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Chantal, la soeur de Marilyn. Ch.09

Chantal, la soeur de Marilyn. Ch.09



Chapitre 9 : Premier trio avec Chantal.
Chantal m’a déjà parlé de Paul, suffisamment pour me faire une idée de lui. Il a 2 ans de plus que ma jeune nièce Chantal et elle m’a affirmé qu’il est vraiment mignon et très intelligent. Ce dernier point n’est pas fait pour me rassurer.
Je me demande s’il veut me faire chanter pour m’extorquer du fric et franchement s’il faut en passer par là, je serais heureux de lui donner quelques Euros pour qu’il nous foute la paix. Mais il reste toujours un risque que je devienne la source de ses revenus futurs.

Le lendemain, je suis allé m’acheter un petit appareil enregistreur de voix qui peut se dissimuler facilement sur soi, sorte d’assurance si ce gamin veut me faire chanter.
Le lendemain suivant, Chantal qui regarde par la fenêtre me dit.
– Tonton…il est là !
Je regarde et je vois un garçon pas aussi imposant que je me l’imaginais, pas plus grand que ma nièce et presque aussi maigre, avec un sourire narquois et les cheveux blonds, longs et sales. Quand Chantal est allée lui ouvrir la porte, je me demande combien de côtes je vais lui casser s’il veut nous faire chier.
– Salut, Bébé ! Glapit-il en entrant.
Je constate avec plaisir que Chantal tourne son visage quand il veut l’embrasser et que ses lèvres se portent sur sa joue au lieu de ses lèvres.
– Et vous devez être Jacques, son Tonton… Enchanté de vous rencontrer, monsieur.
Me dit-il en laissant tomber son sac de sport et me tendant sa main.
J’ai hésité quelques secondes avant de lui donner une poignée de main très ferme et brève.
Dans la cuisine, assis autour de la table, on s’observe nerveusement et ma tension artérielle commence à augmenter. Paul garde toujours ce sourire qui me tape sur les nerfs et il sort de son sac une bouteille de Whisky.
– Nous allons prendre un verre pour célébrer notre rencontre !
Machinalement je sors deux verres du buffet et je lui dis.
– Chantal n’est pas en âge de boire de l’alcool.
– Oh, croyez-moi, elle en a déjà bu ! Et elle est majeure maintenant. N’est-ce pas Bébé ?
– Peut-être, mais pas chez moi, jeune homme.
– Whaou ! OK, nous n’allons pas la dévergonder maintenant !
– Pouvez-vous me dire l’objet de votre visite ?
Demandai-je sèchement.
Malgré mon ton assez sec, il reste imperturbable et il sirote lentement son verre de whisky avant de sortir son portable de son sac.
– Je crois que nous avons besoin d’un peu de divertissement pour égayer notre rencontre.
Paul manipule quelques touches de son portable en disant.
– Maintenant, imaginez le coup de massue que j’ai pris quand ma petite amie, l’amour de ma vie, a rompu avec moi et qu’elle m’a avoué être infidèle.
– Je ne suis pas ta petite amie !
Crie ma nièce avec un air de défi, malgré une larme qui coule sur sa joue.
Et la voix de Chantal sort du portable.
………………………
« Je suis heureuse de te dire que je viens de découvrir ce que s’est un homme, un vrai ! Sa bite est si grande… bien plus grande que ta bistouquette ! »
…………………………
– Aïe. Ça… ce n’est pas très agréable…Bébé.
Dit Paul en arrêtant l’enregistrement.
– Et ce n’est pas tout ! Dit-il en remettant en route.
………………………
« Ta bite est si épaisse que je ne peux pas la prendre entièrement dans ma bouche. Je veux que tu éjacule encore sur mon visage, j’adore ça, Tonton.
-Ma puce, je ne sais pas si je peux encore recommencer tout de suite. »
(Putain on reconnait bien ma voix)
« – Eh bien moi je parie que tu peux. Je suis sûre que tu vas aimer ça, mon Tonton d’amour !
– OOOoohhhhh…. »
(Là, c’est moi qui gémis comme dans un bon film porno)
« Ooh, ouiiiiii, suce ma puce. Oooh, punaise ! J’adore quand tu suces mes couilles !
– Tu vois que tu peux encore bander, Tonton. »
(Chantal me chatouillait le gland avec ses amygdales tout en caressant mes testicules)
« – Ouais… mais je ne suis pas vraiment dur !
– Monte sur le lit, Tonton, et mets-toi à genoux sur tes mains. »
(Bruit de draps et grincements du lit quand je monte dessus.)
« – Quand Paul ne rebande pas assez vite, et c’est assez fréquent, je lui fais ça. »
(Silence pendant une brève seconde, brisé par mon gémissement guttural suivi de jurons grossiers)
« – Tu aimes ça, Tonton… Je continue…
– Ooooh, ouiii, bien sur ma chérie ! Surtout n’arrête pas !
– Surement pas ! Je t’aime beaucoup trop Tonton.
Paul m’oblige à lui faire ça, mais avec toi, j’ai vraiment envie de le faire.
– Oooohhh, Chantal… c’est sublime… aaaahhhhh, ouiii, lèche bien mon trou du cul ! Tu vas me faire jouir ma puce. »
J’avais les yeux fermés en écoutant ma voix qu’on reconnaissait bien tandis que Chantal sanglotait sur sa chaise. C’est ma voix, mais je ne peux pas croire que j’ai dit ça ! Mais la preuve est là !
Le bouquet final c’est quand j’ai éjaculé sur la figure de Chantal en grognant comme un fauve et en entendant les sons que Chantal faisait en tentant d’avaler mon foutre et en manquant de s’étouffer.
Paul ferme stoïquement son portable pour arrêter cette torture. Nous restons assis pendant une minute, écoutant les reniflements de Chantal, puis il se lève et dit.
– Si nous allions prendre l’air, Tonton…
Et il se dirige vers le jardin.
Je tape sur l’épaule de Chantal pour la rassurer et je suis Paul en m’assurant que mon enregistreur est toujours accroché sur ma hanche. Il m’a fallu un certain temps pour m’y habituer, mais j’ai décidé d’enregistrer chaque mot que nous échangerons. Cela pourrait être utile et peut être me donner une arme contre ce morveux.
– C’est chouette chez vous, monsieur. Tout ça c’est à vous !
– Oui, jusqu’aux haies derrière la grange. Pourquoi, vous compter vous installer.
– Non, Monsieur, Je pense que vous avez tout faux.
– Ah bon…Je suis tout ouïe…
– Ce que vous avez fait avec Chantal ne me touche pas. Même si c’est dégueulasse de coucher avec sa très jeune nièce ! Pour moi Chantal était juste une fille pour passer du bon temps avec, vous voyez ce que je veux dire ?
– Vous voulez dire que vous vous en fichez d’elle ?
– Pas du tout ! Je l’aime bien…mais je ne suis pas amoureux d’elle. Elle est libre de baiser avec qui elle veut. En plus elle est quand même maigrichonne, pas grand-chose à regarder et ses seins sont assez tristes.
Je mets ma main sur son épaule et je lui dis.
– Écoute, j’essaye de garder mon sang-froid, mais si tu insultes ma nièce que j’aime, je pourrais le perdre. Je te conseille d’arrêter tes conneries.
– Eh…ne t’énerve pas, Tonton. Je ne comprends pas pourquoi une jeune chatte comme Chantal aime les mecs de ton âge, et de plus… son oncle. Mais les faits sont des faits.
– Alors pourquoi ne pas en venir tout de suite à ce que vous voulez ? Vous êtes venu ici pour me faire du chantage, il suffit de me dire ce que vous voulez, au lieu d’estimer la valeur de ma propriété.
– Whaooo ! Le chantage est interdit par la loi. Ce n’est pas du tout mon truc ! En plus je veux être Avocat !
– Tiens donc ! Pourquoi ne suis-je pas surpris ! Et arrêtez de m’appeler Tonton !
– Non, j’aime bien la façon que ça sonne ! Donc je vais continuer de vous appeler Tonton.
Dit calmement Paul avant d’ajouter.
– Bien sûr vous préférez entendre Chantal dire des trucs comme ça, « Oh Tonton, ta bite est si grande, si grosse ! Jouis sur mon visage Tonton. »
– Mon petit gars, fais quand même attention. Ici c’est la campagne, un accident est si vite arrivé…et on met très longtemps à retrouver un corps…
– Oh, mais j’ai pensé à ça, Tonton. J’ai écrit une lettre à notre notaire accompagnée d’un petit enregistrement. A n’ouvrir qu’en cas de disparition ou décès prématuré
Paul pose sa main sur mon épaule et ajoute en souriant.
– j’rigole ! Mais vous avez tout faux, Tonton.
– Alors expliquez-moi ce que vous faites ici et ce que vous voulez.
– Je veux juste prendre du bon temps et surtout du plaisir. Passer de bons moments en famille… et dans 48 heures on ne parlera plus de cet enregistrement.
– Pour commencer, ce soir, tous les trois on va faire la fête. Vous…moi…et Chantal.
– Ah, oui…et quel genre de fête ?
– Du genre que vous avez avec elle depuis qu’elle vous a eu. T’as déjà fait un trio, Tonton ? On pourrait lui montrer comme on fait des bons casse-croûte.
– Quoi ! Que veux-tu dire ?
– On se la fait tous les deux en même temps, Tonton. En sandwich. Chantal dit que vous avez une grosse bite…Bien sûr, à son âge, elle n’en a pas vu beaucoup pour comparer, et la mienne elle ne l’a eu que dans son petit cul. Par contre, moi je sais reconnaitre une belle queue quand j’en vois une.
– Tous les trois, ensemble dans mon lit…
– ça va être d’enfer ! Tonton. Dit Paul avant de continuer.
– Vous savez, j’ai été son premier mec… enfin … presque. C’était le top ! Elle couinait comme une truie lorsque je l’ai baisé par derrière, dans son petit trou ! Tu vois le quel…hein, tonton.
– je ne veux plus rien entendre sur ce sujet.
– Elle avait vraiment envie de se faire sauter cette pucelle lorsque je l’ai ramassée une nuit lors d’une fête un peu débridée. Elle s’est dégonflée et je n’ai eu droit qu’à une petite pipe. Mais s’est une chaude du cul, la Chantal. On a fait un tas de truc ensemble et j’étais à deux doigts… de lui faire sauter sa pastille lorsqu’elle m’a annoncé qu’elle partait passer des vacances chez son oncle.
– Et alors…il n’y a rien de mal à vouloir rester pucelle !
– Peu importe. Elle a aimé ça, ma queue dans son trou du cul, et moi aussi. Mais ce n’était qu’un coup de queue. Une baise pour tuer le temps.
– Donc, si je comprends bien, on baise à trois ce soir puis vous disparaissez ?
– J’ai dit 48 heures ! Demain j’ai invité quelques potes et nous ferons une fête du tonnerre de dieu.
– Vous voulez dire que vos amis vont s’amuser avec Chantal…
– tout juste Tonton. Comme toi tu t’amuses avec ta putain de petite nièce.
– Et vous croyez que je vais vous laisser faire !
– Mais tu peux te joindre à nous. Ce serait encore mieux, Tonton ! On lui remplirait tous ses trous à bites ! Et ne vous souciez pas de ce qu’ils peuvent penser. Je ne leur ai pas dit que vous êtes son Tonton d’amour. Ils pensent que je suis un pervers fou de sexe, surtout après leur rencontre avec ma mère.
– Tu as baisé avec ta mère et tes potes….
– Toutes les familles ont leurs squelettes dans les placards, Pas vous…Tonton ?
– Et après qu’est ce qui se passe ?
– Nous partons. Je ne vois plus jamais Chantal. Vous ne reverrez jamais mes potes et vous et Chantal pouvez baiser aussi longtemps que vous vivrez. Peu m’importe. Vous pouvez même avoir mon téléphone en plus. Si par hasard vous avez besoin d’aide…
– Et quand pense Chantal. Elle a quand même son mot à dire. Elle ne va surement pas accepter de faire ça.
– Vous plaisantez ! Dit Paul en riant. Elle va faire tout ce que vous lui demanderez. Ou bien vous ne la connaissez pas encore très bien. Cette salope m’a léché le cul le soir même que nous nous sommes rencontrés. Dites-lui de faire quelque chose et elle le fait. Demandez à ma mère.
– Votre mère…que vient-elle faire dans cette histoire…
« Je ne me suis pas rappelé tout de suite que c’est sa mère qui a initié Chantal au plaisir lesbien. J’espère qu’il mentionnera quelque chose que je pourrais utiliser contre lui. »
– Ma mère est la plus grande salope de la planète et mon père est le plus vicieux et le plus pervers. Mais détends-toi, Tonton j’expliquerais tout à Chantal moi-même, donc vous ne serez pas directement impliqué dans ce qui va se passer.
– OK. Je suis surement un vieux salaud mais je tiens à te prévenir que Chantal ne devra subir aucun dommage corporel. Au moindre dérapage, si je dis stop ! C’est stop ! Compris ?

Paul a ensuite entrainé Chantal dehors pour avoir une conversation avec elle et ils sont revenus 2 heures après.
Lorsque Paul c’est éloigné un moment, Chantal m’a dit.
– Je suis désolé pour tous ce qui arrive, Tonton.
Elle reprend sa respiration, pousse un gros soupir et ajoute.
– Je ferais tous ce que Paul…et toi, me demanderez. Après, quand il sera parti, nous serons de nouveau ensemble, rien que nous deux et on ne le reverra plus jamais !
Je l’embrasse et je lui dis.
– Je serais toujours près de toi. Tu n’as rien à craindre, ma puce.
Avant d’aller nous coucher je vais prendre une douche en pensant quand même que je suis un beau salaud d’accepter les conditions de ce môme.
Mais je ne peux pas nier que ça m’excite de faire un trio. Pas exactement le même genre de trio que j’ai apprécié avec Marilyn et son amie Stéphanie, ou j’ai joué le mâle dominant avec deux femelles. Avec un autre gars ? C’est un jeu de sexe tout à fait différent.
Je pense aussi à Max, le vendeur du sexe shop qui nous a regardés dans la cabine. Ça ne m’a pas gêné qu’il nous regarde furtivement pendant que Chantal me taillait une superbe pipe. Au contraire… j’ai souvent repensé cette scène depuis ce jour, et j’ai fantasmé sur les différentes fins possibles à cette aventure quand j’ai suggéré à Chantal de faire l’amour avec lui et moi. J’ai peut-être manqué ma vocation, celle d’un acteur porno !

Quand je rentre dans ma chambre juste avec mon peignoir de bain, Paul est déjà en train de déshabiller Chantal et lorsqu’elle est complètement nue, il lui demande de faire de même avec lui.
Paul est assez maigre et il me regarde d’un air goguenard pendant que Chantal le déshabille. Chantal montre une étonnante absence d’émotion, et Paul doit même lui faciliter la tâche en baissant lui-même son boxer.
Il semble très fier de son corps et je manque de pouffer quand j’aperçois sa queue qui ressemble à un minuscule petit tube qui se balance sous une modeste touffe de poils. Chantal ne plaisantait pas lorsqu’elle m’a fait son commentaire sur sa taille !
Paul tire la tête de ma nièce vers sa bite, et après m’avoir jeté un coup d’œil, Chantal commence à sucer sa bistouquette. Il s’allonge quand même pas mal mais surement pas plus de 12 ou 13 cm et le bout est recourbé vers le haut.
– Oui, bébé…suce-là bien. C’est bon. Prends là bien dans ta bouche.
Dit Paul en se penchant vers elle et caressant ses cheveux roux ondulés. Chantal n’a vraiment aucune difficulté à se l’enfoncer entièrement dans sa petite bouche !
Voir ma Nièce sucer une autre bite que la mienne me fait de l’effet et sous mon peignoir, ma bite est déjà bien dressée. Paul demande à Chantal de s’occuper de moi et lorsqu’elle ouvre mon peignoir pour le faire glisser sur mes épaules, j’entends Paul s’exclamer.
– Fils de pute ! La putain de bite ! Vous êtes monté comme un étalon, Tonton.
J’ignore la main qu’il pose sur mon épaule car Chantal att**** fièrement ma grosse queue en jetant un regard de dédain à Paul avant de commencer à lécher puis à sucer mon gland. Je suis devenu immédiatement complètement dur et très excité. Paul se rapproche de moi.
– Chantal, suce nos deux bites ensemble.
Dit-il en se pressant contre moi.
Chantal a suffisamment de quoi s’occuper avec ma bite dans sa bouche mais elle commence à faire des allers retours entre nos deux sexes afin de ne pas vexer Paul. Il me semble d’ailleurs que Paul prend plus de plaisir à regarder Chantal sucer mon gland que lorsqu’elle avale sans peine toute sa petite bite.
– Maintenant tu vas te faire baiser par ton Tonton. Je veux te voir hurler comme une chienne en chaleur qui se fait défoncer !
Je lui jette un regard de tueur en lui disant.
– C’est la dernière fois que j’entends ce mot sortir de ta bouche !
– C’est bon Tonton…Fais pas attention à ce qu’il dit. Fait moi l’amour, fais-moi jouir, Tonton.
Chantal se retrouve sur le lit, ses cuisses grandes ouvertes, m’offrant sa toison rousse qui me semble humide. Je passe ma main dessus et je constate que cette situation l’a fait quand même bien mouiller
– Viens Tonton, prends-moi. Je suis prête.
Sous l’œil vigilant de Paul, je me mets entre ses cuisses, ma bite en main. Je frotte de bas en haut sa jeune chatte si accueillante avant de me pencher sur elle et pousser ma queue entre ses lèvres roses. On a fait cela tellement de fois que la petite chatte de Chantal est habituée à ma taille, mais elle reste quand même très étroite et elle serre sacrement ma bite au début.
– OOoohh, Tonton, ouiiiiiii… C’est si bon ! J’adore la sentir ta grosse queue.
Gémit-elle quand je m’enfonce doucement en elle.
J’ai l’impression qu’elle exagère un peu, même si c’est une fille très active et expressive quand elle fait l’amour. Si elle essaye de m’exciter, elle a réussi. Si c’est pour rendre Paul jaloux, ça ne marche pas !
– AAaahhh, la vache ! S’exclame Paul en regardant ma queue disparaître entre le buisson ardent de Chantal.
– Putain ! Tu aimes ça ! Hein Chantal ? Tu aimes les grosses bites dans ta chatte…
Chantal ne lui répond pas mais continue de geindre plus fort quand je commence à la baiser doucement. Ma queue va et vient sur toute sa longueur dans sa chatte maintenant très humide et dilatée.
Paul soulève un de ses bras et s’exclame.
– La vache ! Ce n’est pas vrai ! Tu lui as rasé les aisselles, Tonton !
Je lui dirais bien de fermer sa grande gueule mais c’est le corps de Chantal qui commence à trembler qui monopolise toute mon attention. J’accélère le mouvement et 5 secondes après, son orgasme éclate.
– AAAAAAHHHHHHH, OOOOUIIIIIIIII ! OOOOOHHHHHHH, OUIIIIIIIIIIIIIII !
Sa jouissance est encore plus forte et plus spasmodique que d’habitude, et c’est surement pour faire chier Paul. Mais à la façon dont sa chatte à écrasé ma bite, je sais qu’elle a bien jouit.
– Mets-toi sur le dos, Tonton ! Ordonne Paul.
Je ne réalise même pas que c’est un ordre car je me laisse tomber sur le côté en entrainant ma nièce sans nous désaccoupler. Elle se retrouve à cheval sur moi, bien empalée par ma queue bien dure.
– Tonton, tu me fais si bien jouir ! C’est bon ta bite dans ma chatte ! Je la sens si bien !
Murmure Chantal en se penchant vers moi. Mais c’est aussi à l’attention de Paul qui est à coté de nous.
– Whaou ! Ça semble irréel,
Dit Paul en voyant Chantal monter et descendre son petit cul sur ma bite toute droite qui disparait entièrement, puis réapparait presque en totalité en déformant sa petite chatte et ses lèvres qui roulent autour de ma grosse queue.
– Penche-toi en avant, Bébé ! Je veux te prendre en même temps.
Paul chevauche mes jambes, pousse un peu plus Chantal vers la tête de lit, pendant qu’il essaye de lui fourrer sa bite par derrière. Je pense qu’il cherche son petit trou du cul pour la prendre en sandwich.
Chantal pousse un petit couinement et me regarde avec un regard étonné et j’entends Paul crier.
– Ouais ! Ça rentre !
Et moi je sens quelque chose de bizarre sur ma bite.
Il me faut quelques secondes pour comprendre, mais quand je sens sa bite frotter contre la mienne je suis fixé ! Il lui a mis sa bite dans sa chatte contre la mienne et il grogne de plaisir.
– Putain ! C’est vachement serré ! Mais c’est fantastique ! Hein Chantal…c’est bon… Aaaahhh.
Et ce petit con jouit dans la chatte de Chantal déjà remplie par ma bite. Il se retire et déclare avec enthousiasme.
– Comment t’as trouvé ça Chantal ? Pendant tous les derniers mois tu n’as jamais eu de bites dans ta chatte et aujourd’hui tu en as eu deux à la fois ! Par contre ton Tonton chéri ne t’a pas encore comblé.
Il m’énerve à m’appeler Tonton et sentir sa petite queue dans la chatte de Chantal, en même temps que la mienne, m’a un peu déconcentré. Tant est si bien que j’ai perdu une bonne partie de mon érection. Je suis toujours en mesure de rester à l’intérieur de sa chatte, mais à peine.

– Tonton, laisse-moi te sucer.
– Dit Chantal, venant à mon secours, quand elle réalise ce qu’il m’arrive.
Je suis un peu honteux de ce qui m’arrive, mais j’ai été vraiment pris par surprise. Heureusement, dès que Chantal suce mon sexe ramolli tout en le branlant avec ses mains, il retrouve toute sa dureté et sa grosseur.
– Ouiiii ! Suce sa putain de grosse bite !
Crie Paul tout en martyrisant sa bite d’une main.
– Fais jouir ton oncle. Vas-y bébé, fini-le !
Je me concentre sur la vue des lèvres de Chantal qui coulissent sur ma queue qu’elle tient fermement, ignorant cet enfoiré de Paul. Je caresse ses cheveux roux bouclés en gémissant doucement jusqu’à ce que, finalement, j’éclate dans sa bouche en jets puissant et que mon sperme, glissant le long de ma bite, suinte autour de ses lèvres.
– J’en ai encore pour toi, Bébé ! Gueule Paul.
Il tire Chantal par ses cheveux, retirant ma bite de sa bouche, pour présenter la sienne, juste à temps, pour que Chantal reçoive sur sa bouche et sa figure d’autres giclées de sperme.
En le regardant se finir tout en frottant sa bite dégoulinante sur ses joues, avant de relâcher ses cheveux, je me dis que c’est surement un éjaculateur précoce mais que c’est beau d’être jeune et de récupérer si vite.
Je file immédiatement dans la salle de bain, les laissant seuls tous les deux.
Quand je reviens dans ma chambre, Chantal sort de la pièce avec Paul sur ses talons.
Je les laisse passer et je vais retirer et arrêter l’enregistreur que j’avais planqué sous une chemise.
Je m’apprête à me coucher quand on cogne à la porte. J’ouvre rapidement mais ce n’est pas Chantal comme je le pensais, c’est ce petit con de Paul, toujours nu comme un ver de terre, qui entre en disant.
– j’en ai pour une seconde.
Et qui passe devant moi pour aller dans la salle de bain sans attendre une invitation.
– Faites vite !
Dis-je tout en me rendant compte que je suis aussi à poil.
Deux mecs tous nus dans la même pièce ce n’est pas mon truc et en plus, ça me rend mal à l’aise, mais lui ça ne le gêne pas le moins du monde.
– C’était sensass, tous les trois ensemble…hein Tonton ?
– Je ne suis pas ton Tonton, et je serai heureux quand tu sortiras hors de ma vie, comme tu me l’as promis.
– Cette nuit elle reste avec moi. Demain, Tonton, la petite Chantal va se prendre plein de queues dans ses jolis petits trous.
Je sais que je n’ai pas vraiment le choix et je me retiens.
– Je ne sais pas exactement combien ils seront mais ça va être une belle partouze car ils adorent les salopes comme ta nièce. Et merci de l’avoir si bien éduquée…

Paul, avec un sourire salace quitte ma chambre pour rejoindre celle de Chantal, et je l’entends verrouiller la porte derrière lui. Par la suite, pendant plus de deux heures, j’ai entendu des bruits très explicites de chairs claquants l’une contre l’autre, sous les grognements et grossièretés de ce petit salaud et les cris et gémissements de Chantal qu’il a réussi à faire jouir 3 ou 4 fois.

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