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Robert

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Je suis mécano et j’ai un petit garage en banlieue où je travaille avec un seul ouvrier, Joseph, qui est un grand black de 100 kg de muscles. Moi j’ai la cinquantaine, je suis célibataire car je n’ai jamais pu me fixer avec une seule femme. J’aime les femmes et le changement. J’ai une amie de longue date qui m’échange des câlins contre du bricolage chez elle en cas de pénurie.
Ma vie de patron me fait rencontrer régulièrement des situations cocasses. J’ai de temps en temps des clients qui discutent les factures et ne veulent pas tout payer. Je fais signe à Joseph qui se plante à côté du client sans rien dire croisant ses énormes avant-bras sculptés par de la musculation quotidienne. Ça facilite la signature du chèque.
J’ai eu un jour un petit minet androgyne, un peu hormoné, qui faisait des minauderies pour essayer d’avoir une ristourne sur la réparation de sa décapotable. Je lui ai dit « moi je ne suis pas intéressé mais tu vois Joseph le colosse là-bas, il est peut-être preneur, si tu veux tu vas rendre une douche avec lui ». Il a fait son chèque.
Un jour c’est une jolie trentenaire qui m’avait laissé sa voiture deux jours pour une réparation conséquente. C’était une belle femme de taille moyenne à la peau claire, cheveux courts, un peu dodue mais sans plus et avec des seins confortables. Elle m’avait plu et je m’étais dit celle-là j’irai bien faire un tour dans son lit. Elle est venue chercher sa voiture le vendredi vers 17H. Quand je lui ai présenté la facture elle s’est tortillée un moment sur place pour me dire qu’elle ne pouvait pour l’instant en payer que la moitié. Elle me regardait comme si elle attendait une solution de ma part en fixant ses yeux régulièrement sur ma braguette. Je lui ai demandé de payer les pièces et de revenir vers 19H à la fermeture pour qu’on discute des 4 heures de main d’œuvre. En partant je lui ai glissé dans l’oreille « comme ça tu as du temps pour te faire belle ».
Elle est arrivée avec une petite robe en tissu fin très décolletée et qui se fermait par devant. Ses seins étaient libres de toute contrainte et palpitaient lorsqu’elle avançait. Joseph était déjà parti. Je lui ai dit « installez-vous au bureau je ferme et j’arrive ». J’ai pris une douche rapide au vestiaire, je me suis changé et je l’ai rejointe. Je me suis placé devant elle appuyé contre mon bureau. Elle avait défait deux boutons de sa robe et était carrément indécente avec les tétons presque visibles et les cuisses découvertes assez haut.
Je l’ai regardé bien dans les yeux en la dominant de ma hauteur et dit « alors petite que proposes-tu pour finir de payer ». Elle rougit, passa sa langue sur ses lèvres et avança sa main pour toucher mon entrejambe. Je l’ai laissée faire pour voir. Elle s’avança ouvrit ma braguette sortit mon pénis qui bandait déjà puis restant assise elle me prit en bouche en me regardant bien dans les yeux et en sortant ses deux seins de sa robe. Elle était magnifique et tellement servile. J’ai eu du plaisir à faire durer puis je lui dis « pour l’apéro c’est bien, voyons la suite ».
Elle ne répondit pas mais ouvrant complètement sa robe elle se coucha sur mon bureau et écarta ses cuisses. Elle n’avait pas mis de culotte. Son pubis était entièrement épilé et luisant de mouille. Elle me dit « viens, baise moi, j’ai envie ». Je suis resté debout et lui tirant les jambes sur mes épaules je l’ai pénétrée d’un coup. Elle était serrée et très chaude. Je la sentais bien quand elle contractait ses muscles. Elle mit sa main et se caressa le clito pendant que j’allais au plus profond d’elle. Je l’ai limée un bon moment en mesurant la montée de son plaisir à ses gémissements de plus en plus forts. Elle me dit « maintenant, vas-y » et elle eut un orgasme qui la secoua en plusieurs vagues. Moi je m’étais retenu et mon pénis était très dur.
Je l’ai regardée encore bien dans les yeux en lui disant « si tu veux effacer toute la note donnes-moi ton cul ». Elle ne répondit rien mais passa ses deux mains sous ses fesses et les écarta en grand en disant « fais doucement ». Je lui ai enduit l’anus avec sa mouille et je l’ai enculée doucement mais petites pressions successives. Elle cria un peu quand je réussis à passer son sphincter puis gémit plus doucement. Je lui ai baisé son petit trou lentement jusqu’à ce qu’elle découvre qu’elle en tirait du plaisir. J’ai accéléré et j’ai joui en lui envoyant une grande giclée chaude dans le ventre. Elle eut alors des contractions fortes qui annonçaient qu’elle subissait un nouvel orgasme.
Après un moment calme je lui ai remis la facture acquittée et les clés de sa voiture. En partant elle me fit une bise et me dit « je reviendrai pour l’entretien de ma voiture » puis doucement dans l’oreille « c’est la première fois que je jouis du cul ».

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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