Chapitre 2: Nouvel an avec maman
Aucuns mots ne peuvent exprimer mes sentiments d’être devenu l’amant de ma mère. J’aurais voulu être un poète ou un artiste ou un compositeur pour pouvoir traduire mes sentiments envers ma maman depuis que j’ai fait l’amour avec elle. Tout a changé depuis nos ébats intimes dans l’amour et la luxure. Je sais maintenant que ma mission dans ma vie est de rendre heureuse ma mère pour le reste de son existence.
Dans les jours suivant Noël, je ne quitte pas des yeux ma mère, étonné que cette femme que j’ai adulée toute mon enfance soit désormais la mienne. Ma mère, qui m’a soigné, élevé, pensé mes blessures de jeunesse, est maintenant mon âme sœur, ma maîtresse.
Le lendemain de Noël, nous avons fait des choses simples et savouré notre nouvelle intimité.
Au réveil, emmitouflé dans nos couvertures, maman a admis un peu timidement,
– Dany, tu sais que j’ai un peu mal. Je te jure, c’est presque comme si je venais encore de perdre ma virginité la nuit dernière. Ça fait un moment, un très…très long moment, que l’on m’a fait l’amour comme tu l’as fait avec moi, mon chéri.
Elle baisse sa main et caresse ma bite déjà dressée.
– Et je n’ai jamais eu quelque chose d’aussi gros et d’aussi long comme çà à l’intérieur de moi. C’est comme si tu avais baisé un territoire vierge!
À vrai dire, ma bite est aussi un peu douloureuse mais c’est agréable d’avoir une sexualité si épanouie et je ne vais pas me plaindre. La journée à été calme coté sexe, momentanément rassasiés, et je pense que même sans sexe, nous avons apprécié un moment tout aussi intime ensemble. Nous avons parlé, câliné gentiment et je viens de passer une journée « cocooning » comme on a l’habitude de dire.
En fin d’après-midi le 27 décembre, ma mère a une agréable suggestion, prendre un long bain dans la baignoire. Pour info, dans mon appart j’ai une magnifique baignoire ancienne sur pieds en forme de griffes et pouvant recevoir deux personnes de taille normale si elles se serrent un peu… Nous nous sommes assis aux extrémités opposées et ajustant nos jambes et entre jambes, nous sommes retrouvés ma bite semi-dressé contre la chatte de maman.
Nous avons passé un bon moment dans ce bain chaud, continuant notre conversation de la veille. Maman me regarde avec une expression que seulement quelques fils ont probablement vue dans les yeux de leur mère ; un regard marqué par l’envie, la luxure, l’amour et le bonheur absolu et complet. Son regard fait remonter le souvenir de ma mère à cheval sur moi, criant sous son orgasme et me priant de la mettre enceinte. Je rappelle ce souvenir à ma mère qui a un sourire et mystérieusement elle s’agite un peu dans l’eau, comme si cette image lui donnait du plaisir.
– Maman, pensais-tu que… Tu voudrais vraiment avoir un bébé avec moi ?
Maman pousse un soupir puis elle me sourit tristement.
– Eh bien, je pense que c’est tout à fait naturel. Une femme comblée veut avoir un bébé avec son amant et la pensée d’avoir le bébé de mon fils dans mon ventre me fait vraiment mouiller, Dany…
– Mais… ? Ça sonne vraiment comme il y a un « mais » qui va suivre.
Maman soupire encore une fois, sa poitrine haletante et ses tétons gonflés apparaissent hors de l’eau brièvement. A cet instant je revois dans ma tête les seins lourds de maman, gonflés avec du lait maternel et ma bite se raidit un peu plus.
– Mais, j’ai quarante-deux ans, chéri, j’ai fait ligaturer mes trombes après la naissance de tes frères. Je pourrais annuler cette procédure, mais à mon âge, tomber enceinte c’est risqué. Et comme je te l’ai déjà dit il faut attendre quelques années avent que je divorce de ton père.
Maman soulève son pied droit et caresse légèrement ma poitrine avec et dans son mouvement, son pubis bombé frotte délicieusement contre ma bite. Je sens que maman bouge son bassin et ma bite frôle le bord de ses lèvres douces comme de la soie chaude et humide.
– Tu veux faire un bébé avec ta mère ? Me dit Maman avec un sourire pervers
J’infléchis mes hanches pour contrer son mouvement.
– Maman, rien que la pensée de te foutre enceinte me fait bander. La pensée que je pourrais faire gonfler ton ventre et tes seins parce que j’ai mis un bébé à l’intérieur de toi, c’est presque suffisant pour me faire jouir !
Je me pousse en avant et ma bite maintenant dure comme de l’acier trempé, glisse quelques centimètres dans la chatte de maman.
– Putain, oui ! J’aimerais te mettre en cloque !
Maman gémit, avec un peu d’amertume, beaucoup de plaisir et elle se laisse glisser vers moi pour me prendre plus en elle. Je fais de même pour m’enfoncer plus profondément dans la chatte de maman pour finir empalés l’un dans l’autre, bite et chatte intimement unies.
– Je t’aime, maman!
Ces mots sortent immédiatement de ma bouche quand je sens les muscles de sa chatte mature s’enrouler autour de ma bite. Assis face à face, dans l’eau avec maman je ne peux pas bouger beaucoup, mais c’est incroyable ce qu’un homme et une femme peuvent se donner de délicieux plaisirs, avec le moindre mouvement, lorsqu’ils s’aiment intensément.
J’arrive malgré tout à me redresser et maman m’embrasse très fort, son corps frissonnant par l’excitation. Ses seins lourds, charnus, repose sur ma poitrine et ses tétons épais me donne des frissons quant ils grattent ma peau. Les jambes de maman autour de moi, elle se plaque contre moi, me prenant le plus profondément possible dans sa chatte en creusant bien son dos.
Maman gémit dans ma bouche lorsque je passe mes mains derrière elle et que je prends ses fesses pour pousser encore plus ma bite dans sa chatte affamée.
Notre baisé est long et doux, et le mouvement de nos bassin sont en harmonie. Nos ébats i****tueux semblent garder l’eau aussi chaude que nos corps brûlants.
Pendant cet instant qui semble durer une éternité nous glissons doucement vers notre jouissance mutuelle. Maman et moi, les yeux dans les yeux, la bouche légèrement ouverte dans la crainte ou l’incrédulité d’être à nouveau consommés par notre désir l’un pour l’autre. Nos yeux reflètent l’expression véritable de notre acte. Dans ses yeux, je vois le désir et l’amour qu’elle a pour moi. Je vois sa passion brute, nue, i****tueuse, en constante augmentation plus on approche du point de non-retour et je sais que je dois avoir la même expression dans mes propres yeux. Je fais l’amour à ma mère, ma femme, mon âme sœur ! Chaque pression douce et lente du vagin de ma mère sur ma bite tendue nous fait gémir et soupirer.
Maman presse son visage contre ma poitrine, ses bras me retiennent serré sur elle, ses ongles labourent lentement dans mon dos quand notre plaisir mutuel monte… monte…jusqu’à ce que finalement, ma bite enfouie profondément dans la chatte de maman, je crie,
– Je t’aime, maman!
Et que je me laisser aller, éjaculant mon sperme i****tueux dans sa chatte brulante et trempée.
Ma mère crie aussi d’une voix étouffée contre ma poitrine et je sens une légère pression de sa chatte pour une fraction de seconde enfouir au plus profond de sa chatte avant que ses muscles vaginaux enserrent étroitement mon sexe pour entretenir mon plaisir en permanence et extraire tout mon sperme. Je la maintien contre moi pendant toute sa jouissance en serrant son corps bouleversé par son orgasme.
Assis au milieu de ma vieille baignoire, nos orgasmes semblent durer éternellement. J’ai remplis le corps de ma mère d’une quantité incroyable de sperme. Je ne reviens pas de faire jouir autant ma mère avec des orgasmes d’une intensité aussi forte. Sa poitrine pressée contre le mienne, nos deux nos cœurs battants, nous avons eu du mal à retrouver notre souffle.
Enfin, maman se détache de moi et les yeux plein de larmes me dit:
– C’était merveilleux, Dany.
Maman m’embrasse alors, tendrement et sa langue danse avec la mienne.
– Je ne sais pas comment je vais pouvoir de quitter, mon fils adoré. Je veux rester ici avec toi et ne jamais revenir en arrière.
– Je sais, maman, ce jour viendra, cependant. Pas assez vite, mais un jour que nous serons ensemble pour toujours.
Nous avons passé la soirée sur le canapé, nos remémorant des souvenirs et j’ai essayé un instant de revenir sur ce qu’elle a lâché inconsciemment lorsque nous avons fait l’amour à Noel » L’i****te est naturel dans notre famille ». Mais maman m’a répété qu’elle répondrait à cette question quand elle sera prête.
Maman m’a quand même avoué ses désirs refoulés.
– Comme je te l’ai dit, Dany, je pense qu’au fond de moi je suis une salope qui ne voulait pas le reconnaitre et que j’ai besoin de sexe. Je voudrais crier au monde entier pour dire que mon fils est le meilleur amant et baiseur que je n’ai jamais connu. Que je baise mon fils et que j’aime çà plus que n’importe quoi sur terre !
Vous pouvez imaginer comment mon ego a grimpé à ce moment-là, sans oublier de mentionner comment ma bite s’est gonflée et redressée instantanément. C’est ma mère qui me dit ça, une conservatrice et une enseignante, une mère qui s’occupe des louveteaux le dimanche, qui prépare le dîner tous les soirs à ses enfants, qui les aide à faire leurs devoirs et nous rentrés la nuit. Ma bite palpite quand elle me parle d’oublier ses bonnes manières et de s’habiller de façon provocante.
– Je sais que je ne suis pas un modèle de mode actuelle, mais bon sang, j’ai encore un beau corps, hein mon fils !
Maman retire la couverture dans laquelle nous sommes enveloppé et avançant sa poitrine en prenant par-dessous ses seins dit,
– je sais que ces seins ne sont plus de la première jeunesse, mais je pense qu’ils sont toujours sacrément formidables!
Je pousse la couverture au-delà de nos pieds pour lui montrer combien j’apprécie le corps de ma mère et nous éclatons de rire quand elle voit l’ampleur de mon érection.
– Muuummmmm, çà! C’est un vrai compliment !
Dit-elle en ronronnant comme une chatte et glissant sur le divan elle se place entre mes genoux. Tenant ma bite de sa main droite elle abaisse celle-ci et murmure;
– Maman adore la grosse queue de son fils !
Je passe les minutes suivantes à gémir pendant que maman me montre sa satisfaction pour mon compliment. Je baisse les yeux et regardant sa bouche écartelée par ma bite je ne peux pas vraiment croire que c’est ma mère qui me fait ça.
Je tire ma mère vers moi et sur mes cuisses et quand ma bite glisse entre ses lèvres humides maman soupire;
-Bébé, je ne sais pas si… je suis terriblement sensible.
– Chut, maman…
Et je ferme sa bouche d’un baiser, en cherchant sa langue chaude tout en la soulevant doucement pour ensuite faire glisser lentement sa chatte sur toute la longueur de ma queue raide jusqu’à ce qu’enfin nos poils pubiens s’enchevêtres et que je sente son pubis contre le mien.
– Nous n’allons pas bouger, maman. Nous allons rester assis ici, mère et fils, relier par leurs sexes amoureux et savourer l’instant.
Mes mains s’emparent du cul voluptueux en serrant étroitement ses fesses, interdisant tout mouvement.
– Muuummm, je savoure.
Dit-elle d’une voix rauque par le plaisir et plaquant ses seins contre mon corps nu. Même sans bouger, au bout de quelques minutes nos sexes s’embrasent et ma bite bat puissamment l’intérieur de son vagin et les muscles de sa chatte commencent à masser mon pénis de leur plein gré. Sa température interne semble fortement augmenter, de plus en plus chaude à chaque seconde qui passe. Je sens qu’elle mouille terriblement et sa cyprine coule littéralement de sa chatte, inondant mes cuisses.
Ma mère sent son orgasme approcher et elle quitte ma bouche pour gémir;
– Oooohhhh Dany…je ne vais pas tenir longtemps.
Le cul de maman essaye de bouger pour augmenter la tension dans sa chatte et commencer un mouvement de frottement avec ma bite, mais je lui tiens bien les fesses et ne lui laisse que peut de mouvement…
Je mesure le degré de son plaisir dans la tonalité de sa voix et souriant je lui réponds.
– Attends maman…contrôle ton corps…Laisse ton plaisir arriver tout seul.
En vérité, j’ai moi aussi un besoin urgent de libérer la tension qui s’accumule dans mes couilles. Les muscles de la chatte de maman sont incroyables, ils serrent tellement ma bite que je me demande lequel d’entre nous va perdre le contrôle en premier.
Un nouveau baiser passionné lie nos langues et puis maman enterre son visage contre mon épaule, haletante et gémissante, désireuse de faire durer cet instant de plaisir incroyable juste avant l’explosion d’un orgasme. Je sens son cœur battre sauvagement, Sa chatte brûle ma queue qui se gonfle encore malgré la pression de son vagin. Dans un sanglot suivi d’un cri, ma mère laisse exploser son orgasme et je suis obligé de la maintenir de toutes mes forces pour que ma bite reste dans sa chatte en folie. Ma queue baigne dans un flot de cyprine chaude, la gelée royale de ma reine sous son gémissement continu.
– Ooooohhhhh…je jouiiiissss…je jouiiiissssss…
L’orgasme i****tueux de maman déclenche immédiatement le mien et après un gonflement insensé de mon gland j’éjacule en longs jets successifs mon sperme dans la chatte merveilleuse de ma mère.
Anéantie par la puissance de son orgasme ma mère s’écroule sur moi et épuisés par tant de jouissance. Nous nous sommes endormis sur le canapé, ma bite toujours niché dans la chatte de maman, sa tête sur ma poitrine, dans une étreinte ou chacun se sent en sécurité, aimée et dans l’attente d’autres étreintes aussi passionnées.
Le 29 décembre, les rues commencent un peu à se dégagées et quelques voitures circulent tout doucement. Je peux descendre avec ma mère chercher du ravitaillement et je la taquine sur sa façon de marcher les jambes un peu de jambes arquées. Elle sourit, rougit et dit:
– Entre mes jambes arquées et mon grand sourire, tout le monde dans cette ville doit savoir que mon fils n’arrête pas de me baiser jour et nuit !
Maman a eu les jumeaux au téléphone qui ont déclaré que les routes étaient peu dégagées maintenant, mais que la neige tombe toujours la nuit. Quand papa a pris le téléphone, maman lui dit qu’elle devrait être la maison demain si les routes le permette et que nous pourrons être tous ensemble pour le nouvel an.
Papa lui dit quelque chose en réponse et les yeux de maman s’écarquillent.
– Quoi ? Tu emmènes les garçons où ?
– ………
– Tu veux dire que je vais être seule jusqu’au 3 janvier! Eh bien, dans ce cas je vais rester ici avec Dany. Je ne veux pas passer le réveillon du nouvel an toute seule ! Et comme çà je ne prendrais pas de risque sur les routes enneigées.
Maman me regarde d’un sourire incrédule.
– Et vous, soyez prudent. Prendre soin des jumeaux. Dis leur que je les aime.
Papa a, à peine raccroché, que maman lâche le téléphone et saute dans mes bras.
– Mon grand garçon est obligé de garder sa maman coquine jusqu’après le nouvel an. Ton père emmène les garçons sur les pistes de neige pour perfectionner leur style… et ils vont dans un chalet avec ses copains. Dany, qu’as-tu prévu pour le nouvel an ?
– Rien de spécial.
– Et bien moi je vais aller me chercher une tenue adéquate pour le réveillon et nous irons diner et danser.
Je la regarde et je vois une nouvelle facette d’elle. Pour la première fois, j’imagine maman adolescente, heureuse d’aller au bal des débutantes.
– Tout à fait d’accord. J’espère que tu vas porter quelque chose de vraiment sexy. Je veux montrer ma chaude maman à toute la ville. Je veux que tout le monde sache que je suis un fils de pute le plus chanceux au monde !
Les yeux de maman brillent, heureuse du compliment et enthousiasmée par cette opportunité de vivre ses fantasmes depuis longtemps réprimés. Après le déjeuner, maman décide d’aller au centre-ville toute seule pour faire son shopping. Je l’accompagne jusqu’au taxi que l’on a appelé, et sous les yeux écarquillés du chauffeur de taxi, je l’embrasse passionnément sur la bouche avant qu’elle monte dans la voiture et qu’elle me laisse avec une petite douleur dans mon cœur. Pour la première fois depuis plusieurs jours, je n’aurais pas ma mère à côté de moi et il çà m’attriste.
Je m’occupe d’organiser notre nouvel an. Je porte mon costume au teinturier en m’assurant qu’il sera prêt au plus tard le 30 décembre. Ensuite, j’appelle un ami et ancien colocataire qui me doit quelques faveurs et son oncle tient une discothèque bien connue du centre-ville. Quelques minutes plus tard, j’ai mes réservations pour un bon dîner, spectacle et orchestre spécialisé dans l’ancienne musique des années cinquante, soixante.
Maman ne revient qu’en début de soirée, avec plusieurs sacs de magasins différents et avec un sourire espiègle sur son visage. Un sourire qui s’est encore développé quand elle sent une odeur agréable venant de la cuisine.
– Et en plus il cuisine !
Elle laisse tomber ses sacs et court se blottir entre mes bras tendus.
– ton père n’a jamais cuisiné un repas pour moi, pas même une seule fois!
Maman m’embrasse et se frotte contre moi. Elle porte son Jean et son pull, mais je peux sentir de la façon dont ses seins pressent ma poitrine qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Du coup ma main enveloppe un des seins charnu de maman, et rien que cette la perception de celui-ci dans ma main me rend dur à nouveau.
Du coup, maman passe sa main sur mon entrejambe et palpe mon érection naissante.
– Muuummm, ton père n’est pas aussi rapide et n’a jamais bandé aussi vite et aussi dur pour moi dans sa vie!
Maman commence à tirer mon pantalon d’intérieur vers le bas, et s’accroupissant me demande:
– Le dîner peut attendre ? J’ai besoin d’un en-cas dès maintenant.
Je passe mes doigts dans ses longs cheveux quand elle avale ma bite raide. Elle a une langue tellement incroyable. La façon dont maman fait tourbillonner et danser sa langue autour de ma chair gonflée est tout simplement magique.
– Heuuu, c’est… heu, un ragoût, maman. Il faut le laisser mijoter un peu plus longtemps…
Le bruit de succion que fait maman est très agréable et elle continue de lécher et de sucer mon pénis en érection. Même si maman m’a sucé plusieurs fois dans la semaine écoulée, la voir accroupie devant moi, me sucer avec ses grand yeux qui me regardent, me fait découvrir sa disposition ou sa connaissance pour les plaisirs du sexe.
Très vite, j’ai une envie irrésistible de jouir et d’éjaculer et j’en averti maman. Elle marmonne quelque chose et si c’est possible de sourire en suçant une bite elle le fait et je commence à libérer mon sperme dans sa bouche. Maman, habilement, boit et avale mon sperme au fur et à mesure des giclées, ne perdant pas une seule goutte cette fois. Même après mes éjaculations, maman continue. Malgré la faiblesse de mes genoux qui pourraient me laisser tomber au sol, les sensations que la langue de maman me procure sont si exquises que je réussis à rester debout. Encore une fois, je me demande ou maman a appris à sucer si bien. Quand, où et avec qui, a-t- elle acquise ces compétences ? Et quand me le dira-t-elle ?
Le réveillon du nouvel an n’arrive pas assez vite pour moi, mais maman et moi avons passé le temps à visiter les musées, faire l’amour et juste passer du temps ensemble l’un contre l’autre. Comme je vous l’ai dit, il ni a pas que le sexe. Être avec maman, laver la vaisselle avec elle, lire tranquillement, nous promener ensemble ou la regarder dans son sommeil, me remplit d’une joie profonde, respectueuse et irrespectueuse à la fois.
Enfin, le jour du réveillon est arrivé. J’enfile mon costume pendant que maman se prépare. C’est mon seul costume, noir, rien de compliqué, mais ça sert pour toutes les occasions. J’ai même eu un chapeau noir pour compléter l’ensemble. J’attends maman avec impatience.
Ma mère, soudain, crie,
– bébé, je suis presque prête. J’espère que tu ne seras pas déçu.
Je décèle une légère appréhension dans sa voix. Elle sort de la salle de bain, et s’arrête un bras en l’air sur le chambranle de la porte.
Je la regarde, ma gorge se serre.
– Maman… maman, tu es belle.
Ma mère est plus que belle. Elle ressemble à ces beautés érotiques de manga japonais que je regarde par moments mais c’est plus beau que mes fantasmes personnels. Ses beaux cheveux noirs descendent en cascade sur le bas de ses épaules nues. Elle est vêtue d’une robe de soirée courte, juste quelque cm sous son entrejambe, exhibant ses cuisses pulpeuses et ses mollets galbés mis en valeur par ses talons aiguilles.
La robe est d’un bleu électrique brillant avec des liens métalliques. Sans bretelles et avec une large encolure dégagée qui dévoile ses seins généreux, à la limite du débordement sur le dessus et les côtés de la robe. La moitié des énormes seins de maman sont exposés et ses tétons risquent d’apparaître si la robe glisse d’un ou deux millimètre. Je remarque une fois de plus l’attrait érotique des épaules nues de ma mère. Elle expose sans vergogne la beauté de son corps à demi nue pour moi, pour mon plaisir.
Je découvre pour la première fois que ma mère est une exhibitionniste. La morale de notre société regarderait ma mère avec désapprobation mais Rubens approuverais qu’elle exhibe si effrontément sa beauté et immortaliserait a jamais cette femme sur un tableau.
Maman sait qu’elle est une femme avec un pouvoir sexuel important et en ce moment elle se délecte de mon ébahissement et fait étalage de sa sexualité et sa féminité. Et honnêtement et absolument impartial, ma mère est la plus belle femme que je n’ai jamais vu.
C’est un fils fier et rayonnant qui guide sa mère dans un taxi pour la nuit du réveillon. La température extérieur est remontée et permet à maman de porter un léger châle autour de ses épaules nues pour ne pas cacher quoi que ce soit de sa tenue sexy. Ma plus grande inquiétude pendant que nous nous dirigeons vers le centre-ville c’est que le chauffeur de taxi emboutisse une voiture à force de reluquer maman dans le rétroviseur plutôt que de garder ses yeux sur la route.
Arrivé à la discothèque, je veux lui donner un pourboire mais il me repousse la main en disant:
– J’ai déjà eu mon pourboire ! Tu es avec une femme sublime. Si c’est ta mère tu es le plus chanceux des fils de pute !
Fier comme un paon, j’amène ma mère à l’intérieur, savourant le regard émerveillé des mecs qu’elle croise. Pratiquement tous les hommes regardent maman avec envie et désir. Dans l’ascenseur, les gens jettent constamment des regards incisifs sur la beauté mature que j’ai à mon bras.
Arrivé en haut de ‘immeuble dans la discothèque on nous montre notre table et j’aide maman à s’asseoir en savourant l’attention qu’elle reçoit fièrement. Le groupe joue un morceau classique et quand le chanteur prononce les mots, « Chérie, embrasse -moi» je lui donne un baiser pour lui faire comprendre ma fierté d’être avec elle.
Je suis assez prêt d’elle pour mettre mon bras autour de ses épaules et mes doigts caressent le haut de son sein exposé et penché sur son oreille je murmure,
– ais-je votre approbation pour cela, maman ?
Maman hoche la tête et sa main glisse sous la table sur l’intérieure de ma cuisse pour répondre,
– Oh oui ! Je te l’accorde Dany. J’aime te sentir et je t’aime ! »
Un garçon vient vers nous et je ne peux pas m’empêcher de sourire. C’est mon ancien colocataire, qui travaille ce soir pour aider son oncle. Les yeux de Thomas s’agrandissent pendant quelques secondes et il reste la bouche en cul de poule. Je suis sure qu’il est choqué. Nous avons été colocataires à l’Université les premières années et il a rencontré maman plus d’une fois. De plus, lui et moi n’avions aucun secret l’un pour l’autre. Dans nos beuverie tardives, je lui ai avoué mes désirs envers ma mère et lui ma confessé qu’il à eu une liaison avec la mère de son cousin. Maintenant il bave pratiquement sur ma mère.
– heu, Salut, Mme ****** balbutie-t-il. Vous êtes resplendissante de beauté ce soir.
Maman sous son regard, dégage ses épaules d’un mouvement sensuel et se penche en avant pour lui offrir une meilleure vue de son généreux décolleté en lui offrant sa main.
– Merci, Thomas. Je suis vraiment ravie d’être ici, dit-elle d’une voix épaisse pleine de luxure,
Et elle ajoute en caressant ma cuisse,
– Et avec mon fils chéri.
La bouche de Thomas s’agrandit encore plus et il murmure,
– Whaoo !
Et que je lui fais sciemment un clin d’œil. Il réussit quand même à prendre notre commande et s’éloigne avec une belle bosse dans son pantalon.
Maman me regarde avec un mélange de surprise et de plaisir coquin.
– Thomas est au courant pour nous deux ?
Je hausse des épaules et dit:
-Tout ce qu’il sait, c’est que je suis ici avec ma mère, la femme la plus sexy de la ville et que je suis le plus heureux des fils ce soir!
Je me lève et j’offre ma main à ma mère.
– Maman, m’accorderez-vous cette danse…
Et avec son sourire enjôleur elle répond:
– Oui, vous pouvez, mon très cher fils. Tu peux réserver toutes les danses pour moi le reste de ma vie.
Maman se plaque contre moi, ses bras vont autour de mon cou et la chaleur de son corps s’étend à moi quand elle m’embrasse. Sa langue serpente entre mes lèvres et je la goutte et la savoure. Tout en continuant de nous embrasser, nous commençons à danser.
Je ne sais pas le nom de la chanson mais nous sommes sur un petit nuage. Nos corps sont pressés fermement ensemble comme le sont nos lèvres. Je suis insensible à tout, sauf à nous-mêmes. Je suis conscient du corps de maman contre le mien, de ses grands yeux bruns yeux dans les miens, de ses tétons durs et épais, s’enfonçant dans ma poitrine, de son cœur qui bat rapidement en rythme avec le mien, de mon pénis, douloureusement dressée contre mon pantalon, contre le ventre de maman et de son parfum, avec ce soupçon de jasmin pour créer un arôme délicieux vraiment excitant.
Nous avons dansé toute la nuit. Je me rappelle vaguement de ce que nous avons mangé, maman et moi alimentant l’autre d’une ou deux bouchées de nourriture. Je me souviens de gorgées de champagne, mais sans effets enivrants, car j’étais déjà ivre de cet amour i****tueux. Maman dansant toujours dans mes bras, son corps doux et ferme et toujours chaud. Elle a décliné les offres des autres hommes qui voulaient l’inviter à danser. J’ai senti mon âme aspiré par les beaux yeux de maman pour se fondre pour toujours dans la sienne. Ce n’était qu’amour, désir et convoitise de l’un pour l’autre.
Je me souviens vaguement de gens qui nous regardaient avec ce sourire particulier quand ils voient deux personnes ensemble, qui sont incontestablement amoureux, et ce sourire qui reconnaît cette passion qu’ils voudraient pour eux-mêmes. J’appelais cette magnifique femme « maman » et elle m’appelait « mon fils » et je n’ai entendu personne formuler une critique ou froncer les sourcils. Je pense que le caractère absolu de notre amour les a convaincus qu’un tel amour était possible et qu’il existe.
Tout à coup, nous nous sommes retrouvés sur un balcon donnant sur une grande place te maman et moi avec les autres avons joyeusement décompté les dernières secondes de l’année. Apres l’explosion de joie pour cette nouvelle année nous nous sommes embrassés passionnément jusqu’à ce que le bruit ambiant s’estompe progressivement.
Presque hors d’haleine, maman et moi nous nous souhaitons une heureuse année et j’ajoute;
– Un nouveau départ et une nouvelle vie pour nous, maman…
– Oui mon chéri, une nouvelle vie et de plaisir immense pour nous deux.
Je prends une profonde inspiration car je veux faire quelque chose qui demande de l’audace et du courage.
– Je t’aime, maman, Et disant cela je lui prends la main gauche, caresse sa main, et puis lentement, commence à tirer sur sa bague de mariage pour la ôter de son doigt.
Maman à un rire nerveux et dit:
– Dany, que fais-tu ?
Je retire son alliance et la pose sur le rebord du balcon.
– Tu n’es plus maintenant la femme de papa, maman. Il n’est plus ton mari sauf sur un stupide bout de papier. Tu es mienne maintenant et je suis à toi. Je ne veux pas que tu portes une seconde de plus sa bague. Avec ma main libre, je fouille dans ma poche intérieure et en sort une petite broîte noire.
– Dany ? Tu ne peux pas faire çà. Tu ne dois pas…
Sa voix s’affaiblie quand j’ouvre la boite. A l’intérieur il y a une alliance, un mince anneau d’or avec des dessins gravés dans le métal. C’est une alliance ancienne et j’ai tout de suite su qu’elle plairait à maman quand je l’ai vu chez l’antiquaire.
Je la sors de sa boite et je commence à la glisser au doigt de maman.
– Un jour, nous prononcerons nos vœux devant dieu et monsieur le maire.
Murmurai-je solennellement.
– Et un jour, je t’offrirais une alliance qui sera digne de toi, mais pour l’instant, ma mère, mon amante, ma femme, voici mon engagement indéfectible.
Et je glisse complètement l’alliance sur le doigt de maman. Je m’incline pour baiser son annulaire et puis, me relevant, j’embrasse ma mère de la façon qu’elle mérite d’être embrassée tous les jours pour le Quand notre baiser prend fin, je me recule un peu pour regarder mon amour et je vois des larmes qui coulent sur le visage de maman. Elle rit nerveusement et regardant l’anneau elle me dit,
– Oh mon chéri, mon fils, elle est belle. Je crois que je rêve. Dany, il doit coûter une fortune!
Maman se précipite dans mes bras et m’embrassa sur mon visage, et puis c’est un baiser d’amour que je me souviendrais jusqu’à la fin de mes jours.
Elle ne lâche mes lèvres que pour reprendre son souffle et elle me pose l’inévitable question.
– Que va-t-il se passer quand ton père remarquera ton alliance ?
Je ri et répond,
– Penses-tu vraiment, maman, qu’il te regarde encore à ce point. Parfois j’ai l’impression que tu es transparente à ses yeux.
Maman sourit et secoue la tête en silence. Les yeux dans les yeux
nous savourons ce moment intime puis maman regarde l’alliance de papa sur la rambarde.
– Que faire avec ça ? Demande-t-elle
Je réfléchis une seconde, regarde par-dessus le balcon et en dessous la fontaine d’eau.
– Fait ce que tu veux avec…
Maman baisse ses yeux et comprend sans peine ce que je pense. Avec ce sourire coquin que j’adore elle dit :
– Je souhaite que chaque année à venir sera meilleur que l’année précédente pour mon fils et moi !
Et avec un clin d’œil, maman donne une pichenette sur l’anneau qui s’envole pour atterrir dans la fontaine et disparaitre.
– Laisse ton fils t’embrasser, maman, pour te porter chance,
Et je reprends l’amour de ma vie dans mes bras, j’appuie contre celles de maman et je lui offre ma langue. Avec un doux gémissement, maman fait de même et nos langues dansent et se caressent.
Le corps de maman se colle au mien. Sa peau est chaude au toucher. Un flux sexuel émanent de sa poitrine m’envahit, me pénètre comme une flamme pour me consumer à petit feu. A la fin de notre baiser, elle me pince et suce ma langue avant de soupirer,
– Dany, ramène-moi chez toi et prend moi dans ton lit.
Le portier nous a miraculeusement trouvé un taxi et dès que nous sommes à l’intérieur j’ai tout juste le temps de donner notre adresse avant que maman me saute dessus, m’embrasse et ballade ses mains sous mon manteau et dans ma chemise. Maman se frotte contre ma cuisse, à genoux sur la banquette, cuisses écartées et sa robe courte remontée au-dessus de son cul, exposant ses fesses. Je ne sais pas si le chauffeur de taxi bénéficie de la vue splendide des fesses de maman, mais si c’est le cas, j’espère qu’il apprécie la vue. Je comprends intuitivement que ça fait encore plus plaisir à maman car la chaleur qui émane d’entre ses cuisses est intense. Le parfum musqué de maman rempli la cabine.
– Je t’aime, Dany, mon fils, mon bel amant.
Maman, excitée, halète entre ses baisers. Elle se frotte contre moi avec un de ses seins lourd, libérer momentanément de sa robe. Son téton érigé glisse sur ma poitrine avant que je prenne en main ce petit bout de chair charnu et que je le suce pour le faire gonfler encore plus avant de le remettre à l’intérieur de la robe.
Maman suce mes doigts et frotte mon entrejambe gonflé avant de mettre ma main entre ses cuisses sur le tissu humide de son string. Maman m’embrasse vivement, de manière possessive, avec insistance, s’arrêtant seulement pour murmurer bruyamment toutes sortes de choses coquines du genre,
– J’ai besoin de la bite de mon bébé ! Maman a besoin d’une bonne baise le plus vite possible. Mon bébé fait mouiller la chatte de sa maman.
Elle guide mes doigts sous le tissu soyeux de sa culotte, me permettant de glisser ceux-ci entre ses lèvres épaisses et humides de son jus de chatte et de pénétrer dans son puits d’amour trempé et brulant comme jamais.
Nous arrivons devant l’immeuble trop tôt pour aller plus loin. J’aide galamment maman à sortir de la voiture et alors qu’elle s’appuie contre moi, elle embrasse mon cou et défait les boutons de ma chemise pour embrasser ma poitrine. Je réussis tout juste à me libérer pour jeter un billet au chauffeur et lui dire de garder la monnaie. Je ne sais pas quel est le montant de la course mais il heureux et il crie.
– Merci ! Bonne année ! Soyez heureux et passez une bonne nuit !
Vu son comportement, maman ressemble à une salope en chaleur. Avec sa robe dépenaillée, un sein avec le téton sorti, sourit au chauffeur et d’une voix langoureuse et sexy lui dit,
– Oh que oui ! Ça va être une sacrée nuit ! Maman et son bébé vont avoir beaucoup de plaisirs charnels.
Je ne sais pas ce qui me choque le plus. Ses paroles et le comportement de maman ou mon excitation par ses paroles et son comportement. Par contre, je sais que j’ai une érection monstre qui menace de faire éclater mon pantalon. Le chauffeur de taxi démarre en rigolant et nous tentons de monter les escaliers.
En route, maman enlève sa culotte et frotte le tissu juteux contre mes lèvres en me disant d’une voix chantante,
– Quelqu’un à fait mouiller la chatte d’une maman.
Ni maman ni moi n’avons bu énormément et nous ne sommes pas ivre par les boissons alcoolisées ou le champagne, mais ivre de notre amour i****tueux. Au moment où nous arrivons à notre étage, maman a sorti ma bite et la caresse déjà.
Je tombe sur la marche avec ma mère juste en dessous. Maman rigole et m’embrasse avant de me dire.
– J’ai envie de toi, Dany ! Je veux te goûter.
Ma tête me tourne un peu mais de l’entendre je me sens grand et tellement excité. Je baisse les yeux pour voir les lèvres pleines de maman enroulées autour de ma bite dressée, ce qui la fait gonfler encore plus.
Tout à coup, maman relève la tête et les yeux brouillés, exige,
– baise-moi, fils !
Et elle soulève sa robe vers le haut, en exposant sa toison épaisse, noire, poilue, étincelante avec son jus, les lèvres de sa chatte épanouies comme un lys niché dans son buisson épais, et elle se laisse glisser sur mon pieu tendu et dur pour le faire disparaitre au plus profond de sa chatte humide et glissante.
– OH OUIIIIII, DIEU QUE C’EST BON ! BAISE-MOI, DANY ! Donne à maman ta belle bite.
Maman reste empalée pendant plusieurs secondes, son visage face au mien, sur lequel je vois son intense désir et son besoin. Sa chatte est un enfer brûlant et elle se met à glisser de haut en bas sur mon pénis en érection.
Enfin, dans un ultime effort, ses bras autour de mon cou et une main sous ses fesses et l’autre sur la rampe d’escalier je me redresse et je franchis les derniers mètres qui nous séparent de la porte, avec ma mère qui ne me lâche pas, et sa chatte qui serre ma bite bien ancrée en elle.
Je ne sais pas comment j’ai pu ouvrir la porte mais nous nous retrouvons sur mon lit, toujours enlacés et nos sexes intimement liés l’un à l’autre.
Avec v******e nous arrachons nos vêtements pour nous retrouver nus, maman sur le dos avec ses jambes enroulées autour de mon dos, moites de transpiration par ce désir fiévreux. Ses seins écrasés sur ma poitrine je l’embrasse follement, presque comme un vampire soif de sang, et je vais et je viens dans sa chatte brûlante.
Avec tant de luxure et d’amour i****tueux nos corps sont en feu et se consument sous cette passion hors du commun. Ma bite enfouie dans la chatte, nos corps en sueur se cherche et s’écrasent l’un contre l’autre, cherchant à trouver la façon de les unir pour ne faire qu’un seul corps ou la mère et le fils sont devenu un seul être i****tueux.
Maman pleure et crie sous mes coups de bite dans sa chatte et elle griffe mon dos en m’exhortant,
– Baise-moi mon amour. Baise-moi Dany ! Baise ta maman, baise là bien ! Baise ta mère avec ta grosse bite ! Fais-moi jouir chéri, Fait moi jouir mon fils !
J’ai d’un seul coup la sensation que les muscles de la chatte de maman vont me broyer la bite. Elle me
trait, dans une sorte de massage, mon pénis en érection qui arrive néanmoins à aller et venir dans son ventre. Je lèche sur son téton épais, la sueur qui coule de ses seins, avant de le prendre, gonflé et palpitant, entre mes lèvres. Je mords cette chair caoutchouteuse et je le suce pour affoler encore plus ma mère qui se tortille encore plus fortement sous moi.
Nous sommes dans un tourbillon de pure sensualité i****tueuse. Mère et fils se déchaînent sans aucune retenue, pour se complaire dans leur désir et la soif de l’autre, s’enivrant assurément dans la sensation indescriptible pour l’un et l’autre d’un fils qui glisse sa bite gonflée dans la chatte incroyablement humide et tellement serrée de sa mère.
Le jus de la chatte de maman inonde ma queue et la baptise de cette crème i****tueuse. Son parfum irrésistible imprégnant tout, se mélangeant avec notre sueur pour rendre la chambre comme un bain de vapeur d’un bordel. Le parfum de jasmin naturel de maman, mélangé avec son odeur, devient une convoitise qui envahit mes sens et impulse en moi une plus grande passion. Sans un iota de culpabilité ou de remord, je baise ma mère, ma maman qui vient de libérer son orgasme, son corps arquées contre le mien.
Son corps tremble bouleversé par sa jouissance, sa chatte devient une fournaise ardente que je savoure, baignant dans son jus brulant, et je continue de la baiser doucement pour prolonger son plaisir. L’orgasme de maman s’estompe doucement et pendant quelques minutes, elle ne peut seulement que sangloter et gémir pendant que je continue de prendre mon plaisir dans son corps sans défense.
Progressivement maman commence à répondre de nouveau à l’excitation de ses chairs et de nouveau je sens ma bite prise dans l’étau de sa chatte, ses hanches roulant en même temps que les mienne, cherchant l’instant ou la pénétration est la plus profonde et me fait grogner de plaisir. Les draps sont imbibés de notre sueur. Des vagues de plaisir traversent mon corps mais je résiste et je continue à enfoncer ma bite dans la chatte trempée et crémeuse de maman. Les gémissements sans un mot de maman évoluent lentement vers des mots d’encouragement, des mots d’amour et des mots de désir et de son besoin sexuel.
– Aaahhh, Dany, n’arrête surtout pas. Baise bien ta maman mon fils, mon amant. J’aime ta belle bite mon bébé. AAaahhhh, c’est si bon de la sentir en moi. N’arrête jamais de me baiser, Dany, mon amour !
Plus vite et plus fort, je plonge profondément dans la chatte de maman. Mon propre besoin de jouir est mis de côté pour suivre le rythme de maman. Je peux sentir son orgasme qui commence à se construire dans son corps. Ma mère devient une bête sexuelle irrésistible que l’on se doit de satisfaire.
Les yeux de maman sont grands ouverts et me regarde, remplis d’amour et de désir, avec une expression intense, presque craintive, comme si elle n’était pas sûre de pouvoir supporter les sensations intenses qui vont envahir son corps.
Je ne peux me retenir plus longtemps et avec le rugissement triomphant d’un taureau en rut, je m’enfonce profondément dans la chatte de maman et je libère mes couilles. Une éruption de jets de sperme chaud, épais, jaillit de ma bite avec une telle force que ça fait presque mal. Pendant que je remplis le ventre de maman avec mon sperme, elle perd tout contrôle en hurlant mon nom, prise dans un orgasme si puissant qu’elle me rejette presque hors d’elle.
La chambre est remplie de sons de plaisir et de joie et de cette odeur précieuse de crème de chatte et de sperme. Nous avons joui ensemble étroitement enlacés et liés par nos sexes qui ne peuvent plus se passer l’un de l’autre. Une nouvelle fois, sous un orgasme mutuel si intense, il me vient à l’esprit que je viens de mettre ma mère enceinte.
Maman s’accroche et rebondie contre moi, ses seins lourds, charnues, écrasant ma poitrine en roulant dessus. Ses spasmes sont à la hauteur de son orgasme pendant que je continue de nourrir son ventre de mon dernier, mais important jet de foutre i****tueux et que maman gémit.
– Je vais mourir mais je t’aime.
Je m’effondre sur elle et sa chatte continue de presser ma queue douloureuse pour en extraire les dernières gouttes et tout étonné, je constate que je pleure.
Après quelques secondes, maman ouvre ses yeux et son corps est secoué par une dernière secousse orgasmique. Elle aussi se met à pleurer. Nous restons étroitement enlacés, autant que le permette nos corps épuisés, échangeant des mots d’amour en sanglotant. Je soulage maman du poids de mon corps pour m’allonger à côté d’elle et ensuite, la tirer contre moi et nous câliner et nous endormir au petit matin du nouvel an de nos nouvelles vies.
Mère et fils, homme et femme dévorés par un amour incommensurable et même interdit, mari et femme maudit ou…bénit.
Mon sommeil est rempli de rêves d’une époque où nous serions en mesure de partager pleinement notre vie, vivant complètement comme amants, conjoints et encore en tant que mère et fils. Je me réveille dans la lumière de l’aube et je regarde maman dans son sommeil, à la recherche de son bonheur ou du moindre soupçon de culpabilité sur ses lèvres. Je pense aux jours à venir et à notre avenir. Je sais que les temps difficiles risquent de contrarier notre amour, mais qu’en fin de compte, nous resterons toujours ensemble.
Dans un jour ou deux, maman et moi serons séparés pendant un certain temps. Distance et obligations retarderont nos retrouvailles, mais je sais aussi que nous ne pourrons jamais être séparés par la pensée. Avec les jours vertigineux de la semaine dernière, cet amour qui s’est concrétisé à Noël et dont nous avons exploré les profondeurs en quelques jours, a lié nos âmes et nos corps pour l’éternité.
Maman m’aime et j’aime maman. Notre amour surpassera le temps et la distance. Aucun obstacle ne pourra résister à l’intensité de notre passion pour l’autre. Maman et moi ne faisons plus qu’un seul être. Je ne sais pas où tout cela nous conduira, en enfer ou au paradis, mais je sais que je préfère mourir dans les bras de mon amour plutôt que de la perdre.
Les livres d’histoires disent souvent la vérité. Vous savez que l’amour triomphe de tout et il n’y a pas d’amour plus fort que celui entre une mère et son fils. Un fils et un homme fou d’amour.
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