Après la nuit passée avec Tom, nous avons continué à correspondre par email et texto. Je savais que nous nous reverrions lors d’une autre conférence et j’étais impatiente. Il ne s’agissait pas d’amour mais cette nuit de sexe torride m’avait excitée et je ne pensais plus qu’à cela. Je devais attendre un mois et cela était dur. Je voyais les autres hommes non pas en termes professionnel mais en potentiels amants. Alors que le voyage approchait, je prévoyais les vêtements que j’allais emporter. Je devais faire ma valise au dernier moment pour que mon mari ne voit pas ce que j’emportais. Il est habitué aux bas mais que j’emporte un corset ou une nuisette en soie aurait éveillé des soupçons.
Pour le vol vers ma destination, j’ai porté quelque chose de confortable mais aussitôt arrivée à l’hôtel, j’ai mis quelque chose de plus élégant. Juste lorsque je sortais de ma chambre j’ai reçu un texto de Tom. Il ne pourrait pas venir avant le lendemain à cause d’un problème à régler en urgence. J’étais déçue mais je savais qu’il nous restait encore une nuit ensemble. J’essayais de m’amuser et de parler à des gens que je connaissais. La soirée avait un thème « country » prévu. Nous devions aller dans un grand restaurant avec un groupe qui jouait de la musique et la nourriture serait des spécialités locales. Il était recommandé de s’habiller pour l’occasion. J’avais choisi un ensemble spécial et je le mettais bien que Tom ne soit pas là pour le voir. Il se composait d’une longue jupe serrée en daim beige foncé avec la veste assortie. J’avais mis un corsage qui épousait mes formes. Dessous cela j’avais un bustier en satin avec le porte jarretelles et la culotte assortis et des bas couleur chair. Bien-sur il me fallait des bottes. Celles que je portais sont hautes avec un look western dans la forme mais un talon de 9cm.
Cette longue jupe serrée me force à marcher avec des pas courts en mettant un pied devant l’autre. Une démarche sexy accentuée par les talons hauts. Lorsque je traversai le lobby de l’hôtel, j’ai remarqué que plusieurs hommes me regardaient marcher. Cela me mit de meilleure humeur.
La soirée se passa bien et j’essayais de m’amuser. Je voyais plusieurs hommes m’observer. Trois ont osé m’inviter à danser donc cela m’occupait mais je ne les trouvais pas attirants. Alors que je m’apprêtais à partir quelqu’un me mit la main au fesses alors qu’il y avait foule. Je me retournais prête à gifler le malotru mais je me retrouvais face à Tom. J’essayais de rester calme pour ne pas me faire remarquer.
– Bonjour Jenna.
– Oh bonjour Tom, je croyais que tu venais demain.
– J’ai pu me libérer plus tôt que prévu mais je dois repartir demain midi.
La conversation se tendit car nous ne voulions pas que quelqu’un nous voit trop proches.
– Tu dois avoir quelque chose d’important à résoudre.
– Oui, ça risque de prendre toute la nuit, me dit-il avec un sourire qui en dit long.
Je sentais un frisson me parcourir. J’avais envie de le sentir en moi. Je dus me ressaisir.
– Cela me fait plaisir de te revoir Tom.
– Moi aussi Jenna, tu retournes a l’hôtel ?
– Oui j’allais prendre un taxi.
– Je peux te ramener alors, j’ai ma voiture.
J’ai frissonné lorsqu’il a propose de me raccompagner. Je savais ce qu’il se passerait une fois dans son véhicule. Nous ne pourrions plus nous retenir. Je rougissais à cette idée en traversant le parking. – J’avais peur de ne pas te voir Tom.
– Je ne pouvais pas te rater. Nous pouvons enfin parler.
Nous arrivâmes à son gros 4×4 blanc. Je notais les vitre teintées. Monter à bord avec ma jupe serrée et mes talons haut ne fut pas facile. Sitôt à bord il m’embrassa en me tenant par la nuque. Je fondais et voulais sentir ses mains partout sur mon corps. Il démarra le camion et nous sommes partis sur la voie express. Très vite il tourna sur une petite route de campagne à ma surprise. « Je dois m’arrêter rapidement. Je ne peux pas attendre les 20 minutes de route vers l’hôtel avant de te toucher ». Il s’arrêta à un feu qui venait de passer au rouge et se rua vers moi. Nous commençâmes à nous toucher et caresser partout. Nos langues se croisèrent et je sentis sa main sur un de mes seins. J’étais déjà humide. Il essayait de remonter ma jupe mais elle était trop longue et étroite et il ne pouvait pas dans l’espace restreint. « Juste pour augmenter l’anticipation. » lui dis-je avec le sourire le plus sexy que je pouvais donner. Je défaisais sa braguette pour toucher son pénis presque dur. Il fallait qu’il reparte mais je ne pouvais plus le lâcher. Je fis alors une chose que je n’ai jamais faite. Les vitres étaient teintées et donc je me penchais vers lui et pris son membre dans ma bouche. L’envie me rendait folle et je le suçais avidement. Après deux minutes je sentis que le véhicule s’arrêtait. Je relevais la tète pour voir que nous étions dans un endroit sombre près d’un bois. Je me penchais à nouveau et continuait mon travail furieux. Il pouvait maintenant me caresser les seins et les fesses mais ne pouvait pas atteindre mon sexe. J’aimais que l’attente le rende plus fou.
– Tu me veux ?
– Oui maintenant.
– Je ne suis pas encore prête, lui dis-je avec un sourire.
Il sourit et ouvrit la porte. Il me tourna pour que je sois sur mon dos couchée sur les sièges. Ma tète dépassait. Il ouvrit mon chemisier et siffla en voyant mon bustier. « Tu es trop sexy ! » Il pinça mes tétons au travers de la soie. Je gémissais alors qu’il me touchait enfin. Je me penchais plus en arrière pour reprendre sa bite dans ma bouche. Ma tête étant penchée en arrière il pouvait me pénétrer profondément et commença à aller et venir tout en caressant mes seins. Il remonta ma jupe et vis mes bas et mes jarretelles. « Oh Jenna tu es vraiment si sexy. » Il commença à me frotter mon sexe. Je gémissais et écartais mes jambes pour lui faciliter l’accès. Il me défonçait la bouche avec son gros membre. Ses doigts trouvèrent mon clitoris et il le frotta tout en rentrant deux doigts dans mon vagin ruisselant. Je ne pouvais pas croire que j’arrivais à prendre autant de son membre dans ma bouche sans avoir plus mal. Je tenais ses fesses pendant qu’il allait de plus en plus vite dans ma bouche et sur ma chatte. J’aurais du savoir qu’il ne pourrait pas se retenir plus longtemps mais je me concentrais sur mon orgasme. Avec un dernier grognement il poussa sa queue au plus profond de ma bouche et éjacula soudainement. Je n’avais, il y a quelques mois, jamais avalé de sperme. Ce soir là, je laissais Tom vider ses bourses dans ma bouche. Je ne voulais pas qu’il tache mes vêtements alors je le suçais pour qu’il se vide entièrement. Il continua de me rendre folle et lorsqu’il pinça un de mes seins je fus prise par un orgasme délicieux. Apres nous être remis, je bus de l’eau d’une bouteille. Je me sentais dégoutée par ce que je l’avais laissé faire mais aussi excitée. Nous reprîmes la route vers l’hôtel dans la nuit. Je posai la main sur sa cuisse pour qu’il sente que je n’en avais pas fini.
En arrivant à l’hôtel je vérifiais une fois de plus que mes vêtements étaient en ordre. Je donnais à Tom une clé électronique pour ma chambre en lui disant de m’y retrouver. Alors que je marchais dans les couloirs je sentais son regard posé sur mon derrière. Je faisais exprès de rouler des fesses encore plus (bien que ma jupe m’y force bien). Je rentrais dans ma chambre et attendait quelques secondes. Lorsqu’il entra je repris ma démarche aussi sexy que possible. Il ferma la porte derrière lui. « Tu m’excites Jenna. »
Je souris et me retournais en lui lançant un clin d’œil. Un fauteuil était dans la chambre, son dossier tourné vers moi. Je m’y arrêtais et enlevait ma veste. Je restais dos à Tom. Il s’approcha de moi et me pris par les hanches. Il embrassa mon cou. Il caressa mes fesses, mes seins, mes cuisses. « Je te veux en moi maintenant. » J’ouvris puis enlevais mon chemisier pour lui donner accès à mes seins. Il fit tomber ma jupe et se frotta contre moi. Je sentais son érection au travers de son pantalon. Il poussa mes épaules pour que je sois pliée sur le dossier du fauteuil. Mes fesses lui étaient offertes. Il descendit ma culotte lentement sans enlever mes bas.
« Tu m’excite tellement Jenna, tu es la femme la plus sexy que j’ai jamais vu. Je vais te défoncer. »
J’ouvris mes jambes et je sentis son membre toucher les lèvres de mon vagin. Il glissa deux doigts dans chaque trou pour préparer. « Aaahhhhh » je m’attendais à sa grosse bite mais j’appréciais d’être pénétrée. Après s’être assuré que j’étais prête, il s’empara de mes hanches et d’un coup me défonça profondément me faisant pousser un cri de douleur, de soulagement et de plaisir en même temps. Il prit un rythme rapide ou il enfonçait son sexe au plus profond puis le retirait presque entièrement. Il ne me laissait pas le temps de m’habituer. Il me prenait comme une salope, violemment, soumise à sa volonté. Mes hauts talons poussaient mon cul vers le haut en parfaite position pour me faire déchirer. Il agrippa mon porte jarretelles et s’en servi comme si il tenait un cheval qu’il chevauchait. Il pompait furieusement et mon vagin faisait un bruit de ventouse.
– Défonces moi, prends moi !
– Tu étais habillée pour chevaucher mais c’est moi qui vais te chevaucher, me dit-il a l’oreille.
Son sexe me déchirait et je devenais sensible. Il grognait avec chaque coup de boutoir qu’il me donnait.
Je sentais qu’il cherchait quelque chose dans sa poche. Il ralentit la vitesse de son assaut sur ma chatte et introduisit un doigt dans mon anus. Je sentis qu’il avait mis du lubrifiant. Cela me fit me cabrer un peu. J’avais été sodomisée avant mais pas depuis longtemps. En plus son membre était le plus gros de ce que j’avais eu. Il me soumettait, faisait de moi sa petite salope, son jouet.
Il mit un deuxième doigt dans mon cul et retira sa bite. « Noooonnn », je voulais qu’il me finisse même si cela faisait un peu mal. Puis je sentis la pression contre mon anus. A ma surprise il glissa sans problèmes en moi. L’épaisseur de son sexe me déchirait un peu mais il était expert. Lorsqu’il finit d’enfiler son membre dur dans mon cul, cela fit soulever mes bottes du sol. J’étais couchée par-dessus le dossier du fauteuil, complètement a sa merci. Il plaça un pied sur le coté du fauteuil et commença à me ravager. Il me parlait a l’oreille en alternant mots doux « Tu es belle, si sexy, si sophistiquée. » et paroles plus violentes « Tu es mienne, je te possède et peux faire ce que je veux de toi, tu es ma salope. »
Je massais mon clitoris avec mes doigts pour être sure d’approcher de l’orgasme. Il devint encore plus excite et défonça mon cul à grand coups de bite. Je criais de douleur et de plaisir lorsque l’orgasme me prit. Comme je devins toute tendue et tremblante, il jouit aussi en moi. Je le sentais gicler dans mes entrailles. Il se retira enfin de mon cul douloureux.
J’étais complètement épuisée, il me laissa là couchée sur le dossier du fauteuil.
Il observa son sperme sortir de mon anus et couler le long de ma chatte puis sur mes bas.
– Je t’ai brisée ? Tu en veux encore ?
– Oh non je ne peux plus, tu m’as défoncée mon étalon.
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