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Mûres10/Brigitte en latex à 73ans

Mûres10/Brigitte en latex à 73ans



D’emblée, Brigitte a montré un tempérament de suceuse.
Notre première rencontre au lit, on aurait pu l’imaginer ainsi: la vieille dame écarte les jambes pour donner à manger à sa petite fente moussue, qui n’a pas mouillé ni reçu de la bite depuis longtemps.
Au lieu de cela, le jeune homme et la dame respectable qui parlaient avec réserve il y a quelques jours dans un restaurant chic sont maintenant dans la situation suivante: l’homme agenouillé au-dessus de la dame donne de petits
coups de bassin pour faire coulisser son gland dans la bouche de Brigitte.
La scène a duré quelques temps, ce n’était pas un préliminaire vite fait, mais un véritable coït buccal, qui semblait en lui-même un aboutissement.
Je ne l’ai pas pénétrée ainsi juste pour me chauffer. Je me rappelle avoir senti sa langue m’offrir des mouvements secondaires, une langue rose détendue, bien à plat…geste de lécheuse qui prend son temps, qui me pousse à goûter ces instants en ralentissant le mouvement, quitte à rester parfois immobile pour laisser agir les attouchements veloutés de la langue caressante.
J’ai raconté ma propre envie de lui lécher le cul, en la maintenant dans une position très offerte, afin qu’elle assume son tempérament de salope.
Pendant plusieurs nuits, elle a continué de faire semblant d’être choquée, de me repousser dans une tentative un peu dégoûtante. Elle appréciait de se faire lécher la raie plus que je ne l’aurais imaginé.
en fait, elle adorait cela, et c’est devenu une habitude.
Je lui proposais de se placer sur le ventre, sur un coussin pour lui relever ses belles fesses. Pour la forme, elle protestait mollement quand je lui écartais les fesses. Un peu comme une adulte qui ne peut empêcher les caprices d’un enfant…comme si elle voulait dire: « puisque tu y tiens tant, puisque tu es si vicieux, eh bien passe ta langue dans ma raie! Je veux bien me laisser faire ».
Le cul bien léché, Brigitte était plus douce, plus fluide, et perdait son côté rigide, ainsi que sa distinction un peu raide.
Elle n’est pas tout de suite devenue la grande enculée qu’elle fut plus tard.
Je n’étais pas encore ce jeune homme atypique qui n’arrête pas de gémir de plaisir jour après jour en se vidant les couilles dans la rondelle accueillante d’une jolie vieille dame.
Avant toute pénétration vaginale, Brigitte craignait d’avoir mal, d’être trop sèche. Elle s’enduisait donc préalablement le vagin avec un lubrifiant. L’année précédente, elle avait eu quelques rapports avec un pépère prétentieux qui cherchait par le biais d’une petite annonce, une geisha, une cuisinière et une femme de ménage dans la même personne.
Brigitte n’avait pu subir les assauts de ce rhinocéros qu’avec l’aide d’un lubrifiant.
Quelle ne fut pas sa surprise d’accueillir facilement ma grosse tige dans son vagin, non seulement sans lubrifiant, mais encore en mouillant de telle façon que mes allers et retours produisaient dans la blancheur luxueuse de la chambre à coucher de petits bruits de succion qui, ajoutés à nos soupirs, composaient une symphonie pornographique.
J’aimerais consigner tous les détails dont je me souviens dans cette confession obscène. C’est impossible de le faire de façon logique et linéaire. Il me sera nécessaire de revenir sur certains détails pour les développer dans d’autres directions, pour les placer sous ma loupe vicieuse.
Nos séances de sexe sont devenues plus crues lorsque j’ai ramené à Brigitte un vibromasseur et une combinaison en latex, achetés dans un sex-shop.
Si je lui avais demandé si de tels objets pouvaient l’intéresser, elle aurait bien sûr répondu non, avec un air moitié amusé, moitié choqué. Maintenant que le sac en plastique noir, venu directement du magasin, était posé sur sa table, elle ne pouvait s’empêcher de se réjouir comme une gamine qui va faire quelque chose d’interdit.
Toute contente, Brigitte enfila la combinaison en latex sous forme de bustier qui passait sous sa poitrine en laissant les seins à l’air, le noir laqué mettant en valeur leur douceur blanche, et la fragilité timide des tétons.
C’est peut-être une question de goût, mais à chaque fois qu’une dame féminine, mûre et distinguée s’habille en pute, avec du cuir ou du latex, avec l’intention de faire bander, de faire juter, de faire la salope, l’excitation m’atteint comme un coup de poing dans le ventre.
C’était trop beau…la première fois qu’elle est sortie de la salle de bain, en haut talons, en bas résille, les seins hors du bustier, je suis resté à distance pour bien la regarder.
Austère et distinguée, et chienne tout à la fois.
Dame chic au yeux du monde, comtesse pute et salope à la maison, pour exciter un jeune homme.
Heureuse de laisser cet aspect de sa personnalité s’épanouir, elle se dirige volontiers vers le canapé de cuir de son salon pour répondre à ma demande.
Elle s’allonge, et se touche en souriant.
Je la fixe comme un fou, je me branle, mais reste à distance, fasciné par le contraste entre son visage aristocratique, et ses seins qui dépassent du bustier, sa fente ouverte qu’elle parcourt de sa vieille main baguée, son air rêveur pendant qu’elle se branle.
Finalement, je n’y tiens plus, je m’approche. Debout devant elle, la queue dressée, elle me regarde et sort le bout de sa langue.
J’approche ma verge, elle tourne la tête et sort bien sa langue pour me lécher comme une glace.
Une vieille dame chic suce encore mieux quand elle se touche en même temps, et qu’un costume en latex l’aide à se sentir bien pute.

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