Quelques jours après ce que nous avions fait, j’étais malade, une gastro soit disant, en réalité c’était juste que je ne pouvais plus penser à ce que j’avais fait avec Rémi sans vouloir vomir de moi même. Si ma mère l’apprenais, si Rémi lui disais? J’en étais vraiment malade et ne sortait plus de ma chambre ni même me touchais.
Les jours passèrent et je commençais à ne plus trop me sentir coupable, Rémi me parlait comme si de rien était et ma mère ne semblait pas s’en douter une seconde. Alors que je recommençais à me caresser sous la douche prenant du plaisir en oublier tout autour de moi je jouissais comme une petite chienne. J’avais envie de découvrir d’autres bites, de sucer d’autres queues, devenir une vraie pute, en fait j’ai toujours cette envie en moi malgré tout.
Parfois en cours je sentait le gout du sperme de Rémi dans ma bouche et je sentait mes oreilles se chauffer je ne sais pourquoi. Un lundi alors que mes amies parlaient de cul entre elles se moquant de moi, « t’es trop timide pour avoir déjà coucher toi » disaient elle, doucement je riait n’osant pas leur avouer qu’au fond de moi, sommeillait une vraie petite chienne prête à se faire prendre par tout les trous. Je rêvais d’orgies, de gang bang, de grosses bites ou même petites… Je voulais simplement de nouveau sentir un membre dur et chaud faire des vas et viens dans ma chatte.
Le soir de ce lundi ma mère m’annonça que mon père voulait partir en week end seul avec mon frère en montagne je crois, ça ne me fit ni chaud ni froid, mais lorsqu’elle me dit qu’elle aussi devait partir voir ma grand mère en Ardèche ce week end même, je me sentit mal. j’allais me retrouver seule avec Rémi, seule avec … une bite.
Le week end était arrivé, ma mon père est passait prendre mon frère et ma mère partit vers 15h00 le samedi. Rémi lui posa un doux baiser sur les lèvres en lui disant de faire bonne route. Puis ce fut mon tour de lui dire au revoir.
-Fais bon voyage et fais un bisous à nonna de ma part.
-Oui et toi soit sage avec Rémi d’accord?
-Hum…
Elle m’embrassa sur la joue et prit sa voiture direction l’Ardèche. Rémi et moi nous tenions sur la terrasse et regardions la voiture passer le portail. Je ne la voyait plus en fait, tout ce que je voyais c’était que Rémi et moi étions seul à présent.
-Tu comptes faire quelque chose cette aprem? Me demanda t-il sans me regarder, les yeux fixer sur la voiture qui ne devenait plus qu’un petit point dans l’horizon.
-Non. Répondis-je d’une petite voix.
Il rentra dans la maison et alluma la télé, je partit dans ma chambre. « Mais qu’est-ce que je veux à la fin? Ai je envie qu’il me baise encore ou alors non? » j’étais complètement perdue. Mon portable vibra, un mec que j’ai rencontré sur un chat sexe avec qui on parle de cul par texto, il est sympa mais là j’ai pas envie parler avec lui parce que j’en veux une vraie.
« -j’ai envie de toi »
« -désolé j’peux pas trop parler »
« photo de sa bite -regarde comme elle est dure »
« -regarde une vidéo »
« -Non c’est nul, j’ai envie de ta chatte là »
je ne réponds pas, j’aime pas les garçons qui insistent quand je n’ai pas envie. « fais quelque chose Anissa » comme si j’étais obligée de faire quelque chose… Je sortis de ma chambre et alla à la cuisine grignoter un truc. Soudain je sentit des mains se poser sur mes hanches et son torse contre mon dos.
-T’as crus que j’avais oublier?
-Ou..oublier quoi?
-Fais pas l’innocente!
Il me donna une grosse claque sur les fesses, je sursauta en poussant un cri de douleur. C’est alors que je sentit ses lèvres contre mon oreille droite et ses mains passer sous mon bas de pyjama.
-T’as baisé dernièrement?
Je fit « non » de la tête, ma respiration s’haleta de plus en plus. Ses doigts glissèrent sur ma chatte que j’avais pris soin d’épiler le vendredi soir. J’entendis son rire dans mon oreille avec un petit soupire de plaisir.
-C’est pour moi?
-De quoi?
-Pour moi que ta chatte est toute lisse?
-Oui… oui…dis je dans un soupire en fermant les yeux.
Son majeur se faufila entre mes lèvres, j’étais trempée je le savais et il effleura mon clito, j’en frémis et mes tétons se durcirent. Sa main gauche vint me pincer le sein gauche assez fort pour me faire gémir. Sans un mot il retira ses mains et s’en alla comme si je venais de rêver.
Je restais là, sans bouger, les yeux clos, la chatte remplis de cyprine, le souffle court. Je repris mes esprits après d’interminables minutes et comme si la fièvre me rendais folle j’alla rejoindre Rémi dans la chambre de ma mère et lui.
Il se branlait rageusement, quand il me vit il ne dit rien juste un signe de tête vers sa bite pour m’inviter à la sucer. Prise d’une envie irrépressible de la sentir dans ma bouche je vint sur lui, à quatre pattes devant sa queue. Comme dans les films je laissais ma salive couler sur son gland lentement, puis le branla tout en aspirant son gland dont un liquide salé couler dans ma bouche. Il gémissait et j’aimais ça putain. Je l’enfonçais dans ma bouche de plus en plus comme une vraie chienne, J’entrepris de lui lécher les couilles, il aimait beaucoup ça d’après ses râles.
-Hummm putain enfonce la dans ta gorge de pute!
Étonnée mais non pas moins excitée je pris sa queue dans ma gorge, il me prit par les cheveux et me l’enfonça jusqu’à ce que je ressente l’envie de vomir. Je la recracha en lâchant un gémissement bestiale.
-T’aimes ça hein?
-Oui. Dis je en le regardant dans les yeux, les joues rougies.
-Alors met toi en 69.
Je sentie une vive douleur bienfaisante dans mon bas ventre lorsque j’entendis ça. Je me hâta pour enlever mes vêtements et me mettre à califourchon sur sa bouche.
-Oh putain! Dis je en sentant sa langue dans ma chatte.
Plus il me lécher plus je le sucer comme une salope, ma bave coulant sur ses couilles bien remplis. C’est à ce moment ou je me demanda s’il baisait avec ma mère pour avoir d’aussi grosses boules.
Ce moment de jouissance lorsque ses doigts me doigtèrent fort et que sa langue titillait mon clito, je m’en souviendrais toujours. Sans même savoir pourquoi je cria
-BAISE MOI !!
Une grosses fessées s’abattit sur mon cul me faisant cambrer comme une salope. Vigoureusement il me mit sur le dos et se mit au dessus de moi en ouvrant mes cuisses. Il sortit une capote de dessous le coussin et se la mit et dans un grand coup de rein me pénétra.
Il fit de petits va et viens en effleurant ses lèvres sur les miennes, je gémissais comme une petite chienne en chaleur. Il pétrissait mes seins en me pilonnant. Il convulsa et se détendit.
-Putain que c’est bon. Dit il en posant sa tête dans mon cou.
-Oui c’est …
Je ne savais plus quoi dire parce qu’au finale je n’avais pas jouis vaginalement et je crois que j’en étais un peu déçus. Malgré tout j’aimais sentir son membre entrer et sortir en moi et pour rien au monde je n’arrêterais de faire l’amour.
-On va sous la douche? Me demanda t-il en enlevant la capote lentement pour ne pas faire couler le sperme.
-Oui, si tu veux.
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