Cette histoire relève d’un caractère purement imaginaire.
Histoire entre deux policiers entrant dans une forêt et un sportif pour y faire son footing quotidien.
Cette anecdote se passe dans les forêts de …. entre moi, sportif hebdomadaire et allant régulièrement pour courir et deux policiers pour y patrouiller ou pour faire leurs rondes afin de contrôler ce qui peut se passer mais dans cette forêt, tout est calme et même parfois, l’on fait de belles rencontres. Cette aventure de footing s’est passée, en l’an 199. et, de plus, c’était l’été et j’étais très en chaleur et j’étais en manque de virilité masculine. Aussi, j’aimais bien les hommes virils et matures.
Jamais, je n’ai rencontré de telles hommes doux et câlins. En effet, le premier était policier bear et s’appelait Alain, la quarantaine et d’un corps robuste et poilu, barbe piquante pour faire gémir et jouir les hommes.
Le second policier s’appelait Antoine, la cinquantaine, corps effectivement pour les femmes mais aussi pour les hommes car il était très connu pour être sucé.
Tous deux étaient des motards et étaient reliés à la Brigade de… Chaque fois, que j’allais dans cette forêt, je les voyais faire leur ronde mais, ce jour-là, c’était exceptionnel car il avait besoin de sexe tous les deux rien qu’à les voir et surtout lorsqu’ils se sont arrêtés en moto.
Au cours de ma petite promenade vers un bois où personne ne nous voyait que je rencontrais la meilleure chance de ma vie.
En effet, amateur de sport, et de footing surtout, je me mettais à courir le long du chemin, situé dans une grande forêt et j’aperçus les deux policiers non seulement qui s’arrêtaient pour allumer leurs cigares mais aussi, pour uriner et moi, justement, je me mis à regarder derrière un buisson pour les épier et voilà la suite.
C’est ce ce que j’avais bien compris : les deux bears s’étaient donné rendez-vous non pas seulement pour fumer mais pour se lécher la verge.
Moi, rien qu’en regardant cette touffe de poils à travers leur slip et rien qu’à regarder ces deux policiers entrain de se la lécher, la langue me tournait et plus je les regardait se sucer la verge, plus cela me faisait languir.
D’où la question que je me suis posée : dois-je avancer moi-aussi pour une cigarette ou encore mieux dois-je tenter le tout pour le tout pour essayer de les sucer et d’être sucée?
C’est alors qu’en faisant le premier pas, les deux policiers m’avaient vu mais m’avaient demandé si cela était légitime de les épier au cours de leur travail?
Je leur répondais que c’était plus fort que moi, et leur demandais si à mon tour, je peux les tâter, les pomper, les masturber et les sucer car j’étais amateur de verges.
– Parfait, ils me répondent à condition que le jus soit bien coulant.
Je me suis mis à faire ce que je devais faire et puis enfin, cela a eu un succès qu’un diplôme de la suce était méritant.
Ils m’ont dit d’enlever mon slip et mon survêtement afin de faire la même scène mais cette fois, c’était deux bears policiers et le succès était le même.
Les suces ont donné lieu à des litres de sperme que jamais personne n’aurait eu le courage de faire dans leur vie et bien entendu, il me conseillaient de me rendre plus souvent dans cette forêt afin d’être leur abonné.
Enfin, cela se termine en buvant un champagne que les deux mecs avaient dissimulé derrière leur moto afin de ne pas être surpris par leurs collègues mais jamais je n’aurais eu autant de plaisir à être fortement sucé et fisté et même défoncé par des gars costauds et très sympas.
J’espère au moins que nous n’étions pas épiés par des voyeurs minables cachés dans leurs buissons qui seraient capables en nous filmant d’en faire des vidéos.
Moralité : Attention aux loups et aux bêtes qui vous épient.
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