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Doigt d’honneur 3 – Roger

Doigt d’honneur 3 – Roger



Après les deux épisodes en relation avec le « doigt d’honneur » du petit fils, la vie a repris son cours normal ; Annabelle n’a pas oublié, mais on a recommencé à sortir.

Lors d’une de ces sorties, nous avons sympathisé avec un couple, lui s’appelle Roger, c’est un grand noir baraqué, alors que Elisa sa compagne est une jolie métisse toute menue avec des seins pointus qui veulent transpercer le tissu (elle ne porte jamais de soutien-gorge) et une cambrure importante mettant en valeur la croupe qui tend sa robe d’été.

J’ai repéré depuis un moment que Roger regarde Annabelle avec convoitise, Annabelle a maintenant 60 ans, elle est toute en rondeurs appétissantes, tout le contraire d’Elisa. Je le regarde amusé, baver devant mon épouse qui ne se rend compte de rien.

Un jour il n’y tient plus :

– J’ai envie de baiser ta femme, qu’est-ce que tu en penses ?

– Ça ne me dérange pas, à condition que tu te débrouilles pour me faire une vidéo, cependant il n’est pas question que tu la violes, il faut que ce soit consenti. Tu lui as demandé son avis ?

– Non, je voulais t’en parler avant, pour la vidéo pas de problème je suis équipé.

– Tu dis cela comme si c’était fait… tu ne crois pas qu’elle va refuser ?

– Ça m’étonnerait, on a l’intention de vous inviter samedi prochain si vous êtes d’accord.

– Pas de problème, je te laisse faire.

Le samedi suivant, très beau temps, Annabelle est magnifique, elle a mis une robe blanche évasée et largement décolletée qui fait ressortir son bronzage ; les dessous sont blancs également, ses seins sont soutenus par un soutien-gorge sans bretelles pigeonnant qui relève la poitrine et laisse les tétons libres de toute entrave. Quand je la vois se préparer, je sens mon sexe se durcir en pensant à ce qui va être tenté ce soir.

Elisa vient nous ouvrir dans un fourreau coloré, elle est toute aussi belle, son corps est souple comme une liane.

Nous prenons l’apéritif, deux punchs bien tassés pour délier les langues et faire briller les yeux ; le repas est délicieux façon créole. A la fin, Roger lance une musique endiablée, je ne suis pas fanatique de danse échevelée alors qu’Annabelle adore danser, Elisa me tire de cette embûche en l’invitant. Roger et moi restons à les regarder, à les admirer.

Roger me fait un clin d’œil et verse un sachet dans le verre d’Annabelle ; je lève un sourcil interrogateur, il se penche vers moi :

– C’est inoffensif, ça ne fait qu’exacerber les sensations !

La musique s’arrête et c’est une série de slows qui démarre, les deux femmes reviennent essoufflées et assoiffées, elles vident leur verre. Roger se dépêche d’inviter Annabelle et je fais de même avec Elisa.

C’est une liane cette fille, j’ai l’impression de danser seul tellement elle est souple et suit mon rythme, je sens le désir arriver, alors que son bas ventre épouse le mien. Je jette un œil du côté de mon épouse, Annabelle est affalée sur Roger qui la tient serrée, j’ai l’impression qu’elle est dans les nuages, elle ne peut pourtant pas ignorer la bosse qui déforme le pantalon de Roger…

Nous revenons à table, Annabelle dit :

– Je crois que je suis un peu saoule !

– Tu veux te reposer quelques minutes propose Elisa en lui tendant la main.

Annabelle l’accompagne, elles se dirigent vers les chambres.

Elles sont à peine parties que Roger me dit :

– Viens ! je vais te montrer quelque chose !

Nous passons dans son bureau, il ouvre un placard dans lequel il y a une télé et une série de joysticks. Quand l’image apparaît nous voyons et entendons les deux femmes dans la chambre. Roger manœuvre les joysticks pour régler les caméras.

– Pas mal mon installation ! Il y a 6 caméras que je peux diriger et zoomer à volonté.

Elisa est en train de parler à Annabelle :

– Allonge toi sur le lit quelques minutes.

Et comme Annabelle hésite :

– Enlève ta robe, sinon elle sera toute froissée, je vais d’ailleurs faire pareil !

Elisa se débarrasse de sa robe légère, elle ne porte qu’un string. Comme Annabelle hésite encore, elle descend la fermeture éclair et lui retire sa robe ; mon épouse apparaît en petite culotte les tétons dressés dans le soutien-gorge pigeonnant.

– Bon Dieu ! s’écrie Roger, elle ferait bander un régiment ; il zoome sur ses seins.

Les deux femmes s’allongent sur le lit, Annabelle a les yeux fermés, Elisa la regarde avec convoitise, elle lui caresse la joue :

– Tu es très belle, complètement différente de moi, mais je suis certaine que tu dois beaucoup plaire.

Annabelle sourit les yeux toujours fermés.

Elisa s’enhardit, elle caresse un sein puis l’autre, elle se penche et mordille les pointes qui répondent immédiatement à la caresse. Annabelle émet un « non » pas très convaincu…

Elisa change de tactique, elle glisse son coude droit sous le cou d’Annabelle, de façon à pouvoir continuer les titillements sur le sein droit, son coude gauche vient appuyer à la hauteur du renflement du mont de vénus pendant que la main gauche s’occupe activement du sein gauche en même temps que le coude bouge lentement. Annabelle soupire, sa bouche vient chercher celle d’Elisa dans un long baiser.

Pendant que la caresse se poursuit, Roger zoome une caméra sur l’entrejambe de mon épouse toujours protégé par la petite culotte blanche ; une tâche d’humidité apparaît, l’auréole s’agrandit.

– Elle est à point dit Roger on va bientôt pouvoir y aller.

Annabelle pousse maintenant des petits gémissements, ses jambes s’ouvrent et se referment. Elisa se lève, se débarrasse de son string, enfourche Annabelle toujours sur le dos et vient appuyer son sexe complètement épilé sur sa bouche.
Annabelle est maintenant très excitée, elle se livre à un cunnilingus brutal, sa langue pénètre le sexe d’Elisa, elle cherche à lui mordiller le clitoris, ses bras jusqu’ici inactifs se sont mis en mouvement, pendant que l’un triture les seins d’Elisa, l’autre a plongé dans sa culotte et elle se masturbe avec ardeur, la culotte est trempée, les deux femmes jouissent en même temps, c’est un concert de grognement et de cris.

– C’est le moment dit Roger ! commence par baiser ta femme pour la mettre en condition.

Je le suis dans la chambre, il saute sur le lit auprès d’Elisa toujours à califourchon sur Annabelle ; son sexe est énorme, bien plus long et plus gros que le mien ; elle le prend dans sa bouche pendant qu’au pied du lit, je retire délicatement la culotte de mon épouse. Elle se laisse faire, je dégage le buisson, elle continue à agiter frénétiquement ses doigts sur le clitoris qui est sorti de son capuchon ; je vois tout de suite que les grandes lèvres sont anormalement ouvertes alors que d’ordinaire, elles sont jointes comme celles d’une petite fille.
Je la baise immédiatement, inutile de dire que ça rentre tout seul, son vagin est dilaté comme pour un accouchement, je me demande même si elle s’est rendu compte que j’étais en elle…Je pince son clitoris ce qui a pour résultat de la faire gueuler encore plus.

Je n’arrive pas à jouir, elle est habituellement serrée, mais là, son vagin est trop dilaté. J’abandonne, je fais signe à Roger de venir prendre ma place.

Il ne se le fait pas dire deux fois, il retire son énorme membre de la bouche d’Elisa et vient me remplacer.

De toutes façons comme Elisa est toujours en train de se faire brouter la chatte à califourchon sur Annabelle, celle-ci ne peut rien voir de ce qui se passe au niveau de son sexe béant.
Il présente son gourdin qui entre sans aucun problème ; Annabelle semble apprécier, elle ronronne de plaisir et je dois dire que voir ma petite femme en train de faire reluire une autre femme (à ma connaissance, c’est une première !) tout en se faisant baiser sans le savoir par un grand noir, la voir jouir sous mes yeux, c’est un vrai spectacle, mon sexe qui était retombé a repris de la vigueur.

Elisa s’en aperçoit, elle me fait signe et d’un rapide demi-tour, elle se retrouve toujours à califourchon sur le visage d’Annabelle, mais maintenant elle me présente ses fesses.
Je caresse l’œillet de son anus, j’y mets un doigt, puis deux, elle semble apprécier alors n’y tenant plus je rentre mon sexe gluant au fond de son magnifique petit cul.
Ma femme a ouvert un œil, elle m’a vu, donc elle sait maintenant que c’est Roger qui lui procure tout ce plaisir. Soudain Roger pousse un cri suivi de :

– Tiens salope prends ça !

Mon épouse est secouée par une véritable décharge électrique, ses hanches n’arrêtent pas de monter descendre pendant qu’elle absorbe les jets de sperme que Roger lui balance. Elisa pousse également un cri sourd, je viens de décharger dans ses reins. Comme ils sont face à face, ils s’embrassent.

Roger et Elisa, après s’être écroulés sur Annabelle se dégagent, mon épouse a les yeux fermés, son sexe est resté ouvert, des quantités de sperme s’en déversent.
Pris d’une subite envie, je joins les doigts et je présente ma main à l’entrée de son sexe béant, ça glisse tout seul, ma main est absorbée, je m’enfonce presque jusqu’au coude, je retire le bras, je ferme le poing et je recommence, cette fois je la pilonne sans douceur.
A chaque fois que mon poing s’enfonce on entend un bruit de gargouillis. Elle gueule des paroles indistinctes parmi lesquelles je distingue :

– Encore, encore, ouiiiii, vas-y, n’arrête pas !

Ses hanches remuent de tous côtés, elle a pris appui sur les pieds pour venir au-devant de mon bras. Roger et Elisa sont descendus du lit, ils regardent le spectacle.
Je retire brutalement mon bras et comme lorsqu’elle avait été prise sur le matelas pourri dans la clairière, un geyser fuse de son sexe, ses hanches entament un mouvement alternatif de haut en bas indépendant de sa volonté, en même temps qu’elle émet un râle de plaisir.

Le spectacle donné par Annabelle a remis Roger en forme, il se couche sur elle, l’embroche à nouveau et d’une rotation, la fait passer par-dessus lui et me fait signe.
Dans la position où elle se trouve maintenant, elle me présente ses fesses et je lui lubrifie le cul avec le foutre de Roger pendant qu’il la pilonne.
Son anus est maintenant tout gluant et je n’ai aucun mal à la pénétrer, c’est un vrai plaisir de coulisser dans cette gaine serrée tout en sentant à travers la mince paroi qui nous sépare le gros sexe de Roger.
Je ne tiens pas longtemps à ce régime et nous explosons tous les trois en même temps.

Quand nous reprenons conscience, Elisa très maîtresse de maison est devant nous avec un plateau et des rafraichissements. C’est un éclat de rire général avant de passer sous la douche.

En rentrant ma femme me dit qu’elle ne se souvient pas avoir jamais joui avec une telle intensité ; quant à Roger, c’est devenu un habitué de la maison…

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