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Le diner

Le diner



J’ai un peu froid dans ma tenue de salope, mais j’attends patiemment en buvant un verre.

Mon Maître m’a ordonné de ne pas bouger d’ici, alors j’obéis, docile. Je me regarde dans le miroir et j’ai vraiment l’air d’une traînée. Je souris en me disant…normal que j’ai l’air d’une pute, j’en suis une et j’aime ça. J’entends du bruit à côté, visiblement les invités sont là. Je frissonne à l’idée du sort qui m’est réservé. Les discutions vont bon train et je devine qu’on parle moi.
« C’est une bonne salope… Elle est gourmande de bites…. Une nympho qui est docile et faite pour la saillie…. »
La façon dont ils parlent de moi m’excite. La porte s’ouvre. Alain entre et s’approche de moi. Sans un mot, il ôte ma micro robe. Il me claque le cul, m’att**** par les cheveux et me met à genoux. Il prend une longue chaîne en métal qu’il attache à mon collier, et m’ordonne d’avancer vers la porte, à quatre pattes. J’obéis.

Dans le salon, ils sont cinq hommes. Ils me regardent tous comme un morceau de viande. Je sens déjà mon string se tremper. Alain s’assoit et me lance :
« Pendant que nous prenons l’apéro, passe sous la table et soulage nous salope ! »
J’obéis aussitôt. Je me glisse entre ses jambes et entreprend de défaire son pantalon. Une secousse sur ma chaîne m’arrête.
« Putain ! Tu n’as donc aucune éducation ? Les invités d’abord ! »
Un des hommes claque des doigts. J’ai vraiment l’impression d’être une chienne. Je m’approche de lui, il sort sa queue mollassonne et je commence à la lécher. Il appuie sur ma tête et je me retrouve avec sa queue au fond de la gorge.
Personne ne semble m’accorder le moindre intérêt. Pendant que je me fait fourrer la bouche, j’entends Alain qui demande à ses invités s’ils veulent du champagne. Celui qui me baise la bouche me rejette avant d’éjaculer et je me dirige naturellement vers un autre homme qui me réclame. De la salive me coule sur le menton et sur les seins. Je passe d’une queue à l’autre. Pui Alain me tire par la chaîne et en tendant une bouteille de champagne, il me dit :
« Branle toi avec ! »
Devant out ses invités, je m’agenouille au-dessus de la bouteille, place le goulot sur l’entrée de mon vagin trempé mais hésite un instant car le contraste entre ma chatte brulante et cette bouteille gelée est énorme.
Alain s’impatiente :
« Dépêche toi sale pute ! »
Je m’enfonce alors l’engin en émettant un un long gémissement. Un invité m’att**** un téton et le pince violemment en me disant :
« On ne veut pas t’entendre chienne ! »

Cela semble plaire aux invités qui applaudissent. Malgré l’ordre que j’ai eu de me taire, je ne peux m’empêcher de crier. J’ai envie de jouir, c’est presque douloureux. Alain se lève et, victorieux, et se met à me baiser la bouche jusqu’à se vider les couilles au fond de ma gorge. 

Il retire brutalement la bouteille de mon vagin et me lance :
« Va finir ton boulot de vide-couilles ! Mes amis se languissent ! »
Je retourne sous la table et j’entreprends de faire jouir chacun des hommes dans ma bouche et j’avale des quantité de sperme écœurant. Je me sens rabaissée et humiliée, mais ça vous semblera curieux, j’aime ça et j’en joui.

Une foi les couilles vidées, Alain propose à ses hôtes :

« Mes amis, ma salope doit avoir l’estomac bien nappé par vos liqueurs. Je vous propose de passer aux choses sérieuses ! »
Je demande à Alain si je peux avant aller aux toilettes.
« Tu as envie de te soulager sale pute ? »
Un de ses invités lui demande :
« Puis-je emmener faire pisser ta chienne ? »
« Bien entendu, je t’en prie ! »
Il saisit ma laisse et m’entraîne dans le jardin en me disant :
« Pisse salope ! »

Lorsque j’ai fini, j’ai honte et le mec éclate de rire. Puis il reprend la laisse et m’emmène vers une grange. Arrivé dans la grange, Alain m’attache et me suspend en croix. Je suis sans défense et totalement exposée. Je sens un énorme objet froid pénétrer mon cul. J’essaie de protester mais c’est peine perdue. Il s’agit d’une sorte de crochet qu’il relit à mon cou.
En tirant sur le lien qui me relit au crochet, un homme me plante sa queue dans la bouche. Il s’agrippe à mes cheveux pour s’en servir comme d’un trou. Pendant que je me fais baiser la bouche, Alain commence à me fouetter. Dans la position où je me trouve, les coups atteigne régulièrement ma chatte et mes cris de douleur sont étouffés par les queues qui se succèdent dans ma bouche. Il me retire le crochet du cul pour être remplacé par un membre énorme. Je suis remplie par tous les trous et j’adore ça. Les queues s’enchaînent et des filets de bave pendent de mon menton. 
Je suis souillée et excitée comme jamais. Mon plaisir est à son comble un orgasme violent me laisse pantelante, alors qu’un flot de sécrétions diverses coulent entre mes jambes. J’ai l’impression d’être une chienne en chaleur excitée par sa propre odeur.  Alain rigole de me voir dans cet état et me traite de sac à foutre. Il a raison c’est bien ça que je suis à cet instant. Il me traîne par les cheveux, et m’installe à un pilori et chaque hôte est invité à venir me fouetter.

Aprés un tel traitement, Ils m’on couché dans mon lit et je me suis endormie endolorie et épuisée.

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