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Post-divorce – épisode 5

Post-divorce – épisode 5



Chapitre 5

Ce second épisode du cinéma me fait prendre conscience que je commence à vraiment mal tourner : j’ai été pour ainsi dire vi0lé dans ces cabinets, j’ai failli l’être une seconde fois juste après et en plus, mes délires viennent maintenant impacter ma vie professionnelle.

Et pourtant rien n’y fait. J’ai beau tenter de me raisonner, je me retrouve sur des sites gays qui référencent des adresses et des lieux de rencontre. Il y est question, place de Clichy, d’une espèce de sex-shop à priori connu dans le monde gay : Yanko. Je parviens à me tenir jusqu’au vendredi ou je pose un RTT pour l’après-midi. Je manque de rater l’endroit tant l’entrée, coincée entre un MacDo et un restaurant, est minuscule. La vitrine et la porte sont recouvertes de papier argenté si bien qu’on ne voit absolument rien de ce qui se trame à l’intérieur.

Je pousse la porte.

La pièce est réduite. Les murs sont garnis de vidéos à l’ancienne ainsi qu’un énorme présentoir à double face qui trône au centre de la pièce jusqu’au plafond. La lumière est très faible. Elle éclaire une demi-douzaine de types qui déambulent en matant les jaquettes des DVD et un jeune mec derrière son comptoir. Je me fonds dans la masse et commence à jeter un coup d’œil aux vidéos. Uniformes, jeunes, classiques américains mais aussi trucs très hards de domination avec des photos de fist hallucinantes, des scènes de tortures… Je regarde la caisse pour me renseigner sur les prix puis je me demande où on peut bien visionner les films quand j’avise un petit escalier sombre en colimaçon à côté de la caisse. Je m’en rapproche l’air de rien et tend l’oreille. Visiblement, il s’en passe des belles en bas. Je commence à bander.

Je me dirige à nouveau vers le rayon SM et domination. Je suis en train de regarder les photos d’un DVD où un groupe de blacks dans une cellule défoncent un blondinet attaché aux barreaux quand on me murmure à l’oreille :

– C’est ça le genre qui t’excite ?

Je ne me retourne pas et acquiesce de la tête.

– Et ça, ça te branche ?

Je n’ai toujours pas regardé le type. Je prends la jaquette qu’il me tend. Ça s’appelle « Initiation au bureau » et ça parle d’un nouvel employé qui est dominé et forcé par des cadres quadragénaires bedonnants assez immondes. Sodo, pipes, humiliation, pisse… Il finit travesti et tapine à l’abattage pour ses maîtres dans des foyers pour immigrés. Ca à l’air complet. Mon sang bat à mes tempes et je sens ma queue grossir.

– C’est ma vidéo préférée ici. De l’amateur très réaliste. Si tu veux, on la regarde ensemble ?

Je me retourne. Le type pourrait jouer dans la vidéo : la quarantaine, bedonnant mais costaud, une calvitie qu’il masque en barrant son crâne de longues mèches filasse qui vont d’une tempe à l’autre, une bouche grasse à la lippe cruelle et une paire de lunettes. Il est grand et porte un costard de prix. Il fait très directeur des ventes et je me doute qu’il est habitué à commander juste à son ton.

– Tu me laisses juste te toucher. Alors ?

Je n’ai toujours pas dit un mot. Je fais signe que « oui » et je le suis à la caisse.

– Je paie pour lui aussi. Une cabine double, annonce le type.
– Pas de problème, répond le garçon à la caisse. Cabine 3. Amusez-vous bien.

Nous descendons l’escalier. En bas, il n’y a pas de lumière. Seule la lueur diffuse des écrans plats encastrés émane des quelques cabines vides. Des ombres vont et viennent. Comme au cinéma, ça pue le foutre et la sueur. Dans le fond du couloir, j’entends des soupirs étouffés. En passant devant une cabine dont la porte est entrebâillée, je distingue un type debout de dos, pantalon baissé, et un autre gars le visage plongé entre ses fesses. Un troisième homme attend sur le côté en se masturbant.

– Entre, me dit mon « directeur ».

Il referme le verrou. La cabine est assez spacieuse avec une espèce de petit canapé dans le fond et un rouleau de papier toilette fixé au mur. Mon nouvel ami navigue habilement dans le menu des films et sélectionne celui que nous avions convenu.

– Mets-toi à l’aise. J’avance un peu, le début manque d’action.

Je retire mon blouson, mes chaussures et mon pantalon et j’attends. A l’écran, un jeune type en costume très BCBG pleure en se déshabillant devant quatre cadres qui se branlent.

– Ton slip, ordonne le type.

Mon slip rejoint mes affaires. Je suis en T-shirt et en chaussettes. Je bande, les mains devant mon sexe. Mon directeur arrête l’avance rapide.

– Tiens regarde ! C’est un de mes passages préférés. Tu me diras après ce que tu en penses.

Il sort sa queue. Elle est épaisse et parcourue de grosses veines, très obscène. Il me sourit et se met à se branler lentement en me regardant.

A l’écran, le jeune homme est maintenu à plat ventre au sol, le cul en l’air. Sa verge et ses testicules sont ligotées à la base par une cordelette. L’un de ses tortionnaires arrive derrière lui, pointe son gland sur l’anus froncé et s’enfonce brutalement d’une seule poussée. Le jeune hurle et ça n’est visiblement pas du chiqué. L’autre f0rce toujours plus et se met à le défoncer sans pitié. Un autre s’allonge sur le dos face au garçon et plaque la bouche du soumis sur son anus en lui tirant les cheveux.

– Ça te plaît ?

Je fais signe que oui.

– Branle-moi maintenant.

Je prends sa bite en main et commence une lente masturbation. A la télé, le garçon est attaché et les cadres rasent sa queue et sa raie. Mon directeur glisse une main sous mes fesses. Je me soulève un peu pour lui faciliter l’accès. Il passe ses doigts entre mes fesses, s’arrêtant à chaque fois sur mon trou et le massant fermement. Je commence à souffler un peu.

– Tu aimes ça ?
– Oui, monsieur…

Le mec se marre.

– Tu comprends vite le jeu, petite pute. C’est appréciable une salope intelligente. Tu veux aller jusqu’où ?

Je lui tends le tube de lubrifiant. Il sourit.

– J’ai pas le temps aujourd’hui. Je bosse et je suis marié alors ce genre de séance doit se préparer. Mais ce week-end, on peut se retrouver chez un copain à moi dès le matin. Sa femme n’est pas là et on aura jusqu’au soir pour s’occuper de toi.

Il sort un papier et écrit dessus.

– Voilà toutes les coordonnées. Viens à partir de 9 heures. Pour le moment, tu vas me sucer la queue et on va quand même ouvrir la porte pour donner un peu de spectacle et que tu me montres que tu n’es qu’une chienne, ok ?
– Oui, monsieur.

Je me lève et je vais ouvrir la porte. Des ombres alentours se dirigent vers la cabine

– Allez ! Suce-moi bien, pédale, dit le type, suffisamment fort pour bien être entendu.

Je m’agenouille sur le canapé à côté de lui, baisse la tête et prends sa bite dans ma bouche. Il m’att**** l’arrière de la tête et me pilonne la bouche.

– Tu as des admirateurs. Tends bien tes fesses qu’ils puissent admirer ton trou à pine.

Je me cambre à fond tout en continuant à le pomper. Je sens des mains qui se posent sur mon dos. On m’écarte les jambes et on m’appuie sur les reins pour accentuer ma cambrure.

– Allez-y ! Profitez-en, grogne mon directeur. Ecarte ton cul, putain. Montre bien à tout le monde ta chatte de salope.

Je tire sur mes fesses. J’entends qu’on s’agite derrière moi mais je continue à lécher la verge docilement.

– Attention, reprend mon directeur. Vous pouvez lui travailler le cul et la queue mais personne ne l’encule : il est pour moi.

Des mains remplacent les miennes et écartent mes fesses brutalement. Un doigt s’enfonce brutalement dans mon anus. Je gémis.

– Plus fort ! Vous voyez bien qu’il aime quand ça fait mal ! encourage mon directeur.

Toujours occupé à sucer sa queue, je ne vois rien de ce qu’il se passe dans mon dos. Une main vient de me saisir la bite. Elle serre méchamment la hampe et se met à me branler frénétiquement. Un second doigt glisse dans mon trou du cul puis un troisième. Je pousse un petit cri étouffé par la queue toujours au fond de ma gorge. Les doigts entrent et sortent en alternance dans mon rectum. Je pousse pour faciliter l’introduction.

– Regardez-moi cette pute, ricane un type derrière moi. Il en veut encore plus. Je vais le défoncer.

Je sens qu’on se positionne derrière moi

– Non, coupe mon directeur. On était d’accord : vous lui travaillez le cul à la main mais pas plus.

Sur ce, alors que des protestations s’élèvent, mon directeur m’écarte et se lève. Il doit être un habitué car personne ne conteste trop activement lorsqu’il annonce :

– Vous êtes vraiment trop cons ! Vous auriez pu vous amuser avec lui mais il faut toujours que vous dépassiez les bornes.

Puis il m’ordonne :
– Rhabille-toi, pédale, on se tire.

Je me retourne et récupère mes vêtements. En me rhabillant, je distingue clairement les hommes qui me pétrissaient. Ils sont trois. Le premier est un barbu looké motard. Il a encore sa grosse queue sortie et c’est visiblement lui qui voulait m’enculer. Le second est un homme d’une soixantaine d’année en costume et le troisième une Indien ventripotent. Mon directeur les écarte et, tandis que je passe à côté du motard, il me glisse un papier dans la poche et me dit à l’oreille :

– Si tu veux te faire travailler bien hard, je t’ai laissé mon numéro de portable.

Nous sortons du sex-shop et mon directeur me dit avec un sourire carnassier :
– Demain à 9 heures. Tu te fais un lavement avant, je n’aime pas la merde. Pour le reste, mon ami et moi nous occuperons de tout.

Tandis qu’il s’éloigne sans même se retourner, je me demande si je ne vais pas retourner me livrer au jeune type et à ses complices. Mais je renonce en pensant que mon directeur ne serait pas satisfait de me voir arriver avec des marques si l’envie les prenait de me fouetter. Une fois rentré à la maison, je me branle trois fois de suite en pensant à ce qu’il vient de m’arriver et en fantasmant sur ce que je subirai demain si j’ose aller au rendez-vous. Une fois douché et rasé, je pars retrouver dans l’ouest Parisien des amis qui ne soupçonnent rien de mes pulsions pour une soirée très « comme il faut ».

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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