Depuis l’acquisition de notre appareil photo numérique, j’ai pris l’habitude de photographier ma femme en petite tenue. Il a évidemment fallut négocier, mais au fil du temps, elle a fini par y prendre goût et se prête volontiers à une petite séance de pose quand l’occasion se présente. J’ai ainsi accumulé un nombre impressionnant de clichés que je regarde de temps en temps avec bonheur.
Ma dernière marotte a été de lui demander de poser nue dans la nature. J’avais très envie de la photographier sur la plage, sans son maillot. Il faut dire que nous fréquentons une petite station balnéaire un peu bourgeoise ou le topless est presque considéré comme un outrage à la pudeur.
Elle n’avait pas franchement refusé mais n’avait pas non plus montré d’enthousiasme à cette idée. Finalement, j’en étais resté à un « si l’occasion se présente, pourquoi pas ? », avec la ferme intention de faire se présenter l’occasion.
En plein été, c’était évidemment hors de question, les plages de l’atlantique étant bondé toute la saison.
C’est finalement pendant le mois de mai que les conditions se sont réunies. Nous avions pris une petite semaine, entre deux ponts qui, cumulés avec quelques RTT, permettent de prendre quelques vacances sont trop endommager le compte des congés payés. Pendant le week-end à rallonge, nous n’étions évidemment pas les seuls a profiter des beaux jours, et la plage, sans être noires de monde, n’offrait pas l’intimité nécessaire à ma séance photo. Tout au long des kilomètres de plages qui compose cette région, des petits groupes de vacanciers s’étaient répandus et il n’était pas question pour ma femme de laisser tomber son maillot tant que la moindre personne était encore en vue.
Dés le dimanche soir par contre, la situation commença à changer. Les vacanciers du week-end repartaient chez eux, et la petite bourgade se vida. Une promenade sur la plage le lundi matin me confirma ce fait immédiatement. Il ne restait pratiquement plus personne, et il suffisait de marcher quelques minutes au bord de l’eau pour se retrouver pratiquement seuls à perte de vue.
Je proposais donc à ma femme d’essayer l’après-midi. Apres quelques minutes de discussion, elle me promis d’essayer, mais emmènerais quand même son maillot au cas ou nous ne trouverions pas d’endroit tranquille.
Nous voila donc parti en début d’après-midi. Je n’emportais qu’une serviette de bain et un petit sac contenant mon appareil, prêt à l’emploi, ma femme se munissant, elle, de son drap de bain, son maillot étant passé sous ses quelques fringues de plages.
Apres une petite marche dans la dune boisée pour nous écarter de la petite agglomération, l’on trouva un petit sentier menant directement à la plage. Celui-ci semblait éloigné des grands accès avec parking et pourrait convenir.
Effectivement, quelques minutes plus tard, nous étions sur la plage, pratiquement déserte, où seul quelques silhouettes isolées se détachaient sur l’horizon.
Je rappelais donc à ma femme son engagement, et celle-ci, après avoir scrupuleusement inspecté les environs, accepta enfin d’enlever son maillot.
Je découvrais alors son corps, nu, avec ses gros seins bien rond et son sexe parfaitement taillé façon ticket de métro et commençais immédiatement à faire crépiter mon appareil. Puis, après avoir encore scruté de tout côté, elle décida d’aller se tremper dans l’océan. À marée basse, il lui fallait bien parcourir quelques centaines de mètres pour atteindre l’eau et je profitais encore de cet instant pour photographier ses fesses. Enfin, elle entra dans l’eau et je posais mon appareil, histoire de sauvegarder mes batteries le plus longtemps possible, et scrutais à mon tour, afin de la capturer quand elle sortirait.
Tout à coup, j’entends du bruit derrière moi, et en me retournant, je découvre deux jeunes gens, probablement tout juste la vingtaine, qui débarquent du petit sentier que nous avons emprunté plus tôt, et qui s’installent à quelques mètres derrière moi.
Une angoisse me prend alors. Je connais ma femme, et je sais que même si elle se prête avec assez de bonne volonté à nos séances de photos intimes, elle est tout de même timide et risque de me faire payer cher d’être obligé de se montrer nue devant des inconnus. Parce qu’évidemment elle ne va pas avoir le choix. Elle doit parcourir un bon trajet pour revenir vers moi, et je pense que les deux gars vont en profiter largement.
Au bout de quelques minutes, je la vois qui sort de l’eau. Elle n’a pas ses lunettes, et à cette distance, je la sais suffisamment myope pour ne pas voir qu’il y a des intrus derrière moi. Je décide quand même de reprendre mon appareil. Je suis persuadé qu’après cet épisode, il sera très dur de la convaincre de recommencer, alors autant en profiter jusqu’au bout. Je zoom et recommence à photographier. J’entend les jeunes gens qui chuchotent derrière moi, sans arriver à comprendre de quoi ils parlent, je suis tout de même persuadé qu’ils doivent émettre des commentaires à notre sujet.
A une dizaine de mètres de nous, ma femme s’arrête soudain. Elle a du voir que quelque chose ne collait pas, et se demande sûrement comment réagir. Elle s’approche alors à pas rapides, en masquant ses seins de son bras, et empoigne son drap de bain afin de retrouver une pudeur. Elle est rouge comme une pivoine et me lance un regard mêlé de honte et de colère.
Un des deux gars lance alors :
— Ben faut pas vous arrêter pour nous madame !
Et l’autre de renchérir en me désignant du doigt :
— Ouais, regardez, il a l’air tout triste votre homme !
L’air franchement honteux, elle trouve quand même le courage de répondre :
— Oh il en a déjà assez vu !
— Ben lui peut être, mais nous non !
Son ami confirme :
— C’est vrai oui, on vous a à peine aperçue, vous êtes jolie c’est dommage de vous cacher comme ça !
Ma femme est toujours debout, cachée dans sa serviette, et esquisse un petit sourire pour remercier du compliment. Elle reste tout de même rouge de honte, et ose à peine lever les yeux pour les regarder.
Les deux compères se rapprochent alors de moi et se posent à mon niveau.
— Moi c’est Fred, et lui c’est Joël.
— Allez, madame montrez-nous encore un peu, c’est rare dans le coin de pouvoir avoir un beau spectacle comme ça !
Je me demande alors comment va évoluer la situation. Ma femme est rouge comme rarement je ne l’ai vu, et les deux insistent. Elle ne peut pas non plus remettre son maillot sans risquer de faire tomber la serviette.
— Allez madame, soyez pas timide !
— Ouais, juste vos fesses, vous êtes arrivée de face, on a pas pu voir nous !
J’hallucine totalement. Le dénommé Joël vient carrément de demander à ma femme qu’elle leur montre ses fesses. Elle a l’air complètement désemparé et me lance des regards interrogateurs.
Il faudrait que j’intervienne pour la sauver de cette situation légèrement humiliante, mais comme je suis maintenant tout à fait sûr que je ne suis pas prêt de voir se présenter une autre occasion comme celle-la et que je vais pouvoir ranger mon appareil photo pendant au moins un an, je lui dis :
— Bah oui chérie, montre-leur…
Si elle avait pu m’assassiner du regard, je serais mort sur cette plage tout net.
Le Joël insiste encore :
— Ben voyez, vous allez faire plaisir à tout le monde, allez quoi, juste un peu !
— Ouais, pour une belle femme comme vous, c’est criminel de se cacher, montrez-nous !
Sans doute vaincu par ce dernier compliment, je vois ma femme se retourner doucement et qui commence à remonter maladroitement sa serviette.
Je ne pensais vraiment pas qu’elle aurait le cran de le faire, mais pourtant elle nous présente ses fesses.
Je me jette sur mon appareil pour immortaliser cette scène, ravi et légèrement excité par l’exhibition que ma femme m’offre ainsi qu’à mes compagnons improvisés.
Joël, sans doute émue par la vision de la paire de fesses lance à la cantonade :
— Ouah quel beau cul !
Elle relâche la serviette, se retourne visiblement énervée et lance :
— Bon ça suffit, vous êtes content ?
Joël, encore lui, de répondre :
— Ben et devant ? On était loin, on a rien vu nous !
Elle est exaspérée, je peux le voir sur son visage. Elle ouvre d’un coup sa serviette, nous dévoilant ses seins et sa chatte.
— Voila, vous êtes content maintenant ?
Et tout aussi brutalement referme la serviette.
— Ben on a rien vu !
— Ouais et puis vous êtes toute énervé, ça compte pas.
Elle ouvre des yeux ronds et s’adresse à Fred :
— Comment ça, ça compte pas ? Je me fous à poil devant vous et faudrais en plus que j’aime ça ?
— Ben ouais.
— C’est vrai, détendez-vous, on veut juste regarder nous !
— Ouais faut nous comprendre, on vient à la plage pour bronzer, et on découvre une belle femme toute nue, alors évidemment, on veut regarder, on est des hommes, c’est pas notre faute !
Cette dernière phrase semble amuser ma femme qui se détend un peu pour répondre :
— Ben voila, vous avez vu, je vais pas danser quand même !
— Ben nan, on demande pas que vous dansiez, juste de nous montrer un peu plus, c’est tout…
Elle réfléchit pendant quelques secondes, puis se relâche :
— Bon d’accord, mais après, c’est fini ok ?
Disant cela, elle écarte les pans de sa serviette, dans un geste bien plus élaboré que la première fois, et se dévoile encore. Moi, je mitraille.
Elle se met en face successivement des deux jeunes gens, les bras en croix tenant sa serviette :
— Ça vous va comme ça ?
— Ouais super ! Tournez-vous encore ?
— Ouais, pour qu’on voit tout d’un coup !
Elle laisse alors tomber la serviette à ses pieds, met ses mains sur ses hanches et se retourne, nous offrant pour la deuxième fois une magnifique vue de son postérieur.
— Ah ouais, un super cul !
Cette fois c’est à Fred d’en rajouter :
— Vous savez, vous devriez le faire plus sexy, ça serait mieux.
Elle tourne la tête, lui jette un regard interrogateur et répond :
— Plus sexy ? C’est quoi plus sexy ?
— Ben chais pas moi, vous écartez un peu les jambes, vous mettez vos mains sur les genoux et vous prenez une pose sexy ! tant qu’à faire des photos, autant qu’elles soient réussies non ?
Moi qui n’est jamais réussi à lui faire prendre une pose correcte, voila que Fred lui donne des indications précises, et je la vois en train d’essayer de faire ce qu’il vient de lui demander. Elle demande :
— Comme ça ?
Elle est maintenant debout, dos à nous, les jambes légèrement écartées, penchée en avant pour que ses mains reposent sur ses genoux.
De notre point de vue en contrebas, on distingue sa fente très peu poilue entre ses jambes.
— Ouais pas mal… pliez un peu plus vos genoux, remontez vos fesses… ouais comme ça. Et puis regardez-nous aussi, en souriant !
Il lui donne des indications, et je suis stupéfait de voir ma femme obéir comme ça. Stupéfait mais content, car j’en profite pour prendre de très beaux clichés.
— Ah ben voila, super !
Elle garde la pose encore un instant mais au moment ou elle rompt la position, Joël intervient.
— Bon, maintenant, vous vous mettez de face, penchée en avant en prenant vos seins dans les mains.
Elle a l’air d’être sur sa lancée car elle accepte sans broncher cette nouvelle position.
— Plus en avant, et serrez bien vos seins, ouais, non plus encore !
— Ouah vous en jetez madame comme ça !
Elle jette un merci gênée, mais son sourire trahit le contentement que lui procure le compliment. Sur de lui, Joël indique une nouvelle position.
— Tenez, mettez vous à genoux là, assise sur vos pieds, et mettez les bras en l’air, ça met en valeur la poitrine.
Encore une fois, elle s’exécute sans broncher et je prends encore quelques très belles photos.
— Maintenant, asseyez-vous face à nous, avec les bras autour des jambes.
Au moment de bouger, j’aperçois assez nettement son entre jambe et sa fente rose. Au regard que s’échange les deux gars, je sais qu’ils l’on vu aussi.
— Penchez vous un peu en arrière, en vous retenant avec vos bras. Ouais parfait !
Elle est maintenant assise face à nous, les jambes pliées et serrées, et les seins pointés fièrement.
Et là, c’est encore Joël qui fait tout basculer.
— Ecartez les jambes.
Elle hésite. Ne sachant pas quoi faire, elle nous interroge tour à tour du regard, mais j’admire et imite la technique de Fred et Joël qui ne réponde rien. Elle reste donc seule à prendre sa décision, et vu ce qu’elle a déjà fait, presque dans l’obligation d’obéir… timidement et lentement elle ouvre alors ses jambes dévoilant son intimité. Elle ose à peine regarder dans notre direction.
— Allez, écartez plus !
Elle ouvre donc ses jambes en grand, et son sexe rose s’ouvre, laissant apercevoir son vagin et le bord de son anus.
Quelque chose se passe à cet instant. En obéissant encore une fois, elle abandonne toute idée de pudeur ou de rébellion. Ces deux types ont réussi à lui faire faire des choses en quelques minutes là où il m’a fallu plusieurs années de persuasion. Elle s’offre sans discuter et attendant qu’ils se lassent. Eux aussi ont senti cette résignation et le ton de Joël change :
— Ouvre ta chatte en grand.
Elle glisse alors sa main et, de ses deux doigts, tente d’écarter ses lèvres.
— Avec les deux mains.
Elle est alors obligée de s’allonger sur le dos et ouvre son sexe en grand devant nous.
— Retourne-toi.
Comprenant ce que veux Joël, car c’est assez évident, elle se retourne et se met à quatre pattes le cul vers nous. Ses jambes sont très légèrement écartées et ses seins pendent sous elle.
— Ah bien ! C’est vraiment un beau cul ça !
— Ouais mais faudrait qu’elle se cambre, ça serait mieux encore.
— Ouais, cambre toi et écarte plus les jambes.
Elle s’exécute encore une fois et cette fois, c’est Fred qui en rajoute.
— Ecarte tes fesses aussi.
Elle se retrouve affalé sur la serviette, les fesses en l’air, et semble hésiter à obéir à ce dernier ordre. Fred, sentant l’hésitation, ne lui laisse pas de répit.
— Allez, écarte bien tes fesses, avec les deux mains !
Nous découvrons alors son petit trou du cul brun, ainsi que sa chatte, déformée par la pression sur ses fesses. À l’aide du zoom, j’en profite pour faire quelques gros plans et à ma grande surprise je m’aperçois qu’elle est toute trempée. Sa chatte dégouline littéralement et les deux s’en rendent compte aussi.
— Ah ben voila, ça commence à lui plaire !
— Carrément, la pauvre, on va pas pouvoir la laisser dans cet état !
Disant cela, Joël s’approche d’elle et lui enfonce directement son doigt dans la chatte. Je suis certainement aussi surpris qu’elle par son mouvement et vais pour l’arrêter. Autant l’exhibition me plaisait, mais la voir se laisser faire comme ça me provoque une pointe de jalousie. Mais avant que j’ai pu dire quoi que ce soit, j’entends ma femme pousser un petit cri et écarter encore d’avantage ses fesses.
— Oh oui !
Apres tout, c’est entièrement de ma faute si elle est dans cette situation et le plaisir qu’elle semble prendre m’annihile toute volonté d’arrêter cette scène.
D’autant que Joël enchaîne et commence à lui lécher le trou du cul en continuant de lui enfoncer ses doigts dans le vagin.
Je photographie ce type qui doigte ma femme en lui léchant le cul. Elle semble apprécier la situation à sa juste valeur car elle ferme les yeux et commence à marmonner tout en continuant d’écarter ses fesses :
— Encore, oui comme ça, encore…
Joël, relevant la tête, annonce :
— Dis donc, elle est bien large !
Fred, sans doute soucieux de vérifier l’affirmation de son compère s’approche à son tour, et commence à lui glisser un doigt en même temps que son ami.
Elle a maintenant quatre doigts dans la chatte, et Fred qui a glissé une main sous elle lui palpe un sein.
De sa main libre, Joël fait glisser son caleçon de bain et sort un sexe de bonne taille pratiquement en érection. Voyant cela, Fred retire ses doigts et descend également son maillot. Ils ont la ferme intention de la baiser, et voyant que cela ne semble pas la déranger, je laisse faire en continuant de photographier.
Il colle ensuite sa bite contre son sexe et commence à la caresser avec son gland. Fred, lui, n’a pas l’air d’avoir envie d’attendre que l’on s’occupe de lui. Il présente donc son sexe, plus petit que celui de Joël, devant la bouche de ma femme. Celle-ci ne rechigne pas, sort sa langue et commence à le sucer.
Ce petit jeu dure quelques minutes. Joël fait entrer son gland doucement puis ressort, continue de la caresser. Elle semble de plus en plus impatiente et fini par lancer :
— Vas-y prend moi !
Lui n’attendait que ça. Il l’a pénètre d’un coup et commence à la ramoner. Il en profite même pour lui mettre un doigt dans le cul. Je connais ma femme, et je sais que ce genre d’attention lui fait plaisir.
Fred, qui est maintenant bien dur dans sa bouche, demande :
— Bon, à mon tour !
Joël ne semble pas s’offusquer de tout ça et prend donc les choses en main.
— Ok, allonge toi là. Et toi, tu te mets sur lui.
Fred se retrouve donc allongé sur la serviette, la bite dressée, et ma femme l’enjambe et s’empale d’un coup sur lui. Je comprends tout à coup pourquoi Joël s’est laissé remplacer comme ça. Il appuie sur le dos de ma femme, qui se retrouve plaquée contre Fred, et commence à lui doigter le cul. Quand elle lui semble prête, il s’agenouille derrière et entreprend de l’enculer. Comme précédemment, il prend son temps et tourne lentement autour de son anus, se lubrifiant contre le vagin tout proche, lui-même assez sauvagement perforé par Fred. Il attend encore jusqu’à ce qu’elle finisse par craquer et implore :
— Allez, vas-y !
— Vas-y quoi ?
— Encule-moi !
Il l’a pénètre alors et commence à la pistonner doucement. De là où je suis, je peux faire des gros plans de ces deux bites dans ma femme, de son anus ouvert et de son visage déformé par le plaisir. Je mitraille tout ce que je peux.
Soudain, Il se désengage d’un coup, et dans un râle, éjacule sur ses fesses. Elle lance alors avec de la déception dans la voix :
— Ben j’ai pas joui moi !
Joël, reprenant son souffle et le contrôle de la situation lui répond :
— On va pas te laisser comme ça, Fred, pousse toi.
En la repoussant, Fred sort à son tour, lançant un regard interrogateur à Joël. Lui non plus n’a pas joui, et il n’a pas l’intention d’en rester là mais Joël donne les indications :
— Met toi là, et toi, suce-le. Comme ça, oui, à quatre pattes.
Ma femme se retrouve une fois de plus avec les fesses en l’air, recouvertes de sperme, et commence à sucer Fred.
Joël commence alors à lui masser le sexe, et fait entrer un à un ses doigts au fond de sa chatte. Au quatrième, je pense qu’il va s’arrêter, mais non, en serrant la main, il fait également entrer son pouce et pousse avec force en crachant des jets de salive afin d’améliorer la lubrification. En quelques minutes, il arrive à faire rentrer sa main jusqu’au poignet, ce qui déclenche un cri de douleur et de plaisir chez ma femme.
Il se retourne alors et me dit :
— Et voila, je savais bien qu’elle était large !
Il commence alors à la pistonner avec force. C’est à ce moment-là que Fred, à bout de course, lâche un grand jet de sperme qu’elle ne peut contrôler. Elle avale une partie et le reste lui atterri sur le visage.
Sûrement motivée par cette inondation faciale, elle jouit à son tour, dans un râle épais et bruyant.
Joël retire sa main, ce qui lui provoque une grimace de douleur. Puis les deux gars se lèvent, remettent leurs shorts et s’en vont.
En ramassant sa serviette de bain, Joël nous regarde et dit :
— Bon ben merci pour le show madame, à bientôt !
Il me tend alors un bout de papier sur lequel est inscrit son numéro de portable et s’en vont comme ils sont venus.
Ma femme reste là, les fesses en l’air, la chatte grande ouverte, les fesses et le visage dégoulinant de sperme.
Au bout de quelques minutes, elle tourne la tête vers moi et me dit :
— Putain, c’était bon, je me suis fait défoncer, faudra refaire des photos plus souvent !
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