Histoires de baise Histoires de sexe soeur Histoires érotiques au travail

Back Room

Back Room



Pour cette soirée placée sous le signe de la défonce je passais la prendre (sans sous entendu) chez elle. Sans dire un mot je pénétrais dans son appartement en la dévorant du regard. Comme convenu, elle était habillée de latex quasiment de la tête aux pieds, chaussée de talons hauts à l’extrême. Moi, en costume, moderne, classe, sans rien qui dépasse, rasé de frais, parfumé. Je lui faisais signe de me servir à boire, elle s’exécuta en me servant une vodka polonaise dont je raffole tant. Je l’avalais d’un trait en regardant mon esclave d’un soir. Je me sentais plein d’énergie sexuelle à l’idée de posséder comme cela cette fille superbe, docile, dont j’allais faire ce que je veux. Elle me regardait avec des yeux mêlant la crainte et l’excitation. Elle avait souhaité quelque chose de violent et de dépravé, elle allait être servit et elle le savait. J’allais à sa chaine Hi-Fi, fouilla dans sa discothèque et inséra un CD de Mastodon. Je mis « blood and Thunder » et monta le volume au point de déranger tout l’immeuble. Lentement, galvanisé par la musique du groupe de métal vomit par les enceintes, je me dirigeai vers elle , la saisi par les cheveux, lui tira la tête en arrière et lui mordis la lèvres inférieure. Elle gémit faiblement et se tortillât, je l’éloignais de moi et la regardais comme ma possession, ma chose, à la fois l’objet de mes sévices et des mes attentions. Il était temps. Je la poussais vers la sortie et nous nous dirigeâmes vers le taxi que j’avais commandé. Dans la voiture je continuais de poser mon regard indécent sur l’ensemble de son corps, elle en était à la fois gênée et excitée, je la connaissais assez pour cela. Arrivés au seuil de la boite, je descendis en premier, lui ouvris la porte et la suivi. Je jubilais de l’effet produit sur les clients en attente devant l’établissement, regardant ma « créature » et son maître pénétrer l’antre. « Nous sommes ici pour la back-room », le vigile m’ouvrit, les yeux rivés sur celle qui m’accompagnait. Là-dedans aussi, les décibels inondant les locaux donnaient le tournis. Une fois dans la pièce réservée à cet effet, je refermai la porte et le silence se fit. Elle se tenait au milieu, je me collai à elle en la tenant par sa taille fine. Je posai la main sur son sein gauche et senti à travers la matière synthétique son cœur battre la chamade. C’est cette excitation qui lui plaisait tant. « Es-tu prête? » Elle me regardât dans les yeux et me fit un signe de tête, acquiesçant. Je me munit donc des menottes et lui passai, accrochai une chaine au plafond et attachai son entrave à celle-ci, de manière à ce qu’elle fut les bras tendus en hauteur, comme suspendue. L’étape suivante fut de découvrir les parties de son corps en découpant sa tenue. Ses seins furent découverts, lentement, avec précaution, les laissant ainsi saillir et darder outrageusement vers l’avant. Je m’attaquais ensuite à ses fesses, libérant l’accès à celle-ci. Pour finir, ce fut son sexe qui fut dévoilé, pour cela je m’agenouillais entre ses jambes et pris soin de caresser l’intérieur de ses cuisses avant de passer la main sur son intimité. La combinaison la moulait tant que le dessin de sa vulve apparaissait clairement en relief entre ses jambes. Le dernier lambeau de plastique ôté, je me mis à le lécher pour en recueillir le parfum ainsi que la cyprine l’ayant enduit. Je l’embrassai ensuite, elle me témoigna son excitation en me suçant goulument la langue. Je me dirigeais vers ses seins et les embrassais, l’un puis l’autre, ses tétons dardaient vers le haut. Je les lui mordis jusqu’à lui tirer de petites plaintes. Je me mis face à elle et commençais à défaire ma braguette, elle me regardait faire et se tortillait légèrement en tirant sur ses chaines. Je sortis mon membre turgescent et lui mis bien en évidence sous les yeux. Je fis mettre de la musique dans la pièce et fit monter le volume afin que « Bleed » de Meshuggah nous assourdisse et couvre éventuellement les cris de ma « choses » d’un soir, ou l’incite à en émettre de plus forts encore. La musique m’électrisa, c’est sur ce titre que j’eus l’idée de cette scène et lui soumis, elle qui désirait tant goûter à la soumission et à la perversion. Je me mis derrière elle et passa ma main sans ménagement entre ses cuisses devenues bouillantes. Sans hésitation mes doigts écartèrent ses lèvres et s’introduisirent en elle, elle tressaillît. Je fis plusieurs va et viens brutaux en elle puis me lécha les doigts trempés de son jus. Sa mouille me servit ensuite à m’enduire la queue. Une fois ceci fait, je la pointai entre ses fesses, me guidai plus bas et l’enfilai d’un coup, la faisant sursauter, s’agitant dans ses entraves. Son con était chaud et resserré, parfaitement lubrifié, ses fesses contre lesquelles je me pressai étaient douces et fermes à la fois. Tenue par les hanches je me mis à la limer par des mouvements amples et brutaux. Elle mouillait abondement. Lorsque je sentis le plaisir m’envahir, je me retirai afin de pouvoir continuer, le programme étant particulièrement chargé. Son trou du cul m’attirait terriblement, je m’agenouillai derrière elle, écartai ses fesses, embrassa son petit œillet puis lui léchai de manière appuyée. Le gout de sa sueur et de son excitation me faisait bander au point d’en avoir mal. Elle devint presque folle lorsque je rajoutai des caresses contre son sexe. Elle était prête à passer à la suite. J’appuyai sur un bouton d’appel et deux personnes firent irruption dans la pièce. Une femme à l’air sévère, habillée d’un tailleur strict, portant des lunettes à monture noire et une queue de cheval, et un petit homme trapu, velu, à la peau mat, nu, sa queue dressée vers le haut, d’un volume impressionnant et luisante de lubrifiant. La femme s’approcha de ma compagne, la regarda, lui saisit le menton et l’embrassa à pleine bouche. Elle lui enfila un collier, puis une laisse, et tout en continuant de lui baiser les joues, le nez, les lèvres, les yeux, lui pinçât cruellement le bout des seins. L’homme se mit derrière elle se prit la queue dans une main et écarta ses fesse de l’autre. La maîtresse lui tira les cheveux en arrière et l’homme commença à la forcer en poussant son énorme gland contre l’entrée de son rectum. Je déclenchais un autre mécanisme et tout un pan de mur se leva pour découvrir une surface de verre donnant sur le reste de l’établissement, offrant à tous les regards la scène. Elle criait son refus feint, mais l’homme pressa plus fort et lui déchira le cul en se plantant tout entier dedans. Il en ressortit aussitôt et notre complice féminine mis sa main entre les cuisses de notre belle ligotée pour la doigter habilement. Elle se tortillait de plus belle, regardant celle qui lui prodiguait de si douces caresses, le regard suppliant de lui donner l’orgasme. Là, l’homme se remit en elle et elle poussa un cri mêlé de douleur et de plaisir. Cette fois il se mit à la besogner sans discontinuité, la secouant vivement de ses coups de boutoirs. La femme en tailleur lui donnait le rythme afin qu’il ne jouisse pas avant que notre victime soit au bord de l’extase. Elle alternait, dans le vagin de celle qu’elle masturbait, la pénétration, les caresses, en pinçant légèrement tour à tour les lèvres ou le petit bouton de chair, et de légers tapotements. Lorsqu’elle fut au bord de l’extase, l’homme se déchaînât en elle et fut bientôt pris de spasmes incontrôlés contre sa croupe. L’experte la fit alors venir tandis qu’il se retirait d’elle en laissant sa semence dégueuler de son trou béant et couler le long de ses cuisses. Notre complice féminine se colla à elle, la prit dans ses bras et serra sa tête contre sa poitrine. Elle me fit signe de tête et je vins la détacher. Elle tomba à genoux, sa dominatrice en profita pour tirer sur la laisse et la diriger vers mon membre dardé dans sa direction. Elle me le saisit, cela m’électrisa, et nous rapprocha tout les deux. Elle tenait ma servante par les cheveux et lui donnait le rythme pour me pomper, lui prodiguant aussi des conseils sur la succion pour me combler. Devant le public nous regardant à travers la paroi translucide elle me fit une fellation complète, notre hôtesse la pressant de plus en plus sur ma queue jusqu’à ce que je touche le fond sa gorge. Des larmes lui coulaient sur les joues, faisant dégouliner son maquillage. Lorsque je me tendis définitivement entre ses lèvres distendues, la femme debout en face de moi me passa la main dans la nuque et me roulât un patin profond pendant ma jouissance. Ma crème débordait de la bouche de notre soumise et coulait sur sa poitrine. L’autre passa un doigt manucuré sur la pointe de ses seins souillés, pour recueillir le liquide visqueux mêlé de salive, et lui donna à boire. Notre petite chienne lapa les doigts et les laissa propres comme un sou neuf. Elle fut menée ensuite dans la salle principale, au milieu du public. Tenue en laisse elle fut maintenue au sol tandis que déjà des hommes s’approchaient d’elle. Conformément à nos arrangements, le maître de cérémonie en talons hauts tria sur le volet les mâles en rut pouvant approcher. C’est ainsi qu’un homme mûre et classieux se mit dans la bouche de ma copine et un plus jeune, athlétique, à nouveau dans son cul. Elle fut limée comme cela jusqu’à jouir bruyamment, le visage couvert de sperme et le fesses débordantes elles aussi de semence fraiche, toujours tenue en laisse et offerte selon le bon vouloir de ma prestataire de « sévices ». Je bandais dure de voir ce petit manège sous mes yeux, j’étais en sueur rien qu’à cause de l’excitation procurée. La femme en tailleur jugeât que sa victime en avait assez pris pour le moment et décida à nouveau que ce fut mon tour, elle m’invita, par terre, à venir en elle pour me soulager, je me fondis entre ses jambes trempées, elle les passa autour de ma taille pour mieux me serrer contre elle. Elle tenait toujours celle qui m’accompagna ici et lui fit lui sucer les seins. Je ne put me retenir bien longtemps et me mis à émettre un liquides chaud et visqueux dans son ventre et, en même temps, des grognements sourds et rageurs. Elle me poussa hors d’elle, resta jambes grandes ouvertes et dirigea l’autre pour qu’elle lui lave la chatte, les cuisses et le cul à coups de langue. Les voir comme cela toutes les deux me redonna de la vigueur et je me mis à enculer, enfin, ma copine dans le foutre de ses autres partenaires du soir. Elle lécha tant et si bien la brune distinguée et sévère, qu’elle la fit jouir, je me mis, pour ma part à la défoncer sauvagement afin, moi aussi, de lui souiller le trou du cul. Elle méritait bien un dernier petit plaisir avant que nous ne rentrions nous laver et nous coucher dans les bras l’un de l’autre, aussi elle fut installée, dans un grand fauteuil, le dos contre le torse d’un des vigiles dont les bras faisaient la taille de mes cuisses, lui-même déjà assis. Dans ces bras elle fut essuyée, nettoyée scrupuleusement, puis léchée par son bourreau féminin jusqu’à jouir intensément.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire