finie; je garde ta culotte comme souvenir ; je suis content de ta prestation ; pour le paiement tu garderas l’argent que tu as pris dans la caisse chez mon pote qui ne veut plus te voir au magasin ». Elle ne répondit rien comme convenu.
Je l’ai raccompagnée au métro. Dans la voiture elle s’est mise à pleurer. Elle me dit « le salaud, il ne m’a même touchée ». Tu aurais préféré lui ai-je demandé. « Non mais je me serai sentie moins humiliée et c’aurait été mérité ; j’ai vraiment déconné en te piquant du fric ».
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