Au mois de mars, il faisait encore assez frais. Jean-Charles m’invita à aller faire un tour dans la capitale. En buvant un verre en tête à tête, il m’expliqua : mon ami Jürgen fête ses 50 ans le mois prochain. Il organise une grosse semaine de fête et m’invite à venir le mois prochain. Il a une maison à Ibiza. Tu devrais venir ». À 20 ans, une telle proposition ne se refuse pas.
Sans même savoir de quoi il retournait, j’acceptais, trop content de prendre une semaine de vacances. Jean-Charles m’en dit plus : « Jürgen est un esthète et il appréciera que tu m’accompagnes ». Après un court silence, il ajoute : « Tu vois le genre. » En fait non, je ne voyais pas le genre, mais j’imaginais plein de choses.
Après un voyage assez court, nous nous retrouvâmes sur la passerelle de l’avion à Ibiza. Le ciel était bleu et dix degrés de plus s’affichaient au thermomètre.
En arrivant à pied sur le parking de l’aéroport, Jean-Charles cherchait la personne qui devait venir nous attendre. C’était un jeune blond de 20 ans qui s’appelle Wilm. « C’est une annexe de l’Allemagne cette ile ! » Pensais-je, tant le nombre de locuteurs germaniques était élevé.
Finalement, nous trouvâmes notre homme, un athlétique jeune éphèbe au regard bleu acier et à la peau hâlée. « Très comestible. Jürgen a bon goût » me glissa Jean-Charles.
Après une demi-heure de route, nous arrivâmes enfin à la propriété et nous fûmes accueillis par le fameux Jürgen. Un maître des lieux très charismatique, le cheveu court et grisonnant. Il était sûr de lui, avec une grosse chevalière à un doigt. Le soir venu nous prime l’apéritif avec un entourage d’une bonne vingtaine de personne. Jean-Charles m’explique qu’il a fait fortune dans l’industrie et qu’il a décidé de prendre un peu de bon temps. Ils se sont connus étudiants. « C’est un vicieux, genre dominateur. Il pourra t’initier et tu devrais apprécier. » me dit-il. « Tu sais, ce n’est pas mon truc le BDSM » lui répondis-je. J’entendis alors derrière moi : « qu’est-ce qui n’est pas votre trüc, mon jeune ami ? » Jünger s’approchait, un verre à la main. Tout sourire, Jean-Charles lui déclara sans que je ne puisse répondre : « Le BDSM. Il ne sait pas de quoi il parle » « Je vois » fit Jürgen ne me mettant la main sous l’épaule. « Nous en discuterons demain soir ».
Après une longue et tranquille soirée, le lendemain fut consacré à la plage, activité très plaisante même si les températures restaient modestes. De retour à la villa, la soirée allait commencer. Je trouvais l’environnement très excitant. Toutes ces personnes au naturel dans cet environnement décontracté étaient un appel au sexe et l’envie ne tardait pas être présente en moi. Après un léger repas, nous bûmes quelques verres sur la terrasse. J’étais court vêtu d’un petit short en jean et d’un simple tee-shirt. « Allons dans le salon d’en bas » fit Jürgen. Des murs de pierre bruts, un vaste salon avec de larges fauteuils en cuir noir et une cheminée rendait l’endroit chaud et accueillant. Après quelques bavardages, Jürgen me dit : « Veux-tu enlever ton haut ? Tu sembles avoir une très jolie plastique. » J’ôtais mon tee-shirt, vite excité. « Oui tu es superbe ». « Prends tes seins dans tes mains. » Je m’exécutais. « Tu aimes cela je vois » Il se leva du fauteuil et se mit derrière moi. Il me prit délicatement les mamelons entre le pouce et l’index. Il me susurra. « J’aime les belles poitrines. » C’était divin. Il ajouta « tombe ton shor.t » Je le déboutonnais et il tomba sur me sandales. Ma verge grossissait. Sa main la saisit. Puis il conclut « très bien. » Jean-Charles était en face et n’en perdait pas une miette.
« Je vais mettre tes sens en éveil. » me fit Jürgen.
Il prit un pot qui contenait un baume jaune. Il s’enduisit un doigt puis me caressa circulairement les mamelons. « Tu vas ressentir la chaleur sur tes seins qui vont se tendre. Laisse agir l’onguent, ne les touche pas ». Je ne bougeais pas. Dès qu’il eut fini, je sentis la merveilleuse sensation, je me cambrais naturellement. Les mains de Jürgen se baladaient délicatement sur mon corps. Il me décalotta et me passa du baume sur le frein. Ma verge devint dure et presque douloureuse. « Mets-toi à quatre pattes sur le pouf ». Je m’exécutais. Je sentais mes seins tendus et ma verge si dure. « Les jeunes sont souvent étroits. Pour profiter au maximum, je vais te préparer en douceur » Il m’écarta les cuisses, ses mains me palpaient les fesses, en faisant parfois quelques allers-retours sur mes seins. Il reprit du baume et me massa mon petit orifice. Je savais que j’allais me faire prendre. « Mes massages vont t’ouvrir.» Une sensation chaude m’envahit alors, accompagnée du désir d’être pénétré. Ses doigts me massaient avec le baume des fesses au sexe, sans épargner les œufs. Mon corps en réclamait toujours plus quand il entreprit de me pénétrer d’un doigt. Il comptait au fur et à mesure des doigts qu’il m’insérait. Au troisième, j’offrais une résistance et lui demandais de ne pas aller plus loin. Mais il s’empara de lubrifiant et me fit respirer un Poppers. Il continuait son va-et-vient lent. La chaleur de la respiration me poussait à accepter plus. Finalement, je sentis son pouce qui rejoignait ses autres doigts. La douleur était forte, mais l’excitation immense. Le plaisir de se laisser mener. Jürgen me retourna sur le dos et reprit son mouvement entre mes fesses. Je sentis comme une déchirure et sa main était en moi. Il ne la bougeait plus et entreprit de me branler lentement, mais virilement. Alors que je me caressais les seins, je jouis avec force. Sa main toujours en moi ressortit tandis que je m’abandonnais aux spasmes de la volupté, pour le plus intense des plaisirs que j’ai pu connaitre.
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