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JOHANNA une vie de putain 11

JOHANNA une vie de putain 11



JOHANNA une vie de putain 11

Cela fait maintenant plus de six mois que Johanna est captive dans la propriété située en Normandie et qui est un ancien pressoir.
Elle n’a plus la notion des jours ni des mois car ici elle vit déconnectée de tout, dans un endroit clos et sans repères.
Elle a beaucoup souffert avec les sévices et les punitions que Harold devenu son maître lui a infligés afin d’en faire sa soumise.

Depuis que le beau temps est revenu, le soir elle ne se rend plus dans la chambre où elle dort habituellement.
Dans la journée elle n’y met les pieds que pour y faire le ménage.
Son maître ayant décrété qu’il faisait bon et qu’elle serait mieux au grand air, elle couche dehors sur l’herbe.
Suivant son humeur souvent il l’attache de différentes façons pour qu’elle soit gênée et ne dorme pas beaucoup.
Cela peut être le poignet gauche lié à la cheville gauche et le poignet droit lié à la cheville droite.
Ou couchée sur le ventre jambes repliées, bras tirés en arrière, poignets et chevilles attachés ensemble.
Ou bras et jambes écartés, poignets et chevilles attachés à des piquets plantés dans le sol
Mais toujours bâillonnée pour éviter de l’entendre crier si quelque chose lui fait peur dans le noir.
En cas de pluie ou d’orage tant pis pour la soumise, dormir au grand air est bon pour elle et puis elle est lavée gratuitement.
Johanna ne se plaint pas même si parfois c’est dur à supporter, puisque son maître le veut elle trouve que c’est une chose normale.
Même si elle est maintenant conditionnée Harold continue à la formater par sécurité.

Depuis quelques jours Johanna peut se promener seule, sans entraves à l’extérieur dans la propriété mais toujours nue, ce qui n’est pas gênant puisqu’il fait chaud on est en juillet.
Harold surveille ses déplacements mais apparemment le risque qu’elle tente s’enfuir sont pratiquement nuls car le dressage à porté ses fruits et Johanna est maintenant bien soumise aux désirs et caprices de son maître.
Elle ne le regarde plus dans les yeux et baisse instinctivement la tête devant lui.

Elle supporte la souffrance quand il la martyrise physiquement même si ses gémissements, ses cris et braillements excitent plus Harold qu’ils ne le gênent.

Il se sert de sa soumise pour soulager ses besoins sexuels sans se préoccuper des besoins de celle qui lui donne du plaisir, une esclave est là uniquement pour servir son maître.
Pendant leurs rapports sexuels il n’hésite pas à lui tordre et étirer les tétons à les arracher ce qui le fait éjaculer rapidement.

Il aime bien, par plaisir et non par nécessité, la mettre dans des conditions où la douleur est forte.
Quand il veut être sadique c’est dans les cabanons situés dans un hangar qu’il l’expose à une haute température dans l’étuve puis sortie de là directement au froid dans le frigo.
Il la fait passer du très chaud au très froid sans transition s’amusant de la voir suer à grosses gouttes puis trembler de froid et claquer des dents.
Son amusement le matin c’est de continuer à la faire ramper dans l’herbe ou à marcher à quatre pattes comme un a****l devant ou à côté de lui pendant de longs moments.
Quand ça le prend il la pend attachée à une corde par les poignets ou les chevilles veillant à ce qu’elle ne touche pas le sol.
Johanna obéit maintenant au doigt et à l’oeil, Harold trouve toujours un prétexte pour la faire souffrir.

Johanna prépare maintenant tous les repas, ce qu’elle fait de mieux en mieux car elle a ramassé beaucoup de raclées pour avoir fait du rata infâme.
Harold lui a acheté des livres de recettes qu’elle respecte scrupuleusement.
Elle sert son maître à table, s’accroupit à ses pieds pour manger dans son écuelle puis elle attend patiemment la suite sans bouger.

Pour ce qui est du sexe, suivant les envies de Harold, elle lui fait une pipe ou bien positionnée accroupie au dessus de lui elle s’introduit la queue dans la chatte ou dans l’anus.
Maintenant pour elle les désirs de son maître sont des ordres.
Pendant leurs rapports sexuels c’est presque toujours elle qui fait le travail, lui se laisse faire.
Quand il le demande elle lui fait l’amour et le fait éjaculer plusieurs fois dans sa bouche, son vagin ou son cul sans chercher à y prendre du plaisir même si parfois il vient naturellement.
Question jouissance elle doit à la demande de son maître et devant lui se doigter et masturber jusqu’à avoir un ou plusieurs orgasmes.

Une chose étrange arrive, Harold s’est absenté pendant plusieurs jours, d’habitude quand il sort il rentre le soir et au pire dans la journée le lendemain.
Et jusqu’à maintenant à chaque fois il enchaînait son esclave dans sa chambre ou l’enfermait dans la cage.
Cette fois-ci Johanna reste seule et totalement libre de ses mouvements.
Elle n’essaie pas de s’enfuir et est un peu perdue seule dans la propriété ne sachant pas quoi faire de son temps libre hormis ses corvées quotidiennes.

Elle va ouvrir la porte du chenil car au moins avec Hannibal elle aura de la compagnie.
Le chien vient tout de suite la renifler, frotter sa truffe humide contre ses fesses et son sexe qu’il lèche ensuite.
La fille s’accroupit et caresse d’abord le dos puis le ventre de la bête avant d’en faire autant sur le sexe qui rapidement sort de son fourreau et grossit.
Elle se penche, embrasse et lèche le pénis avant de le prendre dans sa bouche et de pratiquer une fellation.
Délaissant le membre elle s’accroupit au dessus de lui et tenant le sexe avec une main se l’introduit dans la grotte puis elle fait monter et descendre son corps pour faire aller et venir en elle le membre d’où s’échappe du liquide.
Au bout de quelques minutes son partenaire se met à trembler et à pousser des petits cris, elle sent le pénis prendre du volume puis c’est une bonne quantité de sperme qui envahit son vagin.
Elle reste un moment sans bouger puis se soulève, le pénis du chien sort de sa chatte avec un bruit de succion, la semence coule sur le sol.
Le chien reste sans bouger, elle s’assoit à côté de lui et le caresse.

Le temps passe, les heures s’écoulent sans que Johanna ne bouge et au bout d’un moment Hannibal vient entre ses jambes renifler puis il lèche son sexe.
Elle le caresse partout puis insiste sur son sexe et ses testicules.
Elle est satisfaite quand le pénis grandit et se dilate pour arriver à une érection correcte après qu’elle l’ai masturbé.
La jeune fille se met à genoux et écarte les jambes.
Hannibal pose ses pattes avant sur son dos et cherche à la pénétrer mais n’y arrive pas.
avec une main elle positionne le membre contre son anus qu’elle a humidifié avec du sperme prélevé dans sa chatte à l’aide de ses doigts.
Elle sent le pénis s’enfoncer dans son cul, le chien se met à bouger avec des mouvements rapides de son corps.
Elle l’excite en passant une main entre ses jambes et en triturant ses testicules.
Il faut plus de temps avant que le pénis ne grossisse encore, emplissant le fondement de la femme, et que du sperme ne gicle dans ses intestins.
Hannibal reste collé sans bouger puis il se retourne et patiemment Johanna ne voulant pas qu’il souffre, attend que le pénis sorte seul de son cul.
Elle ne l’abandonnera que le temps de se faire à manger et de lui en donner.

Jour et nuit, tout le temps que son maître est absent c’est avec Hannibal qu’elle passe son temps.
Lui est heureux car elle le fait éjaculer à chaque fois qu’il en a envie que ce soit dans sa bouche, sa chatte ou son cul.

Son maître est enfin de retour ce qui réjouit la fille qui se languissait.
Harold sort plusieurs paquets du coffre de sa voiture.
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Sans dire un mot Johanna essaie les vêtements: des shorts courts et ajustés, des mini-jupes aux couleurs très voyantes, des bustiers, des bas auto-adhésifs, des chaussures à hauts talons, des bottes qui arrivent à mi-cuisses, des maillots très échancrés, des chemisiers presque transparents, des soutiens-gorge seins nus, des strings mini.
Bien que sachant ce qu’il veut faire d’elle et l’ayant parfaitement assimilé Johanna pose une question.
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Résignée et obéissante Johanna ne répond pas, elle est parfaitement conditionnée.

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Il lui donne des informations concernant son supposé passé.
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Johanna retire les vêtements qu’elle avait enfilés, les met dans un sac et nue comme d’habitude gagne sa chambre dans laquelle elle n’a pas dormi depuis un moment.

Le lendemain matin Harold la réveille, ils déjeunent et se préparent, cela fait bizarre à Johanna d’avoir des vêtements sur elle, elle a revêtu ceux qu’elle avait en arrivant ici.
Ils prennent la route sans que Johanna ne demande dans quelle ville ils se rendent, peu lui importe car se prostituer ici ou là cela lui indiffère.
Pendant le long parcours Harold lui donne toutes les explications nécessaires afin qu’elle soit tout de suite performante.
Ils roulent maintenant dans les rues de la ville choisie par Harold qui finit par stopper dans une rue où plusieurs putains sont à l’oeuvre sur les trottoirs.
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Dans un vieil immeuble aux murs défraîchis ils grimpent à l’étage par un escalier qui grince énormément.
La chambre que Johanna doit occuper n’est pas attirante, elle voit une vieille armoire aux portes qui ne ferment plus, un lit qui trône au milieu de la pièce sans parler du lavabo et du bidet qui occupent un angle.
Elle pose le sac contenant ses vêtements dans un coin.
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Johanna gagne la partie de trottoir que Harold lui a assigné et commence à faire des aller-retour souriant d’abord timidement aux hommes qui passent et elle essaie de prendre des attitudes provocantes.
Comme demandé elle n’hésite pas à proposer aux passants les services qu’elle peut leur rendre en les détaillant.

Comme c’est une belle fille elle ne tarde pas à être accostée par un homme dont le physique n’est pas attirant.
Il lui demande ses tarifs pour une pipe et pour faire l’amour puis opte pour la seconde option.
Elle lui demande de la suivre, ce qu’il fait et ils pénètrent dans l’immeuble et gagnent la chambre que Harold a attribué à Johanna (devenue Nadia).
Une fois la porte refermée elle réclame au client le prix de sa prestation qu’elle range sous le matelas.
Pendant qu’elle enlève son string elle demande à l’homme de sortir son pénis puis après avoir retroussé sa mini-jupe elle se met sur le lit.
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Quand il arrive à côté d’elle elle lui met un préservatif sur la queue et caresse un peu le membre puis le masturbe pour parfaire l’érection.
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Elle écarte les cuisses pendant qu’il s’allonge sur elle.
Elle prend la verge dans une main et la présente à l’entrée de sa chatte, l’homme se laisse aller sur la prostituée qui sent le membre s’enfoncer dans son intimité.
Il commence à donner des coups de reins.
Décidée à ne pas faire durer le coït elle se met à faire bouger son bassin en rythme avec lui.
Il ne lui faut pas attendre longtemps avant que son client ne jouisse.
Quand il s’est relevé elle lui montre la poubelle où il jette le préservatif souillé de sperme.
Elle lui tend de l’essuie-tout pour qu’il se nettoie le pénis avant de remettre de l’ordre dans ses vêtements.
Rapidement elle aussi remet son string et ils quittent la chambre.
Arrivés sur le trottoir, en guise d’adieu elle lui dit.
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Sans plus faire attention à elle il s’éloigne pendant qu’elle recommence à tapiner.

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