Étudiante en première année d’infirmière, j’ai affronté les pires situations lors de mon bizutage. Mais, comme il faut parfois faire des sacrifices pour arriver à son but, J’avais prit mon mal en patience.
Les étudiants pensaient plus à baiser des blouses blanche qu’à bosser.
Le bizutage est ce que l’on fait de pire dans ce domaine. Tout y passe ; les vexations, les abus sexuels, les situations les plus humiliantes, avec pour seul fil conducteur, mettre les filles dans des situations les plus dégradantes possibles.
Mon bizutage avait eu lieu en forêt. En présence de tous les élèves, j’ai du me déshabiller entièrement. Je suis restée nue de longues minutes devant tous ces yeux qui inspectaient mon anatomie. Ils commentaient surtout la taille de ma poitrine et les rondeurs de mes fesses.
Christian, l’organisateur de cet…. « événement », s’approchât de moi et me ficelât contre un arbre en me disant :
« Tu vas rester ainsi pendant que l’on s’occupe d’une autre fille ! »
Nue, sans défense, les garçons prirent des photos de mon corps sous toutes les coutures en précisant :
« C’est pour livre d’or de l’école. »
Mon intimité était parfaitement visible de tous avec mon petit clito qui immergeait entre mes lèvres fines.
Ils allaient maintenant s’occuper de Katia devant moi. Pour mieux l’humilier, l’un des garçons lui avait mis des pinces avec des clochettes sur les tétons. A chaque mouvement, le ballottement de ses seins faisaient tinter les clochettes ce qui faisait bien rire les spectateurs. Comble de l’humiliation, elle du les sucer et avaler leurs jus sous peine de fessées. Notre calvaire prit fin à condition que l’on pisse accroupies devant eux. Nous avons ensuite été autorisé à nous rhabiller sous les plaisanteries grossières des intervenants.
De retour au campus, deux élèves infirmiers décidèrent de s’occuper de moi pour jouer au docteur devant tous.
Assise sur une chaise, les deux médecins m’annoncèrent solennellement :
« Suite à ton exhibe en forêt, nous devons t’examiner pour un contrôle approfondi. Mettez vous nue jeune fille ! »
Une fois nue, les deux acolytes me palpèrent les seins en les malaxant ferment. Je serrais les dent de rage et d’humiliation. L’un d’eux jouait avec un mamelon et tirait dessus. Pendant que l’autre palpait mon sein droit et le soupesait.
Une fois cet examen mammaire terminé, ils me demandèrent :
« Allonger sur la table. Nous allons maintenant prendre ta température ! »
Le « photographe » mitraillait l’événement pour le soit disant livre d’or. Après avoir passé des gants en latex, l’un d’eux enfonçât ses doigts dans mon anus. Je ne pus retenir un cri sous cette investigation douteuse..
Satisfait du résultat, il proclamèrent :
« Bien, ce spécimen femelle semble en bonne santé. Nous allons pouvoir procéder à l’examen gynécologique. »
Ils commencèrent à pénétrer mon vagin. Malgré moi je mouillait abondamment. Tout le monde pouvait voir mes orifices les plus intimes. Les garçons faisaient en sorte de ne pas se presser pour que l’assistance puisse se rincer l’œil.
Le bizutage terminé, je fût tranquille pour le reste de mes études, les anciens s’occupant des nouvelles recrues.
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