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ma femme et ses patrons au quotidien

ma femme et ses patrons au quotidien



Avec mon patron
Mon quotidien

* * *

Je ne vous avais pas encore raconté mon quotidien avec mon patron ni quelques aventures scabreuses dans lesquelles il m’avait entraînée, dévoilant son côté lubrique. Il devint au fil des ans mon maître de sexe, m’apporta toutes sortes de plaisirs sans cesse renouvelés ponctués de somptueuses soirées, après-midi et même matinées pleines de bites et de jouissance pour moi.

Enfin, quand je dis mon patron, je devrais commencer à dire que j’en ai eu plusieurs et que, avec la boîte dans laquelle je bosse, la transmission d’entreprise à différents responsables fit que je fus la maîtresse de tous ceux qui s’y succédèrent. J’ai été la reine de leur queue et de leurs désirs, j’ai tout fait pour les rendre barje de moi, de mes fesses, de mes cuisses, de ma chatte, de mes seins, de mes dessous plus ou moins dévoilés. J’ai été complice de leur lubricité et de leurs fantasmes, j’ai participé à leurs jeux fabuleusement sexy et je leur ai souvent raconté les miens pour mieux les avoir à ma botte.

Mon premier patron

Il était nettement plus âgé que moi et m’a tout de suite traité comme une « jeunette ». C’est lui qui m’a appris la pipe du café du matin accroupie sous son bureau « comme un rite ». C’est lui qui m’a entraînée dans des soirées et cocktails plutôt « bcbg », où je m’encanaillais au fil des sorties et je fis, sous son contrôle, beaucoup de connaissances de mâles, dont certains entreprenants et bien montés meublèrent mes premières incartades. C’est lui qui commença à constituer ma garde-robe secrète de porte-jarretelles, d’escarpins, de bas et de tenues enrichies au fil des ans dans mon armoire secrète au bureau, qu’il me confectionna peu à peu « cette armoire est à vous, je vous la donne (tout en me confiant les clés d’un cadenas –dont il avait un double, ce vieux coquin !). C’est lui qui me demanda d’effectuer mes premiers streep-tease de bureau et d’aguicher quelques clients mûrs pour les amadouer : « je compte sur vous J……. pour les faire signer ce contrat ». Ce fut mon premier maître de sexe et m’entraîna dans quelques aventures extra-conjugales fort intéressantes. Comme beaucoup d’hommes mûrs, il était expert en bouffage et léchage de chatte et me contraint à en faire son « domaine réservé ».

Mon second patron

Quand j’atteignis la plénitude de capacité de femelle à faire bander les types, il fit de moi une véritable esclave du plaisir, me fit connaître presque toutes les expériences et la sodomie -que j’ai toujours refusée à mon mari- car il me disait souvent : « ton petit trou ma chérie c’est MON domaine, je ne veux pas qu’il te prenne par là, ce sera toujours notre secret à tous les deux… je sais te faire jouir par le cul mon amour et qu’est-ce qu’il a pu m’enculer ce salaud». Oui, je dis ça car il m’aimait, très charnellement certes, mais très fort. Il se régalait de m’amener exciter des types dans les magasins [il ne loupait jamais une occasion de m’emmener acheter des escarpins, des dessous pour compléter la garde-robe de mon armoire secrète -qu’il changea en m’achetant une véritable armoire de luxe-, sans oublier à chaque fois de me faire exciter le vendeur ou le gérant du magasin, voire quelque client qui traînait par là], en voiture en sous-bois, au resto… Il m’offrait à des dizaines de bites qui m’enfilaient par tous les trous sous ses yeux. Il se régalait quand je lui racontais mes « excursions » dans les jardins publics, dans l’algéco des travailleurs immigrés… il adorait sentir les traces de sperme frais des mecs qui m’avaient bourrée un peu plus tôt. « Mais tu es pleine de foutre, J……., petite cochonne ! approche que je sente comme tu es trempée de sperme ! », il me doigtait la chatte sous ma jupe puis portait ses doigts à sa bouche et son nez « viens ! que je te bouffe la chatte salope! Raconte-moi comme elles étaient grosses leurs queues, comment ils t’ont prise, si tu as aimé ma petite salope chérie» et il me troussait, dégageait mon string ou ma culotte et dardant sa langue sur ma vulve et dans ma chatte ravagée, il se pourléchait du foutre des types qui m’avaient tringlée quelques instants plus tôt, alors que je lui détaillais mon aventure. Il aimait aussi quand je me faisais les jeunes stagiaires que notre boîte enrôlait et il lui arrivait de vouloir sentir leur foutre frais sur mes collants ou mes bas : « il t’a mis la dose, montre moi la jolie flaque »; il aimait par-dessus tout me voir en exercice avec ces jeunots parfois incrédules mais toujours affamés par la femelle mature et experte que j’étais : nous avions un petit secret, une vraie-fausse porte de placard qui lui permettait de m’observer à l’œuvre sans que jamais aucun de ces jeunes ne soupçonne quoi que ce soit. Il lui arrivait même de me prendre en photos ou de me filmer là ou dans des lieux scabreux. Il m’offrit aussi à de nombreux clients… pour faire avancer le bizness et pour mieux confirmer son pouvoir sur eux et sur moi : « elle a pas un beau cul ma collaboratrice ? elle vous plait, non ? elle va vous faire un petit strip-tease ! montrez nous vos bas J……. ! allez-y, elle est à vous ? vous allez voir comme elle suce bien… »

Ce fut lui qui m’offrit à un de mes collègues (je lui racontais toutes mes incartades avec mes collègues comme mes aventures dans le bus, dans la rue ou les grands magasins… et souvent je ponctuais mon récit d’une pipe savante et il finissait par m’arroser de foutre : combien de fois, suis-je rentrée chez moi le soir avec son sperme dégoulinant sous ma jupe le long de mes cuisses ou accumulé en flaque dans mon soutien-gorge, ma culotte détrempée ou encore -plus risqué, il me rendait folle de stupre- avec des gouttes perlant dans mes cheveux, qui semblèrent parfois intriguer mon mari, ce cocu magnifique car il aurait tant voulu savoir qu’il l’était et faire justement ce que je faisais avec mon patron… je lui donnerai peut-être satisfaction un jour mais ça n’atteindra jamais ce que j’ai pu faire avec M. R……….) et m’offrit ce jour-là les joies de la double pénétration.

Par-dessus tout, en plus de la sodomie, son autre « royaume » réservé était le broutage de mon minou (comme mon premier patron), l’agacement adroit de mon clitoris, le bouffage de ma chatte qu’il explorait de sa langue dardée, adroite, experte et fine à d’innombrables reprises, m’arrachant même parfois des hurlements de plaisir dans sa voiture sur une aire d’autoroute ou un parking souterrain, quand je pouvais me lâcher. Lorsque je lui racontais quelques aventures et quand je lui disais : « il m’a bouffé la chatte », à propos d’un vieux, d’un manant rencontré dans la rue, il me rétorquait systématiquement : « il ta bouffé la chatte aussi bien que moi ? » et je lui répondais invariablement : « non, il n’y a que toi pour me faire jouir autant avec ta bouche et ta langue » ou à propos de mon mari : « je l’ai arrêté avant que ça commence à devenir trop bon ».

Ce fut lui qui permit à mon collègue hyper-membré, celui qui avait un sexe épais et long, courbé comme un poisson de venir me prendre en doublette dans le bureau patronal. Je vous ai déjà raconté ça quand ils me déchirèrent mon collant.

Mon troisième patron

C’est ce collègue qui est devenu aujourd’hui mon nouveau patron et son gros sexe est devenu le maître de ma chatte et de mon cul ! J’adore cette belle queue, elle me subjugue et je ne pourrai jamais m’en passer car qu’est-ce qu’elle me remplit bien cette grosse queue !

Il a « capitalisé » tout mon savoir-faire accumulé au cours de ces dizains d’années de stupre au (ou à côté) du boulot.

Lui, il aime bien la pipe du matin avec le café [il ferme son bureau avec le panneau « debreafing : ne pas déranger » accroché à la porte] et me fait sucer son « gros poisson », jusqu’à me remplir la bouche de foutre ou m’asperger copieusement la corbeille de mon balconnet. Comme mon précédent patron, il aime « me présenter » à de vieux clients baveux (le plus souvent après 17 heures quand les bureaux sont vidés), auxquels il « offre » la vue de mes dessous en me demandant un numéro de strip-tease ou une petite pipe –en sa présence bien sûr- ou encore une franche partie de baise, à laquelle il se mêle avec plaisir alternant avec son complice du moment sodomie, pilonnage de ma chatte, qui finit toujours par un copieux arrosage de foutre de « sa » collaboratrice : « je vous l’avais bien dit qu’elle était experte, non ? ».

Alors des histoires de cul avec mon patron, mes patrons pardon, j’en aurais des tonnes à raconter. Vous allez en avoir quelques échantillons, les meilleurs j’espère ! vous allez vous régaler.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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