Franck, un ami d’enfance que je n’avais pas revu depuis le lycée, a réapparu après quelques années à l’étranger.
Je me souvenais d’un garçon brun, poilu mais dégarni déjà à l’époque.
Après une reprise de contact, je l’ai invité pour l’apéritif un vendredi soir.
Il avait beaucoup changé, gros et très velu, une calvitie prononcé. Nous avions 48 ans lui et moi, ma femme 42 ans.
Ma femme Véronique portait un short simple et un chemisier, car nous étions en plein mois de juillet.
Après plusieurs verres, nous étions tous les trois bien éméchés et je ne sais plus pourquoi la conversation a tourné sur le sexe.
Véronique parle de mecs moulés dans leurs jeans, ce qui était le cas de Franck, mi-allongé dans le canapé, les jambes écartées.
Elle prétendait qu’ils aimaient qu’on devine la taille de leur sexe sous le pantalon. Franck, un peu gêné, disait n’y avoir jamais pensé.
Véro fixait quand même son entrejambe, et il m’a semblé que la braguette de Franck avait pris du volume.
J’ai dit que les femmes ne détestaient pas le spectacle d’un homme en jean moulant, qu’elles devaient même avoir quelques fantasmes à ce propos.
En riant un peu sous l’emprise de l’alcool, Véro s’assoie à côté de Franck et pose sa main sur son entrejambe. Franck ne réagit pas tout de suite et je plaisante en disant que j’avais raison.
En poussant un petit soupir, Véro commence à masser la bosse naissante de Franck. Mi interloqué mi-amusé, je dis à Véro qu’elle n’osera pas aller plus loin.
– On parie ? dit-elle en me regardant, les yeux embués par l’ivresse.
Je ne réponds pas et la laisse continuer son petit jeu. La situation m’excite d’un coup. Franck me regarde et je lui fait comprendre que ça ne me gêne pas, au contraire. Je n’ai jamais vu Véro allumer un mec comme ça.
Elle déboutonne le jean de Franck et glisse sa main dans sa braguette. Franck se cambre pour l’aider. Elle soupire à nouveau en sentant le sexe gonflé sous le slip de Franck.
– Hmmm, on dirait que tu étais serré là-dedans ! dit-elle
– Un peu oui, répond Franck
– Mets-toi à l’aise, je lui dit
Mais Véro commence à tirer sur le jean de Franck pour le baisser jusqu’aux genoux. Le slip suit le même chemin.
Le sexe de Franck se redresse fièrement, le pubis et les couilles très fournies en poils, sa tige veinée de bonne taille à moitié décalottée.
Véro fixe le sexe de Franck. Elle est habituée à mon sexe circoncis et le long prépuce de Franck semble lui plaire.
Son gland émerge à peine, luisant.
Elle me regarde et je l’encourage des yeux.
Elle saisit le membre de Franck et tire doucement la peau pour le décalotter. Un gland énorme apparait, faisant gémir Véronique de satisfaction. Je sens que je suis moi aussi à l’étroit dans mon pantalon …
Véro soupèse les couilles de Franck et remonte le long de sa tige bien raide maintenant.
Elle respire plus vite, je vois ses seins pointer sous son chemisier. Elle n’a pas de soutien-gorge.
Franck gémit aussi alors que Véro le branle franchement, ses yeux fixés sur le sexe gonflé dans sa main.
Et sans prévenir, Franck éjacule. De longues giclées éclaboussent sa chemise à moitié relevée.
Véro est subjuguée par la quantité de foutre. Elle se lève, titubante, et s’assoie dans le fauteuil d’en face.
Pendant que Franck reprend son souffle, je me lève et m’agenouille devant Véro. Je fais glisser son short le long de ses cuisses et l’enlève. Elle se laisse faire en me souriant. Elle ouvre un peu les jambes et je vois sa culotte trempée qui colle à sa fente.
Je fais signe à Franck d’approcher. Il enlève sa chemise maculée et se débarrasse de son pantalon et de son slip.
Entièrement nu, il s’agenouille devant Véro et caresse sa fente à travers la culotte. Puis il embrasse l’intérieur de ses cuisses et écarte sa culotte. Véro pousse un soupir d’excitation alors que la langue de Franck se pose sur ses grosses lèvres. Il enfonce la pointe pour titiller son clitoris, faisant gémir Véronique de plus en plus fort. Je déboutonne le chemisier de ma femme pour libérer ses seins. Je les caresse en passant mes pouces sur ses tétons durcis.
– j’ai envie de te sucer chéri, me dit-elle entre deux gémissements.
Je me déshabille entièrement et approche ma queue de sa bouche, qu’elle tête aussitôt avidement.
Franck glisse l’index entre les fesses de Véro et lui doucement pénètre l’anus tout en tétant son clitoris.
Elle commence à onduler de plaisir sous les caresses de mon ami. Elle grogne de plaisir en me suçant plus fort.
Je n’en peux plus et je lui éjacule dans la bouche.
Elle suffoque de surprise et se redresse pour reprendre son souffle.
J’en profite pour la retourner sur le fauteuil, à quatre pattes, son cul cambré face à Franck …
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