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Une histoire d’amour

Une histoire d’amour



Nous avions toujours été une bande copains et ça attirait les filles mais il y avait un turnover permanent avec elles. Seul semblait perdurer Lola que je connaissais depuis toujours. Elle avait toujours été jolie et comme sa mère, elle avait des gros nichons. J’aimais bien les gros nichons mais de cette taille-là, ça devenait un peu écœurant. Un été, je lui avais fait la cour mais elle m’avait jeté tout de suite en me disant qu’elle n’est pas là pour baiser. Elle avait fini par avoir de vrais ballons de foot.
Le bac, elle l’avait raté complètement. Un jour que je la rencontre, je lui demande ce qu’elle va faire.
– Je sais pas, qu’elle me répond ! On m’a proposé un truc…
– Et c’est quoi ?
Elle n’a pas voulu me le dire. Quelques mois plus tard, alors que je sors de chez moi pour aller travailler, je tombe sur elle, mine défaite, fatiguée. Je lui demande si elle rentre du boulot ?
– Euh, oui, je vais me coucher me répond Lola !
– Qu’est-ce que tu fais comme boulot, je lui demande ? Tu fais pas la pute quand même ?
Je pouvais lui dire ça parce que je lui en voulais. Soudain, elle a eu une sorte de malaise et je l’ai soutenue puis je lui ai proposé de la ramener chez elle. Ses parents n’habitaient pas très loin mais la maison était souvent vide. Lola me propose un café. Elle met la cafetière à chauffer puis elle retire son manteau et je vois son bras droit couvert de tatouages, du poignet à l’épaule. Rien que des dessins moches et tout noir. Elle s’aperçoit de mon regard.
– Quoi, me fait-elle ?
– T’aimes ça ? C’est moche !
– Et si ça me plaît, me répond-elle !
– T’en a d’autres ?
Elle relève sa jupe et je vois qu’elle en a aussi sur les cuisses et les fesses. Je lui dis qu’elle aurait pu choisir les piercings et elle me répond qu’elle déteste ça. Je lui demande à voir de plus près les tatouages sur ses fesses et elle retire sa jupe. Je regarde et je touche. Elle a la peau douce malgré ses tatouages.
– Tu sais, je fais pas la pute mais c’est tout comme ! La différence c’est que je ne rencontre pas mes clients !
Elle m’explique et je lui demande si ça la gêne pas de faire ça puis je lui demande jusqu’à quand elle va faire ce job.
– Tu sais, au début, j’avais honte mais, petit à petit, ça a commencé à me plaire, de penser que ces cochons vont me payer pour que je leur montre mes nichons !
– Et je crois me souvenir que tu en as une belle paire ! Tu les a fait tatouer ?
Elle rigole puis elle retire son top et son soutien-gorge et si elle ne s’est pas fait tatouer les seins, elle a un superbe dessin entre et qui descend jusqu’à son nombril.
Elle ajoute qu’il y a longtemps qu’elle n’a pas fait l’amour et elle me demande si j’ai envie.
– Moi ?
– Oui, toi ! Pourquoi ? Je te fais peur ?
Elle m’ouvre la braguette et elle me sort la bite et les couilles puis elle commence à me branler mais je n’ai pas besoin de ça. Elle minaude qu’elle voudrait que je la prenne entre les seins puis elle me retire mon pantalon. Elle s’accroupit sur sa banquette et je glisse ma bite entre ses seins. Lola me demande si j’ai déjà fait ça.
– Je leur fais ça avec un godemiché, ajoute-t-elle mais je préfère ta bite !
Elle me demande si ça me plaît. Ça me plaît vraiment. Ses seins sont tellement doux. Plusieurs fois, je manque de finir mais j’arrive à me retenir. Finalement, je joui dans son cou. Lola laisse s’écouler le sperme entre ses seins et sur son ventre. Elle me demande si ça m’a plu.
– Oui, mais à toi ?
Elle me répond que ça fait rien. Je lui demande si elle n’aime pas jouir. Elle me répond qu’elle simule a longueur de séance. Tout à coup, elle se penche et ses seins dégringolent et ils sont si lourds que leur attache est maintenant plus mince que les poignets de leur propriétaire.
– Tu les aimes, me demande Lola ? Tu te souviens, quand tu m’avais demandé ? Je t’avais envoyée bouler !
– Tu gagnes bien ta vie avec ce job ?
– Oui, ça va, me répond Lola ! Et puis mes parents m’ont laissé un peu d’argent ! Ne me propose pas de t’épouser, enchaîne Lola ! J’ai déjà assez de propositions comme ça ! Les gros nichons, ça attire des vocations !
– En tout cas, moi je les aimes ! Ils sont magnifiques !
Je ne pouvais pas faire moins. J’ai déjà la trique qui se redresse. Je ne sais pas ce que j’ai depuis quelques temps mais j’ai besoin de baiser. Je lui dis que je veux la baiser. Elle me répond qu’aujourd’hui, elle ne risque pas d’être enceinte.
– Pourquoi ? Tu as des problèmes de ce côté-là ?
Elle me répond que quand elle voit une femme enceinte, ça lui donne envie.
– Tu as raison ! Une jolie fille comme toi, c’est fait pour avoir des enfants et de jolis seins pour avoir du lait !
– Ma mère m’a dit qu’elle n’avait jamais voulu que je la tête !
J’ai tété ses mamelons, mais en vain. Elle a posé sa main derrière ma tête. Je lui dis que je voudrais qu’on se mette ensemble. Elle me répond qu’elle ne peut pas me promettre d’arrêter son job. Elle ajoute qu’elle aime faire ça.
– Tu te masturbes devant eux ?
– Oui ! Et je jouis !
– Tu jouis ?
– Oui !
– Tu simules pas ?
– Non, quasiment jamais !
– Comment tu fais ?
– Avec mes doigts et avec un godemiché, un vibromasseur ou un lovense !
C’était la première fois que j’entendais ce mot-là. D’ailleurs elle en avait un dans sa chambre, tout neuf. Elle l’a déballé puis elle m’a montré comment elle s’en sert puis elle s’est servie de la télécommande que je lui ai empruntée et peu à peu j’ai fait monter la tension.
– Oh, chéri, m’a dit Lola !
J’ai accéléré. Elle n’arrivait plus à se contrôler et j’ai encore accéléré puis elle a trébuché et elle est tombée. Je l’ai aidée à se relever puis à s’asseoir sur le bord du lit. Elle m’a dit que je l’ai fait jouir et elle ne mentait pas. Elle s’en était mis partout sur les cuisses. J’ai mis les doigts et je l’ai doigtée, trois doigts dans le vagin, le pouce sur le clitoris. Dix minutes plus tard, elle avait un autre orgasme. On a commencé à se refréquenter. Elle continuait à travailler. Parfois je la regardais et il m’arrivait de l’espionner dans un show privé mais moi, je la baisais. Un soir elle m’a dit que si je fais dedans, elle sera enceinte. J’ai fait dedans. Ce sont ses seins qui ont commencé puis son ventre a pris le pli.
Sur le site, elle se faisait de plus en plus de fric et j’ai pensé que si je la faisait arrêter, elle serait contrariée et elle ne gagnerait plus rien et elle a continué jusqu’au dernier jour, la naissance de notre fille.
Aujourd’hui, quand je surprend notre fille dans la salle de bains, je peux constater qu’elle est la digne fille de sa mère et même mieux parce qu’à dix-huit ans, elle a plus de poitrine que sa mère mais elle est pudique et elle a toujours eu du mal à faire du topless sur la plage. Sans doute faudrait-il qu’elle essaie. Elle se rendrait compte que ça lui plaît et elle ferait peut-être comme sa mère l’avait fait, travailler sur un site de cul ou faire du porno.
Sa mère en a fait mais je n’ai jamais aimé les étalons qui la montaient. D’accord, ils étaient mieux monté que moi. Lola y prenait sans doute plus plaisir mais j’ai quand même ma fierté. J’ai quand même réussi à lui faire abandonner les soutif et maintenant, ses mamelons lui arrivent sous le nombril mais ce n’est pas sans me plaire.

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