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Alexis Avenir Sexe N° 8

Alexis Avenir Sexe N° 8



Avocat & Banquier ****

Justine revint en fin d’après-midi, passe par la cuisine ou elle avertie Doudou que nous serions 2 ou 3 de plus pour le diner ; en arrivent au bord de la piscine , elle s’empresse de se dévêtir pour se jeter à l’eau pour prendre un peu de fraicheur, puis fait le tour de tous ses corps offerts, nus sous le soleil profitant pour caressées ces sexes ouverts qui n’attendent que cela, petit baisé pour l’une, un doigt pour l’autre, ou étirement d’un bout de sein pour une autre..

Nous nous regroupons autour d’une table ou Doudou vient de déposer des boissons fraiches, bière et limonade, ainsi que des tranches de melon et des pêches qui sortent du réfrigérateur.

Justine nous raconte son entretien et le repas qui a suivie :

L’homme que j’ai eu devant moi était très élégant, la quarantaine, manucurée, svelte, costume et chaussures italienne, grosse chevalière, un peu in but de sa personne, donc je me suis régalé de le déstabiliser, j’aime ça et ce fût très facile.
Il me reçoit dans le hall de ses bureaux après m’avoir fait poireauter environs 10 mn.
J’attends pour me lever qu’il soit devant moi et là je décroise les jambes assez empalement pour qu’il puisse les admirées, en lui offrent un immense sourire, nous échangeons nos salutation, puis, il me fait passe devant lui et je sais qu’il a une vue sur ma chute de reins et le haut de mes fesses, c’est le moment que je choisi pour retirer mon écharpe en soie de mes épaules et dévoiler mon dos nu qui descend jusqu’à la naissance de mes fesses, sous cette robe je ne porte que ma chaine de tour de taille en or que l’on voie à la limite de mon décollète du dos, je sens son regard figé sur mes reins.
Je m’installe dans le fauteuil qu’il m’offre, et nous entamons nos discutions pour voir les différents engagements qu’il doit prévoir pour mon projet immobilier ou je suis partie prenante majoritaire en investissement.
A plusieurs reprise je suis oblige de me pencher sur son bureau face à lui pour regarder certain éléments ce qui lui a offert chaque fois une vue sur mon décolleté ouvert jusque entre mes seins nus libres, dont un porte un tatouage de forme typiquement tahitien.
Les degrés monte dans sa tête et son pantalon, lorsqu’il me propose de m’inviter au restaurent, je l’attends penser qu’il a envie de me draguer, de plus il a appelé son avocat conseillé juridique, pour venir manger avec nous de façon à voir certain points juridique, je lui rétorque qu’entre avocat, je suis avocate de formation, nous allions bien nous entendre !!!
Sous entendu à peine voiler !!…
Il avait réservé dans un restaurent très chic en périphérie d’Aix et avait demandé un salon privé.
Lorsque nous arrivons Jacques, l’avocat est déjà là,
Présentation, flatteries légèrement orientées
Cela vas être un plaisir de travailler pour et avec une femme aussi charmante!!… Séduisante à souhait !!…..me dit cet avocat charmeur.

Le maitre d’hôtel nous conduisit dans le salon prive qui a était retenu
Le notaire lui demande :
Vous nous faite apportez du champagne et des petits amuses bouche ??
Nous avons besoin de 30 mn de tranquillité !!
Bien sur monsieur !!
Au cours de cette demi heure l’ont abordât les quelques points que nous devions examinés, le champagne rend l’atmosphère plus décontractée, les 2 hommes tombèrent veste et cravate, moi de mon cote je fais en sorte que ma robe remonte très haut sur mes cuisses, nous avons de grand fauteuils en cuir et de toutes petites tables basses entre les deux, les débats termine nous avons achevé la bouteille et ils en commandent une nouvelle.
Le maitre d’hôtel avait déposé les cartes des menue et des vins en nous livrant la première bouteille, il en profite pour prendre la commende en livrant la seconde, invoquant l’heure qui s’avance.
Les discutions n’en finissaient par, puis s’orientèrent vers les relations entre hommes et femmes, leur compétences professionnelle et surtout dans le commerce, je venais de leur faire une démonstration, à ses machistes, car, je venais d’obtenir ce que je désirais et même plus, et de plus mon projet immobilier était super bien et aboutie totalement.
Je me levais pour me rendre aux toilettes, avec l’excuse habituelle pour les dames de se rafraichir ;
Au retour je ne me pose pas dans le fauteuil mais sur l’un de ses gros accoudoir, en prenant soin de relever ma robe pour poser mes fesses directement sur le cuir, la manœuvre n’échappa à aucun de mes partenaires, il aurait bien aimé être à la place de l’accoudoir ; les serveurs arrivants les deux homme rongeaient leur frein, c’est à ce moment la que je choisi pour remonter ma main le long de ma cuisse, arrivent jusqu’à mon sexe, écartent mon string j’y enfonce un doigt, je me donne un instant de plaisir devant ses hommes qui ne savaient plus que faire.

Nous passons à table et sans en avoir l’air les discutions reprirent, nous avons été servie assez rapidement tout le long du repas je sentais le pied de l’avocat me toucher la jambe d’un cote et de l’autre cote Pierre Henry en faisait autan, le repas se terminait comme cela, les deux hommes avait le feu et je n’étais pas mieux qu’eux, mais je contrôlais la situation ;

M’éclipsant une nouvelle fois pour aller aux toilettes, lorsque je reviens les deux hommes ce sont installés sur la bergère provençale, à l’oppose des fauteuils, sur la table basse devant eux il y a du café des petits chocolats et des pralines, à cote une boite à cigare en bois de rose ;
J’att**** le dossier d’un fauteuil et le tire jusqu’à la table, les deux gaillards sont en attentent de ce que je vais faire, je me pose juste au bord de l’assise les fesses sur le cuir frais, cela me fait du bien ;
J’écarte les jambes assez largement et demande, après avoir avale une gorgé de café, pourriez-vous m’offrir un cirage ?
Leurs yeux s’élargissent ! Un bien sur ma chère, sort naturellement de la bouche de l’avocat un peu sèche, la salive commence à lui manquer.

Je jette ma main dans mon sac, pendent que Jaques ouvre et me tend la boite, j’ai sortie ma guillotine à cigare personnelle, la surprise est encore plus grande, mais ils n’en sont pas encore au bout.
Je choisi un cigare, ce sont des Cubain, je le roule entre les doigts contre mon oreille pour vérifier qu’il ne soit pas trop sec, puis, je me glisse un peu plus en avent sur l’assise du fauteuil écartent encore les jambes, d’une lenteur calculée ; j’enfonce la totalité du cigare dans mon sexe béant et trempé, je le fais tourner puis le ressort le décapite, le porte à mes lèvre pour l’allumer, je tire une très longue goulée que je souffle vers Pierre Henry, puis je bascule en arrière pour poser ma tête contre le dossier de ce fauteuil sur le quel j’ai décidé de me faire prendre par ses deux étalons bouillants et excitais au plus haut point.

Je tire toujours sur mon cigare lorsque Jacques commence à me fouiller avec la lange mon abricot suintent, Pierre Henry vient gouter mon cigare, et me fait avaler sa grosse pine que j’aspire comme sur le cirage, il est tendu comme une corde à piano, prête à se rompre, en très peu de temps je le fait se rependre dans ma bouche dans un râle d’agonie.
Jacques me retourne, la poitrine sur le dossier du fauteuil à genoux sur l’assise il me plante d’un cout sec et ses couilles viennent cogner mon clitoris, le va et viens dure très peu de temps car lui aussi est prés à exploser, je suis partie sur un orgasme des la pénétration et je beugle fort lorsque je reçois le flot de foutre dans mon ventre, Jacques s’écroule sur mon dos rompu il ne peut plus bouger, nous glissons dans le fauteuil.

Au bout de quelque minute Pierre Henry a retrouve de nouvelles ressources et revient se présenter à moi et avec plaisir je le flatte du bout de la langue, je me relève, pour qu’il puisse venir me brouter le minou se dont il s’acquitte très bien, ma robe est passée par dessus ma tête j’ai pose un pied sur, l’accoudoir du fauteuil, il me pénètre jusqu’à la garde, s’accroche à mes hanche me bourrant comme un sauvage , mes seins sont au niveau de la bouche de Jacques et il s’adonne à une sussions très délicate et divine, je part à jouir plusieurs fois coup sur coup ,je ne sais plus ou je suis.
Pierre Henry me lâche pour que je puisse m’empaler sur la bite de Jacques une fois bien remplie, il me caresse l’anus qui s’ouvre sous cette caresse et il se replante en moi en me faisant pousser un cris, je n’ai plus de place ,au bout de quelques minutes, comblé je reçois leurs foutre au plus profond de moi avec un immense plaisir.
Nous nous affalons sur la banquette, épuisés, la digestion aident nous fermons quelque minutes les yeux et lorsque j’émerge, Jacques est en train de pratiquer une fellation à Pierre Henry qui apprécie les yeux fermés, sa verge en érection disparait totalement dans cette bouche experte, je me glisse sous Jacques et me met à pratiquer la même chose sur lui, il apprécie aussi et son sexe se dresse, il a lâché la bite de Pierre Henry qui m’enjambe pour ce placer derrière lui et juste au dessus de moi, il le pénètre dans un long râle, Jacques a poussé ouah !! Et je perçois au travers de se sexe que j’ai en bouche les coups de boutoir que prend Jacques, et je comprends les râles qu’il pousse et puis un immense cri, Pierre Henry se déverse en lui, quelque secondes après c’est lui qui se déverse dans ma bouche, j’en conservant la totalité en bouche, je me relève, et l’embrassent à plaine bouche, je lui rends son propre jus, qu’il récupère, puis, après avoir dégluti il me remercie.
Ils sont affalés touts les deux toujours l’un dans l’autre, après avoir rendu sa semence à Jacques, j’enfile ma robe fourreau réajuste mon maquillage en passe au toilettes pour me rafraichir, je récupère mon sac et mes dossiers, les embrassent sur la joue avec un, a bientôt on se téléphone ;
Je saute dans la Mini et je rentre, tout le long de la route j’ai toujours l’image de ce couple d’hommes et du plaisir qu’ils ont atteint, et que j’ai pris grasse à eux, je ne peux que les en remercier. (A suivre)

Alexis Avenir Sexe N°9

Douceur de fin de journée

La fin d’après midi se termine dans la douceur, entre bavardage et plongeon dans l’eau tiède de la piscine, les dernier rayons de soleil caresse notre peau et nous plongent dans des rêveries des caresses et de la volupté érotique.

Justine à sont retour, nous a annoncée quelle a croisé Pascal et sa ravissante femme, et quelle les a invités à manger se soir, ils ne seront pas la de bonne heure à cause de leurs travail, Carmen, c’est le nom de sa femme, s’occupe de l’administratif dans leur entreprise, et lorsque je les ai vu ils partaient à une réunion de chantier, ils m’ont promis d’être la pour 20h.

Aris prépare les tables sous la terrasse et le barbecue pour les grillades, installe de grosses bougies parfumés à la citronnelle, il s’active pour que tout soit prés pour passer à table lorsque Justine le demandera.
Il est 19h30 la chaleur est encore forte malgré la descente du soleil qui roux joie à l’ouest au dessus des Alpilles.
Nous montons faire un brin de toilette, se faire belles avec nos robes toute légèretés sous les quelles nos sous vêtements ne nous gênent pas, nu comme d’habitudes, nous nous apprêtons à passer une soirée érotique très agréable
Nous espérons que Carmen voudra bien jouer avec nous; car la description que Justine nous en a fait peut laisser certain espoir !!
Jupe très courte, chemise ouverte sur un bustier noir semi-balconnet en dentelle, tatouage sur le bas du dos et code barre sur la nuque sous sa crinière brune quelle avait relève en un genre de chinions.

Il est 20h lorsque nous nous retrouvons toute dans le grand séjour la banquettes du salon était occupé par Charlie et Eve qui encadre Yan, elles sont entrain de le chauffer de façon à préparer une bonne bourre pour la nuit qui va arrive, il joue le jeu, il caresse le bout de leur seins ériges qui traverse le tissu léger de leur robe.
Il est 20h30 lorsque le bruie du gravier sous les roues du gros 4×4 de Pascal nous annonce leur arrivé, nous avons toutes déjà un verre d’apéritif en main nous le posons pour les acquiers.
Ils sont trois, Pascal nous présente sa femme et la nièce de sa femme, une jeune femme d’environ 25ans, ravissante brune aux cheveux coupé courts et à la peau très mat qui se nome Sandra, son petit bustier qui dégage ses épaules nu la met en valeur ;
Le petit short quelle a enfile laisse admirer ses longues jambes bronzes, il s’enfonce dans son sexe et partage par le milieu son entre cuisses, le pubis bombé juste au dessus laissent deviner un petit coquillage appertisent.
Les yeux de Yan ne s’y sont pas trompés, et lorsqu’il l’embrasse sur la joie tout en lui tenant la main il lui lâche un : vous êtes ravissante !!
Elle lui accorde un immense sourire, ne se démontent pas lui rétorque :
Merci, Vous aussi vous été un bel homme !!
Le ton est donné !!
Un petit sourire s’affiche sur le visage de Pascal qui a déjà entendu
Yan penser rien qu’au travers de son regard…… !!!
Carmen papote déjà avec Justine, Charlie et Eve comme de vielles copines France est resté avec moi et Pascal, Fleur et Sandra (la nièce de Carmen) encadre Yan qui est au ange car je sais que les brunes sont sa tasse de thé.

L’apéritif traine en longueur et nous finissons par passer à table, il va être 22heures, les esprits ont eu le temps de ces échauffés, et lorsque Doudou vient nous servir les hors-œuvres dans son boubou noué sur les seins mais qui baille largement sur ses cuisses nues, personnes ne semblent le remarquer ;
Carmen se penche vers Justine et à voie basse lui pose la question ??
Votre boy noir est-il monte comme on le dit de cette race??
Justine lui répond, au vous allez voir !!
Levant la tête, Justine s’adresse à toute la table et annonce
Les filles, Carmen me demande comment est monte Ari ??
La repose ne se fait pas attendre ;
Très très bien, vous verrez !!!
Justine s’est levé pour allé vérifier la suite du repas, elle parle à Ari et il rie; Les rires autour de la table confirme une ambiance de gaité conviviale c’est installée, les conversations se dirige très vite vers le libertinage et pratique de divers plaisir, les partie à plusieurs, la participation des jeunes, leur apprentissage des bonnes choses de la vie, ainsi que le respect et la douceur des plaisirs.
C’est le moment que nous choisissons, France et moi, pour nous embrasser sur la bouche, sans équivoque ; Carmen a légèrement bougé sur sa chaise, juste à cote d’elle Yan feint de l’ignorer mais il a pose une main sur son genoux et la faite coulissée sur sa cuisse repoussant le frêle tissu de sa robe en mousseline, elle a légèrement écarté les cuisses, il ce heurte maintenant à la petite barrière de dentelle de son string qu’il gratte du bout de l’ongle ;
Carmen s’appuie fort sur le bord de la table pour ne plus bouger, mais sa respiration c’est accélérée d’un coup un petit ah très discret est émit, elle est entrain de prendre et surtout d’apprécier
Ari et Doudou nous servent une spécialisée de leur pays, accompagné de riz et d’une sauce rouge à mettre dessus, mais, Justine avertie toute l’assemblée de faire très attention car la sauce est très forte et ceux qui craigne le piment doive s’abstenir.
Ari c’est approché de Carmen pour la servir, il est splendide avec sa djellaba fendue sur le cote pratiquement jusqu’à la taille d’un bleu très clair décoré d’arabesque en fil doré, il lui parle à voie basse à l’oreille de Carmen, tout en la servent , le regard de celle-ci c’est agrandie et sa bouche c’est légèrement ouverte sous l’effet de surprise, Ari de nouveau lui murmure à l’oreille, un immense sourire illumine son visage, Carmen pivote un peu sur sa chaise et sa main droite quitte la table et se glisse par la fente latérale de la djellaba, et remontent le long de la cuisse, elle rencontre très vite le gourdin d’Ari le ouah !! Quelle émet ne laisse aucun doute sur se quelle a en main, car elle ne peut pas en faire le tour avec ses doigts vu le diamètre, elle lui parle à l’oreille pour lui dire tout le bien quelle pence de l’utilisation de cet engin.
Ari lui rend son sourire en lui rétorquent bien sur un peu plus tard.

Pascal et Yan discute de travaux public et de construction ; Yan est très intéressé par les propos tenus par Pascal, car faisant des études de génie civil cela l’interpelle pas mal.
Le repas se termine dans une ambulance très chaleureuse et les différents groupes ce sont installés de manière confortable entre les transats, les gros poufs et les grands sofas extérieurs
Les deux jeunes minettes se sont certainement trouvées certain points communs car elles pouffent, dans leur coin au bord de la piscine, comme de vrais ado ; La main de Fleur caresse la jambe de Sandra, remonte dans son entre cuisses, elle ne fait rien pour la dissuader, se penche à l’oreille de sa partenaire et la mordille tout en passant sa main dans la chemise béante de Fleur qui se presse contre elle ,un petit ronronnement est émie par les deux joueuses, Fleur a enfoncé un doigt puis deux dans le sexe de sa partenaire les faisant entre et sortir rapidement ,l’abricot de Sandra suinte son plaisir , collée à Fleur elle lui dit que cela est très bon, continu je vais partir, je viens, et se met à feuler au moment ou arrive son plaisir
La main de Sandra pétrie les seins de Fleur se penche dessus après les avoir sortie elles les aspirent et mordillent les bouts
Fleur retire ses doigts du ventre de Sandra les portent à sa bouche les sussent, se penche sur sa copine et l’ambrasse à plaine bouche, elles se frottent l’une contre l’autre tout en continuent leur baise torride.

Elle revienne au affaire tout doucement dans une douceur ouatée encore lie à leur plaisir, Fleur demande à Sandra, tu n’a pas des copains que tu pourrais appeler pour que nous ayons un peu plus de mecs.
Sandra approuve, se penche att**** son sac et en tire un téléphone, compose un numéro et attend ;
Puis, au bout de quelques secondes
Allo ! Allo !
Oui c’est moi ;
Salut Bubu ; tu fais quoi !…..
Ecoute, je suis chez des amis et j’aurais besoin que tu viennes avec Fafa ou Manu ou les deux s’ils sont là.
Elle regarde Fleur et avec le pousse lever lui fait signe que c’est bon.
La conversation continue avec l’explication de l’accès à la villa
Pour finir sur : Ok je vous attends vite ; Nous sommes en manque !!!…..
Sandra et Fleur se jette l’une contre l’autre ; pour se câliner
Fleur dit : cela va être bon, nous allons nous faire une petite défonce, et j’espère qu’il y en aura pour toutes.
Sandra :
– mais bien sur, ils sont performant, à condition qu’ils n’aient pas trop bus, si non nous devrons les dégriser, sais-tu comment ??
Non, aucune idée ne répond Fleur ?
Et bien avec une fellation en leurs enfoncent un doigt dans le Qu
Elle rie toutes les deux de très bon cœur, et Fleur rajoute :
Il me tarde de les voir et de pouvoir les fairent crier, ça vas être rigolo.

Pendent ce temps Justine assiste Carmen qui est prise par Ari et qui c’est élargie un maximum car la taille de ce sexe d’ébène est assez imposante, il coulisse en elle ne lui laissant aucun répit, les vagues qui la parcourent des reins à la nuque ont déclenche des orgasmes violents qui lui font pousser des cries de bêtes, elle s’agite et sa tête fait la course du soleil ;
Justine lui a att**** la tête entrés ses mains, l’embrasse sur la bouche pour un peu la calmer, car elle vient de voir arriver Yan la bite à la main raide, prés pour une saillie, Justine a attirée la tête de Carmen contre elle sur ses seins, car elle va être prise par derrière et va connaitre le délire d’une double pénétration de grand format;
Eve toute proche a pris les fesses de Carmen et les a écartées le plus possible, Yan applique du lubrifient autour et dans l’anus en y enfoncent un, puis deux doigts, Carmen râle tout en tètent un des seins de Justine, elle attend prête à réservoir.
Yan frotte son gland sur ce petit œillet qui commence à s’ouvrir sous la flatterie, comme une bouche qui fait des bisous, il est souple et cède à la poussée s’ouvrant et avalant le membre sans effort, Carmen a prie une profonde inspiration, puis retient son souffle jusqu’au moment ou le ventre de Yan cogne à ses fesses, tout les trois se sont immobilisés, ils prennent la mesure, et avec délicatesse Yan se retire , ré lubrifie puis la pénètre de nouveau jusqu’à la garde, Carmen râle, car Ari et Yan ont pris le même rythme pour la défoncer totalement, elle n’est plus qu’une poupée de chiffon les orgasmes ne s’arrêtent pas d’exploser dans ses reins et sa tête, elle râle brillamment , cris, secoué de haut en bas au rythme des coups de boutoir de ses deux servants, les bras lèves elle a rejoint les main de Justine qui a le sexe fouillé par la langue d’Ari, et elle y prend un immense plaisir, elles posent leurs lèves les une contre les autre et un duel de langue commence, leur plaisir est total.
Yan au bout d’un long moment de pénétration se déverse dans le fourreau étroit de Carmen, se qui lui fait pousse un énorme crie suivie d’un :
Reste !! Reste encore, pousse fort !!
Yan a bien l’intension de reste planté dans ce fourreau étroit confortable et accueillant.
La chevauche dure encore de longue minute avant que Yan et Ari se retire,
Mais ce n’est pas fini pour Carmen, car Ari la place bien à quatre patte la tête au sol sur un coussin les fesses bien en l’air, il va la reprendre à la place de Yan,
Elle a compris et attend avec inquiétude l’asseau.
Ari d’une main a introduit 3 doigts en conne dans le fondement de Carmen et de l’autre se masturbe pour conservé sa raideur, il se positionne, frotte son gland contre la petite bouche ouverte ; La poussé est lente elle sent son sphincter s’ouvrir mais après se petit passage douloureux tout rentre dans l’ordre et elle avale facilement se membre énorme, elle a retenu son souffle tout le long de la pénétration, ses yeux son grand ouvert et elle n’émet aucun son, elle attend une nouvelle poussé pour commencer à apprécier ,Ari commence à accélère le rythme, elle est au bord de l’évanouissement, elle cris doucement, doucement !! Tu va me faire mourir !!
La bouche est ouverte mais il ne sort plus aucun son
Les orgasmes explosent en elle et elle ne sait plus ou elle en est, les cries sont ininterrompues et son délire est total
Puis, des mots sans suite sorte de sa bouche.
Au moment où Ari se déverse en elle, Carmen pousse un cri tel que l’on peut s’imaginer quelle souffre, en réalité, il n’en est rien, elle vient de prendre un plaisir immense et une cascade d’orgasme ses yeux se sont révulsés, elle flotte entre ciel et terre.
Au bout d’un certain temps, Carmen c’est relève, toujours avec la bite de Ari en elle, s’accroche à Justine, qu’elle l’embrasse dans le cou, seins contre seins, elle lui susurre des mots doux et surtout la remercie de se quelle vient de prendre.

Pendent se temps les trois garçons à qui Sandra a téléphonés sont arrives, accueillis par Sandra et Fleur, qui pour l’occasion se sont entoure le corps d’un paréo nouer derrière le cou, les cheveux en bataille avec l’odeur de femelles en chaleur qui viennent de se donner du plaisir ;
En les embrassent, les garçons leurs palpent les fesses nues sous le tissu, elles attendent les compliments pour leur tenue.

A suivre N° 10

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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