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Mon désir pour ma mère (1)

Mon désir pour ma mère (1)



Je venais d’avoir 18 ans, et j’avais foiré mon bac. Franchement, repartir sur une année, c’était la plaie, me retaper les mêmes profs, et les mêmes cours. J’avais bossé l’an dernier, mais ça avait été compliqué, on avait déménagé trois fois avec ma mère. Des problèmes d’argent. Et un divorce à n’en plus finir, ma mère était séparée de mon père depuis 5 ans, mais il continuait de l’emmerder ; pour ma part, je ne le voyais presque plus. Elle donnait ses quelques économies à son avocat, dont le but, je pense, était de faire durer la procédure, pour continuer d’engrenger un maximum d’argent.
Ma mère s’était arrêtée de travailler à ma naissance ; elle était coiffeuse à l’époque. Quand elle du reprendre le travail suite au divorce, ça a été compliqué, elle a d’abord fait de l’interim dans quelques sociétés de phoning (vous savez, quand le téléphone sonne pour vous proposer des trucs dont vous n’avez pas besoin), puis un salon de coiffure l’a prise, mais la payait mal ; du coup, par le biais de Pole emploi, elle a fait une formation, et s’est retrouvée embauchée dans un cabinet de gestion, à faire de la petite comptabilité. Mais au moins, elle avait à présent un CDI, et cela nous avait permis d’avoir un logement assez correct. Je dis bien assez correct, parce que son salaire nous permettait juste de vivre dans un deux pièces, avec une chambre et un salon. Je dormais dans le clic clac du salon, et ma mère avait la chambre. Elle avait tenu que l’on fasse l’inverse, mais je ne trouvais pas correct que ma mère n’ait pas une chambre à elle, pour y ranger toutes ses affaires, et pouvoir se reposer correctement.
Je voyais bien qu’elle n’était pas spécialement heureuse ; elle remontait toutefois la pente, était moins fatiguée, moins stressée. Elle recommençait à faire des courses pour elle.
J’aime ma mère. Et j’ai toujours pris sa défense. Et j’essaie de la soutenir de mon mieux. Après, aimer sa mère, ça n’a rien d’exceptionnel. Sauf que de mon coté, je le fais aussi en me branlant en pensant à elle. Quand elle n’est pas à la maison, je me precipite dans sa chambre pour regarder ses tiroirs de lingerie, voir ce qu’il manque, imaginer ce qu’elle a pu mettre. Dans la salle de bain, je retrouve les culottes qu’elle a porté, et je me masturbe très fort avec. Je les sens, je les lèche, avec passion. De la jolie lingerie, avec des dentelles. Ca m’arrive d’éjaculer dans ses bouteilles de gel douche, ou sur sa brosse à dents. Je sais qu’il y a un coté très pervers à cela, mais c’est plus fort que moi, cet interdit m’excite plus que tout. Je l’imagine se savonner ensuite avec mon sperme, s’en étaler sur les seins, et même en mettre dans sa chatte. Ma mère, c’est la femme que j’aimerai avoir, mais que je ne trouve pas. Rien n’est plus fort quand je me branle en pensant à elle.
Sur nos album photos, je me suis déjà branlé plusieurs fois sur toutes les photos d’elle en maillot de bain.
Elle ne m’en voulait pas de redoubler. Elle comprenait les difficultés que j’avais rencontré, et disait qu’elle avait sa part de responsabilité.
Et de manière étonnante, c’est le jour de la fête des mères, que tout a commencé. J’avais de très bons résultats scolaires, et je venais de réussir mon bac blanc, avec plus de 15 de moyenne. Ma mère était enchantée et vraiment soulagée. Elle ne cessait de me féliciter. Pour l’occasion de la fête, je lui avais acheté un bouquet de roses, ainsi que de quoi faire un bon diner le soir (saumon, oeufs de lympe, toasts, champagne), et un petit collier en or avec un motif de coeur. Je n’avais pas eu le temps de faire graver nos deux prénoms.
Quand elle entra le soir, elle fut surprise et heureuse de voir que la table était mise, le salon bien rangé et nettoyé, et qu’elle n’avait qu’à s’assoir pour passer à table. J’avais mis les roses dans un vase, placé au milieu de la table.
– C’est magnifique, me fit-elle. Merci, merci tellement.
– Bonne fête maman, dis-je simplement.
– C’est trop, murmura t-elle.
Comme il était déjà 20h, je nous servis deux coupes de champagne, et l’invita à s’assoir à table. Elle but, et mangea, en prenant plaisir. Nous avons discuté longuement. Elle était à l’aise, heureuse. Elle passait parfois sa main sur sa joue.
– Tu as une copine en ce moment, me demanda t-elle à un moment.
C’était rare qu’elle me parle de cela. Je lui répondais avec honnêteté et sans gène.
– Non. Et ça va, je le vis bien. Il y a bien quelqu’un qui m’attire, mais c’est dur de lui en parler.
– Je ne te savais pas timide ; tu sais, rien ne te coute d’essayer de lui en parler, au pire elle te dira non.
– Je pense que je vivrai mal qu’elle me dise non. Et toi, pourquoi es-tu célibataire depuis cinq ans ? Tu n’as rencontré personne ?
– Je n’ai pas eu le temps… J’avais d’autres priorités… Et puis bon, les hommes de mon age sont déjà mariés, ou ont divorcé et ne savent pas trop ce qu’ils cherchent… Ca me manque de ne pas avoir d’homme, evidemment… j’y pense beaucoup… Mais bon je t’ai toi et tu me rends heureuse.
C’est à ce moment là que je decidais de lui offrir son collier. Quand elle vit l’écrin, que je posais sur la table devant elle, elle mit ses mains à sa bouche de surprise, pour cacher son émotion, me dit que j’étais trop gentil, et sortit délicatement le collier. Elle regarda le coeur ; je lui précisais que si elle voulait, j’irai y faire graver son deux noms. Elle le mit autour de son cou, se leva, et vint s’assoir sur mes genoux. Elle m’enlassa et me serra contre elle. Elle m’embrassa sur la joue. Je me mis à la serrer à mon tour, l’embrassa aussi sur la joue, et comme elle bougeait, nos lèvres s’effleurèrent.
– Ooops, fit ma mère, en se reculant légèrement.
– Ca ne me gène pas, ça doit même être agréable.
Ma mère me regarda un peu avec étonnement, mais tout en gardant son sourire. Elle toucha le petit pendentif en forme de coeur, et murmura : « ça mérite bien un bisou ».
Elle se pencha vers moi, et déposa un baiser sur mes lèvres. Je la laissais faire, et, quand elle alla pour s’éloigner, j’avançais vers elle pour poursuivre le baiser. Nos bouches s’entrouvrirent. Le baiser devint plus langoureux. Au bout de quelques secondes, elle se redressa, en faisant : « wwwoowwww », et en reprenant ses pensées.
– C’était divin, maman, lui dis-je avant qu’elle ne mette en avant le fait que c’était mal.
– Je… c’est vrai que ça fait du bien… coquin va…
On se termina la bouteille de champagne, accompagnée de quelques fruits.
– Je vais débarrasser, fit ma mère, une fois le repas fini.
– Non, laisse moi faire, ne t’occupe pas de ça. Tu as travaillé toute la journée. Va te détendre.
– Merci, je vais me prendre une douche et me changer.
Je débarrassais rapidement, tout en pensant au baiser que m’avait donné ma mère. Elle me demanda si j’avais eu des notes aujourd’hui, je lui parlais d’un 18/20 en maths (ce qui était faux, mais je voulais qu’elle soit aux anges ce soir).
J’entrais dans la salle de bain quelques minutes après ma mère. Elle sursauta en me demandant si je voulais quelque chose. Elle se démélait les cheveux, vétue uniquement de sa culotte noire. Génée, elle passa son bras devant ses seins.
– J’ai besoin de te parler maman.
– Ca ne peut pas attendre ?
– Non, je t’aime maman.
Ma mère sourit.
– Moi aussi je t’aime.
– A quel point ?
Ma mère parut étonnée par ma question.
– De tout mon coeur.
– Tu baisserais ta culotte devant moi ?
Là, je vis ma mère devenir livide.
– Attends deux minutes là… Je suis ta mère…
– Je sais. Je vivrai tellement mal que tu me dises non. Je n’ose pas t’en parler. Depuis bientot cinq ans. Je t’aime. Je me branle tous les jours en pensant à toi.
J’avais tout mis sur le tapis. De toute façon, je savais, que c’était maintenant ou jamais.
– Oh mon dieu tu fais quoi ?? tu fais ça en pensant à moi ??
– J’ai envi de toi, et toi, tu as besoin d’un homme. Tu me l’as dit tout à l’heure.
– Oui, mais pas toi…
– Qui alors ? un homme de ton age, marié ? ou divorcé avec plein de problèmes ?
– C’est bien pour ça que je préfère être seule.
– Tu vis avec un homme qui te désire.
– Tu es mon fils !
– Un fils qui te désire !
– Arrête de dire ça.
– J’ai envi de te voir nue ce soir maman. Je l’ai mérité non ? J’ai travaillé comme un fou, j’ai de bons résultats, et puis pour cette soirée…
– tu sais que tu demandes à ta mère d’enlever sa culotte devant toi…
– Oh oui maman, je veux que tu me montres ta chatte.
– Non, si on fait ça, il se passera quoi après ?
– Rien… Je veux juste que tu me prouves que tu m’aimes. Et que tu es fière de moi, pour mes résultats scolaires. Et me montrer que tu as passé une bonne soirée.
Ma mère soupira.
– Je te promets maman. Mais j’en ai besoin. Si tu me dis non, je le vivrai vraiment mal.
Ma mère ne bougea pas. J’attendis quelques secondes, qui me parurent des heures. Elle attrappa sa culotte sur les cotés, et la fit glisser jusqu’à mi cuisses, laissant apparaitre une chatte poilue. Elle resta ainsi, les seins et la chatte exposés, face à moi.
Je bandais comme un fou. Ma mère me souriait doucement, mais avait aussi les yeux rougis. Non, c’était tout son visage qui était rouge de gène et de honte.
– Je t’aime maman.
– Je t’aime aussi, cheri.
D’un geste rapide, je fis sortir ma queue durcie hors de mon pantalon, par la braguette. Qu’elle se rende compte du sexe gonflé qui avait envi d’elle. Que l’image de ma queue s’impregne dans son cerveau. Je désirais sa chatte. J’espère qu’en lui montrant mon sexe, elle se le mette à le désirer aussi. Peut etre pas ce soir. Mais y repenser, plus tard, dans quelques jours… Qui sait… Y penser et le désirer. Peut etre que dans quelques jours ma mère se carresserait en pensant à ma queue.

A suivre

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