« Prête? »
« Je ne sais pas »
Marie tremble un peu.
J’ouvre les portes.
Anne, à genoux, suce la grosse bite de Serge. Il est camerounais. Son sexe d’ebene deforme sa bouche de grosse salope, qui branle vigoureusement Frankie et Melanie.
« Salut Ian! C’est qui ta pute? »
Frankie est curieux, comme d’hab’. C’est mon double allemand, amateur de bons mots, bonne chère ou bonne chair.
« Je les ai bien chauffés, maître. Votre amie sera contente ».
Anne, chère Anne. Ta peau d’albâtre, tes longs cheveux noirs, tes gros seins si confortables, toujours soucieuse de mon plaisir et de celui de mes amis..
J’ai rencontré Marie il y a peu. Elle adore le cul, mais elle est insatisfaite. Je connais cette chanson. Du coup, on a sympathisé, et plus. J’ai voulu lui monter une petite sauterie.
Marie installe sa blondeur glabre sur le grand canapé blanc. Elle est jeune. Ses seins tiennent bien. Son cul, sa chatte serrent avec delice les bites qu’on lui introduit.
« Tu es prête petite pute? » lui dis-je à l’oreille.
Sans rien dire, elle vient s’enfourcher sur l’enorme queue de Serge. Elle a la chatte remplie. Frankie, egal à lui – même, vient s’installer à califourchon derrière ma petite salope pour bien l’enculer.
Mélanie n’a plus qu’à lui faire bouffer sa queue. C’est un transsexuel tahitien. Élevé comme une fille (les fameux réré), ses traits délicats, ses côtes en moins et sa poitrine parfaite, quoique artificielle, font tourner la tête des garçons, même quand elle exhibe son vît, comme maintenant. Le tenant d’une main, elle att**** la tête de Marie pour le lui faire avaler d’une traite.
Anne me branle la queue.
« Votre amie a l’air d’apprécier, maître. Elle est aussi cochonne que moi ? »
Je pense à elle. Comment elle s’est mis des doigts dans la chatte pendant que je lui refaisais le cul. Nous nous sommes mutuellement excités, finissant moi du sperme plein son rectum, elle la main gluante de mouille.
Marie est en pleine DP. Elle encaisse comme une championne. Elle se sent tellement pute. Remplie par des queues en rut.
La bite de Serge est inondée de mouille, celle de Mélanie couverte de salive. Frankie écarte bien le cul de la petite salope pour lui rentrer sa queue jusqu’à la garde. On entendrait presque ses couilles ballotter.
Ma bite grossit dans la main d’Anne. Elle en frotte le bout, étalant le présperme qui en coule sur mon gland excité.
« J’ai quelqu’un d’autre à te présenter, Anne »
Le mec de Marie manque d’imagination. Du coup, il faut que j’en aie pour lui et pour elle. Heureusement, elle a su susurrer des idées salaces. Et j’en ai moi-même quelques unes…
Nous sommes dans une pièce adjacente au salon de l’orgie. Le jeune adulte est debout, les yeux bandés, un baillon boule dans la bouche, et les mains noués dans le dos. Il pleure un peu et pousse des cris etouffés. Il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il accompagnait Marie, et à peine arrivé il se faisait assomer.
« Anne, voici Hugues. Aide-le à se sentir plus confortable. Après tout, tu as été à sa place. » Je parle tout bas á mon esclave préférée, pour ménager l’effet de surprise.
Anne s’agenouille et prend le sexe du garçon en bouche, doucement, tendrement.
« Ngnnnf! »
Je m’accroupis juste derrière ma belle suceuse, je lui glisse un doigt dans la chatte en lui glissant au creux de l’oreille « Je sais que tu pourrais le faire venir en un rien de temps, mais nous avons une surprise à préparer, alors fais durer. Et puis j’ai envie de ta mouille sur mes doigts ».
Anne, docile, est très douce. Elle se contente de petits coups sur le gland, elle joue un peu avec son uretre, elle lui masse gentiment les couilles et la queue. De toute façon, il a un peu de mal à bander le pauvre.
« Tu es une bonne fille Anne, bravo ». Je continue de lui parler tout bas, en la doigtant bien.
Entre mes encouragements, ma main et la bite du gamin qui raidit dans sa bouche, Anne se met à mouiller comme une fontaine. Elle pousse des soupirs humides entre 2 coups de langue.
Visiblement, ce garçon a besoin d’apprendre 2/3 trucs. Je suis moins inquiet pour cette petite chaudasse de Marie, mais je me demande jusqu’où elle peut aller.
Anne et moi nous redressons sans un mot. Je glisse mes doigts pleins de mouille dans la bouche. Elle est toujours aussi delicieuse. Nous prenons chacun un bras d’Hugues dont la verge est bien tendue maintenant.
« Mgfff ? »
Nous faisons entrer le garçon au salon. La configuration a changé, même si Marie reste au centre de toutes les attentions. Serge la tient à bras le corps, son enorme queue lui violant l’anus. Frankie, debout en face d’eux, lui pilonne la chatte.
« Oh oui, putain, bitez-moi! Remplissez moi les trous mes salauds! »
Mélanie se frotte la queue contre les fesses velues de Serge, en pincant, en frappant les seins fermes de la petite cochonne.
Elle avise notre etrange trio. Un sourire carnassier étire ses lèvres.
Je lui fais un signe de tête, tout en retirant le bandeau d’Hugues.
« Mmmmf ?! »
Il voit Marie se faire prendre, prendre la chatte, prendre le cul. Il la voit qui se fait remplir tous les trous et en redemander.
Il ouvre de grands yeux ebahis. Une goutte de sperme se forme au bout de son gland.
« Ça te plait d’observer ta copine se faire défoncer comme la dernière des traînées? Tu n’as encore rien vu ni senti p’tit gars »
Marie veut jouer le jeu. A fond. Elle m’a dit des fantasmes secrets, suggéré des synopsis brûlants. Elle est chaude comme la braise. Je lui dois bien une sauterie.
« Branle-le Anne » dis-je en embrassant ma belle amnesique.
Pendant ce temps, Mélanie s’est glissée derrière Hugues. Elle s’accroupit et lui lèche le fion, introduisant sa langue agile dans son anus vierge.
« Serge! Je pense que tu lui as suffisamment dilaté le fion. Laisse moi la place et occupe – toi un peu d’Anne ».
Anne et moi nous rapprochons. Anne se met à quatre pattes sur le canapé, écartant les fesses. Elle montre son anus à l’assemblée.
« Allonge-toi sur le canapé Frankie. Et toi, Marie, enfourche sa bite… Non, dans le cul! »
Frankie s’allonge à côté d’Anne, puis Marie vient s’installer, guidant la queue de mon ami Frankie entre ses fesses rougies. Anne embrasse délicatement la petite blonde, pendant que Serge glisse sa verge tuméfiée dans le cul de la brune. Ca rentre facile, en douceur, même si Anne pousse un petit « gasp » quand le gros gland du camerounais passe le sphincter.
Je profite un peu du spectacle avant d’entrer dans la danse. Mélanie notamment, qui s’est redressée. Agrippée aux hanches de Hugues, elle est en train de l’enculer.
« Mgnnnf! »
Heureusement qu’il a son baillon. Il couinerait sévère sinon. Cela dit, Mélanie sait y faire avec ce genre de dépucelage. C’est même son péché mignon.
Je me positionne face au cul de Marie. Elle est bien empalée sur la queue de Frankie, qui lui écarte les fesses. J’approche ma bite, que je guide de la main.
Je passe mon gland dans son anus dilaté, frottant le sexe de mon pote.
Marie m’encourage.
« Vas-y Ian! Defonce-moi le cul! Defoncez-moi avec vos grosses bites! »
Frankie a cessé de bouger pendant que je pousse. Je n’ai pas trop à forcer: la bite de Serge est passée par là. D’ailleurs j’entends Anne geindre. Elle me regarde pendant que j’encule Marie qui en redemande.
Nous sommes des animaux en rut.
Hugues n’en perd pas une miette, malgré les coups de bite de Mélanie.
« Ca vous plaît bande de cochons? Vous voulez gicler tant et plus!? Alors on va tous se finir dans la chatte de Marie! »
Je me demande ce qu’Hugues va penser de sa copine. On y va fort, là. En même temps, je ne suis qu’un exécuteur de basses, très basses œuvres.
On allonge Marie au bord du canapé. Anne, docile, s’installe tête bêche pour lui mordiller le clito.
Serge est le premier à entrer en action. Agenouillé, il remonte les cuisses de la petite salope, et il la bourre sans ménagement.
« Oh oui! Elle me remplit bien ta queue! »
Déjà bien à point après avoir enculé Anne, il ne tarde pas à remplir Marie.
« Tiens, ma pute! Prend mon foutre! »
Quand il se retire, on voit couler une bonne quantité de sperme.
« J’espère qu’il me reste de la place! » dit Frankie en rigolant.
C’est un gentil lui. Il baise Marie avec volupté, allant et venant doucement, laissant Marie profiter des caresses d’Anne. Marie s’est d’ailleurs mise à lui lécher la chatte.
Frankie finit par se lâcher à son tour. En retirant sa bite, il en profite pour se la faire nettoyer par la bouche d’Anne.
Marie a le visage enduit de la mouille de mon esclave, qui reprend ses lechouilles quand Mélanie vient baiser la chatte de Marie à son tour. J’aime toujours autant la voir besogner une fille, le mouvement de ses seins fermes en allant et venant, la façon dont elle clot les longs cils de ses paupières quand elle jouit…
Le pauvre Hugues n’en a pas perdu une miette. Cette succession de bites dans le con de sa copine.
« C’est mon tour petit, regarde bien ».
Je glisse mon sexe dans la chatte béante, remplie de sperme de Marie. La sensation n’est pas désagréable. Je regarde Anne qui regarde ma queue fourrer la petite salope. Elle jouit dans la bouche de Marie, devinant ce qui vient après. Je me sens grossir, vibrer. Un élan me parcourt des couilles au sommet de la bite. C’est mon tour de gicler dans Marie. En me retirant, je vois le sperme couler. Le mien, celui de Serge, Frankie, Mélanie… J’ai la bite toute gluante.
Marie pousse un long soupir.
« Nettoie ça, Anne ».
Elle me gobe la queue, la lèche, avale les différents spermes qui l’enduisent.
Reste Hugues. Je le positionne face aux cuisses ouvertes de notre chienne blonde. Sa queue est turgescente. Il doit vouloir la fourrer aussi.
« Pas toi. Branle-le, Anne »
Elle lui att**** la bite. Elle la masse lentement, en passant des coups de langue sur le gland. Puis elle accélère le tempo, orientant la verge vers le mont de vénus de Marie.
« Ngggnnn »
Un puissant jet de sperme vient s’étaler sur la chatte glabre de sa copine.
« Ca t’a plu? » Tant qu’à exécuter, je m’assure que les victimes ont apprécié. Marie a un sourire satisfait. Par contre, Hugues a l’air à côté de ses pompes…
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