Chapitre 1
Je me présente, je suis Alexandre mais tout le monde m’appelle Alex, je suis ce qu’on appelle maintenant un premier de cordé. Je suis LE cadre supérieur dans une grande Banque, grand blond, musclé, toujours bien habillé, bref le genre de personne qu’on peut voir dans pub pour grosse berline allemande.
Ma vie est constituée de mon boulot dans la finance ou tout le monde me craint et m’admire, d’un grand appartement dans le 16 e arrondissement de Paris, de fête folles tous les samedi soir.
Ma vie sexuelle est plutôt bien remplie de femmes sublimes que je prends et je jette après usage tel un kleenex usagé, je profite à fond de ma vie de célibataire (sex, alcool and coke) et je n’ai rien envie de changer à cela.
BREF en résumé Les féministes me déteste et les hommes m’admiré un peu comme leur héros, je suis celui qu’il fantasme tout en menant une petite vie triste avec leurs bobone …
Ce lundi matin une stagiaire est arrivée dans mon service elle se prénomme Charlotte (un nom de bouseux), elle a 20 ans, petite brune, pas très belle mais pas moche non plus.
En gros pour aire simple quelconque.
Cette petite conne je l’ai repéré dès sa présentation pour son premier jour de stage avec son air de provinciale, ses joues rougissaient dès qu’elle croisée mon regard, j’y ai vus la ma nouvelle proie, mon nouveau jouet avec lesquels je vais pouvoir m’amuser un moment.
Dans un premier temps, J’ai commencé par lui donner des petites missions à faire pour moi dans le cadre de son stage, tâches plus ou moins ingrate qu’elle accomplissait toujours avec le sourire tout en piquant un fard à chaque fois qu’elle pénètre dans mon bureau.
– Mais qu’elle est conne me dis-je à chaque fois.
Tous les jeudis soir on prend un verre entre collègues sans les stagiaires et les secrétaires bien sûr, mais là j’invite la petite stagiaire à nous rejoindre, elle prend ça comme un privilège et en soi cela en est un, mais ce qu’elle ne sait pas c’est qu’elle va tomber mon jeu de pervers narcissique.
Jeudi soir ; nous sommes tous là dans ce bar select parisien entre requin de la finance, elle arrive, elle a mis une robe et des talons elle est plutôt mignonne mais cela n’enlève pas son côté provincial qui lui colle à la peau.
Elle me cherche du regard dans l’assemblée, je lui fais un petit signe et elle sourit et me rejoins, je lui offre un cocktail alcoolisé et entreprend de la charmer, la soirée passe et je la sens sous mon emprise, je lui propose alors d’aller s’assoir à l’écart dans une alcôve un peu isolée.
Une fois assis tous les deux je pose ma main sur sa cuisse, le rouge lui monte aux joues et ma main remonte pendant ce temps vers sa culotte, je vois son excitation montée, elle se pince les lèvres, son souffle s’accélère. Ma main atteint alors sa culotte qui est déjà toute trempée de mouille, j’écarte l’élastique pour atteindre sa petite chatte et là je sens que l’épilation ce n’est pas ça (ce sera un point à corriger), je titille son clito et je vois son désir monté crescendo.
Quand je la sens au bord l’orgasme, je retire ma main.
A ce moment la maintenant, un sentiment de frustration s’empare d’elle, elle sera prête pour la suite.
Je reprends mon verre et continue sur mon activité précédente qui était de déguster cet excellent whisky Ecossais de 20 ans d’âge, je la sens déboussolée à côté de moi, l’ascenseur émotionnel qu’elle vient de subir va la rendre plus malléable.
Je me lève lui dis que je vais au toilette et qu’elle devrait m’y rejoindre dans trois min après mon départ, une fois au toilette je soulage ma vessie quand je la sens derrière moi, je me retourne la bite à la main, la regarde et lui dis sur un ton sec :
– Suce moi.
Elle hésite quelques secondes puis se met à genoux, attache ses cheveux et prend mon chibre encore humide de mon urine dans sa bouche, elle fait des aller-retour avec vigueur et entrain, il n’y pas à dire elle suce divinement bien cette petite conne, si bien que je lui jute au fond de la gorge au bout de 5 min, elle veut se retirer mais là je lui bloque la tête pour qu’elle avale ma semence.
Je la lui fais une caresse sur son visage et lui dis qu’elle est belle (les femmes sont des êtres faibles qui aime être rassurer), je la prends par le bras et nous sortons des toilettes, lui offre un dernier verre et lui commande un taxi qu’elle puisse rentrée chez elle.
Lendemain matin au bureau :
Elle vient me rapporter mon café sans sucre et m’énumérer les réunions qui m’attendent pour aujourd’hui dès mon arrivée.
Je lui dis de fermer la porte derrière elle est de se mettre au centre de la pièce, ordres qu’elle exécute promptement
– Elle a vraiment une âme de femelle soumise me dis-je)
Je lui tourne autour en la regardant et lui ordonne d’enlever sa culotte et de me la donner.
Elle remonte sa jupe et fais descendre sa petite culotte en coton le long de ces jambes, puis me la donne en baissant les yeux avec un air un peu honteux, je lui dis alors d’avancer vers mon bureau et de se pencher afin que je puisse l’inspecter, elle veut protester mais je lui rappelle que JE suis son responsable et qu’elle est stagiaire un seul mot de moi et sa future carrière et foutu.
Elle s’avance vers mon bureau et se penche en prenant appuis dessus, je me mets derrière elle retrousse sa jupe et passe ma main entre ses jambes, elle est déjà toute mouillée, une vraie chienne, je caresse sa chatte et tire sur ses poils, et lui dis que sa toison pubienne hirsute est une honte on dirait une guenon, comment voudrais-t-elle qu’un homme la désire comme ça.
Je lui dis alors de se relever et de retourner à son bureau, mais que je garde sa culotte avec moi et que ce soir elle a rendez-vous chez une esthéticienne pour régler son problème de pilosité et que lundi matin elle reviendra dans mon bureau et se remettra dans cette position que je puisse vérifier que mes instructions auront été suivis (j’aime avoir le contrôle).
Le weekend se passe comme d’habitude je sors dans une des boites de nuit select de Paris et passe la nuit avec une fille rencontrée en soirée que je dégage sans ménagement le lendemain.
Le lundi Matin j’arrive et je vois charlotte dans mon bureau qui m’attend sa culotte posée sur mon bureau, je la regarde et d’un signe la tête lui indique de se mettre en position.
Elle se met en position sur mon bureau, je passe ma main entre ses jambes et là je sens son sexe glabre et humide, je la félicite et lui dis que maintenant elle mérite mon attention.
Je commence à la doigter avec ma main droite tandis que ma main gauche lui att**** le visage et lui met deux doigts la bouche qu’elle suce comme si c’était une bite, elle mouille comme une salope on dirait presque que son vagin à envie d’engloutir ma main. Je retire mes mains de son corps et je luis dis que maintenant je vais l’inséminer, j’ouvre la braguette de mon pantalon sort mon chibre turgescent et la pénètre d’un coup sec sans même la prévenir, je lui laboure les reins avec vigueur tout en lui disant que ce n’est qu’une chienne et que désormais elle m’appartient, la cette conne me répond en haletant :
– Oui ! oui !!!
-Monsieur Alexandre je suis votre chose
-je vous aime !
Putain mais quel est conne me dis-je tout en déversant mon foutre dans sa chatte trempée, je me retire e lui dis qu’elle devra garder ma semence en elle et qu’elle ne remettra pas sa culotte je veux qu’elle sente mon sperme lui couler entre les jambes lorsqu’elle marchera. Elle essaie de parler pour négocier mais d’un regard réprobateur je lui indique que c’est un ordre, elle rebaisse alors sa jupe et repart vers son bureau l’air honteuse lors de sa traversée de l’open space.
Aujourd’hui cela fait maintenant 1 mois que je m’occupe de charlotte la stagiaire, je lui ai fait subir les pires humiliations, je l’ai rabaissée plus bas que terre, je l’ai brisée, mais bon je commence à me lasser d’elle.
Les jouets c’est toujours bien au début puis après on en veut des nouveaux, la nouveauté il n’Ya que ça de vrai.
Ce matin, comme tous les matins depuis un mois je rentre dans bureau et charlotte est déjà là à genoux à m’attendre, une fois la porte fermée elle me regarde et me dis : « Maitre j’ai une surprise pour vous », je lui réponds « une surprise pour moi alors que ne dois rien faire sans que je n’en t’ai l’ordre ! ».
Elle soulève sa jupe et là je vois au-dessus de son pubis un tatouage ou il est marquée « propriété de Maitre Alexandre », je la regarde et avec un sourire cynique je lui dis que c’est fini entre nous, que je me suis lassé d’elle, qu’elle peut retourner à son bureau et terminer sa dernière semaine de stage chez nous, mais surtout que si elle dit un mot de ce qui s’est passée entre nous, je lui détruis sa carrière et je la traine en justice tout en rigolant, amusé pas sa bêtise.
Elle pleure, elle supplie (c’est moche à en faire vomir une femme qui pleure) que je la garde auprès de moi, je la regarde d’un air dédaigneux et lui dis de sortir de mon bureau et de ne plus jamais m’adresser la parole.
Au début j’avais des remords pendant une heure ou deux, mais maintenant vu que charlotte et le 23e jouet avec lesquels je m’amuse depuis ces cinq dernières années, c’est peu comme jetée un mouchoir après une séance de masturbation.
J’ai exactement 23 billes rouges dans l’urne urne à soumise et 121 billes blanches dans l’urne des coups d’un soir, j’ai toujours aimé les indicateurs.
Un mois plus tard
Aujourd’hui on est samedi est comme tous les samedis soir je me prépare pour aller en boite de nuit chasser une femme que je mettrais dans mon lit ce soir.
Je rentre dans la boite de nuit, le son est plutôt pas mal, de l’électro house qui vous met dans l’ambiance et qui fait monter en moi mes pulsions de prédateur, j’alterne entre passage sur la piste et le carré VIP, quand un moment je croise le regard d’une magnifique brune qui me regarde et qui me lance un sourire qui m’interpelle. Je me dirige vers elle et entreprend de la draguer.
La soirée passe, on quitte la boite de nuit et je la raccompagne à son domicile, elle me propose de prendre un dernier verre chez elle, je me dis bingo. On rentre dans son appartement un petit trois pièces situé dans le Marais avec une décoration féminine, elle me dit de m’assoir dans le canapé et qu’elle revient avec du champagne.
Je m’assois, me recoiffe et ouvre le deuxième bouton de ma chemise pendant qu’elle est dans la cuisine entrain de remplir nos verres. Elle revient, me tend mon verre et dis en souriant
– A ta santé Alexandre
Je ne me souviens pas de lui avoir dit mon nom et bois verre rapidement pressé de passer à l’étape suivante.
J’ai la tête qui tourne bizarrement et je me sens mal, j’ai une très grosse envie de dormir …….
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