Alors que la coupe du monde 2018 approche à grand pas, je me rappelle de celle de 1998. Ce soir de victoire de la France, contre je ne sais plus trop quel pays, Tout le monde était euphorique et défendait dans la rue pour fêter l’événement. Franchement, moi et le foot ça fait deux. Mais mon mari était enthousiste et m’avait entraîné dans son délire footballistique.
Pour moi c’était une façon de faire la fête avec mon homme. Je me laisse donc emporter par cette euphorie collective.
Alors que nous sommes au lit en train de regarder l’événement, Alain me dit :
« Habilles toi, Michèle ! On va faire la fête dans la rue ! »
Ravie,je m’empresse d’enfiler un tee-shirt que j’ai acheté pour cet événement et en jouée, je lui emboîte le pas. Direction Saint-Lô.
C’est incroyable de voir la ville dans une telle effervescence. Ca cri à tue tête «Et 1 et 2 et 3… zéro ». Il y des coups de klaxons. Le champ. Coule à flot, les pétards, on danse tous, on chante à se péter la voix, l’alcool coule à flot. Des filles dansent les seins nus au milieu de mecs avinés. La tête me tourne de tant liesse populaire.
Je ressens le besoin de sortir un peu de ce vacarme et de me rafraichir.
« Alain ! Je besoin d’un peu de calme. On va boire un coup dans au QG ? »
« Ok Michèle pas de soucis ! »
Mais dans le bar, c’est pas beaucoup mieux. On prend une biére et déjà avec l’alcool que j’ai bu, la tête me tourne et j’ai envie de faire pipi. Je glisse à l’oreille d’Alain :
« Je vais au toilette pisser et me passer de l’eau sur le visage. »
Je me dirige vers les toilettes et grands noirs attendent leurs tours. Je vais au lavabo et me passe de l’eau sur le visage. Un peu gênée, j’essaye de briser cette angoisse en leurs disant :
« Quelle soirée de ouf ! C’est chaud dehors ! »
En moi même, je me dis… « Mais que je suis conne de dire ça ! »
Vue ma tenue, il me répondent :
« On dirait qu’il n’y a pas que dehors qu’il fait chaud… ! »
Je ne sais trop comment prendre cette réflxion mais je leur répond :
« Oui j’ai un peu trop bu peut-être ! »
Alors que je suis penchée sur le lavabo, je sens une main sur mes fesses qui tente de remonter ma robe. Je devrais fuir. Mais je ne sais pourquoi, sans doute, l’ambiance, l’alcool, la chaleur, je lui dis seulement :
« Enlève ta main s’il te plaît ! »
Il rigole de mon manque de conviction et me dit en rigolant avec son copain :
« Arrêtes la bondasse ! Quand on se trimbale avec jute un morceau de tissu sur l’cul, les mecs savent que t’attend que de faire tripoter ! »
Tout en me disant ça, il baisse le haut de ma robe et empoigne un sein. De l’autre, il descends sur ma chatte et rentre tout de suite dans ma fente. Comme une conne, j’avais pas mis de culotte. En faite j’étais à poil sous la robe. Là je me rebelle mollement :
« Arrêtez , et mon homme est dans la salle, il va arriver ! »
Mais il reste ses doigts dans ma fente et l’autre se plaque contre mes fesses. Je sens sa bite s’imprimer dans la raie de mes fesses. Je me retrouve rapidement nue. Il frotte maintenant son gland énorme dans ma raie, alors que l’autre continue de me fourrer de ses doigts. Je suis chaude comme la braise et je sens une chaleur monter en moi.
J’ai envie de fuir mais je suis maintenue contre le lavabo. Pour m’empêcher de crier, il rentre sa langue presque de force dans ma bouche. Inconsciemment, je réponds à ce baiser forcé. Ils m’appuient sur les épaules et me volà devant deux grosses et longues tiges noires.
« Allez blanchette suce du black ! » Me dit le plus balèze.
Je suis très excitée et moi qui adore sucer, me voilà devant deux superbes ques black juste pour moi. Mes mains branlent leurs engins et j’en prend un premier dans la bouche.
Je passe d’une bite à l’autre avec gourmandise. Puis l’un deux semble très intéressé par mon intimité et m’écarte les fesses pour investir ma chatte trempée et mon anus offert et palpitant. Ses doigts, s’enfoncent dans mon fondement sans douceur et commence un va et vient violent. Contrairement à mon habitude, j’adore cette caresse.
Ma chatte me trahis. Je suis trempée. Celui qui me tripote le cul en fait la reflexion à son pote :
« Humm, quelle pute celle-là ! Son mec est à côté et elle mouille comme une chienne en chaleur ! J’adore ta chatte de salope ! On va bien te mettre toi ! »
Il m’enfile par la chatte et entre très facilement malgrés le morceau tant je suis mouillée et ouverte.
A ce moment là, mon homme, inquiet de ne pas me voir revenir, entre dans les toilettes.Choqué par le spectacle que j’offre malgré moi, il lance aux blacks :
« Bande fumier lâchez ma femme ! »
Il prend le bras de l’un des black pour le dégager mais il est repoussé vivement en lui disant :
« Regardes connard comment on fait jouir une femelle en chaleur avec nos grosses bites ! »
Il sort de ma chatte et en regardant mon mari médusé, il me prend par les hanches et force mon anus. Je veux refuser cette pénétration infâme en m’insurgeant :
« Haaaaaa !!!! N on pas ca…. »
Mais la tige de l’autre s’enfonce profond dans ma gorge m’empêchant de m’exprimer. Celui qui m’encule pousse mon humiliation plus loin en disant à mon mari :
« Je te l’élargir son gros cul de grosse pute ! »
Je tente de me justifer en appelant mon mari à mon secour :
« Arrêtes les chéri, c’est trop gros, pour mon cul ! »
Mais Alain reste debout impuissant face à ces deux mâles, bien plus robuste. A croire qu’il commence à prendre du plaisir à me voir saillis par ces blacks. Peut-être un fantasme se réalise pour lui de me voir entre les mains de ces types.
« Putain elle est serré ta chienne, son cul est trop bon. Tu dois pas l’utiliser par là connard ! »
Il me baise trop fort avec son gros truc. Je le supplis de ralentir le rythme :
« C’est trop gros ! Baise ma chatte si tu veux, mais pas le cul, j’ai mal ! »
Celui qui est que je suçais, sort de ma bouche en riant et en donnant une claque sur l’épaule de mon homme en disant :
« Tient, j’suis sympa, j’te laisse la place ! Puisqu’elle le demande, j’vais lui baiser la chatte ! Ta salope va aimer !»
Il se place en dessous et m’enfile presque d’un seul coup. J’ai l’imprssion d’être ouverte en deux comme un fruit mûre.
Je commence à gémir d’un mélange de douleur et de plaisir d’être si remplis.
J’ai le souffle court . Je vois alors mon mari qui s’approche et comme dans un délire, il sort sa bite bien dure et en criant :
« Et un et deux et trois…. zéro !!! »
Il me met son dard au fond de la gorge.
Un premier orgasme me secoue pendant qu’ils continuent de me limer. Aussitôt mon mari qui était trop excité par ce qui ce passait, éjacule au fond de ma gorge et se termine sur mon visage.
Je cambre un peu plus les reins pour profiter à fond des deux gros mandrins qui me besognent la chatte et le cul.
« T’aime ça grosse pute te faire défoncer par des black ! »
« Ouiiiii ! Haaaaa encore ouiiiii ! »
Ils se figent alors tous les deux au fond de mon cul et de mon vagin. Ils se mettent à grogner comme des bêtes et lâchent leurs venin dans mes entrailles. Alain, lui me caresse doucement la joue comme pour me réconforter.
Les deux black se retirent presque aussitôt me lançant les trous béants. Je sens que l’excès de sperme coule de ma ma chatte et de mon cul.
« Elle est bonne ta meuf mec ! Tu devrais l’utiliser comme ça plus souvent ! T’as vu comme elle gueule comme une pute ? »
Et là, je ne sais pourquoi j’ai repondu ainsi :
« Oui j’ai adoré me faire démonter devant toi mon chéri ! »
Un des black lui dit :
« Merde ! Ta pute en veut encore on dirait ! »
« Ok ! J’vais chercher les potes ! On va fêter la finale ! »
Il revint cinq minutes aprés avec cinq potes à eux. En revenant il dit à mon mari :
« Toi p’tite bite, tu regardes ta pute se faire démonter à la chaîne ! »
L’autre en s’adressant à moi me lance :
« Tu veux d’la bite et bien, à nous maint’nant. Ca va être ta fête pétasse ! On va t’élargir tous les trous !! »
Plusieurs paires de mains explorent mon corps. Je ‘mempare des bites qui me tombent sous la main et les masturbes disant :
« Baisez -moi Oui je suis votre chienne ! Fourrez moi bien profond. J’suis votre salope ce soir! »
Je sens des bras puissant me soulever du sol et on m’empale le cul sur une queue dressé. Un second prend ma chatte d’assaut. Ils me baisent debout et je suis planté qur leurs queues.
,Je joui rapidement et ensuite c’est un flot de sperme qui s’abat sur moi. J’en prend partout. Je suis dans un état second ! Mes trous sont en feu.es orifices en feu !
Ajouter un commentaire