Franchement, j’ai l’air de quoi, les jambes en l’air et le trou de balle grand ouvert, sur ton lit défait ? Avec mon gros bide poilu et mon crâne rasé ! Ah, il est beau le tableau ! Je te connais même pas mais il a fallu que tu me sortes ta grosse tige pour que j’écarte les jambes aussitôt. Je vois bien que t’en reviens pas de tomber sur un cas comme moi, un mec de 46 ans, dans la force de l’âge, viril d’apparence et au corps banal. Si ce n’est mon petit cul cambré et imberbe qui te rappelle le petit cul d’une ex de ta jeunesse, je n’ai rien pour te plaire. Et pourtant, tu bandes de me voir abandonner toute dignité pour te supplier de me la mettre profond. En même temps, t’étais jamais tombé sur une lopette comme moi, bien vulgos et sans tabous.
T’as vu comme j’ai gobé ta pine, tout à l’heure ? T’as cru que j’allais te la bouffer ! Un vagin à la place de la bouche, tu t’es dit. T’as tout de suite adoré cette façon de bourrer ma gueule comme si c’était la chatte de ta femme. Ca bavait comme un escargot, sur tes couilles velues. T’avais jamais bandé aussi dur. Tu sentais le sang affluer dans ta queue qui palpitait comme à tes vingt ans. C’était du bois, ta pine ! Juré ! J’avais l’impression de pomper un manche de pioche. Ca te rendait fou, tout ça. Tu hurlais des horreurs qui t’avaient jamais traversé l’esprit, même quand tu te branles en pensant aux copines de ta femme.
Alors, toi et moi, on est devenu complètement dingue, parole. Tu m’as défoncé la gueule à coups de bite pendant vingt minutes. J’ai failli me noyer dans ma propre salive tellement tu me limais sans pitié. Je rotais, je toussais mais tu t’en foutais ! T’avais presque comme une envie a****le de me tuer en me disloquant la mâchoire et les vertèbres. Mais j’ai tenu bon, parole ! Je sentais ton gland forcer ma luette et s’engouffrer dans mon œsophage. Je soufflais du nez pour avoir un peu d’air mais toi, tu ramonais toujours ma gorge. Tu voulais pas jouir, salaud ! Tu voulais pas que ça s’arrête parce que c’est la première fois que ça t’arrive, une folie pareille. Puis t’as bien été obligé d’arrêter tellement t’étais épuisé par le rut. T’as déjanté de ma bouche comme un bouchon de champagne mais tu savais que je perdais rien pour attendre. Pour la peine, tu m’as mis une paire de baffes et tu m’as craché sur la gueule. T’en reviens pas de te comporter comme un violeur de bas-fond et la honte qui s’en suit te rend furieux envers moi. Tu vas me faire payer cher, cette révélation.
Et moi, je suis là et j’en redemande. Je t’exhorte à me défoncer le cul. Je ris comme un ivrogne en bout de course, par pure provocation, écartelé et suant sur ton lit conjugal. Et alors, mon chéri ? C’est tout ce que tu sais faire ? Oui, certes, tu m’as ravagé la gueule. Je bave comme une moule et je saigne un peu du nez mais ça ne me suffit pas, désolé. Oui, fous-moi encore des baffes si t’as envie mais tu me fais pitié, en fait. T’as vu comme je me fous de ta gueule ?
Alors, maintenant, tu vas me foutre ton gros braquemart dans le fion et tu vas faire en sorte qu’il ressorte par ma bouche. Tu vas me dérouler les tripes jusqu’à l’estomac. Je te rassure, y’aura pas un gramme de merde sur ton pieu, que du sperme d’anciens amants ! Contente-toi de m’empaler sur ta broche comme un méchoui. C’est ce que je suis pour toi, après tout, un vulgaire morceau de viande.
Putain, qu’est-ce te t’aimerait me faire perdre ce sourire narquois en me déchirant le trou de balle. Et bien, vas-y ! J’attends ! Je suis là, sur ton lit, le cul grand ouvert. J’attends ta sentence…
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