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Un amour d’esclave – Ch 12

Un amour d’esclave – Ch 12



Passer sous le bureau…

Bonne lecture

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« Qu’est ce que c’était dur le lendemain à la Fac !!! J’avais l’impression de croiser mademoiselle Amandine dans tous les couloirs, et que ce que j’avais fait avec elle la veille était écrit en gros sur mon front. Elle, elle restait imperturbable, sans me jeter les regards plein de désir auxquels j’avais le droit quand nous étions seules.

Même manège que la veille, j’ai reçu à la mi-journée un SMS, qui me donnait cette fois rendez-vous dans un des amphis quand j’aurais fini les cours. J’avais un peu peur de croiser des gens qui se seraient demandé ce que je faisais, mais j’y suis allée quand même pour ne pas décevoir mademoiselle Amandine.

Je finissais à une des pauses de la journée, j’ai attendu que l’amphi se vide, puis je suis entrée et j’ai fermé la porte derrière moi. Comme nous étions seules, mademoiselle Amandine s’est permis de m’embrasser.

– Je suis si contente de te voir Câline ! Je suis obligée de rester là, tu vas me tenir compagnie…
– D’accord mademoiselle Amandine…
– Sois gentille, installe toi sous le bureau et déshabille toi !

J’étais très inquiète mais j’ai fait ce qu’elle me disait. Le bureau était un de ceux avec une planche entre l’amphi et l’estrade, il était donc impossible qu’on me voie depuis la salle, même depuis le premier rang. Pas le moindre interstice entre la planche verticale et le reste du bureau, mais mine de rien, je n’étais pas rassurée. Mademoiselle Amandine devait donner un cours et me voulait sous le bureau ? Non, quand même pas ???

Presque…

A la sonnerie, j’ai entendu le brouhaha des étudiants entrer dans l’amphi et je me suis figée, retenant ma respiration pour ne pas faire le moindre bruit, immobile sous mon bureau. Ils se sont installés et j’ai entendu mademoiselle Amandine qui était restée dans la salle.

– l’examen durera une heure, les documents ne sont pas autorisés. Bien évidemment silence absolu, portables éteints et les yeux sur la feuille…

Mon dieu… Elle était de surveillance d’examen, c’est pour cela qu’elle avait peur de s’ennuyer !!! Et elle voulait que je reste là avec elle. J’étais pétrifiée à l’idée que la planche ne tombe et que je me retrouve à quatre pattes sous le bureau de mademoiselle Amandine devant les cent cinquante personnes présentes dans l’amphi.

En essayant d’imaginer quelle serait la réaction des gens, je me suis surprise à mouiller… Combien hurleraient au scandale, combien riraient de la situation, combien essaieraient d’en profiter ? Maitre m’avait déshabillée en public, mais jamais personne ne l’avait remarqué, c’était toujours dans des endroits discrets. Et s’il avait donné l’autorisation à mademoiselle Amandine de s’occuper de moi, il ne lui avait pas permis de m’exhiber, encore moins de la manière qui se présentait à ce moment là.

J’en concluais donc que ce n’était pas ce qui m’attendait. Ouf…

J’ai sursauté en entendant mon portable vibrer. Je l’ai vite mis en silencieux et j’ai regardé qui pouvait bien m’envoyer un message au pire moment imaginable. Mademoiselle Amandine bien évidemment… « Lèche-moi les pieds »… Ok super…

Elle a retiré discrètement ses escarpins et m’a tendu son pied recouvert du nylon de ses collants à lécher. Je me suis appliquée du mieux que je pouvais compte tenu de la situation, d’autant que je ne pouvais pas me montrer trop aventureuse au risque de lui faire faire des bruits qui auraient attiré l’attention.

Plus le temps passait, et plus elle me rapprochait de son entrejambe. Quand elle à annoncé à ses étudiants le dernier quart d’heure d’examen, elle m’a aussi annoncé que je devais lui lécher le sexe. Elle a approché la chaise de moi, a posé ses fesses sur le bord et a ouvert les cuisses en grand : elle ne portait pas de culotte…

Qu’est ce que je mouillais !!! J’avais l’impression qu’une flaque se formait sous moi et qu’elle coulait sous le bureau au milieu de l’amphi.

Mademoiselle Amandine mouillait beaucoup elle aussi, et plutôt que de chercher à la faire jouir, ce qui aurait été très risqué, je me suis contentée de boire son jus à sa source, et de récupérer les quelques gouttes qui tombaient sur la chaise.

La sonnerie marquant la fin de l’heure m’a interrompue et mademoiselle Amandine m’a poussé du pied dans un coin du bureau où je me suis faite toute petite.

– Bien, l’examen est terminé, merci de ramener vos copies sur mon bureau !

Je les ai entendus, un par un, descendre de leur rangée d’amphi devant le bureau, et se tenir là le temps de signer la feuille d’émargement et de poser leurs copies. Séparée d’une foule d’étudiants à quelques centimètres de moi par une simple planche, je ne pouvais rien imaginer de plus terrifiant… Sauf peut être qu’un des étudiants ne se décide a passer de l’autre coté du bureau pour poser des questions à mademoiselle Amandine, mais heureusement ça n’est pas arrivé.

Finalement, ils sont tous partis, et mademoiselle Amandine m’a fait signe que je pouvais sortir de dessous le bureau. Je transpirais à grosses gouttes, et elle aussi semblait avoir chaud.

– Merci mon ange, cette heure sans toi aurait été incroyablement ennuyeuse ! Tu mérites une belle récompense quand nous rentrerons ce soir !
– Oh merci mademoiselle Amandine ! Par contre il faut rentrer vite, vous vous rappelez, Maitre à dit qu’il nous appellerait ce soir !
– Tu as raison ! »

Ces quelques jours seulement sans voir les femmes de ma vie m’ont parus des semaines… J’avais discuté avec Amandine la veille pour nous trouver un créneau commun où je pourrais appeler la maison en visio depuis mon ordinateur pour prendre de leurs nouvelles et en donner.

A l’heure convenue, elles étaient connectées et je les appelais. Amandine a répondu, et j’ai vu son beau visage sur mon écran qui me souriait.

– Bonsoir mon ange !
– Bonjour David ! Comment vas-tu ? Pas trop fatigué du décalage horaire ?
– Non non, ça va, je m’y suis fait ! Et vous, commet allez vous ? Qu’est ce que tu as fait de Câline ?

Amandine a baissé les yeux et a repris

– Câline, fais coucou à ton Maitre

J’ai éclaté de rire en voyant la main de ma petite esclave sortir de dessous le bureau où elle était probablement en train de s’occuper de ma chérie. J’étais content de voir qu’elles s’étaient décidées à passer aux choses sérieuses. Amandine m’a raconté sa journée, comment Câline avait illuminé sa surveillance d’examen, puis ce fut au tour de Câline de me raconter sa soirée de la veille après etre sortie de dessous le bureau.

Je ne l’avais jamais vue aussi heureuse, et ses remerciements pour sa première fois avec une femme m’ont fait chaud au cœur. Elle s’est assise entre les jambes d’amandine, et celle-ci en a profité pour l’embrasser dans le cou et lui caresser la poitrine. Maintenant qu’elles avaient fait l’amour toutes les deux, elles paraissaient encore plus complices qu’avant. Elles étaient vraiment sur la même longueur d’onde !

– Ton esclave est vraiment formidable mon amour, merci beaucoup !
– Je suis content qu’elle te plaise… Et on dirait que tu lui plais bien aussi !
– Oh oui Maitre, elle me plait beaucoup !
– Tant mieux ma toute belle ! Vous me manquez toutes les deux !
– Vous me manquez aussi Maitre ! Vivement que vous rentriez !!!
– J’ai autant hate que toi ma grande !
– David dis moi, je pensais aller faire quelques courses demain, et j’aurais besoin de Câline… Tu m’autorises à la sortir ?
– Je te fais confiance pour rester dans ses limites, et je lui fais confiance pour te dire quand tu en sors. Ok ?
– Ok !
– Compris Maitre !
– Amusez-vous bien alors ! Je vous aime !
– Bisous !

« Mademoiselle Amandine à raccroché, puis elle m’a autorisée à sortir de dessous le bureau !

– Je te donnerais ta surprise demain mon ange, comme ton Maitre m’y a autorisé, ça te va ?
– Oui mademoiselle Amandine.
– Bien… A mon tour de m’occuper de toi maintenant… Ouvres toi !
Je me suis immédiatement mise a quatre pattes les fesses en l’air. J’étais déjà très excitée par ma journée, et en m’ouvrant encore plus les lèvres je retrouvais cette sensation d’etre exposée. Heureusement que mademoiselle Amandine ne m’avait pas demandé de m’ouvrir tout à l’heure quand j’étais sous le bureau dans l’amphi ! J’en serais morte de honte !

Elle s’est jetée à genoux et m’a dévorée. Mes lèvres, mes fesses, mes mains, … Tout ce qui passait à sa portée, elle le léchait, le mordait ou le suçait. Même mon anus y a eu droit, c’était la toute première fois qu’on me touchait par là…. Mon impression d’etre sale n’a pas dérangé mademoiselle Amandine le moins du monde, et elle a continué ses caresses avant de me donner un bel orgasme en me grignotant les petites lèvres.

Je lui ai fait à manger, je l’ai lavée, massée puis couchée et quand je me suis roulée en boule sur le tapis a coté du lit, elle m’a tendu sa main. Je me suis endormie on ne peut plus heureuse, les lèvres posées sur cette main qu’elle m’offrait.

Pas d’examen le lendemain à la Fac. Nous terminions toutes les deux assez tot, et elle m’a donné rendez vous en ville pour aller faire notre « shopping ». La connaissant, je m’attendais à ce que ce soit plus que du simple lèche vitrine. Quand nous nous sommes retrouvées, elle m’a guidé dans les ruelles de la vieille ville, et très rapidement j’ai reconnu l’endroit où Maitre m’avait acheté mon jouet. Nous sommes entrées dans le Sex shop, et la même vendeuse nous a souhaité la bienvenue. Il y avait deux autres personnes cette fois çi, un couple de curieux qui admirait les bijoux sans sembler nous remarquer.

Mademoiselle Amandine m’a conduit dans un coin du magasin où se trouvaient des mannequins en plastique portant de superbes ensembles de lingerie, que je trouvais encore plus excitants que celui que j’avais vu sur elle deux jours auparavant.

– Vous seriez tellement belle avec celui-ci mademoiselle Amandine !
– Merci ma toute belle, mais ce n’est pas moi qu’on habille aujourd’hui… Qu’est-ce que tu penses de celui-ci ? Bleu roi, ça ferait un beau contraste avec tes cheveux et tes poils roux !
– Pour moi ?
– Evidemment nunuche… Elle te plait ta surprise ?

Je n’ai pas eu le temps de lui répondre qu’elle m’entrainait vers les cabines d’essayage avec un exemplaire de l’ensemble en question. Experte, elle m’a aidée à l’enfiler et je suis sortie me regarder dans un miroir. Comment dire… Je me trouvais belle à mourir. Comme elle l’avait dit, le contraste entre le bleu profond de la lingerie, ma peau claire et mes cheveux était magnifique. La peau de mes cuisses débordait un peu des bas, mais ils rendaient mes jambes tellement belles que ça ne me dérangeait plus du tout.

En me retournant vers mademoiselle Amadine pour lui faire admirer le résultat, j’ai remarqué le couple qui me regardait fixement, elle bouche bée, rougissant de gêne, lui l’air admiratif, rougissant d’autre chose. Mademoiselle Amandine quant à elle était un peu tout cela a la fois

– Tu es absolument sublime ma chérie !
– Merci mademoiselle Amandine !

Je me suis changée à nouveau, mademoiselle Amandine m’a offert la lingerie, puis nous sommes rentrées à la maison aussi vite que possible.

Ce soir-là, nous avons toutes les deux gardé notre lingerie pour faire l’amour. J’ai pleuré en me brulant la peau à en jouir sur le nylon de ses bas, mais surtout j’ai pleuré de bonheur en remerciant ma bonne étoile d’etre aimée à ce point par cette femme formidable.

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