Cela fait 1 an que je suis inscrit sue Xhamster, 1 an que je relate mes histoires. Elles sont toutes véridiques, bien que romancées par mes soins. Certaines ont eu du succès, d’autres moins. J’écris sans prétention aucune, je ne me prends pas pour un écrivain. J’écris juste avec mes mots, dans le simple but de faire fantasmer ceux qui me lisent, en essayant d’être le plus précis possible sans omettre les petits détails croustillants.
Cela m’a pris à une période où j’étais nostalgique de ma jeunesse libertine. Je suis en couple depuis maintenant 8 ans avec une femme merveilleuse, mais je ne sais pas pourquoi, mais à cette époque, j’ai songé à retrouver mon célibat, ma liberté, sans contrainte, sans compte à rendre à personne. Le cap des 7 ans peut-être, la lassitude, le besoin de changement, j’en sais rien.
Bref, je connaissais déjà le site, j’avais l’habitude de regarder des vidéos. Et puis un jour, j’ai lu une histoire, ça m’a excité, j’en ai lu une autre, même effet.
J’ai alors commencé à en lire chaque jour et c’est comme ça que j’ai découvert une super auteur, Manonlez. ( j’espère qu’elle me pardonnera de la citer ici.) Il y en a d’autres que j’apprécie, mais c’est elle qui a éveillé mon envie d’écrire. Je me suis rendu compte que les mots, les textes et mon imagination m’excitait tout autant si ce n’est plus que le visuel. Alors je me suis dit pourquoi je ne rédigerais pas mes aventures. Et je peux vous dire que j’en ai eu. Entre 18 et 25 ans, j’ai vécu tout un tas d’expériences coquines. Je ne cherchais que ça. A 2, à 3, à 4. Avec des femmes matures, des femmes mariées. J’en ai blessé certaines, j’ai également connu des peines de cœur. Et j’ai fini par rencontré celle qui est mienne aujourd’hui. Pas trop volage, je suis heureux, mes frasques sexuelles sont terminées (sauf avec elle). Mais parfois ça me manque. Maintenant, je vous les expose, secrètement. Pas par peur qu’elle me fustige d’être un obsédé inscrit sur un site de fesses pour faire des rencontres dans son dos (je ne le fais pas), mais tout simplement parce que je ne souhaite pas qu’elle connaisse tout de mon passé. Cela vous ferait plaisir de savoir combien de partenaires votre femme a eu avant vous, de connaître les dérives de votre homme avant votre rencontre. Enfin voilà, je veux juste garder mon petit jardin secret.
Maintenant que vous en savez un peu plus sur moi, je vais vous conter l’un de mes meilleurs souvenir de baise.
En février 2008, je suis parti 15 jours en vacances à la réunion chez Jonathan, un ami d’enfance.
J’ai connu mon ami créole en maternelle, nous avons suivi notre scolarité ensemble jusque nos 15 ans. Mais le licenciement économique de son père nous a séparé. Patrice, le paternel, grand black moustachu a embarqué toute la smala, retour au pays, près de la famille. Ils sont revenus deux fois en métropole, pour revoir des amis. John et moi avons toujours gardé contact et c’était un immense plaisir de le revoir.
L’hiver 2007, ils devaient venir passer les fêtes en Bretagne. Quand John m’a annoncé que finalement, faute de budget, ils ne viendraient pas, j’étais trop dégouté. Plus de 3 ans qu’on ne s’était pas vu. Ma déception fut de courte durée.
– Pourquoi, tu ne viendrais pas nous rendre visite? Tu n’es jamais venu à la réunion, je te ferais découvrir.
Je viens d’avoir 24 ans, j’ai eu un peu de sous avec oncles et grands-parents, quelques économies de mon labeur intérimaire. Je serais logé, nourri, il n’y a que mon billet aller-retour a acheté. L’occasion est trop belle. Surtout que j’ai toujours eu envie d’aller là-bas.
J’étais sûr de passer des super vacances, malheureusement mon ami qui travaillait depuis peu n’avait pu prendre que quelques jours de congés. Il me rassura.
– Ne t’en fais pas, tu ne seras pas tout seul, Vanessa sera en vacances scolaires.
Vanessa est sa sœur cadette, plus jeune de 5 ans. Elle a 19 ans et la dernière fois que je l’ai vu, elle devait avoir 13 ou 14 ans.
Jonathan est venu me chercher à l’aéroport international de Saint-Denis, puis il m’a conduit chez ses parents.
Les embrassades avec Patrice et Evelyne sont chaleureuses, ils m’attendaient dans leur salon.
– Vanessa n’est pas avec vous, demande mon pote
– Elle doit encore être à la piscine.
John me fait signe de le suivre, ouvre la baie vitrée. Elle est là, posée sur un transat.
– Vanessa, Chris est arrivé.
Je reste sans voix lorsqu’elle se lève pour venir me saluer. Dans son bikini blanc qui contraste avec sa peau couleur caramel, la métisse de 19ans est à tomber parterre. 1m70 d’exotisme. Brune aux cheveux mi-longs ondulés, les yeux verts clairs, un sourire magnifique, ses dents sont plus blanches que blanches et un corps à en réveiller les morts. Depuis le temps que je ne l’avais pas revu, elle a bien changé.
Elle est toute contente de me revoir et lorsqu’elle me serre dans ses bras, sa poitrine s’écrase contre moi. Je suis tout retourné. Mais à ce moment-là, loin de moi l’idée d’une quelconque relation ou aventure avec elle. C’est la sœur de mon ami tout de même. Un peu de respect.
Ce soir-là, nos retrouvailles avec mon ami sont tardives. Tout le monde est couché et nous reparlons du bon vieux temps en sirotant quelques rhums arrangés.
– C’est devenue une belle femme, ta frangine.
– Et ouais, dans la famille, il n’y a que des tops models.
– Ha bon, parce que tu te crois beau avec ta face de pet.
– Tu t’es regardé tronche de cake.
On explose de rire.
– Elle est célibataire?
– Pourquoi elle t’intéresse?
– Mais non, t’es con, c’est juste pour savoir.
– Elle est célibataire, elle s’est fait larguer il y a 3 mois. Normal, avec son caractère de merde.
– Moi aussi, je me suis fait larguer en décembre.
– Vous étiez ensemble depuis longtemps?
– 4-5 mois pas plus. Tu te souviens de Sophie, la bombasse du collège?
– Oui, celle avec la bouche à pipes?
– Oui, bah c’était avec elle que je sortais.
– Oh le bâtard, vas-y racontes.
J’ai expliqué ma relation à mon camarade. Puis nous avons déliré sur certaines filles du passé.
Les quelques jours passés avec mon ami ont été vraiment sympas, mais la suite a été beaucoup plus excitante.
Vanessa et moi avons remarqué que nous avons quelques atomes crochus. Tout comme moi, elle aime le sport, le ciné, la musique. Bref, on s’entend super bien. Mais je ne m’attendais pas à la suite.
Mon ami ayant repris le taf, je me suis retrouvé seul avec sa frangine. Et dès le premier jour en tête à tête il s’est passé ceci:
Vanessa dort encore, c’est une véritable marmotte. J’en profite pour faire quelques longueurs dans la piscine. Soudain, je la vois arriver en maillot, pleine de concupiscence. Elle plonge dans l’eau et nage vers moi
– Ca me fait tout drôle de me retrouver seule avec toi.
– C’est vrai pourquoi?
Elle enroule ses bras autour de mon cou.
– Tu ne sais pas, mais j’étais amoureuse de toi quand j’étais plus jeune.
Je suis très mal à l’aise, je ne sais pas quoi lui dire. Moi qui est toujours de la répartie, je reste muet.
– Maintenant que je suis plus grande, j’ai envie de toi.
Elle a prémédité son coup, elle a attendu que nous soyons seuls pour me faire ses avances.
Elle tente de m’embrasser, je la repousse.
– Désolé Vanessa, je ne peux pas faire ça.
Elle insiste.
– Allez, laisses-toi faire, j’ai bien vu comment tu me regardes, je sais que je te plais, tu ne le regretteras pas, je peux être très coquine tu sais…
D’un ton plus sec, je lui ordonne de me lâcher.
– Arrêtes, ce n’est pas que je ne veux pas, tu es très belle, très attirante, mais je ne peux pas faire ça à ton frère et tes parents qui m’accueillent si gentiment, c’est une question de principe.
Elle est partie vexée et en colère.
– Gros connard, tu sais où tu peux te les foutre tes principes?
Effectivement, elle a un sacré tempérament. Elle m’a fait la gueule tout le reste de la journée. Je me suis dit que la semaine allait être longue.
Le lendemain en me levant, j’ai entendu du bruit. Cela ne pouvait provenir que de sa chambre. J’ai tout de suite compris en m’approchant. Elle regardait un porno. J’ai joué au voyeur en observant par le trou de la serrure. Vision obscène. Elle est cambrée à quatre pattes, la tête dans un coussin avec un gode dans la chatte. Je me relève et je me barre en me disant, « faut pas que je craque, faut pas que je craque ».
Lorsqu’elle est venue prendre son petit déjeuner, j’ai tenté de briser la glace.
– Salut bien dormi?
– Qu’est ce ça peut te foutre.
Visiblement, elle m’en veut toujours.
– J’ai entendu un bruit étrange ce matin, pas toi?
– C’était moi, je me masturbais, vu que tu ne veux pas me baiser.
Je suis effaré par son franc parler.
– Bah quoi, ça te choque, tu crois peut-être qu’il n’y a que vous, les mecs, qui vous branlez devant des sites de cul? Pauvre naze.
Elle a pris son café et ses tartines et est retournée dans sa chambre. Mais avant de se cloîtrer, elle me balance sur un air méprisant:
– Au fait, j’ai deux copines qui viennent cet après-midi, donc si tu pouvais te barrer, ce serait cool.
J’ai entendu arriver Sonia et Johanna, alors que je préparais mon sac à dos dans ma chambre pour partir en randonnée. Je les ai rejoint à la piscine pour prévenir Vanessa que je partais. Elles étaient toutes les trois topless. J’étais complètement médusé par les gros seins ronds, légèrement poirés et fermes de Vanessa. Cette dernière ne s’est pas privée pour me lancer une pique.
Bah quoi, tu n’as jamais vu des nichons?
– C’est lui, le fameux copain de ton frère, dit Sonia
– Pas mal, réagit Johanna
Et là, j’en ai pris pour mon grade.
– Oui, c’est lui, les filles, mais n’espérez rien. Vous savez qu’il m’a jeté hier, c’est un gros coincé
– Hahaha, il est peut être puceau, dit l’une.
– Il a sûrement une petite bite, rétorque l’autre.
Dans ma tête la colère monte, « reste calme, tu es plus malin, ne réponds pas aux provocations ».
Vanessa surenchérit.
– Il ne sait pas s’amuser voilà tout.
Les voyant barboter dans la piscine, j’ai une terrible envie de les rejoindre, mais je ne veux pas leur faire ce privilège, je ne veux pas faire preuve de faiblesse, je ne veux pas faire cet honneur à Vanessa, vu comment elle me traite depuis 2 jours. Je sais qu’elle n’attend que ça et j’ai lu la déception dans son regard lorsque je suis parti.
Pendant mon expédition en solitaire, je réfléchis à ce qui m’arrive, à ce qui pourrait être bien ou mal. L’ambiance nauséabonde, entre moi et Vanessa, commence à me peser. Demain je mets les choses au clair.
En forme de calumet de la paix, je lui apporte le petit déjeuner au lit. Je la trouve super belle au réveil. Elle apprécie mon geste.
– Oh merci, c’est trop gentil. Mais pourquoi tu es si sympa, je ne mérite pas ça.
– Parce que sous tes airs de grosse chieuse capricieuse, je t’aime bien. Mais il faut qu’on mette les choses au point.
– Non, c’est bon, il n’y a rien à éclaircir, je m’excuse, j’ai été conne. Mais je n’ai pas l’habitude qu’on me dise non.
– Je te rassure, je n’ai pas l’habitude de dire non également, je m’étonne moi-même, dans un autre contexte, j’aurais accepté tes avances avec plaisir.
On s’est réconcilié comme ça, mais vous vous doutez bien que si je raconte cette histoire, ce n’est pas pour vous faire vivre une belle histoire d’amitié…
J’ai succombé à la tentation quelques instants plus tard. Vanessa vient de finir son petit déj et sort de son lit toute nue.
– Je vais prendre une douche, tu es sûr que tu n’as pas envie de moi? Si tu changes d’avis rejoins-moi.
Devant une telle beauté, je n’ai pu que céder à ses charmes.
Je l’ai retrouvé dans la salle de bain et nous avons fait l’amour pour la première fois. Nous l’avons fait tous les jours suivants. Dès que nous nous retrouvions seuls, Vanessa se faufilait dans mon lit ou moi dans le sien. Je l’ai même initié à la sodomie, elle en est devenue accroc.
Et puis, il y a eu cette superbe journée. Le père de Johanna possède un petit bateau, cette dernière ayant son permis, nous invite pour une petite ballade en mer.
Au bout d’une heure, nous amarrons dans une petite crique et nous nous baignons. Remontés sur le bateau, on s’allonge à l’avant pour sécher et bronzer. Les deux nénettes se mettent topless. Je me rince l’œil en regardant leur belle poitrine. Johanna est également métisse et est plutôt agréable à regarder. Ses seins sont plus petits que ceux de Vanessa, mais sont très mignons quand-même. Mon imaginaire s’allume et je rêve d’un plan à 3.
– Vous voulez boire quelque chose?
Johanna descend en cabine pour nous préparer 3 rhums jus d’orange. Pendant son absence, on en profite pour se câliner un peu.
Vanessa est allongée sur moi lorsque sa copine revient avec les verres et un paquet de chips.
– Oh bah ça va, il ne faut pas vous gêner, dit-elle en plaisantant.
– Qu’est-ce qu’il y a tu es jalouse? Répond Vanessa
– Bah oui, moi aussi j’aimerais des câlins, ça me manque.
– Oh pauvre bichette, viens, on va faire un câlin général, dis-je en pensant à mon idée coquine.
Elle pose son plateau et s’allonge avec nous pour une grande accolade. Les deux filles sont contre moi, leurs seins au contact de mon corps. Je glisse mes mains dans leur maillot et caresse leurs fesses. Johanna est un peu surprise, mais se laisse faire et soudain, elle m’embrasse. Vanessa ne dit rien, je considère qu’elle accepte ce qui est en train de se passer.
J’embrasse les filles l’une après l’autre. On se touche, on se caresse, on se tripote et nous finissons par retirer nos maillots. Les filles ne savent pas trop comment s’y prendre, je pense que c’est leur première fois à 3. Je prends les directives et explique à Vanessa de s’asseoir sur ma bouche. Je déguste sa petite chatte trempée, pendant que Johanna s’emploie sur ma tige. Elle me suce délicatement en jouant avec sa langue sur mon gland. Je suis en extase, seul sur ce bateau avec deux belles créatures métisses et le soleil qui brille dans le ciel. Je lèche, suce, aspire et reçois les mêmes prédications sur ma colonne de chair.
Les rôles s’inversent, je goûte au fruit défendu de Johanna, pendant que Vanessa se délecte en suçant mon chibre et en gobant mes bourses.
Je grogne, je râle, je gémis et j’éjacule une première fois sous la branlette que m’inflige Vanessa.
Les deux copines se sourient, se regardent, complices, mais elle ne se touchent pas.
Elles se masturbent l’une à côté de l’autre pendant que je retrouve mes forces.
C’est Johanna qui revient à la charge la première. Elle me reprend en bouche et me fait durcir totalement.
– J’ai très envie que tu me prennes.
Me voilà calé entre ses cuisses. Elle est allongée sur le dos et je la pénètre tout doucement. Mes va-et-viens sont de plus en plus profonds, son vagin dégouline et elle miaule son plaisir sous le regard de Vanessa, qui se doigte par tous les trous.
Elle me regarde avec envie, et je sais de quoi elle a envie.
Je sors de Johanna et me mets sur le dos. Vanessa se lève, m’enjambe dos à moi et s’assoie lentement sur ma queue lubrifiée par la mouille vaginale de son amie. Les premiers aller-retour dans son cul sont lents, mais une fois bien dilatée, c’est elle qui s’encule par de grands mouvements verticaux. Je l’entends encore me dire avec son 95C qui tréssaute.
– Hum, c’est trop bon, tu baises trop bien.
– Toi aussi ma belle, continue comme ça, je vais jouir dans ton cul.
Et pendant que Johanna s’éclate en se tripotant le clito et en se suçant les tétons, je me cramponne aux hanches de Vanessa pour gicler au fond de son rectum. C’est la première fois que je l’entends jouir si fort.
Nous avons fait une pause boisson bien rafraîchissante. J’ai questionné Johanna.
– Tu pratiques la sodomie aussi?
– Non, je ne l’ai jamais fait
– Et, tu n’as pas envie d’essayer?
– Je ne sais pas trop, j’ai peur que ça me fasse mal.
– Tu ne sais pas ce que tu loupes, répond Vanessa. Moi aussi j’avais la même appréhension, mais quand c’est bien fait ça ne fait pas mal et je te promets, c’est trop bon.
Johanna a longuement hésité et finalement m’a donné son accord.
– Je veux bien tester, mais si je ne n’aime pas, tu arrêtes tout de suite.
– Aucun problème, je ne suis pas un barbare.
Elle s’est mise à quatre pattes et je suis passé derrière elle. Je lui lèche l’anus longuement pour bien la préparer. Son orifice enduit de salive, je glisse lentement mon majeur entre ses fesses. Aucune manifestation de gêne de sa part. Je la doigte de plus en plus vite. Elle halète rapidement. Quand je l’ai sentie prête, j’ai déposé un gros paquet de salive sur son petit trou et j’ai pointé mon dard à l’entrée de son cratère. J’y glisse mon gland lentement.
– Ooouuuhhh
– Ça va?
– Ca peut aller, continues.
Je progresse centimètre par centimètre. Je jubile de voir mon sexe s’enfoncer dans un nouveau cul. Elle supporte bien la chose et plaisante:
– Quand je pense que je t’ai traité de petite bite l’autre jour.
Je souris.
– Tu n’as pas trop mal?
– Non, c’est bon.
Elle finit par se décrisper, se détendre, je la sens se décontracter, je peux ainsi augmenter la cadence, sous le regard amusé de Vanessa, avide de désir. Cette dernière se mêle à notre étreinte, caresse les fesses de son amie, puis les maintient bien ouvertes.
Cette petite cochonne me sourit en me disant qu’elle me veut, qu’elle a encore envie. Elle s’installe à côté de sa copine dans la même position et m’offre sa croupe. Tout en sodomisant Johanna, je lui titille la rondelle du bout du doigt. Elle m’appelle:
– Allez Chris, c’est mon tour, viens me la mettre.
J’abdique et laisse Johanna avec un anus béant. Le chemin n’est plus à faire chez Vanessa et je m’engouffre d’un seul coup dans son fondement. Je l’encule puissamment, sans ménagement. Elle hurle de plaisir lorsque son orgasme se manifeste. Pressentant que le mien approche, je me retire de Vanessa et indique aux filles de coller leurs seins. Je me branle et je rugis de plaisir en faisant jaillir mon sperme blanc sur leurs nichons foncés.
Nous avons passé le reste de l’après-midi tous les 3 nus. Nous avons discutés, nous nous sommes baignés, nous nous sommes caressé, les filles se sont même roulées une pelle, mais rien de plus. Bref, j’ai passé une journée extraordinaire.
Vanessa et moi avons continué de coucher ensemble secrètement jusqu’au dernier jour de mon séjour. Son frère, mon ami n’en a jamais rien su. Elle fut très chagrinée lors de mon départ, m’avouant que j’allais beaucoup lui manquer, qu’elle m’aimait à la folie. Cela m’a aussi attristé, je commençais à avoir des sentiments pour elle en me disant qu’elle aurait pu être la bonne.
Je ne savais pas encore, qu’un an et demi plus tard, nous nous retrouverions sans plus jamais se quitter…
Fin.
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