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Vacances au chalet

Vacances au chalet



Bérangère avait récupéré son petit-fils Pierre, 16 ans, à la gare. Ils prirent la route des montagnes pour ce rendre dans le petit châlet qu’elle avait loué pour passer une partie des vacances d’été.

A 67 ans, Bérangère vivait pleinement sa retraite. Seule depuis 15 ans, elle s’était fait une croix sur une nouvelle relation avec un homme. Désormais, elle s’interessait au fils de sa fille.

Elle était l’archétype de la grand-mère, ayant pris un peu de poids, une poitrine opulente et de grosses fesses. Ses cheveux blancs se perdaient dans sa chevelure poivre et sel. A l’issue de sa ménopause, elle devait prendre un traitement aux hormones, qui lui faisait monter le lait dans les seins. Il fallait qu’elle se trait régulièrement, elle le ferait le lendemain du jour du leur arrivée.

Le long du trajet, ils parlèrent des vacances à venir, excursions, visites et autres…

Le chalet, isolé du village, était modeste : il faisait deux pièces. Dans la chambre, un lit deux places accueillit les nouveaux arrivants. Bérangère laissa le choix à Pierre pour le côté du lit. Il prit côté fenêtre. La majeure partie de la journée était destinée à l’installation.

Alors que Pierre finissait d’installer la télévision, Bérangère descendit au village acheter quelques provisions. Il suivit les informations régionales :

«  Un hold up venait de se commettre dans la ville à côté et les auteurs étaient toujours en fuite. »

Bérangère revint avec les courses. Pierre l’aida à tout transporter dans la cuisine. Ils mangèrent, regardèrent la télévision et allèrent se coucher vers 23 heures.

Un bruit.

Pierre émergea de son sommeil, ayant entendu un frottement dehors, juste à côté de la fenêtre. Il se redressa dans le lit, et vit le corps allongé et tourné vers lui de sa grand-mère. Elle dormait à poids fermés, sa chemise de nuit entrouverte, laissant apercevoir la large auréole du sein gauche. Cette vision fugitive, lui provoqua un début d’érection.

Un bruit léger attira son attention vers la porte d’entrée du châlet qui se trouve entre les deux pièces. Le temps qu’il réagisse, la porte s’ouvrit, il vit deux silhouettes rentrer dans le logement, et refermer précipitamment la porte derrière.

Mamie…souffla Pierre.
Quoi? Sursauta la vieille dame.

Elle se redressa au moment où la lumière s’alluma dans la chambre. Un homme d’une trentaine d’années se tenait debout et les regardait. Son compère le rejoignit. Ils étaient tous les deux habillés en jeans, tee-shirt, ce qui faisait ressortir leurs muscles.

Bérangère ne fit pas attention à son sein gauche qui pointait hors de sa chemise montrant une auréole brune, large comme un patch anti-tabac.

Karim, regarde, dit le premier avec un sourire, la mamie elle s’envoie un petit jeune!
Tu as raison, Flo, s’est certainement une grosse cochonne…

Les deux hommes s’approchèrent du lit où se trouvaient encore allongés Pierre et sa grand-mère. Bérangère était littéralement horrifiée et tremblait de tous ses membres. Karim tira la couette au sol.

Ne nous faîtes pas de mal…demanda Bérangère.
On ne vous fera pas de mal, dit Flo, on vient seulement trouver un refuge pour la nuit.

Pierre fit immédiatement le rapprochement entre ces hommes et le reportage qu’il avait vu à la télévision. Il se garda bien d’émettre quoi que ce soit qui eut pu mettre leur vie en jeu. Il avait extrèmement peur lui aussi. Ses deux hommes ne lui disaient rien qui vaillent.

Qui est-ce madame, la jeune personne qui couche dans votre lit? Demanda l’un d’eux.
C’est mon petit-fils.
Vous n’avez pas pu vous empêcher de dormir ensemble?
Le châlet est trop petit, monsieur…
Montrez-nous vos seins, madame…
Pardon?
Montrez-nous vos seins!
Ecoutez, je suis une vieille femme, je ne dirais rien et je me porte garante de mon petit-fils!

Karim se rapprocha de Bérangère, sortit un pistolet :

Montre-nous tes seins mamie! Enlève cette chemise! Dèsormais, ne nous faîtes plus répéter, tous les deux!

Bérangère jeta un regard vers son petit fils et ôta sa chemise. Elle dévoila sa grosse poitrine dont les auréoles très larges entouraient des bouts de seins minuscules et sombres. Karim et Flo saisirent chacun un sein et malaxèrent la poitrine de la grand-mère de Pierre. Ce dernier, regardait sa mamie qui fermait les yeux et se laissait faire, assise dans le lit, les bras le long du corps. Elle espéraient qu’il ne s’aperçoivent pas que ses seins étaient gonflés par du lait qu’il faudrait traire.

Les deux hommes s’assirent sur le lit, de part et d’autre de Bérangère, Pierre se retrouvant au pied du lit. Ils sucèrent ses seins, rendant les auréoles brillantes de salive. Flo embrassa Bérangère, qui fermait les yeux.

Ca fait combien de temps que tu n’as pas baisé, la vieille?
Euh…je…Depuis la mort de mon mari…
Il est mort quand?
Il y a quinze ans…

Karim plongea sa main dans la toison velue et grise de Bérangère. Il lui enleva sa culotte et commença à lui masser l’entrejambe. Ayant compris qu’elle allait passer à la casserole, Bérangère voulait encore protéger son petit-fils :

Pas devant le gosse…dit-elle doucement à Flo, s’il vous plaît…implora-t-elle. Faîtes-moi ce que vous voulez, mais pas devant lui…
On verra, dit Flo en ôtant son pantalon.

Les deux hommes se mirent nus devant la pauvre femme, exhibant des chibres impressionnants, rien à voir avec celui de son regretté mari. Elle fut allongée sans ménagement en travers du lit, sa tête reposant à côté des genoux de Pierre, ses gros seins ballotants de chaque côté de son corps.

(à suivre)

Karim lui ouvrit ses jambes et caressa sa chatte grise du bout des doigts. Il ouvrit les lèvres intimes sombres et qui pendaient un peu.

Vous vous branlez, madame? Lui demanda Karim.

Etant craintive, elle répondit :

Non…
C’est tout sec, ça ! dit-il à Flo. Tu veux lécher pour humidifier?
Beurk, non!
Moi non plus…
Et le jeune homme, il ne veut pas nous lécher cette toison grise?

Pierre ne répondit pas.
De ce temps, Flo approcha son sexe en semi-érection de la tête de Bérangère, craintive et qui cherchait à se protéger de ses mains. Flo lui dit :

Allez! Mamie, ouvre ta bouche, et suce bien!

Bérangère ouvrit doucement la bouche et Flo, lui bloquant la tête avec ses mains, lui glissant son sexe dans sa bouche. Il se tendit sous la caresse :

Aaaah! Sa bouche est aussi bonne que celle des plus jeunes!
Je me doute, s’exclaffa Karim. Tiens, viens ici, toi! Dit-il en faisant signe à Pierre.

Il se leva et s’assit à côté de Karim, entre les jambes grasses de sa grand-mère.
Bouffe-moi cette motte! dit Karim, en désignant le vagin de Bérangère.

Pierre chercha le regard de sa mamie, mais celle-ci avait la tête bloquée dans un étau et suçait à s’en étouffer la verge de Flo, qui avait grossie. Il sentit la poigne de ce dernier lui amener le visage au niveau de l’entrecuisse de sa mamie. Il n’avait jamais vu de sexe féminin de sa vie, quelques fois dans un film X. Mais ce sexe là, c’était celui de sa grand-mère. Et il savait que s’il n’était pas bien humidifié, elle allait morfler lors des pénétrations!

Des poils gris couraient sur toute la superficie du vagin, s’assombrissant dès qu’ils atteignaient les lèvres intimes. Elles étaient sombres à l’extérieur et rosée vers l’intérieur. Une vieille odeur d’urine s’émanait de l’ensemble, ce qui rebuta Pierre. De ses doigts, il caressa la chair fragile, constata que la peau de ce sexe n’était pas élastique, et que le tout bougeait comme un bout de steack. Il glissa deux doigts dans la fente un peu chaude, mais ne sachant que faire d’autre, il se tourna vers Karim. Il le vit entrain de se branler, faisait ressortir un sexe tout aussi imposant que celui de son camarade.

Bérangère savait qu’elle allait se faire baiser. Elle se concentrait un maximum pour essayer de ne pas s’étouffer de la bite de Flo. Elle sentit des doigts s’occuper agréablement de son sexe, pensant à ceux de Karim. Elle se faisait peur en se disant que ces bites ne pourraient jamais franchir l’entrée de son sexe, en raison de leur grosseur et en raison de sa sécheresse vaginale, qui sévissait depuis quelques années.

Pierre faisait de son mieux pour exciter cette vieille chatte, en y crachant et étalant avec ses doigts pour essayer de faire mouiller le tout. Il remonta à la jointure des lèvres et saisit le clitoris qu’il trouva fort gros, ressemblant à un petit gland. Il le pinça entre ses doigts et posa sa langue dessus, il sentit le bassin de sa mamie s’agiter.

Flo, se sentant près pour baiser, s’arracha de la bouche de la vieille. Karim prit sa place, mais fit baisser la tête de la pauvre mamie, de sorte qu’elle se retrouve sa tête à l’envers dans le vide. Il glissa sa queue dans la bouche et atteignit le fond de la gorge de la première poussée.

Pierre vit la gorge de sa grand-mère se gonfler et pousser un cri d’étouffement. Flo, de ce temps le poussa sur le côté et se positionna entre les cuisses de la vieille femme. Il posa son gland épais à l’entrée de la chatte de Bérangère et poussa doucement.

Le sexe impressionant pénétra, entraînant avec lui les chairs fragiles. Bérangère sentit une douleur atroce dans son ventre, elle se tendit, cherchant à se libérer de cette douleur. Mais la bite dans sa bouche, l’empêchait de prononcer quoique ce soit, et ses mains étaient posées sur les fesses de Karim.

Alors, elle est bonne cette vieille? Demanda Karim.
Attends, j’ai à peine rentré le gland, c’est sec comme les pierres sa foufe…

Il retira son sexe et les lèvres du vagin se remirent en place. Pierre était horrifié par le spectacle, et terriblement excité. Flo cracha dans le vagin et sur sa queue, puis il l’enfourna dans la vieille chatte. Mais, même s’il alla plus loin cette fois-ci, le manque d’humidité compromettait la pénétration. Il se retira une nouvelle fois, et pour Bérangère, le calvaire se poursuivait.

Il écarta les cuisses de Bérangère pour les mettre en équerre, faisait ressortir l’entrée du vagin, et cracha une nouvelle fois dedans. Il changea d’appui, et enfonça sa bite jusqu’au fond cette fois-ci de la chatte de la mamie. Cette dernière poussa un hurlement, étouffé par la bite de Karim. Elle chercha à se soustraire à cette pénétration en bougeant du bassin, sans succés. Le sexe de Flo était bien fiché en elle.

Pierre voyait ce sexe épais distendre les chairs fragiles et rougies de sa grand-mère. Il avait à présent une franche érection que dissimulait son caleçon.

Se tenant à l’intérieur de ses genoux, Flo commença à imprimer un va et vient, mettant le sexe de la grand-mère dans tous les états. Bérangère, meurtrie par cette douleur atroce, recevait finalement des décharges électriques délicieuses le long de sa colonne vertébrale. Le bout de ses seins se mit à pointer, signa annonciateur de plaisir. Mais Flo, emporté dans sa fougue, martelait ce sexe à coups de boutoirs sans réellement se soucier d’autre chose que de son plaisir. Seuls les claquements de la chair contre la chair nourissaient ce silence. Au bout de cinq minutes de va et vient, il se retira et laissa sa place à Karim.

Ce dernier s’installa entre les cuisses de Bérangère, et s’enfonça dans la chatte brûlante, élargie et humide en raison des frottements précédents du sexe de Flo. Pierre vit le visage de sa grand-mère, couvert de salive et des plis soucieux à son front. Elle n’avait pas le visage souriant qu’il lui connaissait d’habitude.

Aaaah! Elle est bonne cette vieille! Tu aimes la baise, vieille salope, hein? Dis-le!
Oui, j’aime la baise! Dit-elle machinalement.
On va te baiser, dit-il.

A nouveau une chevauchée effrénée défonça la pauvre chatte de Bérangère. Ses gros seins ballotant dans tous les sens, Karim en saisit un et lui suçant le bout faisant ressortir le bout mauve. Mais alors qu’il finissait de sucer la mamelle droite, un liquide blanchâtre lui arrivant dans la bouche. Il regarda la mamelle qui tressautait sous ses coups de boutoirs, et vit quelques filaments blancs qui dégoulinaient et allaient se perdre sur la poitrine. Il saisit le bout et le pinça, faisant jaillir un trait de lait.

Viens voir, Flo!

Bérangère était horrifiée! Même Pierre ne savait pas ce qui se passait.

C’est du lait? Demanda Karim en cessant ses allers et retours.
Oui, dit-elle, un problème d’hormones.
Va chercher un verre, dit Karim à Pierre, on va traire ta grand-mère.
Pierre se leva et se rendit dans la cuisine. Il revint et vit les deux hommes qui avaient relevé sa grand-mère, la tenant assise contre le mur. Chacun s’occupait d’une mamelle et Pierre leur tendit à chacun un verre. Ils mirent un bon quart d’heure à vider le lait des seins de Bérangère. Il y avait au fond de chaque verre l’équivalent d’une gorgée par verre. Même si ses seins étaient maltraités et des traces rougeâtres apparaissaient un peu partout, son pauvre sexe finissait de palpiter en raison de la séance qu’il venait de subir.

Bérangère parraissait absente, n’opposant plus de résistance à ses deux hommes. Mais elle se doutaient que tous cela allait reprendre car ils n’avaient pas jouis. De plus, elle n’attendait aucun secours en raison de l’éloignement du châlet.

( à suivre)

Karim prit les devants.

Assieds-toi au bord du lit, dit-il à Pierre.

Le jeune homme s’éxécuta.

Baisse ton caleçon!

Pierre marqua un temps d’arrêts, mais ne se fit pas dire deux fois le même ordre. Il dévoila son sexe recroquevillé et pas tout à fait au repos.

Tu t’es déjà fait sucer par une femme?

A l’annonce de cette question, tous les sens de Bérangère furent mis en éveil.

Non…répondit-il.

Sa grand-mère fut mise de force à genoux par terre, la tête entre ses jambes.

Suce-le! Dit Karim à Bérangère.

Elle regarda son petit-fils, d’un regard en disant long, et saisit le sexe de Pierre. Il gémit sous les doigts de sa mamie, qui le branlait doucement. Il était inquiet, sentant le moment approcher lorsque sa bite allait gigoter dans la gorge de sa grand-mère, et intérieurement, il ne savait plus quoi penser. Sa grand-mère ne l’avait jamais trop attiré. Elle prit enfin le sexe et le dirigea dans sa bouche, en jetant un dernier regard à Pierre en signe d’excuses. Elle se fit la plus douce possible. Elle goba le sexe jusqu’à la garde.

Pierre se tendit sous cette caresse brûlante, il sentit la langue ****use jouer avec son gland. Elle lui lécha copieusement sa queue, l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge. Pierre était aux anges devant cette caresse. Tout bouillait dans sa tête.

Aaaaah! Bon sang, c’est trop bon….

Mais Bérangère se doutait que tout n’était pas fini.

Regardes-la sucer! Dit Karim. Elle me redonne la gaule.
En plus elle suce son petit-fils, cette chienne, rien ne l’arrête! Elle est assoiffée de sexe, ma parole.

Flo se rapprocha de Pierre :

Tu as envie de la baiser ta grand-mère?
Je…euh…dit Pierre en proie aux sensations que lui délivrait son sexe.
Tu veux la piner ta vieille, ou quoi?

Alors qu’il allait répondre, il croisa le regard de sa grand-mère. Ne sachant que dire, il balbutia :

Oui.
Oui, quoi?
Oui, je veux la baiser.
Tu veux baiser qui?
Je veux baiser ma grand-mère!

Pierre vit que sa mamie ferma les yeux au moment où il sortit cette phrase. Il se sentit confu.

Flo se tourna vers Karim et lui dit :

Tu vois, là, nous sommes devant un grand moment! Le petit-fils qui se tape la grand-mère!
Quelle famille immorale! Dit Karim.

Bérangère fut relevée et couchée sur le dos dans le lit. Pierre fut amené sur elle.

Tu sais comment on fait? Demanda Flo.
Oui, dit-il, excité par la situation.

Bérangère avait fermé les yeux, honteuse. Elle sentait Pierre qui trifouillait avec son gland dans sa chatte cherchant l’entrée.

Pierre sentait du bout de son gland que le sexe de sa grand-mère était encore humide et brûlant. Il s’enfonça une première fois, mais sa bite dérapa.

Ouvres lui ta chatte! Dit Karim à l’intention de Bérangère.

La seconde fois, aidé de sa mamie qui écarta ses lèvres intimes avec ses mains, il entra dans le fourreau humide jusqu’au fond. Il manqua de gicler et se calma un instant, son coeur battant la chamade.

Bérangère sentait cette bite au fond de son sexe qui faisait moins mal que les deux autres, mais qui donnait par ailleurs moins de sensations.

Pierre donna quelques coups, puis accéléra le rythme et fit plusieurs allers et retours avant de donner quelques violents coups de queue et faire claquer la chair, sous les félicitations des deux hommes. Il regarda sa grand-mère, qui le regardait elle aussi sans rien dire, le visage fermé. Intérieurement, comme cette jeune queue lui taraudait son sexe, elle se sentait toute ruisselante. Chaque coups que lui mettait Pierre, faisait mouche. Il partit subitement dans des allers et retours frénétiques, et Karim lui dit :

Tu ne jutes pas dedans!

Pierre se tourna vers lui, et lui fit un signe comme quoi, il avait comprit, et reprit son limage. Au bout de quelques minutes, il retira son sexe humide de sécrétions.

Aah! Tu ne la connaissais pas sous ce visage, ta mamie, hein?

Pierre ne dit rien, perdu entre de nouvelles sensations et le côté immoral de la chose. Karim fit mettre Bérangère à genoux, par terre. Il lui baissa le torse au niveau du sol, et lui glissa sa bite dans sa chatte.

Elle sentit la différence entre les deux sexes, et manqua de hurler, tellement elle eut mal. Ce sexe lui défonça sa chatte, déjà dans un sale état, les coups de queue étant longs et profonds. Elle croyait que cette bite allait sortir au fond de sa gorge.

Pierre voyait ce sexe entrer et sortir du vagin poilu et entraîner avec lui la chair molle. Il se doutait qu’elle ne devait pas beaucoup apprécier.

Flo se rapprocha d’elle, et lui mit des claques sur le cul et sur ses seins. Même si cette bite, au bout d’un moment, lui apportait un peu de plénitude, les coups reçus, bien qu’ils ne soient pas donnés forts, augmentaient son sentiment de crainte envers ses hommes. Ses fesses rougirent rapidement. Karim laissa sa place à Flo, qui enfonça sa queue tout au fond lui aussi, arrachant un cri bref de la part de la vieille femme. Il saisit les mamelles de Bérangère avec ses mains et les malaxa méchamment, cherchant à essorer de ces seins, du lait, comme avec une éponge.

Bérangère couinait sous ce mauvais traitement et roulait des yeux dans tous les sens tellement elle était apeurée. Un sexe chercha à percer sa bouche, elle l’ouvrit et le suça. Elle reconnut le sexe de Karim.

Vieille peau! Tiens, prends des coups de queue! Tu les aimes!

( à suivre )

Au bout de cinq minutes, Flo se retira, et alla lui aussi se faire sucer.

Excité par ce gros cul rougit, cette chatte désormais ouverte en raison des coups reçu, les poils gris allant dans tous les sens, Pierre s’approcha, chercha l’entrée du vagin en écartant les fesses et enfonça sa bite dans cette chatte mûre. Voulant malaxer lui aussi les gros seins qui pendaient, il se pencha en avant et saisit les globes tremblotant. Il donna quelques coups de queue qui fit trembler la masse graisseuse de sa mamie. Mais en raison de la mouille engendrée par toutes ces pénétrations, son sexe glissa. Il voulu le renfoncer d’un coup de rein, mais coinça son gland dans un orifice plus resséré, étroit et tout aussi chaud. Il poussa malgré tout, et Bérangère beugla. Elle tourna sa tête vers lui, se débarassant des deux grosses bites :

Non, mon enfant, pas par là…souffla-t-elle.

Même son défunt mari n’y avait pas droit, alors ce n’est pas quelqu’un d’autre qui pourra y avoir accés.

Karim et Flo se rapprochèrent du cul de Bérangère et virent le sexe de Pierre à moitié planté dans l’anus.

Eh! Le petit pervers, il veut enculer mamie! Dit Karim.
Et mamie ne veut pas! Répondit Flo.
Mais mamie va quand même se faire enculer, hein Flo?
Mais bien sûr! Et mamie va nous supplier de l’enculer, hein mamie?
Non…ça fait trop mal…
Aaah! Mais des petites jeunes de 18 ans se font enculer, mamie! Alors pourquoi pas toi? On va bien te préparer, tu vas voir! Allez, dis-nous que tu souhaites te faire enculer!
Je veux me faire enculer! Dit-elle machinalement.
A la bonne heure! Dit Karim.

Pierre s’était retiré et vit Karim écarter les grosses fesses de sa grand-mère. Il mit à jour l’oeillet sombre et poilu. La corolle formait un petit cratère ridé.

Allez, vient bouffer le cul de ta mamie! Dit-il en lui montrant du doigt l’anus de sa grand-mère.

Pierre se rapprocha, et sentit les odeurs de sécrétions émanant de la chatte explosée de sa mamie, se trouvant sous son nez. Karim lui étirait les fesses et faisait ressortir l’anneau sombre et poilu. Il posa la langue dessus, un peu dégouté et lécha cette partie intime.

N’hésites pas à bien saliver, lui dit Karim, la pénétration ne sera que meilleure!

Il mouilla amplement l’anneau de sa grand-mère, faisant tomber des fils de bave le long de la chatte. Il glissa un puis deux doigts dans les sphincters afin de les assouplir et sentit sa grand-mère se tendre. En levant la tête, il vit qu’elle était entrain de sucer Flo.

L’oeillet grassement salivé, Flo se sortit de la bouche de Bérangère Et vint se positionner contre son cul. Il dit à Pierre :

Glisse-toi sous ta mamie et fout lui ta bite dans sa chatte!

Pierre s’éxécuta. Bérangère leva la jambe droite pour qu’il puisse se glisser aisément. Les gros seins de sa mamie s’appuyaient sur son torse lorsqu’il fut en position. Il prit son sexe et le dirigea vers celui de sa grand-mère. D’un coup de rein, il pénétra dans l’antre brûlant.

Ouaaah! Dit-elle en se tendant.

Les genoux de Bérangère furent rapprochés du corps de son petit-fils et elle s’allongea sur lui, faisant corps avec lui du bassin à la tête. Pierre la regarda, son visage était défait par la peur, ses cheveux allant dans tous les sens. Bérangère redoutait cette sodomie, elle en tremblait. Pierre continuait à la baiser, ses mains ouvrant ses fesses et ses gros seins bloqués contre le torse de son petit-fils.

Flo positionna son gland contre l’anus et poussa doucement. Pierre vit son visage se crisper et sa respiration se bloquer. Flo s’enfonçait doucement, s’écrasant sa bite dans ce fourreau étroit et brûlant. Bérangère avait une nouvelle sensation, mais soudain, la dimension devenant trop importante, un trait de douleur lui passa devant les yeux et ce fut une douleur atroce qui lui déchirait le fondement. Dessous Pierre continuait de baiser sa grand-mère, essayant de lui procurer un maximum de plaisir. Flo était bloqué, son sexe ne pouvant avancer plus, il se retira doucement et se renfonça sous un hurlement de douleur. Pierre vit qu’elle avait les larmes aux yeux, alors qu’elle hurlait :

Arrêtez!………….C’est horrible!…………. Raaaaaah!……..Nooooon!……………Vous me faîtes trop mal!…………..AAAAAAhhh!
Au lieu de gueuler, lui cria Flo, pousse comme si tu étais au chiottes, mamie! T’as jamais pris de bites dans le cul ou quoi?
Non! J’ai mal….arrêtez!

Pierre voyait sa grand-mère affolée, ne reconnaissant plus personne, seule sa douleur monopolisant à ce moment-là son cerveau. Il entendait Flo crier après sa grand-mère :

Pousses!….Pousses!….Voilà, comme ça!… Tu vois que ça rentre!…Continue, oui….

Pierre sentait au fur et à mesure l’énorme bite écraser la sienne à travers la paroi. Il ne put plus trop bouger, devant forcer pour faire coulisser son sexe dans celui de sa mamie.

Bérangère s’était tut, se sentant pleine de deux bites. C’était une nouvelle sensation qu’elle ne connaissait pas, mais cette douleur dans son trou du cul était toujours atroce. Elle sentait son petit-fils s’agiter dans son sexe et la grosse bite de Flo lui déchirer les intestins.

Flo retira son sexe. Regardant de plus près, il vit que les sphincters de Bérangère n’étaient pas déchirés. Flo se repositionna et malgré le hurlement de Bérangère, il s’enfonça jusqu’au fond cette fois-ci. Elle essayait de se dégager de l’étreinte, mais elle était trop emmanchée par les deux hommes pour bouger. Flo s’agita dans son cul, alors qu’elle lui hurlait :

Doucement, vous m’avez déchiré, dit-elle.

Ils baisèrent fermement la pauvre vieille femme durant un bon quart d’heure, n’ayant cure de ses plaintes. Soudain, contre toute attente, une chaleur soudre monta des reins de Bérangère, et alors qu’elle ne s’y attendait pas, l’orgasme la submergea.

AAAAAAAAAAAAAAhhh! Salauds! Salauds! Hurla-t-elle tout en donnant elle aussi des coups de reins pour faire prolonger cet instant de plénitude.

Bérangère frottait son clitoris contre le bassin de Pierre, les yeux fermés et le sourire aux lèvres. Karim, se leva et vient se faire sucer sa bite dans la bouche de Bérangère. Ses trois orifices étaient occupés, et Pierre sentit moins de tension depuis que sa grand-mère avait jouit. Il en fut le premier surprit, car les contractions rapides du vagin manquèrent de le faire jouir.

Les positions changèrent, Pierre se fit gober son sexe, Karim s’occupa de l’anus martyrisé et Flo se glissa sous Bérangère pour la baiser. Les deux grosses bites l’amenèrent vers un nouveau sommet où une fois de plus elle jouit en hurlant, secouant les trois hommes.

La pauvre femme était vidée, ne resistant que mollement aux assauts de ses trois assaillants. Pierre pu lui aussi enfiler son sexe dans l’anus désormais ouvert et meutris. Les trois hommes giclèrent leur semence sur le visage explosé de Bérangère.

Au matin, comme les deux inconnus avaient quittés le domicile dès la fin du gang-bang, Pierre et Bérangère se réveillèrent dans le lit. Etant inquiet, il ne disait rien, attendant qu’elle parle la première.
Elle se leva et alla dans la salle de bains. Il vit qu’elle se déplaçait doucement, il se leva à son tour et la suivit.

Bérangère se lavait son sexe et son anus sous la douche.

Il ne faudra en parler à personne, dit-elle en le voyant.
Oui, c’est immoral ce qu’on a fait, ceci dit ils nous ont obligé, hier soir.
Ils t’ont vraiment obligés, à toi?

Pierre fut surprit de la question.

Tu n’as pas causé de difficulté à me fourrer ta bite dans la chatte ou le cul!
Ben, si, ils m’ont obligé, mamie…mais apparament, tu as bien aimé!

Pierre se rapprocha de sa grand-mère et caressa le sein droit.

J’ai encore envie, mamie…
Envie de quoi?
De baiser…On ne dira rien à personne…

Pierre passa ses meilleures vacances, ils sortirent très peu, passant le temps à baiser. Puis vint le moment des adieux lorsque Pierre fut déposé à la gare et rentra chez lui, jurant par tous les dieux ne jamais réveler ce qui c’est passé.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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