Revenu au bercail, j’avais quand même gardé contact avec certaines de mes conquêtes des tropiques ayant tous mon adresse e-mail en mains. Carole me fixant un rendez-vous dans un bar du coin 2 semaines plus tard. Arrivant sur les lieux vers 9 heures, elle était en compagnie de Lucie et Martine, les trois femmes particulièrement allumées en cette soirée. Elles parlaient beaucoup, et étaient toutes les trois habillées de robes moulantes se faisant fort probablement compétition l’une et l’autre. Lucie portait une robe blanche le collet au ras du cou, Carole sa traditionnelle robe léopard et Martine portait une robe jaune pâle avec un décolleté plongeant. Lucie m’invitant à son domicile en compagnie de ses deux amies un peu échaudées vers 11 heures. Déposant de l’argent sur la table les gratifiants d’une faveurs. Me signifiant vouloir le faire en quatre étapes. Style libre de 15 minutes, chevauchement régulier, fellation puis la personne de mon choix en fin de parcours.
Débutant le style libre avec Lucie, nous embrassant puis nous déshabillant rapidement dans son lit. Elle avait déjà un mari en passant, mais l’âge pouvait parfois pousser un couple à être abstinent sur de trop longue période. Carole et Martine contemplant le spectacle debout un verre de champagne à la main, les seins pointant en ma direction en petites culottes. Passant deux doigts lentement et léchant la belle chatte béante et mouillée taillée au naturelle de Lucie. Je leurs avaient signifiées auparavant que je préférais les chattes poilues, exprimant alors mon désir avec celle ci. Elle goûtait bon et son odeur était enivrante. Ma langue titillait son clitoris ses orteils se crispant gémissant. Maintenant prête et bien chauffée, je la pénètre de ma verge de manière douce tout en y accélérant le rythme. Je la pilonnais ses deux jambes bien ouvertes, Lucie m’embrassant de sa langue puis l’entendant gémir tout près de mon oreille. Je la déplace en position de levrette pour y aller avec plus en plus de vigueur dans son vagin. Les merveilleux sons de vas et viens résonnant, Lucie jouissant prenant son pieds la mouille coulant tout le long de ses cuisses. Une femme tellement agréable à fourrer et super chaude. Une femme remplie d’expérience, douce et un peu soumise.
Carole emboîtant le pas le 15 minutes déjà terminé, y allant d’une fellation puis d’un chevauchement enlevant sa petite culotte noire. Le lit grinçait à chaque mouvement de bassin, instiguant quelques Aaaaaaahhhh Ouiiiiii de ma cavalière. La prenant en levrette puis par la deuxième porte dans la même position. J’y allait avec vigueur dans son cul elle qui semblait aimer, exprimant quelques Ouiiiiii à l’étouffés son visage appuyée contre un oreiller, ma queue entrant sortant de son petit orifice. Elle était ultra chaude et aimait le sexe rude et rapide, m’invitant à allé me nettoyer un peu à la salle de bains les 15 minutes terminés. Une vrai cougar la soupçonnant de ne pas être son premier petit jeune initié.
Revenant dans la chambre dans mon plus simple appareil. Martine enlevant sa petite culotte rose pâle pour me chevaucher avec ardeur ses deux gros seins ballotants. La prenant par la suite par en arrière sur un bureau lui empoignant du même coup sa grosse poitrine invitante. Elle mouillait comme une fontaine tout en suant à belle goutte gémissant. S’étalant le haut du corps sur ce même meuble les deux pieds au sol moi la pilonnant. Elle jouissait tout en me demandant de continuer, me suggérant même d’y aller plus fort l’entendant jouir du même coup plus intensément. Martine me faisant l’honneur d’un bel orgasme en fin de parcours, moi par la suite venant pour une première fois sur le plancher de bois francs.
Deuxième étape, m’attachant les poignets d’une corde accrochée au plafond. Chacune venaient me sucer la verge à tour de rôle jusqu’à ce que mort s’en suive. Lucie y allant tout en douceur, Carole avec expérience et justesse, Martine y allant en douceur aussi mais la juxtaposant d’une branlette tout en m’embrassant. Trois séquences de 10 minutes sans éjaculations, les trois femmes sachant instinctivement jauger le moment fatidique de ma tige abusée. Martine se masturbait d’un vibrateur les deux jambes ouvertes dans le lit, dans l’inaction, me regardant le corps soumis. Elle y allait avec vigueur l’engin entrant et sortant en vitesse de la cyprine aspergeant la couverture du lit.
Troisième étapes, le chevauchement à tour de rôle mes deux poignets attachés aux barreaux, j’étais allongé sur le matelas. Encore des séquences de 10 minutes successives, venant à la cinquième reprise avec Carole dont la vigueur passionnée avait été trop grande. Je me suis fais littéralement défoncé pendant 1 heures sans pauses ou bien relâchement, me sentant tel un esclave soumis à ses maîtresses. Mes trois initiatrices rigolant profitant ainsi du moment. La femelle occupée était toujours sérieuse et intense comme si elle voulait créer une sorte de symbiose entre nos deux corps fusionnant. Trois femmes en manques voulant profiter d’une chaire fraîche doté d’une endurance absolue. Trois femmes en chaleurs voulant du sexe de qualités sur une longue durée. Trois femmes voulant fourrées toutes la nuit, comme des bêtes assoiffées de sang s’ayant approprié l’âme d’un jeune homme assouvi.
Quatrième étapes, choisissant Lucie, je les fourrées pendant 15 minutes de façons très rudes, lui déclenchant un bel orgasme en milieu de parcours. La prenant sur un mur, puis sur le bureau, elle me regardant dans les yeux ou bien m’embrassant. Elle venait me chevaucher pour une dernière fois, venant en saccade dans sa belle chatte velue, complètement vidé de mes énergies par ces trois femmes chaudes en rut. Le sommeil ne savait qu’attendre de mon côté, m’assoupissant pour ensuite tomber endormi. Les deux femmes esseulées se reprenant tôt le lendemain matin me réveillant pour un triolisme. Carole me chevaucha avec vigueur à l’inversée et Martine déposant son bassin sur mon visage, sa belle chatte rose mouillée non taillée me gratifiant de vas et viens bien particuliers. Carole avait un jolie triangle taillé de près, un choix personnel je suppose. M’invitant chez elle seule pour une autre soirée de débauche. Elle était certainement la plus vorace des trois et la plus difficile à combler.
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