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Un amant pour ma femme

Un amant pour ma femme



Ma femme Nadia allait avoir 30 ans, trouver un cadeau inoubliable à cette occasion était un défi.
Souvent quand nous faisions l’amour, le fantasme d’une troisième personne accompagnait notre jouissance.
Et si pour ses 30 ans, je lui offrais un autre homme, un autre zob ?
Au début, elle était réticente à l’idée, le fantasme était excitant mais passer à l’acte lui semblait immoral, interdit (haram en arabe).
Petit à petit, l’idée faisait son chemin, le scénario se dessinait à chaque étreinte, chaque orgasme était un pas vers la réalisation.

Au bout de quelques semaines, après beaucoup d’hésitation, elle finit par accepter, non sans poser ses conditions.
Nadia et moi sommes un couple uni, elle est fine, sportive mais avec une belle poitrine ronde.
Depuis quelques années, elle a pris le contrôle de ma sexualité, c’est elle qui décide de nos ébats, de ma jouissance.
Par amour et par soumission, je lui ai offert le contrôle de mon zizi, d’un jeu au début, le port d’une cage de chasteté est devenu le quotidien pour moi.
La clé de la prison de mon zizi est pendue à son cou, elle seule choisit les moments et les manières de jouir pour moi. J’aime cela, j’aime lui être soumis et dépendre d’elle.

Un homme viril, sympa, pas brutal, comprenant notre démarche et nous accompagnant en douceur sans nous forcer, voilà ce que nous cherchions. Nadia me demande de chercher et de lui proposer….
Les trois premiers ne convenaient pas, pas au goût de madame, le quatrième fut le bon.
Après quelques échanges de mails, je pris rendez-vous avec lui dans un café pour discuter. A partir du moment où ma chérie dit oui, je ne fus plus autorisé à jouir tant qu’elle n’aurait pas eu sa soirée.
Quasiment un mois sans pouvoir me vider !

Le grand jour arriva, les minutes semblaient une éternité. En début de soirée, Nadia me demanda de l’aider à se préparer et la rendre complètement lisse. Allongée nue sur le lit, je lui passais délicatement le rasoir sur son pubis. Plus le temps passait, plus sa fente était mouillée. Mon travail achevé, son sexe aussi lisse qu’à sa naissance, je mis mon doigt entre ses lèvres qui s’écartèrent pour l’accueillir sans problème.
– Tu es bien excitée ma chérie, mon doigt est entré comme dans du beurre !
– Tu es toujours sûr d’avoir envie qu’un autre zob entre dans ta femme ?
– Oui ma chérie et je t’aime.
Elle prit sa douche et quand elle revint nue dans la chambre, elle n’enfila qu’une robe noire légère sur son corps.
– Tu ne mets pas de culotte ?
– Pour quoi faire mon chéri ? Pas de culotte, plus de poils ! Ce soir, je serai nue, voire plus que nue. Et toi, tu ne mettras qu’une chemise et un pantalon, ça suffira bien. De toute façon, tu es bien habillé avec ta cage de chasteté.

Un manteau sur le dos et le trajet en voiture jusqu’à la chambre d’hôtel choisie se passa en silence.
Sur place, le manteau enlevé, elle s’assit sur le lit et me regarda préparer la chambre.
Lumière tamisée, bouteille de champagne au frais, tout était prêt pour accueillir notre invité.
L’attente fut courte, Karim était ponctuel.
Une poignée de main, puis la bise à ma femme qu’il ne connaissait qu’en photo, un peu de fébrilité planait dans l’air. Un verre de champagne accompagné par une discussion tranquille calma la nervosité du début. Nous discutions de tout, de rien comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Quand Nadia lui apprit que je portais une cage de chasteté, il fut surpris et curieux.
– Chéri, tu veux bien lui montrer, s’il te plait ?
Un peu gêné, j’ouvris mon pantalon pour lui montrer.
– Non, enlève tout, mets-toi nu, il verra mieux et de toute façon, tu n’allais pas rester habillé.
Chemise et pantalon ôtés, je me tenais nu, debout devant eux.
Karim examina le dispositif pendant de longues secondes puis se tourna vers ma femme.
– Et toi, tu n’en portes pas ?
Tout en posant sa question, les yeux dans les yeux, sa main glissa sur la cuisse de Nadia en direction de son entrejambe.
– Pas de culotte, ça j’aime bien aussi !
Sa deuxième main prit également place sur les hanches de Nadia et d’un geste coordonné, les deux mains firent glisser la robe sur le corps de ma chérie.
Nadia, nue, lui sourit. Sans un mot, elle déboutonna la chemise de Karim, l’enleva puis fit de même avec le pantalon. Les deux futurs amants étaient nus, j’assistais à leur rapprochement dans le même état.

Karim avait un corps bien fait, les muscles dessinés. Nadia s’allongea complètement sur le lit sans le quitter du regard. Doucement, il s’approcha des cuisses de Nadia qui s’ouvraient au fur et à mesure qu’il avançait.
Un soupir s’échappa des lèvres de ma femme quand la langue de Karim atteint son but, elle ferma les yeux, écartant les cuisses le plus possible pour que je puisse assister au spectacle.
– Tu es complètement trempée, une vraie fontaine….Regarde comme je suis dur, viens goûter !
Nadia se tourna et prit la belle queue dressée de son amant en bouche. Ses lèvres épousaient parfaitement les contours de ce zob. Sa bouche montait et descendait sur ce sexe, à chaque fois que ses lèvres se réappropriaient cette tige, elle me défiait du regard.
Ma femme suçait un autre, ma queue prenait toute la place dans sa cage sans pouvoir se raidir, cette fellation était torride.
Toujours dans le silence, les mains de Karim accompagnèrent Nadia pour qu’elle se retrouve allongée sur le dos. Tel un serpent, il glissa entre ses cuisses offertes, sur son ventre, ses seins et finit par l’embrasser dans le cou. Dans cette harmonie des sens, le baiser dans le cou avait précédé la pénétration de son membre dans ma femme. Le long soupir de plaisir qui sortit de la bouche de Nadia me fit comprendre qu’elle s’était abandonnée au joug de son amant.
Doucement, les hanches de Karim bougeaient, celles de Nadia répondaient à ce mouvement. Réticente à lui offrir sa bouche et un baiser au début, le passage de ce zob au fond de son intimité lui ôtait toute volonté de résister, elle lui donna aussi sa bouche pour de fougueux et passionnés baisers.
De longs moments, les corps des deux amants bougeaient soudés en symbiose, les jambes de ma femme nouées autour du corps de son baiseur.
Karim se retira, Nadia se mit sur le côté, il se colla à elle mais d’un geste, elle l’arrêta dans son mouvement.
– Viens mon chéri cocu et lopette, j’aimerais que ce soit toi qui me mettes son zob, viens et regarde !
Sans un mot, je m’approchai, m’accroupis à côté d’elle, Sa main guida ma main vers le zob de Karim.
Sa queue était douce mais dure, le gland placé à l’entrée de son étui, Karim la fit coulisser dans Nadia.
– Oh mon chéri, c’est bon ce qu’il me fait, regarde !
A quelques centimètres, ce zob plein de désir prenait possession de l’intimité de ma femme. Les deux sexes semblaient faits l’un pour l’autre.
– Viens me lécher pendant qu’il me prend !
Sa main aida ma tête à se rapprocher….
– Allez, vas-y, fais-le !
Ma langue caressa tout d’abord son pubis glabre, mais Nadia guida ma tête pour que ma langue se place au point de rencontre des deux sexes. Je léchais le sexe de ma chérie avec application, à chaque passage, la queue de Karim s’invitait au festin. Excité par la situation, je léchais autant la queue de Karim que les lèvres de Nadia.
Un mouvement mal contrôlé, et le zob de Karim sortit de son logement, immobile, me défiant, je le pris entièrement en bouche, une fois, deux fois, trois fois puis je le remis en Nadia.
– Bien mon chéri, tu m’épates…..
Pris en tenaille par la queue et ma langue, Nadia ne tarda pas à jouir, Karim la suivit rapidement et se vida en elle.
Les deux amants rompirent leur union et se retrouvèrent sur le dos, la semence de Karim coulait du sexe de mon épouse.
– C’était trop bon mon chéri, maintenant tu me fais ma toilette !
Un sourire renforça son regard qui me dominait.
Dans un mouvement lent mais continu, je me plaçai entre ses cuisses, ma langue commença à passer sur les endroits sans semence puis glissa dans son intimité honorée par Karim. Je m’appliquais à nettoyer toute trace de sperme. Karim s’était redressé et regardait, amusé, son sperme léché par le mari de son amante.
– C’est bien, tu m’as bien nettoyé ! Maintenant, il y a aussi le zob de Karim qui en a besoin !
Cette queue semi dure, gluante de sécrétions mêlées des deux amants m’attendait.
Sans un mot, sans mes mains, ma bouche prit possession du zob. Je le léchais avec application. Plus je le léchais, plus le zob reprenait de la vigueur.
Une fois propre, la queue de Karim était à nouveau dressée.
– Tu as vu ce que tu as fait mon chéri ? Ce n’est pas sympa, on ne peut pas le laisser comme cela !
Je regardais ma femme, interloqué !
– Ben oui, maintenant que tu as commencé, va au bout, finis-le !
Je voulus prendre son zob avec ma main mais :
– Non, mon mari zamel (zamel, veut dire pédé en arabe marocain), pas avec tes mains ! Ta bouche suffira et ça ne va pas te gêner après ce que tu viens de faire !
Un sourire et sans un mot, j’obéis et ma bouche entreprit son travail. Karim souriait, la situation était inédite pour lui mais pas désagréable.
Me rappelant les fellations de ma femme, je m’appliquais à le sucer, lui lécher toute la tige ou ses couilles, je voulais que ma femme soit fière de moi.
Ce traitement portait ses fruits et de longs jets de sperme me remplirent la bouche. J’avalais tout son sperme avec délice.
Ma femme me félicita :
– Bravo mon pédé !

FIN

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