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Bêtises – Chapitre 4

Bêtises – Chapitre 4



 »Révisions »

Le bac approche à grand pas, et la pression monte d’un cran. Un peu malgré moi j’ai brisé un cœur, c’est fragile c’est choses là ! Moi qui suis plus habituée à ce que les garçons me fassent pleurer comme une madeleine, je dois bien avouer ne pas être à l’aise avec ça. Déterminée à ne pas me laisser distraire, je décide de pousser tout ça sous le tapis gentiment : j’ai un diplôme à obtenir et plus des masses de temps pour me préparer.

Patricia a repris sa place dans mes weekends, et Henri a finalement disparu du groupe, je me laisse aller à être un peu garce, c’est un vrai soulagement, plus de regards de chien battu ou de déclarations larmoyantes. Soulagée peut être mais pleine de culpabilité quand même, les garçons sont décidément très sensibles eux aussi, mais je ne dois pas perdre mes objectifs de vue.

Elle est d’une aide précieuse et toujours de bon conseils, à grand renfort de  »on s’en fout », de  »il s’en remettra » et de  »de toutes façons ce n’est pas de ta faute si tu es trop bonne ». Mon dieu c’est possible ça, c’est aussi flatteur que terrifiant, c’est le bordel cette vie sexuelle naissante.

Nous nous réunissons toujours dans la tanière de Ken, qui lui ne semble ni gêné, ni troublé de ce qui a pu ce passer dans le Chapitre 2, contrairement à Mathias qui lui n’ose plus nous regarder dans les yeux et je le comprends tellement, je ressens un mélange de honte, de culpabilité et d’excitation à chaque fois que je les vois, c’est  »perturbant »…

Bon, vous devez vous en douter un peu maintenant, Patricia en joue, elle est infernale cette nana !

L’essentiel de la troupe est au sous sol, pour un atelier mécanique sur deux roues, repère et garage elle est vraiment top cette planque. Sans trop que je ne m’aperçoives de ce qui se tramait, nous nous sommes retrouvées toutes les deux seules avec Mathias dans la chambre. Patricia a commencé à le bombarder de questions, savoir si ça lui avait plu, s’il avait aimé son cul, si son ex copine le suçait… Le pauvre est devenu rouge tomate au fil des questions, s’est laissé tomber sur un pouf un peu perdu et aussi mal à l’aise que l’on puisse l’être face à un tel interrogatoire, en tentant de faire bonne figure.

Je n’en mène pas large moi non plus, je sens le fameux  »frisson » que Patricia affectionne, tandis qu’elle continue ses questions qui ne sont plus indiscrètes mais carrément obscènes. Je le vois se tortiller sur son siège essayant de masquer une incontrôlable érection. Voyant sans doute la même chose que moi, Patricia s’est approchée de lui et a  »déballé » faute d’un mot plus joli, ses seins sous son nez. Son jogging s’est soulevé dans un mouvement brusque, elle a caressé ses gros seins juste devant lui un court instant, avant de se mettre à rire et de se tourner vers moi en me disant  »il est pas trop chou ».

Elle m’a tendu la main pour m’inviter à la rejoindre sur  »scène », puis m’a faite danser en pressant sa poitrine généreuse tout contre moi, avant de me rouler un patin. Ce baisé est bien différent de ceux que j’avais expérimentés, langoureux et agréable certes mais il ne n’étais pas pour moi, il était destiné à Mathias, tandis qu’elle le fixait avec ses grand yeux vers.

Ce dernier est au bord de la combustion spontanée, moi je dois dire que ça m’a plu de partagé le show de Patricia pour une fois et de jouer à le mettre dans un tel état. Patricia m’a souri avec un air complice et m’a murmuré à l’oreille  »tu va me montrer ce que tu sais faire » en me tirant par le bras. Sans avoir trop le temps d’y réfléchir je me suis retrouvée à genoux à ses cotés pendant qu’elle libérait Mathias de son pantalon, découvrant une érection qui ne demandait qu’à sortir de son fourreau.

Je suis en veille, elle me regarde tout sourire en commençant à le branler doucement, avant de le prendre en bouche et de pomper sa verge. Je suis si proche et en même temps si loin, j’observe Patricia le sucer et le visage de Mathias qui oscille entre plaisir intense et peur panique. Elle s’est rassise me désignant le pénis qui s’offrait à nous d’un hochement de tête… Machinalement je l’ai saisi et j’ai commencé à le masturber.

Mon cerveau fini par retrouver sa place me rendant par là mes fonctions cognitives, c’est trop  »cochon », et on pourrait nous surprendre mais ça m’excite… Je commence à m’appliquer et à jouer le jeu. Mathias semble apprécier, et Patricia me gratifie d’un regard qui me suggère d’aller plus loin. Je me lance à lui tailler une pipe, je fais de mon mieux, je ne sais toujours pas dire si je le fais pour lui, pour moi ou bien pour elle. Patricia saisit la queue de Mathias pour le branler pendant que je le suce, puis elle vient glisser sa main tout doucement dans mes cheveux pour me donner le rythme, elle me fait l’enlever de ma bouche puis le remettre, lentement de haut en bas je laisse cette main guider ma bouche, mon minou me brûle.

Elle me roule une pelle juste au dessus du gland de Mathias, avant que nous ne commencions à la  »partager » chacune de notre coté montant et descendant le long de sa verge. Nos langues jouent ensemble avec son gland et ses bourses, je me régale et m’amuse de ces nouvelles sensations. Malheureusement cela n’a pas duré longtemps, Mathias s’est contracté et a explosé comme un geyser couvrant nos joues de son sperme chaud, nous avons poursuivi quelques allers retours ainsi récompensées, et Patricia a terminé en m’embrassant à pleine bouche, le gout du plaisir de Mathias ajoutant du piment à ce baisé.

Je suis partie honteuse et plus gênée qu’en arrivant ce qui était difficile à concevoir, me disant que ce n’est pas en faisant ce genre de trucs que j’allais arriver à quelque chose, mais ma culotte me soutenait le contraire, tant elle était réceptive aux vibrations de la selle de mon scooter.

J’ai préféré m’éloigner un peu du groupe, sans mentir je n’étais pas prête pour mon bac et je devais m’y atteler sérieusement. J’ai laissé passer quelques weekends préférant rester à l’internat, je me suis bien ennuyée mais j’ai avancé. Nous avons une  »trêve » juste avant les épreuves sortes de vacances anticipées avant de monter au front et grâce à ma  »pause » je me sens plus sereine et enfin plus ou moins prête.

On m’annonce une  »session révisions » chez Laurent, c’est un peu loin mais ça me fera du bien de me vider la tête, car je sais très bien ce que cela veut dire : 3 jours de fiesta plutôt que de boulot, et ça ne peut pas me faire de mal. Je programme même de dormir sur place avec Patricia pour ne pas prendre de risques inutiles.

Comme je m’en doutais l’ambiance n’est pas studieuse pour un sou. Nous sommes nombreux, Mathias est là et même Henri a fait le déplacement. Je ne me tracasse pas, je suis venue profiter et c’est bien ce que j’ai l’intention de faire. La musique est déjà à fond…

Première après midi, suivie d’une soirée plutôt sage qui a permis de faire le tri, ceux qui avaient vraiment envie de bosser comprenant bien vite qu’ils s’étaient trompés d’adresse. Pour les autres, cela a brisé la glace car nous venons tous de Lycées différents. Je partage une chambre avec Patricia et nous sommes allées nous coucher tôt, tandis que certains sont restés pour  »travailler » en bas.

Deux lits une place séparés, dans un toutes petite chambre, nous nous sommes endormies fenêtre ouverte tant il faisait chaud en ce début d’été. Je suis réveillée plus tard dans la nuit, tirée de mon sommeil par le bruit de la porte. Je n’y vois pas grand choses, mais je distingue Patricia sereinement endormie dans son lit. Quelqu’un entre, et vient se poster debout à coté de mon lit. Juste avant de crier ou de me sauver je crois reconnaître Henri. Je feins de dormir, sans un bruit je l’ai observé à la lueur de la lune. L’intrus commence à caresser son sexe, avant qu’une main délicate ne vienne libérer mes seins cachés sous mon t-shirt ample. Je me laisse faire, mes tétons sont durcis sous l’audace de ce voyeur.

Il se masturbe, je ne le vois pas clairement, j’aperçois une ombre sans visage et une main caressant un sexe rentrant et sortant de la lumière ténue, je sens son regard me caresser et ça me fait mouiller. Une nouvelle main qui glisse sur le bout de mes seins et je suis trempée… Je fais mine de grogner avant de me retourner dans un geste brusque en prenant soins de bien découvrir mes fesses dans la manœuvre. Mon t-shirt ne couvre plus rien et mes fesses sont complètement offertes à cette vue indiscrète.

J’ai entendu sa respiration s’accélérer, c’est intense je suis ouverte et prête à accueillir ainsi exposée. Son sperme est venu s’abattre sur mes fesses comme une pluie d’été chaude, à ce contact j’ai faillis jouir moi aussi. Le voyeur s’est sauvé en vitesse. J’aurais pu l’interrompre à n’importe quel moment, hurler ou encore lui sauter dessus mais non, je n’ai rien fais et j’ai pris beaucoup de plaisir malgré la perversité de cette action. Au petit matin, Henri que je crois toujours coupable avait disparu et je n’ai plus jamais entendu parler de lui.

Nous avons travaillé au moins 20 bonnes minutes ce jour là avant de passer à autre chose. On a tellement ri que la soirée est vite arrivée. Et là du grand n’importe quoi… les jeux d’alcool aidant la soirée s’est transformée en folie furieuse. Je suis éméchée mais pas trop je n’aime pas me mettre dans de sales états, contrairement à d’autres qui ne tiennent plus debout. Beaucoup sont repartis le soir même un miracle que tout le monde soit rentré sain et sauf. Je me décide à monter me coucher quand l’ambiance retombe.

Surprise en ouvrant la porte de découvrir Patricia que j’avais perdue de vue, avec Mathias et Laurent entrains de se tripoter sur mon lit. Je suis peu être plus saoule que ce que je croyais mais non c’est bien ce qui se passe. Je vais m’asseoir sur le lit de Patricia faute d’endroit où me réfugier. Je regarde un instant le tableau pour être bien sûre encore une fois, Laurent et Mathias entrain de palper les seins de Patricia et elle de caresser leurs deux sexes, une dans chaque main. J’ai faillis m’évanouir.

D’un bond Mathias est venu à mes cotés, avant que je ne décide ce que je devais faire, et m’a embrassé, je le laisse faire comme portée par le moment et reprends les caresses là ou Patricia les avaient arrêté. Je le branle doucement tandis que l’on s’embrasse, je suis vite excitée comme une folle, les événements de la nuit passée m’ayant laissé sur ma faim.

Mathias entreprend de me lécher, je suis déjà toute mouillée quand sa langue trouve ma chatte, je me régale de sa bouche sur moi pendant que j’observe Patricia sur le lit voisin sucer Laurent avidement. Mathias s’enfonce en moi, je suis alerte et j’en ai envie, mon minou pulse prenant sa queue sans difficultés, tant je suis prête. En tournant la tête je vois Laurent faire de même à Patricia en levrette. La chambre est vite rempli de gémissements et de cris de plaisir qui raisonnent dans ma tête et m’assourdissent. Submergée, je n’ai pas entendu ce que Patricia a dit, mais les délicieux coups de reins que Mathias me donnait se sont arrêtes net.

Le temps que je raccroche les wagons il s’était retiré, laissant ma chatte grande ouverte et inondée. Laurent est déjà debout vers moi m’offrant son sexe, je ne suis plus maîtresse de ce qui arrive comme enivrée par le plaisir. Je l’ai sucé sans hésitations, allongée sur le dos tandis qu’il fouillait entre mes jambes de ses doigts habilles. Il m’a mise à quatre pattes et m’a pénétrée sans ménagements avant de me pilonner sauvagement, c’est tellement bon. Je mate Patricia tout à coté entrain de recevoir elle aussi : je prends un pieds monstre, la queue de Laurent est bien plus grosse, elle me comble.

En pleine action, avec un naturel et une décontraction déconcertante, Laurent m’a lâché un  »je peux te prendre le cul » sorti de nulle part (tiens tiens voilà autre chose…) ce qui a fait rire toute la chambre. Je sais que c’est possible, je ne l’ai jamais fait donc non merci. Patricia rit encore quand il se remet à me baiser, avec de longs et puissants coups de queue brutaux qui me donne énormément de plaisir, c’est ce dont j’avais envie. Il s’agrippe à mes hanches et donne du plaisir à ma chatte qui se contracte autour de lui quand ses couilles viennent frapper mon clitoris.

La pièce sent fort le sexe et les grognements s’intensifient, quand j’ai vu Mathias prendre son pied sur les magnifiques seins de Patricia, qui se les malaxe avec un sourire encore joueur. Je sens Laurent venir lui aussi, il sort de ma chatte et recouvre mes fesses bien en l’air et me les laissant pleines de jus (décidément…).

Au petit déjeuné, silence un rien pesant rompu par Patricia et son inaltérable joie de vivre. Elle nous annonce qu’elle doit écourter les  »révisions » pour rentrer plus tôt. Je me dis que je vais faire pareil tout ce  »travail » risque de finir par me faire traîner une réputation douteuse, mais je prends mon temps pour manger, je suis un peu dans le gaz et je veux me réveiller avant de rouler.

J’ai retrouvé Patricia sur le départ après une bise et un gros câlin, elle a filé toute pimpante et moi je monte pour rassembler mes affaires : direction la douche pour me donner de l’entrain. Je suis sortie régénérée, il fait beau et tout vas bien, je vais rentrer c’est mieux comme ça on a déjà assez  »profité » ! En entrant dans la chambre en serviette, je suis tombée sur Mathias et Laurent, ils sont tout déçus et malheureux de l’avoir vue partir, je leur annonce faire de même en prenant mes habits pour aller m’habiller.

Ils sont toujours là à mon retour, j’avais un peu espéré qu’ils seraient redescendus mais non. Tension, regards, frissons, nouveaux regards, nouveaux frissons, ce n’est pas bon ça, et Patricia qui n’est plus là cette garce ! Laurent s’est levé et est venu vers moi d’un pas décidé, il me dit qu’on peut s’amuser encore un peu avant que je ne parte… Il m’embrasse, je laisse tomber mon sac à dos.

Je ne suis pas sure de pouvoir, ni de vouloir d’ailleurs faire ça, mais Mathias est déjà à nos cotes et m’embrasse à son tour, pour une fois je suis au centre de l’attention et je dois dire que c’est très plaisant… Nous nous retrouvons vite assis et je les embrasses tour à tour, je ne réfléchis déjà plus, leurs mains sont partout sur mes seins, j’enlève mon haut pour leurs en faciliter l’accès, trop de mains je ne peux pas tout suivre ce qui est très très excitant et surprenant.

Je pose des limites tant que je le peux encore, je préviens qu’il n’y a pas de de place pour deux  »là dedans », tandis que mes mains parcourent leurs deux queues. Nous sommes cotes à cotes, j’ai beaucoup de mal à être équitable mais je me donne du biais pour bien m’occuper de ces deux bites gonflées sous mes doigts. Les leurs sont sur mes tétons et sur mes cuisses, ce massage me fais vibrer de toutes parts.

Je dois être efficace, ils sont tellement durs que ça me fais sourire. Ils se mettent à l’aise, short sur les chevilles, tandis que je les branle plus fort. Je suis en plein  »contrôle » de ces deux là, je comprends ce que Patricia ressent, et j’adore ça ! Me sentant pousser des ailes, je me penche à gauche pour prendre Mathias dans ma bouche puis à droite pour Laurent, je me sens  »cochonne » et forte comme rarement, pendant que mon string se remplit de cyprine.

Je suis dans une position très inconfortable, enhardie par l’excitation je me lève du lit et me place à genoux face à eux. Ils comprennent vite le message et se mettent debout face à moi, m’offrant une vision parfaite sur leurs deux virilités tendues vers le plafond, je suis trempée. Je suis affamée et d’humeur gourmande. Ma bouche est trop petite et ma mâchoire me fait un peu souffrir mais je continue à leur donner du plaisir, leurs grognements m’encouragent.

J’ai Laurent dans la bouche quand je suis surprise de sentir le sperme de Mathias m’éclabousser le visage copieusement. Il râle fort quand je le reprends et je le sens trembler de tout son être, je lui souris et relâche mon emprise, avant de retourner là ou j’en étais, je sors même un  »à toi maintenant » pleine de confiance en moi et tellement je m’amuse. Laurent me donne la cadence, je sens son bassin pousser se queue dans ma bouche mes deux mains posées sur ses genoux, il geint avant d’exploser sans préavis, son sperme m’envahis et coule de ma bouche de toutes parts.

On rit tous les trois, tant je suis  »recouverte » j’en ai plein les seins, sur le pantalon et partout sur la figure. Je repars sous la douche, heureusement qu’il me reste une dernière tenue et je file comme une voleuse avant de risquer de faire encore des bêtises.

Il fait beau et chaud sur le chemin du retour, j’en profite pour rouler tranquillement, la route est longue est agréable j’aime la sensation de liberté que m’offre mon deux roues. Bilan des  »révisions » comme prévu, heureusement que je m’y suis prise bien avant. Bilan du weekend…intéressant, j’ai profité c’est certain bon pas de la manière que j’avais imaginé en arrivant, mais je suis détendue et je me sens indéfectible, tant pis pour la mauvaise presse éventuelle, l’année seras vite finie après tout.

Il est donc l’heure de passer au vif du sujet, après 15 jours d’épreuves, de stress, et une attente interminable : le travail a payé j’ai eu mon bac et avec mention s’il vous plait !

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